La Parisienne II
Toujours aussi délurée, achat rapide payé en nature avant de laisser le voisin pantois le cul sur sa caisse, mais vider pour un sacré moment.
Des voisines comme on en fait plus et que l’on aimerait rencontrer plus souvent.
Proposée le 1/03/2018 par IBLIS Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Fantasme
Chapitre IIIElle se promena dans le quartier des Halles, allant de boutiques en boutiques. Elle vit une robe qui lui plaisait exposĂ©e dans la rue, elle dĂ©cida de l’essayer. Dans la boutique, un homme s’affairait Ă la caisse et une vendeuse vint l’accueillir. Elle la conduisit vers la cabine d’essayage. Les cabines fermĂ©es par une tenture Ă©taient sur le cotĂ© de la caisse. La vendeuse accrocha la robe dans la cabine, la laissa rentrer et ferma le rideau, mais comme il Ă©tait un peu court par rapport Ă la largueur, dix bons centimètres manquaient d’un cotĂ©. Elle remarqua dans la glace qui occupait le fond de la cabine que le caissier jetait des regards Ă la dĂ©robĂ©e dans sa direction. Cela ne l’empĂŞcha pas de dĂ©faire son chemisier, laissait saillir sa poitrine, un bon 95C, puis elle enleva sa mini. Elle prenait son temps pour enfiler la robe. Elle sortit de la cabine, prit du recul pour juger sa silhouette. Contente, elle retourna dans la cabine, ferma le rideau encore plus mal que la première fois et Ă´ta la robe, elle la tendit Ă la vendeuse et lui dit qu’elle la prenait. La vendeuse amena la robe Ă la caisse et alla fumer une cigarette dehors.HabillĂ©e, elle se dirigea vers la caisse pour payer. L’homme lui dit :
« Vous savez que je peux vous faire un bon prix ! »
« Ah oui, répondit-elle, et comment ? ».
L’homme souri et avec un clin d’œil dit : « Passez derrière la caisse, vous verrez. » »Pourquoi pas » songea-t-elle. La caisse Ă©tait posĂ© sur un comptoir assez haut, elle le contourna et se retrouva face Ă l’homme. Sa braguette Ă©tait ouverte et son sexe pointait vers le ciel. « Ta bouche semble si douce. » lui dit-il en appuyant des mains sur ses Ă©paules pour qu’elle s’accroupisse. Elle se laissa faire et se retrouva avec le visage Ă la hauteur de ce mat de chair. La bite Ă©tait courte et Ă©paisse, si turgescente que le prĂ©puce avait glissĂ© et le gland luisant lui heurta les lèvres. Elle sentit l’odeur forte de ce membre. Fermant les yeux, elle ouvrit la bouche et l’enfourna. Sa langue s’enroula autours de cette bite. Elle lĂ©cha la hampe, le bout de sa langue titilla le mĂ©at. Elle prit les couilles dans sa main et les fit rouler entre ses doigts. Elles Ă©taient lourdes et chaudes. Faisant coulisser sa bouche autours de la verge, elle l’engloutissait Ă chaque fois plus profond. Son nez butait dans la toison pubienne drue et rĂŞche. Les mains de l’homme sur ses Ă©paules se contractaient de plus en plus avec la montĂ©e du plaisir. Elle senti la bite enfler, elle arrondit bien ses lèvres autours du gland et le flot de sperme gicla avec force au fond de sa gorge. Elle avala et lĂ©cha le bâton qui mollissait afin qu’il fut bien propre. Elle se pourlĂ©cha les lèvres et se remit debout. Elle remarqua que la vendeuse Ă©tait revenue et penchĂ©e par dessus le comptoir, elle avait regardĂ© sa prouesse sans rien dire. Prenant son sac avec la robe, elle parti en disant : « Ca vaut largement une robe gratuite. ». L’homme grommela en fermant sa braguette : « C’est sĂ»r, y a pas photo. »
« Au revoir » lança la vendeuse. « Et merci de m’avoir Ă©vitĂ© la corvĂ©e. » glissa-t-elle tout bas.Chapitre IV Elle avait remarquĂ© dans son immeuble que le voisin du dessous, homme d’un certain âge, mais encore alerte, mariĂ© Ă une femme revĂŞche, ne manquait pas une occasion de la reluquer. Elle en avait fait un jeu et depuis chaque fois qu’elle le croisait, elle s’arrangeait pour prendre des poses sexy. Elle avait notĂ© qu’il descendait chaque soir sa poubelle vers dix heures trente, puis qu’il fumait une cigarette dans le local Ă vĂ©lo Ă cotĂ© du local poubelle qui donnait sur la cour intĂ©rieure. Un soir qu’elle Ă©tait d’humeur Ă©grillarde, vĂŞtue d’une paire de mules Ă talons et d’une nuisette transparente et si courte qu’elle dĂ©voilait la bas de ses fesses, elle descendit avant lui au local Ă poubelle. Elle attendit et quand elle entendit son pas dans l’escalier, elle prit sa poubelle vide et fit semblant de la rincer au robinet du local Ă vĂ©lo. Quand l’homme passa devant le local Ă vĂ©lo, sa poubelle faillit lui Ă©chapper des mains. A la vision de ce cul rebondi, une Ă©rection comme il n’en avait pas eu depuis longtemps lui tendit le pantalon de pyjama. Cela ne fit ni une, ni deux, il s’approcha d’elle et saisissant ses deux seins, il lui plaqua la croupe contre son vit qui s’Ă©chappait de sa braguette. Elle joua les mijaurĂ©es tout en remuant sa croupe pour l’exciter encore plus. Échappant Ă son Ă©treinte, elle se tourna et s’accroupissant, elle englouti son membre dans sa bouche avide. Il n’en revenait pas. Cela dĂ©passait ses espĂ©rances les plus folles. Après l’avoir bien humidifiĂ©e avec sa salive, elle se recula pour s’asseoir cuisses Ă©cartĂ©es sur un caisse qui se trouvait lĂ , elle dĂ©fit le noeud de la ficelle qui tenait le devant de sa nuisette. Ses seins jaillirent libres, elle attira l’homme vers elle, emprisonna sa bite entre ses mamelles en les serrant l’une contre l’autre avec ses mains. DĂ©tachant le bouton de son pyjama, l’homme fit tomber son pantalon sur ses chevilles et remontant sa veste sur son ventre, il se mit Ă aller et venir dans l’Ă©troit sillon formĂ© par la gorge opulente. Chaque fois que le gland apparaissait au sommet, elle le lĂ©chait. L’homme n’en pouvait plus, il Ă©jacula Ă grands jets, Ă©claboussant la bouche, le menton et le dessus des seins.Elle ne lui laissa pas le temps de se reposer, elle prit la bite molle dans sa bouche, sa main saisi les couilles tandis qu’un doigt s’introduisant entre les fesses de l’homme, caressait l’anus et appuyait sur la rondelle qui en garde l’entrĂ©e. Un tel traitement ne laissa pas l’homme impuissant longtemps. Il reprit de la vigueur et son sexe dressa bientĂ´t le nez vers le ciel. Elle se leva, se tourna, mit une jambe sur la caisse, les mains sur le mur en face et lui dit : »Viens, bourres-moi ! ».Tenant sa bite avec une main pour la guider, il s’approcha, l’autre main se posa sur le cul, Ă©carta le bas des fesses et sa bite entra dans la chatte offerte. Ses mains remontèrent sur les hanches et il la possĂ©da vigoureusement, rentrant et sortant avec force entre les lèvres Ă©cartelĂ©es. Les mains continuaient leur ascension et remontant sous la nuisette, elles se posèrent sur les seins, les triturèrent. Puis il prit les tĂ©tons entre ses doigts et il les pressa fortement, il jouit une seconde fois. Il s’assit sur la caisse, sans remonter son pantalon qui gisait tire-bouchonnĂ© sur ses pieds. Il prit une cigarette dans la poche de sa veste. Elle ne lui laissa pas le temps de l’allumer. Elle se prĂ©senta devant lui, se tourna, et se penchant en avant bien raide sur ses jambes Ă©cartĂ©es, elle lui mit sa moule devant la bouche. Il jeta sa cigarette, ses mains Ă©cartèrent les fesses et sa bouche se colla aux lèvres humides. Il la lĂ©cha, sa langue fouillant le vagin souillĂ©, un goĂ»t de sperme emplissait sa bouche. Il mit aussi les doigts, suçant et masturbant tout Ă la fois. Avec un doigt luisant de foutre, il pĂ©nĂ©tra dans l’Ă©troit orifice anal. Pendant ce temps, les mains de la fille s’appliquaient Ă lui branler le vit. L’excitation, la lĂ©gère angoisse de se faire surprendre, la beautĂ© et la jeunesse de la fille, tout cela contribua Ă lui donner pour la troisième fois une raideur inattendue. La fille accĂ©lĂ©ra ses caresses, lui pressa la base de la verge. Elle s’accroupit, descendant son cul sur la bite. Il lui Ă©carta les fesses. Son gland touchait l’anus, elle continuait Ă descendre en maintenant la verge bien droite. Le gland Ă©carta les parois et disparu dans le rectum, elle descendait toujours lentement. La verge Ă son tour fut engloutie. Les cuisses de la fille Ă©taient maintenant sur celles de l’homme, les mains sur les genoux de l’homme et la base de la verge butait contre l’anus sodomisĂ©. Elle bougeait sa croupe de droite Ă gauche, montait lĂ©gèrement et se laissait retomber. Elle poussait des gĂ©missements. Elle se trĂ©moussa ainsi pendant un bon moment, s’empalant sur le pieu de chair. Puis elle se releva brusquement et disparu dans le couloir le laissant lĂ pantois, assis cul nu sur sa caisse. Il se reculotta, ramassa sa clope et il la porta Ă ses lèvres. A suivre…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
La Parisienne
La Parisienne III
La Parisienne IV
Valérie, parisienne et libertine
Valérie, parisienne et libertine Chapitre 2