La rencontre sulfureuse…
“La rencontre sulfureuse” vous narre la première fois que Matt et Val se sont connus et rapprochés… Au point de finir gland contre gland… Oui oui… Ces deux hommes que rien ne réunissait jusqu’à présent vont vivre quelque chose qui fera par la suite basculer leurs vies à tout jamais… Voici, raconté par Matt, leur première rencontre sulfureuse… Nous
Proposée le 14/04/2020 par LaPlumedEros Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: Bureau, travailType: Roman
Un pied devant l’autre, comme chaque jour, comme chaque moment. J’en viens à croire que c’est mon châtiment, avancer quoi qu’il arrive sans jamais vraiment regarder devant moi, quitte à me prendre de gros obstacles en pleine face au dernier moment. Encaisser et remettre un pied devant l’autre… Alors que je me dirige vers le petit studio d’enregistrement qui me sert actuellement de refuge, je me lance dans des réflexions philosophiques sur la vie, peut-être un peu trop… Ça m’apprendra à oublier mes écouteurs ! Ah si seulement j’avais de la musique dans les oreilles, je ne penserais pas autant ! C’est pour ça que j’aime la musique, parce qu’elle me permet de m’évader, de ne plus penser à mon quotidien. “Percer dans la musique ? Mais enfin Matt ne soit pas ridicule ! Il y en a 1 sur 1 million qui y arrive !”, l’éternel argument de mes proches. Oui mais si ce 1 ne s’était jamais lancé, il n’aurait jamais été ce 1 sur 1 million… Il va falloir que les gens se mettent ça dans la tête…
Pris dans mes pensées, j’en rate presque l’entrée du studio. Une modeste entrée, dans une modeste allée. Je m’arrête sur le palier et lève les yeux, faisant attention pour la première fois à leur enseigne accrochée au dessus de la grande porte noire : “Red Bellion Studio ! Venez mettre en musique vos SONtiments !“. Sérieusement ? Attends… Heureusement que je n’ai jamais fait gaffe à ce panneau ! Jamais je n’aurai foutu les pieds ici sinon ! Ils sont sérieux avec ce slogan ? C’est… Ba peu importe… C’est pas cher et c’est largement suffisant pour moi à l’heure actuelle. J’aurai bien continué d’enregistrer dans mon salon, mais les voisins se plaignent en permanence du bruit… Pour la batterie je veux bien, mais la guitare… Enfin… Ça me coûte moins cher de venir ici que d’isoler mon appart’ de toute façon… Vivement que je perce et que je gagne un max, pour que je puisse me tirer de cet immeuble pourri et envoyer bouler mon abruti de proprio… Quel con celui-là. Et voilà, je repense trop. Aller, je rentre.Alors que je m’avance dans le hall d’entrée du studio, j’ai une fois encore droit à la ô combien drôlissime blague de beauf :
– “Ah Matt t’es là, salut ! Alors, toujours joyeux hein ?”, me lance Billy, un habitué…
– “Toujours joy… Oh ouais ok…”
– “Ba ouais quoi ! Joyeux… Gay ! J’dis ça parce que t’es… Enfin tu vois quoi, comme t’es homo c’est pour plaisanter c’est…”
– “Ouais ouais c’est hilarant Billy, tu le vois pas mais je suis mort de rire à l’intérieur… Mais comme je pense qu’à mon prochain morceau tu vois…”
– “Oh ouais je comprends mon pote !”, finit-il en jetant son gobelet de café à la poubelle et en me tapant l’épaule.“Mon pote ?” D’où t’as vu que j’étais ton pote ? Je te croise juste tous les matins parce que tu bosses à côté et que tu viens draguer la secrétaire qui, si elle le pouvait, te balancerait son café brulant au visage. Ça ne fait pas de nous des “potes” ! Je me dirige vers le petit bureau de la jeune femme, qui me lance un regard de détresse… Je lui réponds discrètement avec l’une de mes habituelles grimaces instinctives pour acquiescer et compatir à sa souffrance…– “Bonjour Matt ! Comment ça va ? Bon je suis désolée, ce matin on a un petit soucis…”, me lance-t-elle avec un ton grave.
– “Un soucis ? Comment ça ? Rien de trop grave au moins ?”
– “Non du tout, enfin… Je sais que vous deviez avoir la salle pour 9h30, mais la personne avant vous rencontre un producteur important et du coup ça traine un peu… Le patron m’a dit de vous dire que la salle serait libre à 10h00 et qu’il vous offre une heure en rab pour s’excuser !”, m’explique-t-elle.
– “Oh ok… Bon ben c’est pas bien grave, 30 minutes c’est pas la mort non plus…” répondais-je, en cachant mon énervement. A savoir ça je n’aurai pas couru comme un demeuré derrière le bus tout à l’heure et j’aurai attendu le prochain. Et pour ajouter une couche, un producteur est ici et je le rate ! J’aurai préféré tout savoir en avance ! Enfin bon, puisque j’ai un peu de temps autant en profiter pour prendre mon petit déjeuner, que j’ai loupé ce matin pour être à l’heure, moi… Je demande donc à la secrétaire (dont j’ai oublié le nom…) – “Du coup vous pourriez me dire si y a une bonne boulangerie pas loin ?”
– “Oh oui y a la boulangerie “Les Boules du Boulanger”, croyez-moi c’est la meilleure à des kilomètres à la ronde !”
– “Les… Les boules du… Du Boulanger… C’est… Original comme nom…”
– “Oh ne vous y fiez pas, c’est un régal !”, me lança t’elle en mettant fin à notre conversation d’un charmant sourire.Je tourne les talons et me dirige vers la fameuse boulangerie qui est… Qui est… Qui est où d’ailleurs ? J’ai oublié de demandé ! C’est pas possible, quel gland ! Bon, GPS… Les boules du… Non mais sérieux, c’est quoi ce coin avec toutes ces enseignes aux noms pourris sérieux ! Bon c’est pas loin… Au moins j’ai pas les boules… Ouais non ferme-la…Arrivé devant la fameuse boulangerie qui se situe au coin de la rue des Pins (oui oui… Pins, boulangerie… Ils ont beaucoup d’humour ici), je constate qu’effectivement, le nom est assumé jusqu’au bout, avec un logo très représentatif… Mettant en scène une baguette et des… Sérieusement… En revanche, dès que je baisse les yeux, mon regard est aspiré vers les pâtisseries en vitrine. Je comprends rapidement pourquoi le nom ne pose problème à personne ! Ça a l’air succulent ! L’eau à la bouche, je pousse la porte d’où s’échappe un délicieux parfum de pain chaud. Et là, le temps s’arrête. A peine suis-je entré que mon regard se pose sur le boulanger. Un grand costaud, la peau noire, un regard de braise et… Et je me demande subitement si le nom “Les Boules du Boulanger” viennent de lui… Attends… Non… Si ? Bon en attendant, ça a l’air succulent ! Les pâtisseries ! Pas les boules ! Les pâtisseries !Je me surprends à avancer d’un pas hésitant vers lui. Je ne sais pas si je dois tenir le regard ou m’enfuir à toutes jambes. Sérieux, qu’est-ce qu’il me plait ce mec ! Incroyable, j’ai rarement ressenti ça. Alors qu’il m’a semblé passer quelques secondes à peine, une voix grave et suave s’adresse à moi.– “Alors, tu vois quelque chose qui te plait ?”
– “Pardon ?”, surpris, je fais un petit bond et me retourne vers la voix. C’est les Boules du… Euh le boulanger qui me parle, appuyé sur sa vitrine ! “Me… Merci mais je viens à peine d’arriver je…”
– “Ça fait au moins cinq minutes que t’es là à baver. Tu dois apprécier mon travail pour que le temps passe si vite ! Ça fait plaisir”.
– “Oh non, non je… En fait c’est pas ça qui me plait je…”, en un instant je sens mon corps se raidir…
– “Ah ? Rien ne te plait ?” me répondit-il immédiatement, étonné.
– “Oh si si bien-sûr, tout a l’air succulent ! Je me demandais juste quel goût ont vos boules !” (attends quoi !?)
Il se met à rigoler à pleine voix. – “Ah vraiment ?”
– “Non je parle de ça ! je désigne une pâtisserie. Ça doit être votre spécialité puisque c’est le nom de la boulangerie, du coup ça doit être un régal de manger vos boules. Les boules ! Les…”
– “Effectivement c’est ma spécialité les… Boules… Mais non, j’ai surtout appelé la boulangerie comme ça parce que j’ai trouvé ça drôle… Tu sais, on fait toujours la blague des miches de la boulangère… Du coup les boules du boulanger… Moi ça me fait marrer ! J’ai hésité entre boule, brioche et baguette mais… ”
– “Oh oui oui, c’est très drôle”, toussais-je maladroitement.
– “Donc, ça sera quoi ? Mes boules ?” me demande-t-il sérieusement avec un air malicieux.Je le fixais droit dans les yeux. Etait-il sérieux ? Me faisait-il directement des avances comme ça ! Je veux bien qu’on soit seuls dans la boulangerie mais tout de même…– “Pa… Pardon ?”
– “Ouais le gâteau là, il s’appelle la boule, tout simplement. Pourquoi faire compliqué ? J’aime les choses simples tu sais, sans détour.”
– “Oh oui, oui, oui euh… Oui je vais essayer pour voir, on m’en a dit le plus grand bien il parait qu’elles sont très bonnes vos… Pâtisseries…”.Alors qu’il prépare le sachet je m’aperçois dans le miroir derrière le comptoir que je suis rouge vif ! La honte ! C’est sur que je suis grillé… Il me donne la note, je lui tends la monnaie… Du coup est-ce que je suis courageux ou pas ? Aller ! Je lui dis de garder la monnaie et lui fais des avances en même temps en lui disant que ça lui servira à me payer un café ! Aller ! Attends ! Y a quelqu’un qui arrive derrière lui et…– “Gardez la monnaie, merci…”, balbutiais-je en retirant rapidement ma main qui effleure la sienne..Espèce de gros imbécile ! Je n’ai pas réussi ! Crétin, demeuré, gros gland ! Je prends mon sachet de boules, lui rends son sourire (bien que le sien était charmant et le mien crispé) et je sors de la boulangerie. Je presse le pas pour m’enfoncer dans l’angle et quitter son champs de vision. La honte ! Sérieux ! Non seulement je me suis ridiculisé mais en plus je n’ai absolument rien tenté ! Un moins que rien ! La journée pourrie qui commence… Alors que je m’auto-flagelle, j’aperçois une petite vitre sur le côté de la boulangerie ainsi qu’une porte de sortie verte. Sans savoir pourquoi je m’approche de la fenêtre. Je me dis sur le moment que c’est innocent, mais je me demande si mes pulsions perverses ne souhaitent pas voir un vestiaire d’hommes nus… Genre de boulangers… Je tente de regarder discrètement à l’intérieur. Il y a trois casiers avec des noms dessus… Peut-être que si j’arrive à voir… Au moins son nom.Alors que je suis en pleine phase d’espionnage, je sens un frisson parcourir mon corps. Un mot s’élève dans les airs : “Val…”. Figé sur place, mon corps semble tourner sur lui-même en lévitant. Le boulanger sexy est là, juste devant moi…– “P… Pardon…”, bégayais-je…
– “C’est comme ça que je m’appelle…”
– “Je je… Oui mais je…”
– “C’est pas pour ça que tu regardais dans les vestiaires ? Ou alors t’es un petit pervers ?”
– “Je ! Quoi ? Non !”, je reprends en partie mes esprits. Je suis peut-être pervers, mais ça ne se dit pas à quelqu’un comme ça !
– “Je préfère te le dire, les gens ont souvent tendance à confondre mon prénom avec celui d’une femme alors… Pour pas que tu te trompes…”
– “Et pourquoi je voudrais… Enfin je veux dire d’accord mais…”
Il eut un profond soupir. Je ne sais pas si c’était un soupir d’amusement ou de désespoir.
– “Et après c’est nous qu’on appelle ‘ les gens de couleurs ‘. Sérieusement… Écoute Matt, tu étais rouge vif quand tu me parlais… Je veux bien que mes pâtisseries fassent de l’effet mais là quand même…”
– “Matt ? Comment tu…”
– “L’étiquette, sur ta guitare… On ne voit que ça.”
– “Oh oui c’est… C’est pour les transports je…”C’est alors que quelque chose d’incommensurable se produit ! Je suis maintenant persuadé qu’il a des pouvoirs magiques car je ne sais comment, en l’espace d’une fraction de seconde, je me retrouve dos contre le mur et Val quasiment collé à moi.– “Alors dis-moi Matt… Est-ce que je te plais oui ou non ?” me lança-t-il.
– “Euh ba be bi bo bu…” (je jurerai que c’est ce que j’ai dit à ce moment là !)
– “Tu sais quoi, moi j’adore les gars timides, ça me fait fondre… Seulement il y a une limite à la timidité. Je te fais du rentre dedans là… Riposte !”
– “Je… Tu ! Attends mais on se connait depuis seulement deux minutes et tu dis ça toi !”
– “Est-ce que tu crois au destin ? A l’alchimie ? Ce genre de choses ?” me demanda-t-il en s’éloignant de moi et en faisant de gracieux mouvements théâtraux.
– “Je… Oui sans doute j’imagine… Enfin j’y ai jamais vraiment réfléchi…”
– “Dans ce cas tu es capable de comprendre que parfois le temps n’est pas ce qui compte le plus. Tu es entré, tu as bavé sur moi, je te plais, point. Et je vais te faire une confidence, tu m’as aussi tapé dans l’œil et ce dès que tu as pris ton air désespéré en regardant mon enseigne…”Ah… Il a donc vu tout ça. D’accord, il a tout juste mais c’est bien la première fois que je rencontre un mec aussi franc du collier, aussi direct ! D’un côté ça me fait terriblement de l’effet mais je ne peux m’empêcher de me demander… Est-ce qu’il est fou ou est-ce qu’il est passionné ? Alors que je suis plongé dans ma réflexion, il enchaine, visiblement pressé.– “En revanche pour d’autres choses, le temps est précieux… 10 minutes… C’est mon temps de pause Matt. Vu ton allure, ta guitare et ton comportement, tu as toi aussi des choses à faire, ce qui ne doit pas te laisser beaucoup de temps non plus, voici donc ma question. Est-ce que tu es le genre à foncer dans l’action ou à regarder les autres le faire à ta place ?”
– “Je comprends pas… Désolé mais j’ai du mal à suivre, c’est la première fois qu’on est aussi direct alors je suis un peu perdu je t’avoue Val…”
– “Je comprends et je m’excuse si je t’offense, ce n’est absolument pas mon intention. Tu vois, il y a quelques temps je me suis promis quelque chose : ne plus jamais regretter, faire les choses, être un homme d’action, ne plus perdre mon temps si précieux…”, me raconta-t-il en bougeant ses bras tel un boxeur et faisant apparaitre ses muscles saillants.
– “Oh et bien… Tu as raison c’est une excellente chose, j’aimerai avoir autant de courage que toi…”
– “Alors ais en ! Je te plais, tu me plais, on a dix minutes à nous, pour nous ! Tu veux les gouter mes boules ou pas ?” me glissa-t-il en se rapprochant de moi pour chuchoter.Ses mots font l’effet d’un détonateur en moi, comme si mon esprit avait juste eu besoin de les entendre pour réagir, comme si au fond de moi cette envie d’aventure avait toujours été là… Instantanément, ma timidité me quitte et je deviens l’amant qu’il veut avoir. Sûr de moi, j’enchaine :– “10 minutes ? C’est court mais j’ai le temps de te vider comme tu l’as jamais été… Fais gaffe tu pourrais ne pas pouvoir retourner bosser après… Alors, on fait ça où ?”
Il regarde derrière moi avec un grand sourire… – “Le vestiaire. On y sera tranquille seulement… Il faut être discret, les clients peuvent facilement nous entendre… A moins que t’aies une meilleure option en 10 minutes ? Mais c’est du temps en moins pour prendre ton pied…”Il ouvre la porte de service et ni une ni deux j’entre dans la petite salle de la boulangerie, tel un ninja, pour que personne d’autre ne me voit. Je commence à bander, ça serait gênant qu’une petite mamie me voit comme ça… J’enlève la guitare de mon épaule, puis mon sac, et nous commençons à nous déshabiller. Il ferme la porte, me regarde avec un air sournois et ne la ferme pas à clef… Il veut nous mettre en danger… Pendant que je matte ses fesses et continue de me déshabiller, je lui récapitule la situation :– “Ok donc on a moins de 8 minutes pour bander, prendre notre pied et se faire jouir, le tout sans un bruit pour ne pas alerter les clients et ton collègue qui peuvent rentrer quand bon leur semble c’est ça ?”
– “Presque, compte une minute pour te rhabiller… T’as 7 minutes… Et ne la joue pas timide, je vois déjà que tu bandes à mort… Enlève ça de la liste !”Je ne sais absolument pas ce qui me prend… Faire l’amour avec un parfait inconnu, aussi séduisant soit-il, en vitesse éclair, dans un vestiaire d’une boulangerie en devant faire taire mes cris pour ne pas alerter des gens qui pourraient nous surprendre à tout moment… Ça ne me ressemble pas du tout, mais alors pas du tout… Pourtant j’ai une de ses triques ! Du jamais vu.Il est nu avant moi, bien-sûr il triche, il avait bien moins de vêtements. Alors que j’enlève mon T-Shirt je sens une douce chaleur sur mon gland. Il est déjà entrain de me sucer et de jouer avec sa langue. Je regarde l’horloge de la salle… Je lui donne trente secondes pour me faire du bien, après c’est mon tour. Alors qu’il suce avec talent mon sexe, je me laisse aller au plaisir… 5… 4… 3… 2… Je le saisis par la gorge, le relève, l’embrasse et me mets à genoux pour à mon tour lui offrir une petite gourmandise. Je prends son sexe en bouche et pendant que je me déchaîne sur celui-ci, Val s’accroche aux casiers des deux côtés. Il a l’air d’aimer ça… Alors qu’il me regarde entrain de lui sucer la bite, je tourne mon regard vers l’horloge… 6 minutes… Je me relève pour l’embrasser de nouveau mais il rigole, me retourne de ses bras d’acier et me penche contre son casier, que je me serais ramassé en plein nez si on avait été deux centimètres plus proche… Je me relève un peu pour prendre appui et je sens son sexe s’enfoncer en moi, lentement. Je regarde de nouveau l’horloge et lui lance instinctivement…– “Dis donc… Tu traines là, l’heure tourne…”Alors qu’il se lance dans des coups de bassin endiablés, j’ai de plus en plus de mal à regarder l’heure tourner et à garder le silence… Ma main parcourt son corps, puis le mien et je viens doucement me branler pour prendre encore plus de plaisir. Je parviens à regarder l’horloge… Trois minutes. Je l’arrête et lui fais comprendre que comme notre petite session fellation, c’est à mon tour de m’occuper de lui. Il se cale sur une petite table, je le pénètre à mon tour et commence à me laisser porter par un plaisir immense tout en le branlant, sans même me soucier de l’horloge. Soudain, nous entendons des bruits de pas… Ils se dirigent vers nous ! Val se relève et me tire avec force contre le mur derrière la porte, une seconde avant que celle-ci ne s’ouvre. Nous nous retrouvons collés l’un contre l’autre, face à face, entre la porte et le mur. Heureusement qu’elle ne s’ouvre pas plus… Alors que mon cœur bat à mille à l’heure dans un mélange de stress et d’excitation, je sens mon sexe s’agiter et le plaisir revenir. Val est entrain de branler ma verge contre la sienne et de son autre main, s’occupe en même temps de nos deux bourses. La porte toujours ouverte, nous entendons son collègue :– “Oui de suite Madame Gracia j’arrive ! J’ai entendu un bruit je croyais que quelque chose était tombé dans le vestiaire, j’arrive !”La porte se referme, dévoilant l’horloge… Une minute 40…– “40 secondes Val…”
– “Ça suffira… Branle nous aussi, prends nos verges aussi viens… Branle nous vas-y…”En me mordant la lèvre je saisis moi aussi nos sexes. A l’unissons, nos mains sont maintenant entrain de nous branler, gland contre gland. Je l’embrasse et le mouvement s’accélère. Je recule la tête d’une secousse et fixe mon regard sur nos bites. Le plaisir est intense, j’essaie de tenir le plus possible mais Val se met lui aussi à regarder cet endroit et commence à respirer difficilement. A mon tour, je sens le plaisir monter et j’ai du mal à me retenir de cracher. Soudain, je sens la chaleur de son sperme inonder mon gland. La tentation est trop forte, mon regard se pose sur son visage, dont les yeux sont fermés et la bouche grande ouverte, laissant échapper des expiration de plaisir. Je baisse de nouveau les yeux et voir son sperme recouvrir mon gland a raison de moi. A mon tour, je décharge mon plaisir et éjacule avec une telle puissante que je m’en mets sur le menton. Alors que je continue à branler nos bites, un cri de plaisir sort soudain de ma bouche. La main de Val vient me l’étouffer de justesse. Nos mouvements ralentissent, notre sperme inonde nos mains et je regarde l’horloge. Il reste 40 secondes… Val me regarde, rigole et vient lécher le sperme que j’ai sur le menton avant de m’embrasser et de libérer son étreinte.A une vitesse record nous nous lavons les mains et les sexes au petit lavabo, et nous nous rhabillons. Il enfile son tablier et je finis de me préparer en lançant ma guitare sur l’épaule. Il ouvre la porte du vestiaire, jette un furtif regard à l’extérieur et me fait signe de me diriger vers l’arrière. Sur mes talons, il s’arrête à la porte de derrière… Je me retourne et lui lance :– “La monnaie de tout à l’heure, t’as intérêt à m’offrir un café avec Val…”
– “Je t’offrirai plus t’inquiète… Puis soyons honnête, c’était génial mais…”
– “On est d’accord… J’ai pas eu l’occasion de goûter ses fameuses boules. C’est incomplet…”
– “Exactement… Sors ton téléphone.”Je sors mon téléphone et nous échangeons nos numéros. Il m’embrasse, se retourne, saisit la poignée de la porte de service et tout en me faisant un clin d’œil, la referme. Dès l’instant où je me retrouve seul, un sentiment de panique s’empare de moi, comme si tout le stress et l’angoisse que je devais normalement ressentir depuis les 10 dernières minutes tombaient soudain sur mes épaules. Raide comme un piquet (et je parle de mon corps, plus de mon sexe…) je tourne les talons et marche au pas de course vers le studio… J’entre, m’installe et étrangement… Me sens incroyablement inspiré… D’une main je saisis le manche de ma guitare et commence à branler les… A gratter les cordes… Je ne sais pas ce que nous réserve le futur Val, mais j’ai hâte de le découvrir… La musique m’enivre et je me perds en elle… Soudain, derrière la vitre de la régie apparait un homme d’une classe prodigieuse. Il se met à me fixer, les bras croisés. Derrière lui une femme porte un support d’écriture… Hi… Hilaya Pro… Productions… Hilaya Music Productions ?! LA Hilaya Music Productions ?!!!!!! Qu’est-ce qu’ils font ici ?! L’homme sourit et discute un peu avec la femme. Il quitte seul la régie… Quelques secondes après, la porte de mon petit studio s’ouvre…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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