La sage Pénélope découvre qu’une envie l’aide à jouir
Seule, après avoir été une épouse frigide, Penny apprend par hasard qu’il existerait une méthode inattendue mais accessible à toutes pour ressentir monter un plaisir du ventre.
De quoi changer sa vie et sa situation.
Proposée le 6/01/2019 par spiroutic Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
Pénélope, ou Penny, un an de mariage puis trois de solitude, repense à la médiocrité de leur courte vie sexuelle passée.
A ce moment dans le couloir du bureau, cinq mètres derrière elle, certaines bribes de conversation à mi-voix entre collègues filles retiennent son attention. Elles font allusion à un possible plaisir de garder la vessie pleine pendant un rapport amoureux.
Penny est surprise et choquée un instant. Pourtant cette idée osée mais simple aurait-elle pu lui éviter son année de frigidité ?
Trop tard pour le savoir supposse t-elle.*Puis ce vendredi soir en rentrant dans sa maison, elle décide subitement de ne va pas passer aux wc, alors qu’elle a oublié d’utiliser ceux du bureau.Pour ne pas penser à son envie, elle suit trois épisodes d’une série TV captivante puis, sans un regard vers les wc, se couche avec un léger calmant pour arriver à dormir malgré cet inconfort.*Nuit réussie. Elle se réveille à neuf heures, descend immédiatement prendre son petit déjeuner avec jus de fruit en serrant quelque peu les cuisses, puis rallume la tv pour penser à autre chose.
Mais au bout d’une demi-heure elle zappe par erreur sur le canal des films coquins, pendant une scène de levrette. Elle n’avait toléré qu’une fois cette position avec son ex, et abrégé en sentant venir une miction honteuse.
Le souvenir de cette sentation la ramène au présent et, effrayée, elle serre fortement les cuisses sur un tout début de miction. Ce mouvement lui occasionne brièvement une sentation étonnante superposée au frisson de peur.
Une tache minuscule marquant sa culotte, elle préfère l’ôter et conserver sa seule nuisette.
D’ailleurs, avec la pression qu’elle ressent maintenant elle n’aurait peut-être pas le temps de baisser une culotte aux wc.
Au fait, comment cela va t-il se terminer ? Le plaisir annoncé se fait attendre à part ce bref frisson.*Le téléphone sonne : sa mère, qui lui fait oublier sa vessie durant dix minutes, mais la conversation se prolonge. Alors elle se lève pour mieux serrer les cuisses. Elle frissonne à nouveau, serre, et sent maintenant son clito par moments.
Puis la sonnette d’entrée retentit : elle attend un paquet et doit absolument sortir le prendre. Heureusement que le portail plein va masquer ses cuisses, elle met juste une écharpe et parcourt l’allée empierrée.Aussitôt le livreur parti, un énorme frisson la prend. Elle doit courir aux wc en serrant, mais la sensation agréable revient fortement lui donnant envie de s’arrêter pour en profiter encore.
Elle commence à gémir et un signal d’alarme retentit dans son cerveau : son sphincter est ouvert, elle va pisser dans deux secondes, elle crie et a juste le temps d’écarter les cuisses.
Le liquide sort, d’abord en désordre puis dans un gros jet de pisse bien dru et sifflant.
-« Ooooh, ooh, quel bonheur »
La relaxation monte dans tout son corps, la comble de joie. Derrière les arbres elle ne croit pas être vue, et de toute façon s’en fiche pour l’instant.
Elle repense à son clito et l’astique vivement. Un plaisir monte, encore jamais atteint : voila ce qu’est un orgasme !
Et le déluge continue, modulé par ses vibrations de plaisir. Elle s’essouffle sous les assauts de extase et risque tomber.
Dix autres secondes plus tard son jet se tarit la laissant solitaire et grelottante au milieu d’un lac de pisse couvrant la moitié de l’allée.
Maintenant elle peut courir, et après un coup de serviette sur le postérieur se jette sur le lit pour graver ce moment dans sa mémoire en se rendormant.* Pendant ce temps, un honnête réparateur de fibre optique a cessé de travailler. Perché à cinq mètres de haut sur son échelle contre la clôture, il se remémore encore la scène torride qui vient de lui être offerte. Il cherche un prétexte pour rencontrer Penny et peut-être revoir un jour ses cuisses gracieuses puis encore entendre son petit sifflet.
… ***Les semaines suivantes, le hasard amène Penny à croiser plusieurs fois un garçon charmant et dévoué.
– Je m’appelle Penny pour Pénélope.
– Moi c’est Jo pour Jason.
– Presque une rencontre mythologique. Donc sous de bons auspices.Se sentant plus sûre d’elle après son expérimentation solitaire, elle finit par lui suggérer à mots couverts de lui proposer un rendez-vous. Il l’invite timidement à prendre le thé chez lui.***Une petite maison mitoyenne sans étage mais avec sous-sol. Par contre il lui sert deux grandes tasses de vrai Darjeeling.
– Vous êtes gentil.
– On se tutoie.
Elle aperçoit son petit lit à une seule place et s’y asseoit, les yeux implorants. Il la rejoint et l’embrasse dans le décolleté. Elle va s’abandonner en confiance et attend qu’il la déshabille, mais il lui propose une robe de chambre et une nuisette.
Donc il n’aimerait pas lui descendre le pantalon avec lequel elle est sortie du bureau. Elle l’admet et pendant qu’il se retourne en vrai gentleman elle enlève tout comme chez le docteur et passe la nuisette puis enlace le garçon.
– Heu, plutôt que ce lit étroit, j’ai improvisé un grand matelas au garage. J’ai commandé des draps mais je n’avais pas le temps d’attendre un livreur de matelas.
Ils sont dans l’escalier et :
– Voici la porte des toilettes mais, désolé, j’ai mis de la Javel alors il vaudrait mieux s’en passer une heure ou deux.
Quelle organisation ! Encore des marches puis voici son garage, vide à l’exception de l’aire de jeux pour amants fougueux.- J’ai entassé des plaques de fibres isolantes pour batiment puis couvert avec bâche et drap.
Tous deux bien assis là dessus, il lui enlève enfin la robe de chambre puis la couvre de bisous du front au ventre.
– Je vais te réchauffer.
Elle soulève un peu sa nuisette et il enfonce son nez entre les cuisses.
– Mmm femme femme femme…
Calins et suçage de tétons, puis il suggère :
– Tendresse et coquineries ?
Il ébauche timidement le geste de la positionner.
Elle comprend qu’il souhaite une levrette sans oser le formuler et comme elle est venue pour s’offrir, elle se met nue puis lève le postérieur. Dix secondes de pénétration et son ancienne angoisse au sujet de cette position recommence:
– Hééé aller faire pipi d’abord !
– Détends toi, tu vas surmonter ton inquiétude. Et quoi qu’il arrive tout est prévu.Sa vessie qui se remplit depuis midi, notamment avec ce thé, subit des secousses devenant par moments aussi agréables qu’inquiétantes, elle sent venir l’orgasme déja ressenti derrière son portail. Vagin et urètre s’associent dans une frénésie de plaisir.
– Aarg! une brève giclée lui échappe puis l’orgasme la submerge.*Deux minutes après, tout est encore en place contre elle et en elle, mais Jo s’est arrêté
– Merveilleux dit-il.
Elle se débranche du pénis et note l’odeur de sueur mais pas celle du sperme.
Son besoin le plus naturel est maintenant irrésistible. Elle se lève en croisant les cuisses
– Pipiii !
– ICI !
il lui plaque le torse sur le drap et lui pousse les fesses : Encore une levrette au programme. Elle s’exécute puis frissonne car son sphincter est en train de défaillir. Alors tant qu’à être obscène allons-y carrémént : elle se cambre comme jamais, envoie son cul au ciel pendant que son urètre démarre, et en plus elle force sa vessie !
Elle entend le choc du liquide qui retombe derrière, assez loin, se représente le spectacle offert au mâle et en émet un éclat de rire, puis prend son plaisir en se vidant.
Pour ce mâle c’est là la quintessence de la femelle, il émet un rugissement étranglé, approche son oreille du sifflement, embrasse l’arrière-train souillé, et enfourche Penny, pénis très raide.
Il la besogne sauvagement, ce qui fait osciller son jet de pisse.
Une situation à laquelle même un saint ne pourrait résister, il éjacule donc quatre longues saccades puis le couple s’effonfre dans la mare honteuse.
Penny est satisfaite de sentir l’odeur du sperme, qui lui manquait depuis longtemps.
Mais après dix secondes, Jo encore essouflé, commande :
– Encore !Elle se remet en position et Jo arrive à insérer son membre partiellement ramolli puis s’immobilise, bas-ventre pressé contre cul. Il frissonne.
– Tu as froid.
– Chut ! Il se concentre, puis tremble carrément.
– C’est beau une envie, je t’avais vue…
Elle essaie de comprendre, puis son vagin ressent une chaleur soudaine et déborde avec une autre odeur de pisse.
Oh le cochon ! Mais c’est elle la responsable de s’être offerte. D’ailleurs elle vient de faire la même chose en souillant son amant. Alors elle râle par principe mais laisse libre cours à son instinct de femelle complaisante. L’odeur la choque mais la fascine dans cette circonstance. Elle balance le cul.
Jo se met à coulisser frénétiquement dans son urine personnelle pendant trois minutes puis envoie une ultime petite éjaculation ou giclée, ils ne savent plus, et sécroule, comblé.
Il a juste le temps de placer une grande bouteille d’eau dans la main de son amante.
Elle a envie de se rincer le corps avec puis devine que… et avale tout puis se blottit contre son homme humide.*Deux ou trois heures après elle s’eveille grelottante, le froid lui donne encore très envie de pisser. Alors elle réveille Jo d’une paire de claques, se tourne tête-bêche, lève les pieds et, genoux contre les seins, pisse en l’air en s’efforçant d’inonder son propre corps en guise de rinçage.
Jo en reste hypnotisé pendant trois minutes puis lui montre un petit robinet au fond de ce garage.***D’autres rendez-vous avec Jo s’échelonnent les semaines suivantes, qui en comparaison paraitraient presque chastes.
Penny sait désormais jouir sans torturer sa vessie. En cas de baisse de régime il lui suffit d’évoquer leurs premiers souvenirs clapotants.
Jo est désormais heureux d’éjaculer dans sa bien-aimée toute propre, chez elle dans ce qui avait été sa chambre de jeune fille. C’est pour cela que uand elle s’éveille après l’amour il lui murmure comme ça :
– Mademoiselle est heureuse ?
puis il lui tend un petit pot de chambre.
– Mademoiselle daignerait-elle m’offrir un petit cadeau ?
Et chaque fois elle s’accroupit sur le lit et pisse quelques secondes dans ce récipient, en toute tendresse.
Jo qui n’a pas cotoyé de filles dans son enfance et au delà pense :
» Voila donc la douceur de l’univers féminin « ***Un matin où elle soupçonnait un début d’ennui dans la tête de Jo, reprenant le ton du jeu de rôle Maitre à Valet, elle déclâme :
– Firmin, j’aurai besoin d’un lavement demain, dans la véranda.
Il y passe voir et comprend vite le but du matériel qu’elle y a préparé :
Grande natte au sol, serviettes, bidons d’eau, bouteilles de thé froid et de jus de fruit, et même un poster osé représentant un chien arrosant une culotte tombée.
Au repas il accumule les boissons mais se retient facilement jusqu’au matin.
Après avoir réussi à dormir, il exhibe une érection matinale avec un cri de rage et poursuit Penny enjouée jusque dans la véranda, où elle fait mine de trébucher sur la natte, pour y tomber à qhatre pattes.
Le joli postérieur est vite pénétré pendant la derniere seconde d’érection matinale et calé contre le bas-ventre du partenaire qui, maintenant dominé par une autre envie, peut enfin oublier son sphincter et soulager longuement son ventre en assouvissant son fantasme.
Quant à la jolie fente humiliée par les gargouillis du vagin débordant, elle finit par émettre son propre chant, un centimètre plus bas.***Il faut bien que Jo travaille. Un jour il dit qu’il sera avec elle par la pensée si elle promet de rejouer sa scène d’incontinence à dix heures sur son allée.
A 9h 55 elle envoie par SMS : » C’est pressant! »
– » Tu as promis pour 10 h, tout arrivera au bon moment »
Elle serre les cuisses pour tenir sa promesse et ressentir bientôt un plaisir accru.
La sonnette retentit, le facteur apporte un petit paquet en recommandé. Elle signe en se montrant le moins possible. Puis elle se campe à l’endroit convenu car il est 9h 58 et son bas-ventre atteint sa limite de résistance.Cela ne l’empêche pas d’ouvrir le paquet : Un joli bracelet d’argent.
» Oh merveilleux Jo ! »
Elle le passe au poignet et envoie sa nuisette sur un buisson, se couche vite sur l’allée, envoie les pieds vers le ciel, saisit ses genoux, et tout en admirant le bracelet, peut enfin pisser en l’air, faisant retomber son jet entre ses fesses.*10h pile, contre la clôture : Jo qui s’est arrangé avec ses collègues pour emprunter la grande échelle, sans avertir Penny, peut cette fois jouir sans honte d’un spectacle sublime.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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