Nous étions en week-end, un samedi après midi dans cette charmante chaumière de bord de mer que nous partagions alors.Détendus, devant un feu de cheminée revigorant, et alors que nous n’attendions personne, en cette après-midi froide et ventée de décembre, Catherine et moi étions plongés dans la lecture d’un bon livre (Catherine, un essai sur la condition des femmes intitulé « saintes pouliches » et moi-même un roman historique « le banquet » après un excellent déjeuner et une petite gâterie réciproque (match nul : une léchette et une pipe).Soudain, nous entendîmes des pas manifestement féminins qui martelaient le bitume de l’allée et le lourd marteau de la porte frappa contre le chêne.Catherine leva les yeux. Nos regards se croisèrent, l’un interrogant l’autre. Nous n’attendions personne.Cette inconnue était à notre porte et en soupirant, Catherine se leva pour aller ouvrir.Je continuais ma lecture, entendant sans comprendre une discussion dans le hall lointain. Ouf, ne n’est pas pour moi me disais-je, satisfait de conserver ma tranquillité.Alors que je me disais qu’il devait s’agir d’une amie de Catherine, voire d’une voisine, je vis entrer dans le salon une superbe femme d’environ 35 ans, blonde aux cheveux mi-longs, vêtue d’un tailleur bleu marine assez court et ma foi d’une allure fort plaisante et même sexy. Je remarquais également ses escarpins noirs aux talons fins et, chose devenue très rare, des bas à couture, du mois le supposais-je.Catherine la suivais avec un sourire aux lèvres, s’amusant de ma surprise.— Entrez, asseyez-vous, disait-elle à cette intruse, Chris, je te présente Colette, qui est représentante et qui va nous faire une petite démonstration de ses articles; si tu veux bien…Bien que mis devant le fait accompli par ces deux femmes qui s’appelaient déjà par leur prénom, mais ne pouvant me montrer impoli maintenant que l’intruse à notre intimité était là et me regardait, souriante, je répondis à Catherine.— Bon euh , bien sur, je vous laisse, pensant ne pas être concerné, qu’il s’agissait de matériels domestiques ou que sais-je.— Mais, si reste, me dit Catherine, avec une œillade que je connaissais bien et qui annonçait le plus souvent de bien excitantes délices.— Oui, vous ne nous dérangez pas, au contraire, crut bon de renchérir Colette, qui croisant les jambes, me fait découvrir qu’elle portait effectivement des bas avec une large lisière de dentelle.— Alors ? demanda Catherine qui vint s’asseoir à côté de Colette sur le grand canapé de cuir crème. Montrez-moi ce que vous avez de plus joli.Colette ouvrit sa valise de démonstration et je vis apparaître, dans des compartiments internes, une masse de couleurs froufroutantes, devinant qu’il s’agissait de dessous féminins, et semblait-il de la très jolie lingerie fine.Prenant un catalogue des mains de Colette, Catherine se mit à le parcourir et rapidement s’arrêta sur un modèle string soutien-gorge assorti, en dentelle bleu pale, très ajouré et adorablement sexy.Je matais du coin de l’œil, ma concentration à la lecture commençant à s’atténuer— Avez-vous ce modèle Colette ?— Ho quelle chance vous avez, Catherine, oui je l’ai ; tenez, le voilà, dit-elle. Et à vos mesures en plus je crois bien. Vous pouvez l’essayer bien sur…Catherine prit le soutien-gorge et la culotte, caressa la dentelle. Ho oui, çà me plait. Et aussitôt Catherine retira son pull léger et son soutien-gorge puis dégrafa sa jupe et regardant Colette, qui regardait ce rapide déshabillage, retira aussi son slip brésilien.Catherine était nue devant nous. Je regardais un peu éberlué par la situation… Catherine, pas spécialement exhibitionniste qui se mettait nue, comme çà, apparemment naturelle, devant une vendeuse de lingerie assise dans notre salon.Elle enfila la jolie culotte de dentelle bleue et le soutien-gorge à effet wonderbra. Cà lui allait comme un gant si j’ose dire. Elle était absolument craquant.Colette, se levant de son siège, retira sa veste de tailleur, et commença à dégrafer son chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge à balconnet blanc.Les yeux tournés vers moi vers moi, elle continua ce déshabillage et défis la fermeture éclaire de sa jupe, laquelle tomba à ses pieds, dévoilant de jolies jambes gainées de bas couture, des vrais bas à l’ancienne, retenus par un porte-jarretelles rouge et un mini-slip blanc assorti.— Voilà ce que cela donne, dit elle en regardant vers Catherine et se tournant sur elle-même.Catherine appréciait visiblement et les dessous portés par Colette et la situation. Elle s’amusait visiblement de ma gène et de mon excitation, à en juger par le regard appuyé et légèrement moqueur sur ma braguette.— Qu’en penses-tu chéri me demanda-t-elle. Quelle parure tu préfères ? La bleue pale sur moi ou la blanche sur Colette ?Je regardais l’une et l’autre. J’avoue que Colette avec ses bas et jarretelles m’excitait terriblement.— Euh, eh bien, c’est pas facile de choisir. En fait, je dirais les deux, m’avançais-je diplomatiquement.— Tu veux que j’achète les deux ? profita immédiatement Catherine, s’approchant de moi.— Tiens touche la dentelle. Tu sens comme c’est agréable. J’avançais la main sur les seins de Catherine, frôlant le tissu du soutien-gorge, un peu à la façon de Tartuffe avec Elmire. Alors, tu aimes ?— Oui c’est très joli et euh excitant aussi..— Ah, oui ?— Ecoute, tu crois pas que je peux rester indifférent devant deux femmes comme çà en dessous coquins devant moi, dans mon salon ?— Vous entendez çà Colette ?Colette, souriant de l’évolution de la situation, s’approcha aussi de moi. Tenez Chris, touchez aussi la dentelle de mon soutien-gorge. C’est un tissu très agréable. Très confortable à porter et ravissant non. En tous cas j’en vends beaucoup car çà plait à ces messieurs.— Ho dit Catherine, je vois bien que ça lui plait à ce coquin, dit Catherine, posant sa main sur ma braguette. Regardez Colette, il bande à nous regarder.Colette retourna s’asseoir sur la canapé en face tandis que Catherine se lassa tomber sur le sofa où j’étais assis, et posant sa main sur mon pantalon, entreprit de me déboutonner devant Colette.— Oh, mon chéri, tu dois être très serré comme çà. Je vais te mettre à l’aise. Vous voulez bien Colette ?— Hoo mais vous êtes chez-vous, dit-elle en me regardant, ses yeux brillants d’excitation.Pendant ce temps, parfaitement conscient d’être le jouet de ces dames, je me laissais faire et Catherine, devant l’œil intéressé de Colette, ne tarda pas à sortir ma queue dure et ferme, bien tendue, avec le gland s’échappant du slip pour contenir cette bandaison.Elle commença aussitôt à me masturber, me branler devant cette femme, qui matait la main de ma copine sur mon sexe fier.— Hum, vous avez vu Colette comme nos dessous lui plaisent ?— Oh oui, Catherine, dit-elle glissant sa main entre ses cuisses. Je regardais cette main, percevant le bruit délicieux fait par ses ongles sur la dentelle de son slip.Catherine, penchée sur moi commençait une douce fellation. Je vis Colette écarter sa culotte et m’offrir la vision de sa chatte épilée. Elle ouvrait ses lèvres intimes d’un doigt et d’un autre, touchait son clitoris.Elle regardait Catherine me sucer tout en se caressant de plus en plus franchement.Après quelques coups de langue, Catherine releva la tête, voyant elle aussi la main de Colette dans sa culotte, et je l’entendis lui demander..— Dites, Colette voulez-vous y goûter ?— Je n’en croyais pas mes oreilles, entendant Catherine offrir ma queue à cette coquine en dessous sexy et en bas jarretelles qui se branlait sur mon canapé.Mais précisément, cette coquine n’attendait que cela car aussitôt elle fut debout et vint s’agenouiller devant moi, sa main remontant sur ma cuisse. Catherine lui tendit ma bite et Colette, visiblement ravie, la prit entre ses doigts, approchant sa bouche.Elle goba ma queue délicatement et commença à m’aspirer et me pomper comme une affamée. Catherine regardait en souriant cette gourmande et bientôt, elles se partagèrent mon engin qui allait de bouche en bouche.Soudain, je m’aperçus que Colette avait glissé une main entre les seins de Catherine et, baissant les bonnets du soutien-gorge, les caressait et les excitait, au grand bonheur de Catherine qui adore cela.Tandis que Catherine reprenait la maîtrise de la fellation, Colette se releva et vint derrière Catherine, à genoux sur le sofa, pour lui caresser les cuisses et les fesses.Elle appréciant manifestement la bouche de Colette et tendait son postérieur ouvrant bien ses cuisses, continuant de me sucer divinement.Catherine le leva après un moment, et nous quitta, Colette se retourna vers moi pour se remettre ma queue dans la bouche, alors que Catherine revenait rapidement, avec à la main un vibromasseur.Elle se mit à son tour derrière Colette, lui retira sa culotte de dentelle blanche et entreprit de lui passer son engin vibrant entre les cuisses, sur la chatte, sur ses fesses. Calotte se trémoussait de plaisir en avalant ma queue au plus profond de sa gorge.Après quelques minutes, les femmes changèrent de position, et se mirent en 69. Je voyais les fesses de Colette à côté de moi et par dessous la tête de Catherine qui léchait la chatte de la coquine, tout en lui promenant le vibro sur la raie des fesses.Je me masturbais en regardant ce spectacle excitant alors que j’entendais les bruits de succion que faisait Colette qui dévorait la chatte de ma copine.Les deux coquines ne tardèrent pas à jouir ainsi.Elle s’allongèrent ensuite sur le sofa, face à moi, et Catherine me dit, allez Chris, viens baise nous maintenant, chacune notre tour. Fais nous bien sentir ta queue entre nos cuisses.Je commençais par Colette qui appréciait beaucoup de se faire enfiler ainsi, gémissant de plaisir.— Ho, elle est bonne la queue de ton copain Catherine tu sais. C’est gentil de me la prêter comme çà … Oh oui, vas y- défonce moi Chris, j’aime çà, une grosse queue entre les cuisses.. Bourre-moi a fond oui c’est bon…Puis ce fuit le tour de Catherine, et encore Colette. J’alternais dans leur chatte, mélangeant leur jus sur ma queue.Les cochonnes jouirent une nouvelle fois de ce traitement.— Dis Catherine, j’ai envie de me faire sodomiser par Chris, tu veux bien ? demanda Colette. J’ai envie de sa grosse bite dans mon cul.— Mais bien sur répondit-elle. Chris, tu veux bien enculer Colette ?Je ne pris pas la peine de répondre à une telle invitation, et selon le proverbe « qui ne dit mot, consent », Colette comprit qu’elle pouvait se mettre en bonne position pour se faire prendre par derrière.A quatre pattes sur le sofa, ses fesses relevées, qu’elle écartait de ses mains, elle attendait l’intromission culière, tandis que Catherine salivait sur ma queue pour faciliter l’introduction.Impatiente, elle attendait tout en se touchant la chatte, passant un doigt enduit de cyprine sur son anus.— Ohh, vite, dépêchez-vous j’ai envie… je ne la fis pas attendre plus longtemps et je présentais mon gland sur son œillet palpitant. Je fus étonné de rentrer facilement et je ne tardais pas à la besogner avec ardeur, alors que Catherine se glissait tête-bêche entre les cuisses de Colette.Tandis que j’enculais Colette vigoureusement, et je puis dire qu’elle appréciait, je sentais tantôt le vibromasseur de Catherine qui vibrait sur la chatte de Colette, sur mes couilles, dans la raie de mon cul, tantôt sa bouche et sa langue qui lapaient les nymphes excitées de Colette ou gobaient mes couilles, tantôt ses doigts sur mes fesses ou dans le con de Colette. Bref, la coquine exacerbait les sensations de la sodomie, par ses attouchements et agaceries cochonnes.— Hoo oui, je la sens bien dans mon cul, gémissait-elle, que c’est bon.. Encore, Chris ohh oui, je sens bien ta queue…Excité par le vice de ces deux cochonnes, j’accélérai mes coups de queue dans le fondement accueillant de Colette, sentant le plaisir monter.J’éjaculai bientôt en de généreux jets de foutre épais sur l’anus ouvert et la chatte de Colette, à laquelle buvait goulûment Catherine, jouissant elle aussi avec ses doigts.Après une brève récupération, nous nous retrouvâmes dans la salle de bain. Je m’allongeais, nu dans la baignoire et les deux femmes vinrent debout sur moi, cuisses écartées, l’une face à l’autre et summum de la volupté de cet après-midi délicieusement perverse, commencèrent à uriner sur mon ventre, ma queue, ma poitrine.Je recevais leur jet doré et me masturbant, ce qu’elles regardaient avec gourmandise. Elle se touchaient elles aussi, suprêmement excitées par la perversité de cette miction naturelle. Je me fis jouir ainsi une seconde fois.Après une douche réparatrice de nos excès érotiques, Colette accepta un thé, et après avoir noté notre commande, nous quitta, fort satisfaite d’avoir vendu la parure bleue et la parure blanche, et surtout en plus du chèque avoir reçu un paiement en nature de cette qualité.— Voilà comment j’aime les représentantes… disais-je à Catherine avant de rajouter du bois dans la cheminée et reprendre ma lecture.Chris