La passion de Claire
Claire est une jeune femme atypique qui recherche la compagnie Ă©rotique d’hommes mĂ»rs. Lorsqu’elle vint, un soir avec son compagnon, je tentai ma chance et la proximitĂ© de celui-ci ne nous gĂŞna nullement.
Proposée le 17/06/2021 par Bamby26 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Claire avait eu la regrettable négligence de laisser son smartphone allumé, sur la table, et je ne pus m’empêcher de laisser trainer mes yeux. Elle échangeai des textos brulants avec un homme d’une cinquantaine d’années. Je trouvais cela curieux étant donné qu’elle n’avait pas plus de 22 ans et qu’elle était en couple avec un jeune homme de deux ans son cadet. Ce fut le hasard des vacances qui me fit rencontrer ce couple qui me loua une chambre dans ma grande bâtisse provençale. Ce fameux soir je les avais invités pour un barbecue sous les oliviers. Marc, son compagnon, n’était pas encore arrivé, et comme je suis un curieux maladif, je la questionnai :
— Je suis désolé, mais je n’ai pas pu m’empêcher de zieuter votre portable.
— Ah !
— Et vos messages sont plutôt enflammés.
Elle ne rougit pas et ne se montra même pas vexée de mon intrusion dans son intimité.
— C’est plus fort que moi, répondit-elle. Je suis irrésistiblement attirée par les hommes beaucoup plus vieux que moi.
— Alors j’ai peut ĂŞtre ma chance, plaisantai-je.
— Quel âge avez-vous ?
— 65.
Elle ne réagit pas à mon âge canonique et je lançai encore :
— C’est quand même curieux.
— Je sais, et je n’ai pas d’explication. C’est comme ça.
Je n’étais pas satisfait.
— Et qu’est-ce qui vous attire chez eux ?
— Je crois que c’est leur expérience. Et ils ne s’encombrent pas de préjugés.
— Pourquoi Marc, alors ? Pourquoi n’épouseriez-vous pas quelqu’un qui vous convient ?
— Oh, Marc me convient tout à fait. Mais avec les autres, c’est une attirance presque irrésistible et purement physique que je ne peux pas expliquer.
— Sexuelle ?
— Oui.
— Et le destinataire des textos ?
— Oh je ne l’ai pas encore vu. De toute façon, pour moi, ça n’est pas le physique qui compte. C’est l’assurance et l’autorité qui se dégage de ces hommes.Bon, les dés étaient lancés et je n’allais pas passer mon tour. Je me dirigeai vers le barbecue, puis une fois les charbons enflammés, je contemplai attentivement Claire. Elle avait une robe courte, mi-cuisses, largement décolletée avec un boutonnage sur l’avant.
Dès l’apéritif je la fis installer à côté de moi. Je regardais Marc. C’était un bel homme et je me demandais encore pour quelle raison mystérieuse Claire était attirée par des hommes mûrs… même très mûrs puisqu’elle osa m’avouer que ses meilleurs moments elle les avait passés avec des sexagénaires. Etait-elle réellement gérontophile ? La réponse m’importait peu en fait. Ce que je voulais, c’était tenter ma chance. Je fus aidé en cela par la passion dévorante et discourtoise que Marc entretenait avec son smartphone. Je conversais donc presque exclusivement avec Claire, et profitant d’un moment où elle me répondait, je posai la main sur sa cuisse. Elle n’eut aucun mouvement de surprise. S’y attendait-elle ? Je forçai, sans grande difficulté, l’ouverture de ses cuisses que je commençai à caresser. Je remontai lentement jusqu’à sa culotte que je fus surpris de rencontrer sous mes doigts. J’étais persuadé qu’elle n’en portait pas… comme je l’étais de l’absence de soutien gorge. Je jetai un coup d’oeil à Marc, penché sur son écran et je murmurai :
— Enlève-la.
Elle ne se fit pas prier et je lançai discrètement son string derrière un bosquet situĂ© sur ma gauche. Le passage Ă©tait maintenant libre et je ne me privai pas de caresser sa chatte duveteuse. Je la sentis frĂ©mir plusieurs fois, sans que cela attirât l’attention de son compagnon. Au bout d’une demi-heure de ce petit jeu, je fus tentĂ© par un peu de provocation. J’allai Ă ma chambre oĂą je troquai mon pantalon contre un mini short noir que j’utilisais pour mes joggings estivaux. C’était un peu rudimentaire comme accoutrement, mais Marc n’était-il pas lui aussi torse nu ? Et vu la tempĂ©rature, il n’y avait rien Ă redire. Je m’excusai quand mĂŞme par courtoisie.
— J’espère que ça ne vous dérange pas. Je crève de chaud.
— Y’a pas d’lézard répondit Marc.
Je repris donc ma place aux côtés de Claire. Dès que je reposai ma main sur ses cuisses, elles s’ouvrirent. Je n’eus pas à attendre longtemps avant de sentir sa main sur mon entrejambe. Pas longtemps non plus avant qu’elle ne s’aventurât sous l’élastique de mon short qui constituait mon seul rempart contre ma virilité. D’un geste adroit elle sortit ma bite et de la paume de la main en effleura le gland. La caresse était redoutable et je faillis renverser mon verre. Il fallait que je trouve un moyen pour faire diversion avant de m’embraser et perdre toute retenue.
— Si on allait cueillir des cerises pour le dessert, fis-je ?
— Non, merci, je suis sur un truc terrible, là , répondit Marc.
— Moi je vous accompagne fit Claire.
Le grand cerisier était à une centaine de mètres en contrebas. Visible quand même de la terrasse. Je laissai Claire cueillir les cerises du bas tandis que je me perchai sur l’escabeau.
— Il y en a de plus belles, juste là , lança-t-elle.
Elle me désignait une branche maigrelette avantageusement dissimulée par une autre riche en feuillage. Je tirai l’escabeau et me perchai. Claire ramassa une poignée de fruits puis, d’un mouvement presque naturel, elle mordilla ma queue à travers le slip.
— Une petite pipe pendant que vous ramassez ?
Je n’étais absolument pas certain que les deux choses fussent compatibles mais je tendis néanmoins la main vers le premier bouquet, ce qui déclencha le signal. Claire tira sur le bas de mon short et le descendit à mi cuisses. Elle décalotta doucement mon gland, le goba, le lécha, le suça, pompa un moment, puis descendit me lécher les couilles avant de remonter et de s’enfoncer ma bite jusqu’à la glotte. A ce rythme là je n’allais pas tarder à jouir. Mais non ! Elle savait s’arrêter à l’extrême limite, marquer un temps, puis reprendre. J’étais à la torture jusqu’à ce qu’un pompage assidu me fit penser qu’elle allait me faire gicler. Ça n’était pas encore pour cette fois, car nous faillîmes être surpris par Marc qui approchait à grands pas. Je remontai mon short à la hâte. Il jeta un coup d’oeil au panier.
— Et ben… faudrait penser à en cueillir un peu au lieu de vous empiffrer.
Nous ne répondîmes pas et, quant à moi, j’étais dans l’impossibilité de descendre de mon perchoir, vu l’état de ma bite. Je le laissai donc s’éloigner vers un petit muret, en compagnie de Claire. Il me fallut au moins dix minutes avant de pouvoir les rejoindre. Le muret bordait un promontoire qui offrait une vue magnifique sur la vallée. Toutefois, seule Claire s’en émerveilla car Marc venait de replonger le nez dans son smartphone. Je tentai de l’en distraire, en vain.
— Lorsqu’il est comme ça, on pourrait tirer un coup de fusil qu’il ne s’en apercevrait pas.
— Vous êtes sûre ? répondis-je à Claire.
— Oh là oui, certaine !
C’était très risqué mais je n’allai pas laisser passer une occasion qui ne se représenterait peut être pas de sitôt. Je me plaquai contre le dos de Claire qui aussitôt s’arc bouta contre le muret. Je libérai ma queue et soulevai la robe. Je n’eus aucun mal à trouver le chemin de sa chatte et je la baisai, vu les circonstances, lentement. Circonstances qui avaient dû l’exciter car elle jouit en quelques minutes. Je ne put finir mon office car Marc, subitement, tourna la tête vers nous. Je glissai rapidement à côté de Claire. C’était moins une ! Tandis qu’elle répondait à Marc, elle saisit ma queue pour me branler et, vu mon excitation, je ne fus pas long à décharger. Nous restâmes encore quelques minutes puis nous revînmes sur la terrasse où je préparai un café corsé. Au regard qu’elle me lança, je compris que Claire n’allait pas se satisfaire de cet intermède sulfureux. Elle me proposa de revenir « un de ces jours » pour m’aider à débroussailler mon jardin potager.
— Marc pourra s’occuper de passer la tondeuse.
— Désolé, répondit celui-ci. Je suis occupé toute la semaine mais ne vous gênez pas pour moi si vous avez envie de suer comme des forçats.
Claire sauta sur l’occasion.
— Mardi matin, 8 heures, ça irait ?
— Parfait, répondis-je.
Trois jours ! Le temps allait me paraitre bien long… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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