La Silhouette 2
Voici le recit de ma première rencontre avec Julien, alias DomJul.
Proposée le 19/10/2016 par Mélissa2 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Cela fait des mois que je vous dois la suite de mon rĂ©cit. J’ai dĂ©mĂ©nagĂ©, mon ordinateur Ă plantĂ© et j’ai perdu tous mes identifiants et mots de passe. Du coup je me suis crĂ©Ă© un nouveau profil. Mon premier pseudo : MĂ©lissa, mon premier rĂ©cit : La Silhouette. En voici la suite.Julien (DomJul) et moi avons tchatĂ© pendant quelques semaines, nous parlions Ă peu près de tout. Enfin je parlais. Lui ne se confiait pas beaucoup. Je sais qu’il travaille dans un garage, qu’il n’a plus de contact avec sa famille, qu’il habite dans une ville pas loin de la mienne, qu’il est cĂ©libataire, enfin pas du genre Ă se poser ….
De mon cĂ´tĂ© je trouve facile de me confier Ă un inconnu, n’ayant pas beaucoup, voir pas du tout d’amis. C’est pratiquement devenu une addiction.
On parle de la pluie, du beau temps, le travail etc ….Nous sommes un samedi, je ne travaille pas du week end et flemmarde au lit. J’ai encore fais ce rĂŞve. Encore dans les nuages je sens encore LA silhouette contre moi. Ses mains sur mes seins, mon ventre, mon sexe …. Je commence Ă l’apprĂ©cier ce rĂŞve, mais il n’aboutit jamais.
Je me lève, prends mon cafĂ©, me douche et m’habille. Puis fonce sur l’ordinateur en espĂ©rant que Julien soit connectĂ©.
Il ne l’est pas, mais j’ai tout de mĂŞme un message de sa part. DomJul : Coucou ma p’tite ! Écoute, je ne serais pas co ce matin, tu peux me joindre par tĂ©lĂ©phone si tu veux, j’ai quelque chose Ă te proposer. Je frĂ©mis toujours quand il m’appelle comme ça. Sous le message, son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone.
Pourquoi cela me rend si nerveuse ? C’est quoi cette proposition ? Je prend mon tĂ©lĂ©phone et tape les 10 chiffres. J’hĂ©site Ă lancer l’appel. Mais la curiositĂ© est la plus forte. J’appuie sur le bouton « appeller ».Ça sonne …. Ça sonne … Ça sonne … et mon coeur qui va sortir de ma poitrine …. Putain pourquoi je suis si nerveuse ?!Julien : Allo ?(Oh mon dieu sa voix !)Moi : Coucou !(Pfffffff)Julien : MĂ©lissa ? (Oh la la il a dit mon prĂ©nom ….)Moi : Oui c’est moi.(Mais n’importe quoi, tu peux pas engager la conversation ?!)Julien rit (et quel rire ! Je me sens rougir !) : HĂ© ben alors tu fais ta timide ? Comment vas tu ?Moi : Euuuuuh …. ça va bien merci, et toi ? Il rit Ă nouveau. Super … il doit vraiment me prendre pour une gourde. Julien : Super merci ! Je suis vraiment content que tu m’appelles. Tu m’as dit hier que tu avais ton week-end. Moi aussi en fin de compte, je fini Ă 14h. Se serait sympa qu’on se voit non ?Coup de massue …. Je ne m’attendais pas à ça …. Je bloque. Lui : MĂ©lissa ? Si tu veux pas je comprendrais ….Je me rĂ©veille. Moi : Pardon ! Si si bien sur que je veux ! Tu as raison se serait super sympa !Mais qu’est ce qu’il me prends ? On discute depuis un moment, je devrais pas rĂ©agir comme ça … C’est pas moi ! J’ai l’impression de redevenir la gamine pas sĂ»re de soit que j’ai Ă©tĂ©. ..Lui : GĂ©nial ! Tu veux faire quoi ? On sort ? Chez moi ? Chez toi ? Chez moi ?! Hors de question ! Il va partir en courant en voyant mon appartement, tout rangĂ© au carrĂ© etc …. Et j’ai pas trop les moyens pour sortir …. Moi : Chez toi ? Lui : Oui super, tu veux que je vienne te chercher ?Moi : Euh, non merci. Tu m’envoie ton adresse ?Lui : Oui pas de soucis. Pour 18h chez moi ?Moi : Oui parfait.Lui : GĂ©nial ! Il faut que je file j’ai encore un peu de travail. Je suis vraiment content que tu es acceptĂ©. A toute Ă l’heure ma p’tite. Je raccroche sans mĂŞme le saluer …. « Ma p’tite » …. Je crois que je vais dĂ©faillir …. Et sa voix …. son rire …. Raaaaaah !!! Il faut que je me calme ! Je m’allonge sur mon lit et regarde le plafond. J’essaye de faire le vide dans ma tĂŞte, ça bouillonne de trop. « Ding »
Un SMS.
« VoilĂ mon adresse. J’ai hâte de te rencontrer ! Julien »Je ne rĂ©ponds pas. J’ai les mains qui tremblent encore. Je regarde l’heure. 10h ….
J’ai une illumination … Que vais je mettre ce soir ? Je n’ai que mes bons vieux jeans dĂ©lavĂ©s, des hauts sans formes, rien de très Ă©lĂ©gant et fĂ©minin …. Mais pourquoi je pense à ça ? Je vais voir un ami, je ne vais pas Ă un rendez vous galant. Pendant que mon esprit divague, je m’endors doucement. « Je suis allongĂ©e sur un lit, nue, du moins c’est se que je suppose, je ne vois rien. Quelque chose me recouvre les yeux. J’ai les mains liĂ©es ensemble, attachĂ©es Ă la tĂŞte de lit. J’entends des pas, un souffle rauque. Quelque chose me touche la cheville, remonte sur mon mollet, ma cuisse. C’est doux, comme une plume. Je la sens maintenant sur mon ventre, mes seins, mon cou …. Je sens que quelqun s’assoit sur le lit Ă cĂ´tĂ© de moi. Un main passe dans mes cheveux. Et un souffle chaud s’approche de mon oreille « Coucou ma p’tite. » »J’ouvre les yeux, le coeur Ă 300 Ă l’heure. C’Ă©tait sa voix … La voix de Julien …. Je frotte le visage de mes deux mains. Il faut vraiment que j’arrĂŞte, je suis entrain de devenir rĂ©ellement folle. J’ai des fourmis dans le ventre, cette envie irrĂ©pressible de me toucher. Il ne faut pas, je ne dois pas faire ça …. Je ne le connais pas … J’ai honte de vouloir me toucher comme ça pour un « inconnu ». Je regarde l’heure … 15h … Merde ! Il faut que je commence Ă me prĂ©parer, je dois y aller en bus.Je vais prendre une douche, froide cette fois. Histoire de me remettre les idĂ©es en place. Je sèche et lisse mes longs cheveux, risque un peu de maquillage et file Ă ma penderie. Tssssss …. j’ai vraiment rien de « joli » Ă me mettre. J’enfile des sous vĂŞtements noirs, un jean slim noir et une chemise blanche assez lĂ©gère que j’utilise comme par dessus pour le travail. Elle est lĂ©gèrement transparente. D’habitude je met un dĂ©bardeur dessous. J’enfile mes escarpins noirs, ceux du travail aussi. Je me regarde dans le miroir, et bizarrement, je me trouve un peu sexy. Je me souris Ă moi mĂŞme. Je donne Ă manger Ă mon chat, enfile ma veste en cuir, prends mon sac un pack de bières (bah oui je vais pas y aller les mains vides) et sors. Dans les escaliers je croise Daniel, mon patron, il habite en dessous de chez moi, enfin, il me loue son petit appartement. Daniel : HĂ© bien MĂ©lissa ! Tu es toute belle, tu sors ? Je rougis. Moi : Oui Dany, vite fait. Il sourit. Lui : Je suis ravis que tu sortes un peu de ta grotte. Fais attention Ă toi. Je murmure un « oui » et file Ă vitesse grand V. Je dĂ©teste les interrogatoires. Il est 17h30 quand je sors du bus. OK, cool, je suis dĂ©jĂ arrivĂ©e dans la bonne ville. Me reste plus qu’Ă trouver la rue. J’interroge une passante qui me guide. J’arrive dans la rue, punaise c’est un super quartier. De jolies maisons, de beaux jardins … Je m’arrĂŞte devant le numĂ©ro 15. J’y suis …. C’est une jolie maison blanche, un jardinet bien entretenu. Je pose ma main sur la poignĂ©e du portillon. Et la j’ai une boule au ventre … J’hĂ©site ….Ah non hein ! Tu vas pas recommencer !! Je prends un inspiration et m’ engage dans l’allĂ©e. Il y a de la lumière Ă l’Ă©tage. Je sonne. Mon coeur bat Ă toute vitesse. Je regarde mes chaussures. Et si c’Ă©tait un malade ? On entends plein de trucs sur des nanas qui se font agressĂ©es par des mecs rencontrĂ© sur le net. Et si ….. La porte s’ouvre …
Je lève les yeux, et la …. pffffff …. sentiments indescriptibles. J’ai mon coeur qui fait un bond. M’ Ă©lectrise. Je suis face Ă un homme magnifique. Brun, cheveux en bataille, des yeux d’un bleu splendide, un nez, des lèvres, des dents (il me fait un grand sourire) parfaites … Je me sens rougir … La honte …Lui : Salut ! Entre je t’en prie. Je n’arrive pas Ă articuler. J’entre et il referme la porte derrière nous. Lui : Pile Ă l’heure ! Tu as bien trouvĂ© ? Elle est garĂ©e ou ta voiture ?Je lui fait face. Je dois ĂŞtre rouge comme une tomate. Je n’arrive pas Ă le regarder dans les yeux. Je regarde mes mains. Je bafouille.Moi : Euh … Je …. Je suis venue en bus.Lui : Tu es sĂ©rieuse ?! J’aurais put te chercher … Je ne sais pas quoi rĂ©pondre.
Il m’attrape le menton et me fait le regarder.Lui : HĂ© n’est pas peur, je vais pas te manger. Je suis content que tu sois lĂ . Laisse moi te dĂ©barrasser. Il prends le pack de bières en me disant qu’il adore cette marque mais que je n’avais pas besoin de ramener quelque chose. Et me dit de poser mon sac et ma veste sur un fauteuil. Je me sens presque perdu dans son salon, c’est bien plus grand que chez moi. Il me demande se que je veux boire, je lui demande une bière. Il m’invite Ă m’asseoir sur le canapĂ© et il file dans la cuisine. Je peux l’admirer de dos, il a un corps athlĂ©tique, il est grand. VĂŞtu d’une chemise noire et d’un jeans. Je serre mes mains paume contre paume entre mes genoux. Il faut que je me dĂ©tende. Il revient tout sourire, deux bières Ă la main, je rougis encore plus. Lui : Tu es vraiment superbe, je ne te voyais pas comme ça. Oh la la … il veut me faire imploser ou quoi !Moi : M… Merci ! Toi aussi ! Il rit ! Un rire sincère. Je me sens vraiment bĂŞte …. Il me tend ma bière et s’assoit Ă cĂ´tĂ© de moi. On trinque.Lui : A notre rencontre !La bière aidant, je me dĂ©tends peu Ă peu.
On parle de tout et de rien, comme si on s’écrivait sur le tchat, mais en mieux. La je peux admirer son visage, ses expressions. C’est la première fois qu’un garçon me fait un effet pareil. Ses yeux, sa voix, son rire. Lui : Tu veux manger quelque chose ? Je suis pas un grand cuisinier mais j’ai commandé chinois si ça te dit. Moi : Ah oui avec plaisir ! J’adore en plus ! Il m’invite à m’installer sur l’îlot central de la cuisine. Réchauffe les plats, et me propose du vin que j’accepte. J’espère que je ne vais pas regretter de boire autant.
Il vient s’assoir Ă cĂ´tĂ© de moi et on commence Ă manger. Moi : Hummm ! C’est vraiment excellent, il faudra que tu me donne l’adresse du resto.Lui : Je t’y emmène quand tu veux.Je rougis comme un tomate encore une fois. Je prend le verre de vin pour en prendre un bonne gorgĂ©e. Au mĂŞme moment, il tend le bras pour se servir devant lui et nos coudes se percutent. Du vin rouge tombe sur mon chemisier. Lui : Merde, dĂ©solĂ©. Il se lève, me prends par le bras et me tire jusqu’à l’évier.Moi : Non non c’est pas grave, j’en achèterais un autre.Il prend un torchon qu’il humidifie, passe son autre main sous mon chemisier pour tenir le tissu ses doigts frĂ´le mon ventre. Cela me fait un drĂ´le d’effet. Il tente d’effacer la tâche mais au lieu de ça il l’empire. Je l’entends jurer. Moi : C’est pas grave je t’assure …Il se redresse en soupirant. J’ai la tĂŞte qui tourne un peu. Se doit ĂŞtre l’alcool. Je le regarde dans les yeux. Je voudrais qu’il m’embrasse. La maintenant. Comme dans les films vous savez ? Il se penche sur moi, comme si j’avais parlĂ© Ă voix haute. Serre ses doigts autour de mon chemisier qu’il tient toujours et me tire vers lui. Lui : J’ai envie de faire ça depuis longtemps … La main qui tient mon chemisier passe dans mon dos, l’autre main remonte sur mes cheveux qu’il saisit fermement et me tire le visage vers l’arrière. Je ne rĂ©siste pas, j’en suis presque Ă le supplier.Il se rapproche et enfin pose ses lèvres sur les miennes. Je fond littĂ©ralement. Il me maintient fortement contre lui. Je me dĂ©lecte de son baiser, mon premier baiser.
Mes entrailles se tortillent agréablement. Je ne veux pas que ça s’arrête. Je pose mes mains timidement sur ses hanches, il nous fait légèrement pivoter et plaque mes fesses contre le rebord de l’évier. Je remonte mes doigts dans son dos, sous sa chemise, sa peau est douce est chaude, je le serre plus fort contre moi. Il frotte son jeans contre le mien, je sens toute son excitation. Il lâche mes lèvres et descends dans mon coup, je l’entends murmurer mon prénom, le souffle court. Se qui m’excite encore plus. Puis soudain je me souvient de quelque chose. Je le repousse doucement. Lui : Tu n’as pas envie ?Moi : Si, mais …. Il y a un petit détail qu’il faut que tu saches. Lui : Un petit détail ? Moi : Je … Je n’ai jamais …. Je n’arrive pas à finir ma phrase. Lui : Tu es vierge ? Je croise les bras sur ma poitrine, en me disant qu’il va très certainement me mettre dehors. Je regarde mes pieds.
Il se rapproche, me saisit le menton pour me faire le regarder, il a un sourire pervers (qui manque de me faire tomber à la renverse), il passe sa langue sur sa lèvre.Lui : C’est plus que parfait ma p’tite. Je manque encore une fois de défaillir. Il pause un léger baiser sur le bout de mes lèvres, et en deux temps, trois mouvements je me retrouve plaqué contre le mur dernière lui. Cela m’arrache un cri de surprise, mais je suis encore plus excitée. Il arrache mon chemisier, les boutons sautent les uns après les autres. Lui : De toute façon, il est fichu. Je ne peux rien faire, je suis totalement à lui. Je sens ce désir atroce entre mes cuisses. Il ouvre mon pantalon et le fait glisser sur mes jambes. Je pense à des choses incroyablement perverses, chose que je me refuse habituellement. Je veux qu’il fasse de moi son jouet. Je veux être à lui toute entière. Il me retourne face au mur, je me laisse totalement guider. Je lui fais entièrement confiance. Il ouvre mon soutient gorge et le balance à l’autre bout de la cuisine. Il me dit de ne pas bouger. Je l’entends se déshabiller …. Oh la la …. Ma respiration reste haletante. Il se colle contre moi. Je sens son sexe à travers le tissu de ma culotte. Il bouge doucement, sa bouche se pose sur mon épaule, il y colle quelques baisers et mordille ma peau. Mon corps tout entier en frissonne. Je pousse mes fesses contre lui, je les frotte contre son sexe dur. Lui : Doucement ma p’tite, ou je vais être obligé de te faire mal. Un éclair me traverse toute entière, c’est ça ! C’est ça que je veux ! Qu’il me fasse mal ! Je gémis et me pousse encore plus sur lui.
Il déchire ma culotte pour ensuite malaxer mes fesses énergiquement. Je l’entends grogner de désir. Des râles animal, comme s’il se retenait, comme s’il n’en pouvait plus. Il me claque les fesses, je crie. Putain ça fait mal ! Mais qu’est ce que c’est bon !! Je lui tends mes fesses et le regarde par-dessus mon épaule. Moi : Encore, s’il te plaît. Il me regarde ébahis, frotte mes fesses qui doivent être rouges et recommence, une fois, deux fois, trois fois ….. Le bruit de ma peau qui claque résonne dans la cuisine, tout comme mes gémissements qui les suivent. J’ai l’impression que ma peau va éclater, mon ventre se déchire, ma tête tourne …. Il se met à genoux et vient embrasser, lecher, mordre mes cuisses, remontant vers mes fesses qu’il écarte de ses deux mains. J’écarte mes cuisses instinctivement, il vient posé sa main sur mon sexe, caresse ma toison et fait glisser son doigts entre mes lèvres. Mes genoux marque de lâcher tellement le plaisir est intense. Lui : Hummm ! Tu es toute mouillée ! Ça a l’air de lui plaire. Il se relève et me retourne face à lui, il se jette sur ma bouche comme un animal affamé. Son sexe dur collé contre mon ventre. Il attrape mes seins à pleine main et les malaxe, attrape mes tétons et les pince, plonge sa tête dans mon cou, lèche et mord …. Je me tortille entre lui et le mur, crie de douleur puis de plaisir. Moi : Je t’en prie ! …. Aah ! Hummm oui ! Il se saisit de mes cheveux qu’il enroule autour de sa main et me fais mettre à genoux. Je n’ai pas la force de résister, et d’ailleurs je n’en ai pas envie non plus. Son énorme sexe se pointe fièrement juste la sous mon nez. Julien me toise, se mords les lèvres en me regardant. Lui : Tu aimes se qui t’arrive la ?Moi : Oh oui ! J’ai l’envie irrépressible de me frotter contre son engin, comme pour lui prouver que J’aime se qu’il me fais. Alors j’approche mon visage de son sexe et pose ma joue contre. Je me frotte dessus, comme se frotterait un chaton voulant des câlins. Il soupire. Je frotte tout mon visage dessus, mon nez, bouche, joues, front …. Puis je me souviens du seul film X que j’ai vu dans ma vie (par hasard), la nana avait pris le sexe de l’homme dans sa bouche. Je pose ma langue à la base de son sexe, je lève les yeux vers lui pour voir sa réaction.Il se mords les lèvres, souris et fais oui de la tête comme pour m’encourager. Alors je remonte ma langue doucement sur son pieux, jusqu’au gland, redescend, remonte. Il resserre ses doigts autour de mes cheveux, sa fait un mal de chien mais putain ! J’adore ça !
J’entrouvre mes lèvres timidement et le laisse glisser dans ma bouche, c’est doux, chaud, et surtout très bon ! Il me guide en tenant ma tĂŞte, me fais comprendre de coulisser, je me laisse guider et j’apprĂ©cie chaque sensations. Il me fais faire comme ça des vas et vients lents et doux, tout le contraire de se que je vivais il y a quelques secondes. J’ai envie d’accĂ©lĂ©rer le mouvement. Je pose mes mains sur ses cuisses, me redresse un peu et commence Ă prendre plus de rythme. Il râle. Je commence Ă comprendre comment ca marche. Je resserre mes lèvres et l’avale comme je peux, il se tend, gĂ©mis, je sens son sexe durcir encore. Puis il m’arrache de lui ! NON !!Lui : Non non ma p’tite. Je ne jouirai pas dans ta bouche aujourd’hui. (il me relève et pose sa main sur mon sexe trempĂ©) c’est ça qui m’intĂ©resse. Je suis Ă bout de souffle, j’aurais put continuer des heures. Il se dirige vers l’ Ă®lot central et pousse tout la vaisselle et la nourriture au bout, il me fait signe de venir m’attrape par la taille, m’ embrasse et me soulève pour m’asseoir dessus. Je grimace, le marbre est très froid, et je sens maintenant que je risque d’avoir des bleus sur les fesses. Lui : Allonge toi.J’ obĂ©is, il Ă©carte mes cuisses et passe son doigt entre mes lèvres humides. Le plaisir est immĂ©diat. Je gĂ©mis, me tortille, il force sur un point très sensible en faisant des cercles, ça m’arrache des cris de plaisir que j’ai peine Ă contrĂ´ler. Je me cambre et me pousse sur sa main. Il attrape mes cuisses, sous les genoux, les redresse sur mon ventre et vient poser sa bouche sur mon sexe. Je suis obligĂ©e de me tenir au rebord de la table, mon corps secouĂ© de sursauts incontrĂ´lables. Je sens le plaisir monter et monter encore jusqu’à avoir l’impression que mon corps tout entier s’embrase. Une chaleur, un plaisir, indĂ©finissable s’empare de moi tout entière et je jouis sur sa bouche. Le temps que je reprenne mes esprits il continue de me lĂ©cher doucement et enfin se redresse. Lui : C’est parfait ma p’tite ! Il monte sur l’îlot, se place en entre mes cuisses, il se penche pour lĂ©cher ma bouche, je sens son sexe sur le mien encore très sensible. Je ne peux m’empĂŞcher de me frotter contre lui. Il sourit, il Ă l’air satisfait. Lui : PrĂŞte ? Moi : Oh oui ! Je suis Ă toi !Il attrape son sexe dans sa main et fait glisser le gland entre mes lèvres jusqu’à mon vagin. Il entre doucement, prend possession de moi centimètre par centimètre. Je le sens me percer, je me cambre pour l’accueillir, une douce chaleur remplit mon ventre. Il entre jusqu’au plus profond de moi. Me prend mon « innocence ». Il se retire et reviens aussi doucement, plusieurs fois. J’en veux plus ! Moi : Plus vite je t’en prie !Il sourit, attrape mes poignets et les maintient au dessus de ma tĂŞte. Il accĂ©lère, me prends plus fort. Sa bouche Ă cĂ´tĂ© de mon oreille, je sens son souffle, entends ses râles. Je me pousse sur lui, accompagne ses mouvements. Nos peaux claquent, nos gĂ©missement se mĂŞlent. Et le plaisir monte encore un fois, plus vite, plus fort. Il le ressent Lui : Lâche toi ! Ne te retient pas !J’explose encore une fois, je me laisse aller Ă ce plaisir sans nom. Et la seconde d’après je le sens lui se dĂ©verser en moi en criant mon prĂ©nom. Il lâche mes poignets, je le prends dans mes bras, il fait encore quelques petits vas-et-vient et s’arrĂŞte. Il reste en moi et nous restons allongĂ© la tentant de redescendre sur terre.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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