La stagiaire 3
La stagiaire nommĂ© BĂ©a Ă clairement mis le feu en moi. Je suis allĂ© me couchĂ©, sans fermer la porte Ă clĂ© Ă sa demande. Mais les heures ont passĂ©es et le sommeil m’a gagnĂ©…Jusqu’Ă ce que ce dernier soit perturbĂ© par un rĂŞve criant d’authenticitĂ©… Je rĂŞve ou pas ? BĂ©a ?
Proposée le 17/02/2021 par verseau29 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Histoire vraie
…je me suis relevĂ© et je suis maintenant en appuis sur mes coudes. Non je ne rĂŞve pas j’en suis certain. BĂ©a est lĂ , Ă cheval sur mes genoux mon sexe entier dans sa bouche. Je devine plus que je ne vois…peut ĂŞtre que je devine ses yeux qui me regardent tout en me dĂ©gustant.
– il y a longtemps que tu lĂ ?
-suffisamment pour me faire plaisir en se retirant de mon sexe, tu dormais bien !
-oui je crois que je suis tombé comme une masse ! Ces journées sont vraiment très longues. D’ailleurs ; quelle heure est-il ?
-2 h 00 environ
-2 heures ?
-oui, et j’ai bien l’impression que la journée n’est pas terminée…Elle reprend mon sexe avec fougue et fait des allers-retours sur toute la longueur de ma tige durcie.
Je ne suis pas dans la gamme TTBM, mais je me demande comment elle fait pour l’engloutir entièrement. Une main joue avec mes testicules l’autre accompagne sa bouche le long de mon sexe.
-Béa, ne le prend pas mal mais si tu continues comme ça je vais exploser trop tôt !
-Ah oui ? Intéressant. Et tu veux aller jusqu’où ?
-je ne sais pas ce dont je serais capable avec ce stage !
-ben écoute pour ce que vois, tu as l’air déterminé !
Tout en me parlant elle est remonté sur mon torse et elle est maintenant assise sur mon sexe.
La chaleur que dégage son sexe est impressionnante et je le sens très humide.
Elle m’embrasse à pleine bouche. Pas un baisé pudique ! Non un baisé à pleine bouche, où sa langue fouille dans ma bouche, ou les dents viennent mordre les lèvres. Elle salive abondamment suite à cette gorge profonde réalisée plus tôt. Elle recule alors mon visage du sien en faisant glisser un pouce dans ma bouche et me dit.
-tu aimes le goût de ta bite ? Parce que moi j’adore !J’ai le cœur qui bat fort, très fort, trop fort. Ce n’est pas la première fois que je couche avec une femme. Mais jamais avec une femme qui aime le sexe. Elle aime le sexe, elle assume, et en parle avec des mots crus. Jusqu’à ce jour je pensais innocemment que seuls les hommes pouvaient agir comme ça. Pour moi, du haut de mes 38 ou 39 ans à l’époque, élevé dans un environnement très classique marié de bonne heure à une femme très réservée sexuellement je n’en reviens pas. A compter de ce jour, je vais devoir envisager la possibilité que certaines femmes que je connais avec qui je parle régulièrement sont peut-être en fait ; comme Béa !
C’est possible ça ? Si oui… combien ?
– Eh oh ! t’es lĂ ?
– Oui excuse j’étais perdu dans mes pensĂ©es…Dans ma torpeur je n’avais mĂŞme pas vu qu’elle avait changĂ©e de position et se trouvait maintenant Ă quatre pattes sur mon lit et me prĂ©sentait ses fesses. Enfin je le devinais toujours puisque nous Ă©tions toujours dans le noir qui n’était pas total par l’absence de volets aux fenĂŞtres.
– Sort de tes pensĂ©e et vient plutĂ´t dans ma chatte !
– Attends faut que je mette un prĂ©servatif !
– Eh oh ! la lune ? ici la terre ! T’as mĂŞme pas sentit que tu es dĂ©jĂ Ă©quipĂ© ?
Je posse ma main sur mon sexe dur et presque douloureux. C’est quoi ce bordel, me dis-je dans la tête ? Quand l’a-t-elle mis ? Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps que je sens sa main retirer la mienne de mon sexe l’attraper et le plonger dans son sexe. Incroyable ça rentre tout seul, c’est trempé et très chaud. Les deux mains sur ses hanches je commence des aller et retour de plus en plus rapide et fort. Soudain j’entends une énorme claque s’abattre qui résonne dans la pièce. Je dois être sacrément existé pour n’avoir rien senti me dis-je puis une autre. Je réalise alors que cette fessée est donnée et reçue par la même personne. Béa. Elle a dû percevoir mon trouble.
– Ben comme’t’as pas l’air dĂ©cidĂ© je le fais moi-mĂŞme !
– Tu aimes les fessĂ©es ?
– J’aime tout, alors passe la seconde sinon on n’aura pas le temps de dormir et les formateurs ne sont pas commodes. Et elle Ă©touffe un rire.
– Je vais voir avec eux pour ils se dĂ©tendent…
– Oui ben c’est pas le moment de te dĂ©tendre jeune homme !
Je repars de plus belle dans son vagin je suis en nage et il fait vraiment chaud dans cette chambre. On entend de temps à autres d’autres stagiaires qui s’affairent pour rejoindre leur chambre en passant par les sanitaires. Soudain je m’arrête.
– Mais dis-moi, tu dors dans quelle chambre ? je veux dire avec qui ? elle va s’apercevoir que tu n’es plus en salle d’activitĂ© mais que tu n’es pas non plus dans ta chambre ! Que va-t-elle s’imaginer ?
– Fabienne ? Ben elle n’imaginera rien parce que je lui ai dit que je venais te faire ta fĂŞte ! Elle sait donc oĂą je suis !
– Quoi ? T’as pas fait ça ?
– Ben si ! je suis justement en train de le faire.
– Putain…
– Non salope ! et j’aime ça alors on y retourne. Oh lĂ ! mais t’es un sentimental toi ! Elle s’est ramollie !
– Ben, la situation devient critique.
– Oui tu as raison. Si on ne l’a rĂ©anime pas on va la perdre et tu m’as pas encore enculĂ©e !
Enculé ?! Ce mot vient raisonner dans ma tête. Elle a dit enculer! Pas sodomisé ni me prendre par derrière ! Non ! Elle a dit enculer !Alors que Béa vient de porter une nouvelle attaque sur ma bonne vertu, elle a repris mon sexe en bouche pour lui redonner de la vigueur. Je suis à genoux basculé en arrière les mains agrippant mes chevilles. Elle me suce à nouveau en gorge profonde et le bruit de sucions et très fort tant elle y met du cœur. Mais un autre bruit attire mon attention. Je me redresse pour mieux entendre et comprendre. Mes yeux se sont largement habitués à la semi-obscurité et je vois Béa beaucoup plus nettement qu’au début. Bon je suis peut-être aussi un peu plus réveillé ! Mais il y a aussi ce couloir qui s’allume régulièrement au passage des autres résidents et l’espace sous la porte de la chambre est très important pour éclairer la chambre d’une lumière qui lèche le sol.
Oui c’est bien ça… Béa me suce et se caresse en même temps et semble parfaitement connaître ses zones intimes qui la font frémir. Je sens alors ça main revenir à ma bouche et forcer mes lèvres. Ses doigts sont inondés de cyprine qu’elle me fait lécher, avant de replonger sa main à nouveau dans son entre jambe. Je me penche un peu en avant au-dessus de son dos pour la rejoindre et la caresser.Je sens ses doigts sous les miens aller et venir dans sa chatte inondée y enfonçant sans retenu un ou deux doigts ou peut être plus dans sa fente. Ma main est trempée, l’intérieur de ses cuisses l’est aussi. Je n’avais jamais connu cela auparavant. J’ai 39 ans (ou 38) je viens de mettre une image, un ressenti sur une expression bien connue. Elle mouille ! Je continu de la caresser avec vigueur et d’enfoncer ses doigts avec les miens au plus profond de son sexe. Elle n’a pas pour autant lâcher mon sexe qui a repris ses esprits s’il veut rester dans la bataille !
Soudain un de ses doigts s’est échappé de sa chatte et vient caresser son anus. Je l’accompagne. Je devine plus que je ne vois et l’image me provoque une décharge électrique. Elle se caresse l’anus, elle m’a dit vouloir être sodomisé. Je n’ai jamais fait ça !
Je sens alors son doigt disparaître sous les miens. Béa continue de se masturber avec vigueur, deux doigts dans son sexe et un autre dans son cul.
On a le droit de faire ça ? Enfin oui ,mais mon éducation avait toujours sous-entendu que ce n’est pas bien ! Je ne peux m’empêcher d’en savoir plus.
– Tu aimes ?
– BĂ©a lâche alors mon sexe et dit dans un râle ahurissant : oh oui !
Ca voix est rauque et sa respiration très rapide. Je comprends que Béa est en train de prendre son pied. Elle est en transe ! Et toi tu aimes me dit-elle ?
– Ah oui, je suis un peu surpris mais oui j’aime !
Je sens alors sa main trempé passer sous mes couilles et glisser entre mes fesses et un doigt venir caresser mon anus. Ma réaction est incontrôlée et je sers des fesses sous l’assaut inattendu.
– Euh..(c’est tout ce que j’ai trouvĂ© Ă dire !)
– Quoi euh me rĂ©torque-t-elle entre deux inspirations ?
– Ben tu fais quoi ?
– Ben je caresse ton cul jeune homme ! T’as jamais pris un doigt dans les fesses ?
– Ben non !
Elle s’arrête et se redresse et se penche vers mon oreille en chuchotant et en parlant très doucement
– Dite donc monsieur le formateur. On dirait bien qu’il va nous falloir inverser les rĂ´les le jour et la nuit ! Vous faisiez quoi ces dernières annĂ©es ? Vous Ă©tiez dans un monastère ?
– Euh non pas vraiment, je ne pense pas que j’aurais tenu longtemps dans un tel endroit.
– Bien. Très bien il va falloir revoir cela plus sĂ©rieusement et Ă©tablir une stratĂ©gie Ă©ducative Ă la hauteur de vos lacunes !Puis se repenchant lĂ©gèrement elle vient sucer un de mes tĂ©tons en repassant sa main entre mes fesses. Chemin faisant elle avait pris soin de remouiller son doigt avec sa langue. Je le sens se poser Ă l’endroit stratĂ©gique. La caresse est douce et je dois avouer pas dĂ©sagrĂ©able. Elle me masse l’anus tout en ayant repris sa propre masturbation et retrouvĂ© le chemin de mon sexe. J’oscille entre plaisir et interrogation. Un homme peut-il se faire doigter ? Ca se fait ça ? Je ne vais pas perdre ma virilitĂ© en accĂ©dant Ă sa demande ? Je sens alors sa main se retirer d’entre mes fesses et elle me dit :
– On va y aller doucement ; je ne te sens pas prĂŞts encore ! Mais tu ne perds rien pour attendre petit cochon.
– Merci…
Elle dans le même temps repris elle reprend sa position initiale. Le dos cambré les fesses ouvertes ses mots viennent alors déchirer le silence.
– Bon tu me l’a met dans le cul ou pas ?
De toute façon il est clair que je ne maîtrise plus rien. Et puis honnêtement depuis le temps que je me demande …
Je présente mon gland devant sa rondelle. Je bande comme un taureau. J’appréhende je veux être délicat..
Béa n’en a que faire elle recule son bassin dans un seul mouvement enfonçant ma bite jusqu’à la garde !
– Ah Yes !!! c’est bon ça ! Aller bourre moi salop !
Mon excitation est telle que ma jouissance arrive sans prévenir. Son cul me sert la tige. La sensation est complètement différente. Je vais et je viens dans son cul comme un fou, jusqu’à ce flash qui inonde mon crâne, et une décharge électrique qui parcourt tout mon corps jusqu’au bout de mon sexe. Je sens la vague de ma semence dilater mon urètre et venir s’écouler dans le préservatif.
Aussitôt Béa se retourne me plaque sur le dos et se jette sur mon sexe en retirant la capote. Elle engouffre mon sexe entre ses lèvres le suce et le lèche avec fièvre. Mon gland est hyper sensible elle me masturbe délicatement jusqu’à recueillir les dernières gouttes et venir me rouler une pelle mélangée de salive et de mon sperme.
– T’avais dĂ©jĂ gouttĂ© ton foutre ?
– Pas comme ça en tout cas !
– Hum ! petit cochon… En tout cas je te prĂ©viens la prochaine fois je ne veux plus de ta queue sous cellophane !
Elle se relève en jetant mon drap sur moi !
– Dors bien monsieur le formateur !
Flash éblouissant la chambre s’illumine, Béa sort de la chambre.
Je reste un instant comme ça. Quelques minutes s’écoulent. J’enfile un pantalon un sweat et je me rends aux toilettes. Au moment où je rentre dans les sanitaires je croise Béa qui en ressort.
Elle a les cheveux dans tous les sens et légèrement humides. Elle me regarde droit dans les yeux un petit sourire.
– Bonsoir !Je marque un temps d’arrĂŞt elle continue son chemin et s’engouffre dans le couloir qui mène au chambres… PurĂ©e ! Mais au fait ! Si Fabienne ne dort pas et qu’elle la voit dans cet Ă©tat !
Je fais un pas en arrière au moment même où elle ouvre sa porte de chambre ! Merde ! Fabienne ne dormait pas encore ! Je vois la lumière de la chambre et entendre Béa dire à voix haute !
– Coucou ! Ah tu ne dors pas ? La porte se referme.
Ce n’est pas possible ! Le stage n’est pas fini que va-t-elle lui dire ? Je pars d’un bond dans le couloir et ralenti en passant devant sa chambre en laissant trainer une oreille.
– …j’ai plus qu’à aller prendre une douche ! A toute !
Merde la voilà qui ressort et moi qui n’ai rien à faire à l’opposé de ma chambre. J’accélère le pas. Elle sort. Je suis pris. Flûte.
Elle tourne la tĂŞte et me vois :
– Bonsoir Fred Tu es perdu ? ou tu es de garde cette nuit ?
– Euh ..non non…je faisais un tour avant d’aller me coucher voir si tout allait bien !
– Ah oui ? Et vous faites ça tous les soirs ?
– Devant mon interrogation elle reprend
– Je veux dire toi ou un autre formateur vous passer le soir comme ça dans le couloir ? C’est pas risquĂ© ? Vous pourriez entendre des choses non ?
– Bon ..bonne nuit BĂ©a…et …bonne douche Ă priori ! En lui montrant du menton ses affaires de toilettes Ă son bras !
– Oh oui j’en ai besoin une bonne douche après une journĂ©e comme celle-lĂ me fera le plus grand bien.
Elle tourne les talons et se dirige vers les sanitaires. Le calme à envahi le centre de formation. Je suis en train de me soulager aux toilettes et j’écoute l’eau de la douche de Béa couler dans ce silence.
Soudain alors que je m’apprête à sortir pour regagner ma chambre j’entends sa voix chuchoter sous l’eau.
– Merci ! C’était trop bien !© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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