La Tisane du bonheur
Un jeune couple part à la campagne chez une grand-mère
Proposée le 26/07/2016 par spiroutic Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Nous Ă©tions jeunes mariĂ©s et venions dans le Midi Ă l’invitation d’une grand-mère.
La veille de cette belle journĂ©e annoncĂ©e, amoureux et taquin, j’avais fait promettre Ă ma chĂ©rie d’effectuer ce voyage en train sans culotte. Donc avant de sortir je vĂ©rifiai rapidement cela par un bisou dans l’aine sous la robe.
Il y avait une correspondance Ă mi-parcours. Pendant qu’on descendait sur un quai Ă l’air libre pour changer de train, une averse nous surprit. Je me pressai donc avec la foule vers le petit abri, pendant que mon Ă©pouse tardait et lâchait sa valise Ă roulettes puis s’abritait la tĂŞte avec son sac. EtonnĂ© je la rejoignis pendant que l’averse faiblissait dĂ©ja. Derrière sa valise elle baissait les yeux et un petit bruit incongru devenait audible Ă la fin de l’averse.
La foule, lĂ -bas, n’avait rien remarquĂ©.
-« cette pluie froide… » commenta t-elle simplement.
Mon esprit trop conventionnel refusait d’admettre l’Ă©vidence. Nous montâmes bientĂ´t dans l’autre train.La grand-mère. vivait seule Ă la campagne dans sa maison rustique mais entretenue. Elle nous montra tout de suite la chambre pour y poser nos affaires. Il faisait chaud et elle avait laissĂ© la fenĂŞtre entrouverte, tout Ă©tait bien prĂ©parĂ©.
– « Oh, en fait je pensais y recevoir ma soeur mais elle Ă©prouve un petit dĂ©rangement momentanĂ© et attendra la semaine prochaine. »
-« J’en suis dĂ©solĂ©e. Mais cette chambre est très bien pour nous, merci. » rĂ©pondit mon Ă©pouse en tâtant le matelas moelleux, sur lequel elle reporta brusquement son attention.
-« Oh mes enfants, j’avais protĂ©gĂ© le matelas pour ma soeur, car Ă son âge… Mais je comprends que c’est un peu dĂ©sagrĂ©able, je vais le… »
« Laissez donc, Mamy, cela me parait bien confortable. » la rassura mon épouse.
Le diner fut à la mesure de la bonté de la brave dame, se termina par une salade de fruits, puis :
« Vous prendrez de ma tisane ? Moi j’ai l’habitude. » demanda Mamy.
-« Oui Mamy, surtout avec cette chaleur. Merci. »Comme les jours raccourcissent nettement en AoĂ»t nous n’eĂ»mes plus qu’Ă nous coucher, pas mĂ©contents d’enfin refermer la porte. Celle-ci fit un petit « cling » et se rouvrit aussitĂ´t.
-« Le ressort de la serrure est fatigué, alors le penne est revenu dedans », fis-je.
Un regard inquiet de mon Ă©pouse.
-« Tu sais, Mamy est adorable et distinguée, elle ne va pas entrer » lui dis-je.
-« Certes, mais, euh.. si on poussait ce petit meuble contre ? »
-« OK, espĂ©rons qu’il n’y aura pas le feu. »L’ambiance de gĂ©nĂ©rositĂ©, calme, et isolement, nous gagna. Cette chaleur nous incita Ă retirer les couvertures. Puis notre jeunesse nous fit oublier diverses petites contingences, dont la fenĂŞtre entrouverte, car nous fĂ®mes l’amour, pendant que le temps changeait.
ApaisĂ©s, nous avions dormi un quart d’heure l’un sur l’autre, toujours accouplĂ©s sans avoir bougĂ©, donc mon sexe encore un peu introduit au bon endroit.
Le vent me rĂ©veilla et aussi le froid, un orage arrivait. Nous Ă©tions nus dans le courant d’air de la fenĂŞtre qui me fit frissonner comme jamais, Ă©tant habituĂ© Ă vivre en appartement.
Ce qui rĂ©veilla une gĂŞne physique intime, et je me souvins avec effroi avoir oubliĂ© d’aller aux toilettes, au fond du jardin !
(Je ne vais pas y aller maintenant qu’on a barricadĂ© la porte, les grincements du meuble rĂ©veilleraient Mamy, pensai-je).J’ai toujours craint le tonnerre, alors le premier coup, en plus du froid, eu raison de ma vessie.
Tout cela s’Ă©tait passĂ© rapidement. Mon Ă©pouse chauffĂ©e par mon corps dormait encore et je pissais en elle !
AffolĂ©, j’ai failli la prĂ©venir mais cela aurait Ă©tĂ© brutal, et… je prenais plaisir Ă me soulager ainsi, un peu comme une Ă©jaculation moyenne, honteux et Ă©merveillĂ© en mĂŞme temps.Le second coup de tonnerre rĂ©veilla ma chĂ©rie.
-« N’aie pas peur mais, euh, je m’excuse, c’est mouillĂ©. »
-« Oh, misère, Pardonne-moi, je rĂŞvais que je faisais pipi et c’est vraiment parti ? »
-« Cette satanĂ©e tisane… » fis-je lâchement.
-« J’ai froid, et j’ai encore enviii… »
Nous n’avions pas bougĂ© depuis l’amour vingt minutes plus tĂ´t. Je sentis ses cuisses se crisper. Elle ajouta :
-« Heureusement que Mamy a mis ce truc. On va changer les… ou après. AaaĂŻe !…Ooh ! »
Un chuintement obscène contre mon pĂ©nis, en mĂŞme temps qu’elle resserrait son Ă©treinte sur mon dos.
Un torrent brûlant titillait et submergeait nos ventres.
La tisane du bonheur.L’orage passa vite. La chambre resta bloquĂ©e jusqu’Ă midi.***Je me souviendrai toujours de son Ă©treinte de dĂ©sespĂ©rĂ©e Ă l’instant de sa dĂ©faillance intime. Cependant, en y repensant froidement bien après, connaissant sa prĂ©venance habituelle, il me semblait qu’elle aurait plutĂ´t essayĂ© de m’Ă©carter de son jet. MĂŞme si j’ai Ă©tĂ© heureux qu’elle partage ce moment angoissant avec moi, en me trempant.Deux mois plus tard, dans les rayons d’une grande surface, alors qu’on s’approvisionnait en couette et oreillers, je tombai par hasard sur le mĂŞme genre de protection de matelas dont nous avions si bien profitĂ©.
-« Oh, c’est comme… » Je ne terminai pas ma phrase, un peu honteux.
Elle aperçut l’objet, sembla vouloir rĂ©pondre, mais me regarda. Nos yeux se comprirent, l’article en question plongea dans le caddie.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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