Souvenirs érotiques et cochons d’un érotomane – Mère et fille lubriques (5)
Deux femmes sont à l’origine de mes vices et perversions, entre autres de mon fétichisme pour les petites culottes : Ma tante Cécile (voir mon premier récit sur ce site), et ma cousine Colette, sa fille… Ceci est le cinquième chapitre de mes vacances chez elles…
Proposée le 30/05/2020 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FFHLieu: Mer, piscine, plageType: Histoire vraie
Je suis tiré de mon sommeil par un léger effleurement sur ma queue. Tante Cécile est assise au bord de mon lit et promène la fine étoffe d‘une petite culotte le long de ma verge. Elle me souffle :
– Réveille-toi, mon grand… Il est tard et j‘ai envie…
Elle me fourre la petite culotte sous le nez :
– Sens comme j‘ai envie, elle est toute mouillée, je l‘ai trempée en imaginant ta queue…C‘en est trop. Elle sait y faire. La vicieuse m‘a excité à mort. Je l‘empoigne et la tire sur le lit, elle se met à cheval sur moi et s‘empale d‘un coup sur ma pine.
Elle me chevauche comme une amazone en furie, à grands coups de croupe, ses grosses fesses écrasent mes couilles, ses gros seins s‘agitent, je tire et mord ses tétons durcis. Sa bouche s‘empare de la mienne, nos langues et nos salives se mêlent, elle bave de plaisir, elle grogne :
– Mets ton doigt ! Encule ta salope !
Je lui mets un doigt dans le cul, elle pousse un râle de femelle prise, hurle :
– Tape ! Griffe ! Sale cochon ! Fais jouir ta chienne !
De ma main libre je lui claque la cuisse, mes ongles la griffent, laissent des traînée rouges sur sa peau. Elle glisse sa main entre ses jambes, se frotte et triture son clito.
Elle va jouir. Je sens sa chatte se serrer autour de ma queue, mes couilles se rétractent, je vais venir aussi. Elle le sent, serre son vagin et au moment où je commence à éjaculer je sens sa mouille gicler, couler sur ma queue et mes couilles, se mélanger au sperme qui la remplit.
Nous restons un moment enchevêtrés et lorsqu‘elle a repris haleine, tante Cécile m‘annonce que nous aurons de la visite cet après-midi.
J‘ai encore des courses à faire en ville et lorsque, dans l‘après-midi, je suis de retour à la villa, je trouve tante Cécile et Colette en compagnie d‘un Noir imposant. Tante Cécile fait les présentations :
– Pierre, je te présente Manu. Un très cher et vieil ami du Soudan.Manu est grand, large d’épaules, campé sur des cuisses solides et musclées. Il porte un string ficelle pour unique vêtement, un minuscule triangle blanc qui tranche avec le noir intense de sa peau et lui recouvre le bas du ventre. Des poils noirs et frisés en dépassent largement et remontent plus haut que son nombril.
Je vois Colette jeter des petits regards mélangés de crainte et de désir contenu sur l‘entre-jambe du grand Soudanais. Plaqué par le tissu, son sexe forme une masse dans laquelle on distingue une queue impressionante, qui pourtant ne semble pas encore en érection, et deux couilles de taille exceptionnelle. La tige se dresse légèrement en oblique.
Tante Cécile prend la direction des opérations :
– Allez, on va prendre le soleil ! Et après, une bonne trempette !
Elle s’allonge.
– Tu viens, Colette ? Retire ton maillot, si tu veux bronzer.
Elle ôte son slip et s’assoit, cuisses ouvertes, la main sur sa chatte pour lisser ses poils bruns.
Elle est obscène. Elle s’allonge sur sa couverture, sur le ventre, ses fesses légèrement écartées, laissant voir des touffes de poils noirs et bouclés. Colette vient près d’elle, se déshabille, s’étend sur le ventre également. Leurs deux paires de fesses se ressemblent, grosses, rondes et ouvertes, mais celles de Colette sont un peu moins joufflues.
Manu, assis non loin, allume une cigarette. Il les regarde, ses yeux brillent. Au bout de quelques minutes, tante Cécile commence à soupirer.
– On se fait suer, hein ?
Elle se tourne vers Colette, l’œil brillant.
– Tu aimerais te faire baiser par Manu, hein ? Et tu aimerais bien lui sucer la bite…
L’idée fait rapidement son chemin dans sa tête. Ses tétons se dressent, sa vulve mouille de plus belle.
– Manu, viens nous faire plaisir…
Il vient près d’elles, un sourire vicelard aux lèvres. Son slip fait une grosse bosse, mais Colette devine qu’il ne bande pas encore.
– Retire-lui son slip, lance sa mère à Colette. Avec la queue qu’il a, il y en a bien un bout pour chacune.
Colette vient, nue, devant le Noir, se met à genoux et fait glisser la mince étoffe aux pieds de Manu. Sa grosse bite noire ainsi que ses couilles énormes se balancent à quelques centimètres du visage de Colette. Elle saisit le gland entre deux doigts pour l’agiter.
– Regardez, comme elle est ferme, il bande presque… Elle grossit vite, elle est grande…
Elle tire sur le prépuce charnu et le met dans sa bouche, pour commencer à le pomper rapidement, tout en poussant de petits soupirs. Manu ne dit rien. Il reste debout devant elle, les bras ballants. Ses grosses couilles remontent toutes seules. Je me tourne vers tante Cécile et vois qu’elle s’est mise un doigt dans la chatte, le tournant à l’intérieur pour s’écarter, ouvrir son trou luisant.
– Continue comme ça, bientôt, elle sera raide comme un bâton.
– Ça y est, dit Colette en ôtant le gland de sa bouche et en nous le montrant. Je peux me le mettre ?
– Bien sûr !
Colette s’allonge d’abord sur le dos, les cuisses écartées, face à lui. Mais tout d’un coup, elle se relève et se met à genoux, les fesses tendues vers le mandrin dressé.
– Je préférerais qu’il m’encule… Il a une si grosse bite, ça doit changer de toutes ces petites queues !
– Comme tu veux, dit sa mère..
– Il faut me préparer, et je ne veux pas qu’il me touche, ni qu’il me suce… Je veux juste sa queue dans mon cul…
– Pierre va te faire cela, dit tante Cécile.
Je me mets à genoux, derrière Colette, le visage à hauteur de ses fesses. Elle les écarte bien, je vois sa raie ouverte avec tous ses poils, son anus rose déjà dilaté comme sa chatte.
– Allez, Pierre, lèche-la…
– Oh oui, vas-y, cousin, j’ai trop envie de cette grosse bite noire. Prépare-moi vite, qu’il m’encule sans me faire mal…Je penche la tête vers les fesses rondes et dodues de Colette. Son cul et sa chatte sentent fort, à cause de la transpiration de la journée. Je colle ma bouche et mon nez dans sa raie poilue et sent tout de suite un goût âcre. Son anus se contracte. Je lui lèche le cul, en insistant, en faisant pression du bout de la langue, comme pour en sucer l’intérieur. Il s’ouvre tout seul.
Colette feule :
– Maman, touche-moi la chatte en même temps… Ça m’excitera encore plus fort…
La main de tante Cécile vient entre les cuisses de Colette et elle plaque sa paume sur sa fente gluante.
– Tu es bien excitée, petite cochonne, ça me coule dans la main… Et ton clitoris est déjà tout raide et gros !
Elle le titille avec deux doigts pendant que je continue à la lécher entre les fesses. Ma langue lui titille l’anus. Ses jambes sont prises de tremblements. Je lui lèche la chatte et le cul d’un seul coup de langue, remontant ses grandes lèvres, lui ouvrant la fente.
Colette feule :
– Je suis prête…
– Tant mieux, allez, Pierre, pousse-toi, je vais sucer Manu, il débande un peu…
Les joues en feu, tante Cécile met le pieu de Manu dans sa bouche. Presque tout de suite, il redevient dur, grandit encore au fond de sa gorge. Elle touche ses couilles, elles sont bien remontées, il n’est pas loin d’éjaculer.
– Il est prêt…
Elle prend le gros sexe noir plein de sa bave entre ses doigts.
– Je vais l’aider,…
Elle glisse un doigt dans l‘anus de Colette pour vérifier qu’il a l’élasticité voulue. Colette ne bronche plus. Tante Cécile, tout en poussant Manu contre les fesses de sa fille, pose un genou à terre. Je vois que l’intérieur de ses cuisses, très haut, luit. Elle dégouline. Elle guide la pine sur le cul de sa fille.
– Voilà, là, c’est bien… Pousse un peu, Manu, tu vas rentrer doucement… Voilà… Ne bouge pas, Colette, le gland est passé… Allez, rentre à fond…Manu ne dit rien, mais a sur les lèvres un rictus trahissant son envie. Je vois sa bite s’enfoncer entièrement dans le rectum de Colette, sous les yeux émerveillés de sa mère.
Colette se mord les lèvres, mais semble aimer ce qu’elle subit. Elle gémit à chaque coup de boutoir, ses seins tremblent sous elle. Son ventre se gonfle. Elle geint :
– Elle est si grosse… Encore… Plus loin…
Ses mains passées sous le ventre de Colette, entre les cuisses de Manu, Tante Cécile pelote ses grosses couilles. Elle dévore des yeux le sexe énorme qui disparait dans le cul de sa fille, elle crève d‘envie de prendre sa place.
Spectateur de ce trio lubrique, je bande comme un taureau. Tante Cécile s‘en aperçoit, et tout en continuant à masturber sa fille et à triturer les couilles de Manu elle me tend son cul :
– Viens, Pierre ! Viens dans ma chatte !
Tout à coup, on voit le ventre de Manu se gonfler et il se cambre. Immédiatement, Colette crie, tout en jouissant.
– Il éjacule dans mon cul !
Et il se vide en grognant. Tante Cécile caresse les fesses du Noir, n’en perd pas une miette. Le spectacle est trop beau. Elle le repousse en arrière :
– Sors ta bite, maintenant, je vais la sucer… J’aime le sperme des Noirs… La bite tendue s’extrait du cul de Colette, qui palpite, ouvert. Colette tombe sur le côté, haletante, épuisée. Et tandis que j‘éjacule à mon tour dans son con, Tante Cécile met la verge noire dans sa bouche. Du sperme en coule toujours.
Elle avale le jus, suce la queue qui vient du cul de sa fille… Elle n’en peut plus, elle devient une chienne en chaleur :
– Je veux qu’il me fourre sa bite !
Elle s’allonge sur le dos, les cuisses bien écartées. Il vient sur elle. Son gros mandrin bande à nouveau, il entre d’un coup dans son vagin dilaté et elle jouit tout de suite, très fort. Son con se resserre, son cul s’entrouvre, battu par les deux grosses couilles poilues.
Je lui pétrit les nichons, pince ses tétons qui semblent avoir doublé de volume. Ma queue est à nouveau raide, je promène mon gland suintant sur les tétons de tante Cécile, sur ses lèvres. Elle m‘exhorte :
– Oh oui, Pierre, gicle sur moi ! Colette, branle-le !
Colette ne se le fait pas dire deux fois. Agenouillée à mon côté, elle glisse une main entre mes cuisses, et tout en me doigtant le trou du cul et en me pelotant les couilles, elle me branle de l‘autre.
– Regarde, maman, il va gicler ! Tu veux qu‘il te gicle dessus ?
Elle a à peine terminé sa phrase que je lâche mon foutre. Le visage barbouillé de sperme, tante Cécile jouit encore. Alors Manu la prend par les cuisses, les relève très haut et entre dans son cul.
Et ils sombrent dans la bestialité. Le Noir la pine par le cul à grands coups, en la soulevant par les fesses. Les yeux révulsés, la bouche grande ouverte, tante Cécile râle. Il la fait danser sur sa bite si fort qu’elle n’est plus qu’une poupée de chair molle lâchant des mots incohérents, entre deux halètements.
– Oui… oui… Ton gros machin… Dans le trou du cul… Plus fort… C‘est bon ! Plus fort !
Tout se brouille devant ses yeux, elle tremble des pieds à la tête.
– Encore.… Encore… Encule ta salope, encule plus fort !
Elle ne s’attend pas à ce qu’il éjacule à nouveau. Il grogne et son sperme gicle au fond de son cul. Puis, il se retire et Colette le suce encore. Elle lèche la bite qui était passée dans le cul de sa mère, après être passée dans le sien. Elle boit les dernières gouttes de sperme tout en se caressant devant nous, deux doigts dans le con. Elle jouit très fort, tout en se masturbant et en léchant le membre mou de Manu.
Puis, elle s’allonge près de nous, en soufflant fort.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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