L’amour d’un père : chapitre 2
Tandis qu’un père s’abandonne au plaisir de la chair avec sa propre fille, il se fait surprendre par son autre fille…
Proposée le 4/05/2017 par Loco2016 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Chapitre 2 : AngelaAngela est ma cadette. C’est la plus timide de mes deux filles. Je n’ai jamais compris d’où venait son cruel manque de confiance en elle : elle est mignonne à en mourir et a toujours été parmi les meilleurs de sa classe. Je ne vois pas ce qu’il lui faut de plus.
Elle ressemble presque comme deux gouttes d’eau à sa sœur, en plus petite et en plus maigre encore. Elle a le teint très pale, mais c’est parce qu’elle ne sort pas beaucoup. Elle passe ses journées dans ses livres et derrière son ordinateur. J’ai déjà essayé de l’en décrocher, sans succès. Cela me désole qu’elle ait si peu d’amis, mais je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Heureusement, elle est très proche de sa sœur. Elles se confient tout — enfin, pas absolument tout, je l’espère — et je me rassure en me disant que leur lien vaut plus que n’importe quelle amitié. Je vois souvent autour de moi des couples de sœurs rivales qui ne se font aucun quartier. Je crois que j’ai beaucoup de chances que Nancy ait plutôt choisi d’avoir un rôle protecteur.
C’est les vacances scolaires, il fait tard, Nancy est partie faire la fête. Elle a essayé de convaincre sa sœur de venir avec elle, mais elle a refusée. De toute façon, je crois que je le lui aurais interdis. Elle a peut-être dix-huit ans, mais je la vois mal aller dans ce genre de soirée où on boit de l’alcool sous de la musique à tue-tête. Moi qui ai déjà du mal à l’accepter pour ma grande…
J’ai remarqué qu’elle avait fait sa mauvais tête toute la journée, aujourd’hui. Je pensais qu’elle devait avoir ses règles, mais maintenant que je la vois arriver dans mon bureau en me prévenant qu’elle veut me parler d’un truc important, j’avoue que je crains le pire :
— Papa, il faut qu’on parle, me dit-elle.
— Bien sûr, ma puce, qu’est ce qu’il y a.
Je la vois hésiter sans dire un mot. J’en déduis qu’elle s’apprête à me révéler un secret. Cela provoque en moi une urgente envie de savoir, mais je ne veux pas la brusquer :
— Qu’est ce qu’il y a, ma chérie ? Tu sais que tu peux tout me dire.
— Je vous ai vu ! lâche-t-elle soudainement comme si elle venait de se libérer d’un fardeau. Je vous ai vu !
— Tu nous as vus ? Je ne comprends pas. Tu as vu qui ? Faire quoi ?
En fait, c’était un mensonge. J’avais surtout très peur de comprendre… Je priais de mal interpréter ses paroles.
— Toi et Nancy. Je vous ai vu en train de faire l’amour.
Je blêmis. Je tremble, et des gouttes de sueurs perlent sur mon front. Je suis complètement figé. Je ne suis plus quoi dire ni quoi faire. Je pourrais lui mentir, mais cela n’en vaudrait pas la peine : elle sait. Je pourrais également lui donner une excuse, mais je n’en ai aucune. Je suis piégé. Je me sens honteux et coupable. Que va-t-il se passer maintenant ? Je m’en veux d’avoir été aussi égoïste. J’ai couché avec ma Nancy en ne pensant qu’au bonheur que cela me procurait, mais je n’avais jamais envisagé le mal que cela pourrait faire autour de moi.
— Je… je suis désolé ma chérie, lui dis-je sincèrement.
— Pourquoi vous avez fait ça ?! Qu’est ce qui vous a pris ?!
Je baisse les yeux. Je n’ose même plus soutenir son regard accusateur.
— Je… je ne sais pas. Nous nous aimons très fort, tu sais. Et parfois, quand on aime très fort… faire l’amour ne devient juste qu’une façon de l’exprimer.
— Et moi, tu ne m’aimes pas ?!
— Si, bien sûr. Qu’est ce qui te fait penser ça ?
Je ne comprends pas où elle veut en venir.
— Mais pas assez pour me faire l’amour, à moi.
Je suis perdu. Que se passe-t-il ? Est-elle en colère parce que j’ai commis l’inceste avec sa sœur ? Ou au contraire, parce que je ne l’ai pas fais avec elle ? Je secoue la tête. Non, non, c’est la première possibilité, évidemment ; tout le monde n’est pas aussi pervers que moi, je dois arrêter avec ça.
— Tu as raison ma chérie, c’est une façon indigne pour un père de montrer son amour à sa fille. Nous n’aurions jamais dû. Cela ne se reproduira plus, je te le promets.
— Mais je m’en fou de ça ! Ce qui me rend jalouse, c’est que tu l’aimes plus que moi !
— Mais enfin… mon chaton… c’est faux… Je…
—Ne me mens pas ! Si tu m’aimais autant qu’elle, tu l’aurais déjà fais avec moi. Elle a toujours été ta préférée ! Quoique je fasse, tu l’aimeras toujours plus que moi. Je vous déteste tous les deux !
— Angela ! fais-je d’un ton plus autoritaire. Cesse de dire des sottises ! Cela n’a rien à voir ! Je vous aime autant l’une que l’autre ! Vous êtes tout ce qui compte pour moi ! Ça me blesse que tu puisses penser le contraire !
— Alors prouve-le moi !
— Que… quoi ? Mais comment ?
— En me faisant l’amour à moi aussi.
— Mais… enfin… tu n’es pas sérieuse, ma chérie !
Je n’arrive pas à croire ce que j’entends. A-t-elle perdu la raison ?
— Pourquoi ? Parce que je ne suis pas assez bien pour toi ? Je ne suis pas assez jolie ?!
— Ne sois pas ridicule. Évidemment que tu es jolie, mais…
Je ne trouve pas les mots pour finir ma phrase.
— Alors quoi ?! Pourquoi tu ne veux pas de moi ?!
— Ce n’est pas comme ça que ça se passe, ma puce. Tu ne dois pas vouloir faire l’amour avec moi juste parce que tu m’as vu le faire avec ta sœur. L’amour, c’est quelque chose d’important. Tu dois le faire avec quelqu’un avec qui tu as vraiment envie. Cela doit être réfléchi, et non pas fais comme ça sur un coup de tête.
Je me sens un peu faux-cul de parler comme ça, vu comment les choses se sont passées avec sa sœur, mais je veux juste essayer de trouver des mots pour la convaincre de changer d’avis. Non pas que je n’ai pas envie d’elle, mais… mais mince ! C’est ma fille ! C’est ma petite Angela ! Je ne vais pas pervertir mes deux filles tout de même ! J’en ai bien assez fait.
— Mais c’est réfléchi, papa ! J’ai envie de toi depuis bien avant t’avoir vu avec Nancy. C’est pour cela que ça me fait si mal.
— Je… je suis désolé, ma chérie. Je ne savais pas.
Je suis torturé par une foule d’émotions. Angela… ma petite Angela… Plus je la regarde, plus j’ai envie d’elle. Ses petits yeux verts tristes me font fondre. Elle a les mêmes tâches de rousseurs que sa sœur qui sont pour moi autant d’étoiles de feu qui illuminent son visage. Les couettes qu’elle s’est faite aujourd’hui lui donnent un air juvénile. Je n’ai pas menti, je l’aime aussi fort que sa sœur, mais je ne sais pas si j’oserais briser cette image que j’ai d’elle d’un joyau d’innocence pour celle d’une femme. Les enfants grandissent trop vite.
— Alors, papa ? Tu veux bien de moi ?! me dit-elle pour me sortir de ma torpeur.
— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ma chérie ?!
— Oui… Je t’aime… Je veux faire l’amour avec toi.
Je la regarde silencieusement un instant, puis je lui souris :
— Moi aussi, je veux te faire l’amour.
Je prends délicatement son visage entre les mains, et je l’embrasse. Elle me rend ce baiser avec en même temps de l’innocence et de la passion. Elle est si mignonne ; mais avant d’aller plus loin, il y a une chose dont je dois m’assurer :
— Angela… C’est ta première fois ? Tu es vierge ?
— Je… non… rougit-elle en détournant le regard.
Quelque part, sa confession me déchire. Je ne sais pas pourquoi, sur le coup, j’avais espéré pouvoir être son premier.
— Comment… Comment s’est arrivé ?
Je demande ça, mais je ne suis pas vraiment sûr de vouloir savoir.
— Je ne l’ai fais qu’une fois, je te le jure, se défend-t-elle comme si c’était elle qui devait avoir honte. Et cela ne s’est pas très bien passé.
— Comment cela ? Qu’est ce qui s’est passé ?
— Et bien… C’était sa première fois à lui aussi. Nous en avions tous les deux très envie, mais… il m’a fait mal, et cela n’a pas duré longtemps. Je n’ai pas joui.
J’essaie de me remémorer de qui elle peut bien parler. Elle a bien eu un ou deux ex mais… avec lequel aurait-elle perdu sa virginité ? Je chasse cette idée de ma tête. Cela ne me regarde pas. Puis cela n’a plus d’importance de toute façon.
— Ne t’inquiète pas ma chérie. Je vais prendre soin de toi, je te le promets. Je vais te faire jouir, moi.
Nos lèvres se rejoignent à nouveau. Je lui enlève son haut tandis qu’elle fait de même avec le mien. Je l’attire vers moi, et elle s’installe à califourchon sur mon siège. Je lui enlève son soutien gorge. Ses seins sont encore plus petits que ceux de sa sœur. On ne peut pas les prendre dans la main, mais ils sont adorables. Je prends les tétons en bouche et les titillent avec ma langue. Elle gémit. Elle se penche vers moi et m’embrasse pendant plusieurs minutes. Elle cherche à me dévorer. Elle me fait penser à sa mère. Je peux ressentir tout son amour dans ses baisers. J’ai l’impression de la découvrir pour la première fois.
Je sens qu’elle pourrait continuer encore comme ça pendant des heures, alors je la force à s’arrêter pour passer à la suite. Nous nous relevons tous les deux du siège, et je la penche sur le bureau. Lentement, je lui enlève son pantalon en me mettant à genou. J’ai le nez sur sa culotte, dernier rempart de son intimité. Oserai-je ? Oui. Je meurs d’envie de le voir, et de le pénétrer. Si j’avais encore un doute, cette fois, ça y est : je vais baiser ma seconde fille, mon petit chaton d’amour. J’ai du mal à me contenir.
Elle écarte légèrement les jambes. Je prends mon temps. Je lui caresse les cuisses, remonte sur ses fesses, et lui donne une petite claque comme si je la punissais d’avoir été vilaine. Elle soupire. Je attrape son vêtement par l’élastique, et le lui descend jusqu’aux chevilles. Elle a un cul vraiment magnifique. Je bande comme un fou. Je remarque combien les lèvres de sa chatte sont gonflées. Je n’ai jamais vu ça. J’ai une envie irrésistible de la prendre comme un animal dans cette position, mais je me retiens. Au lieu de ça, je lui embrasse les fesses, et je lui enfonce deux doigts. Elle est humide et chaude. Je n’en reviens pas qu’elle ait autant envie de moi. Mes filles sont tordues. Cela doit être de famille.
Je prends plaisir à jouer avec son minou. Le minou de ma petite fille que je vois pour la première fois. Il me fait rêver. J’ai du mal à réaliser que, bientôt, mon sexe sera à l’intérieur et que je vais y éjaculer. Je voulais la préparer, mais je note qu’elle n’en a pas vraiment besoin. Je me contente donc de lui donner un peu de plaisir, puis je m’arrête.
Je me remets debout et enlève mon pantalon pour en extirper mon sexe bien dur. Elle doit s’attendre à ce que je la prenne d’une seconde à l’autre. Elle ne se retourne pas ; je la sens frémir d’impatience ; mais j’ai d’autres intentions.
— Viens ma chérie, dis-je en lui prenant le bras.
Je me rassois sur mon siège, la verge dressé vers le plafond et l’invite à me monter dessus. Je lui explique que je veux qu’elle se donne elle-même du plaisir, qu’elle se fasse du bien à son rythme. Je la sens fébrile, hésitante. Je pense qu’elle aurait préféré que je prenne l’initiative ; c’est comme si, timide comme elle est, elle trouve ça trop obscène de s’empaler elle-même ; cependant, elle m’écoute et me grimpe dessus. D’un geste peu assuré, elle attrape ma verge, et la dirige vers son entrée. Elle me lance un regard inquiet.
— Ça va aller, ma chérie. Insère-le en toi.
Elle s’affaisse, et me fait entrer de quelques centimètres en elle. Ses traits se crispent l’espace d’une seconde. C’est normal, je suis un peu gros. Ça doit lui faire bizarre, au début. Elle pose ses mains sur mes épaules, et commence à rebondir sur moi. Je mets les miennes sur ses hanches pour l’accompagner. C’est divin. Je n’arrive pas à croire que je suis dans sa petite chatte. Je suis heureux. Elle aussi. Nos yeux ne se détachent pas l’un de l’autre. J’y lis tant de passion, c’est enivrant.
— Tu vas bien, ma chérie ?
— Oui… Ça devient bon. Oh, papa, je suis si contente.
— Moi aussi, mon amour.
Elle s’enfonce de plus en plus. Je sens ses chairs me masser la verge. Sa petite chatte qui n’a été pénétrée qu’une fois. Elle va plus vite et de façon plus franche. Elle ferme les yeux sous les sensations. J’en profite pour caresser son merveilleux petit corps. Mon bébé d’amour, elle a l’air si fragile. Je me penche en avant pour lui attraper les tétons. Je les suce, elle gémit de plaisir.
— Tu aimes, ma puce ?
— Oui, papa. Ils sont très sensibles. Et toi, tu aimes mes seins, mêmes s’ils sont tout petits ?
— Je les adore.
Je glisse mes mains sur ses fesses et la regarde monter et descendre sur mon pieu de chair. Elle est sublime. Si belle, si femme. Je suis en train de tomber follement amoureux. Comment ai-je fais pour ne pas voir que j’avais deux magnifiques femmes à la maison ? Je veux passer le restant de mes jours à leur faire l’amour.
Elle m’embrasse de façon passionnée. Je lui rends son baiser avec la même intensité.
— Je t’aime, papa.
— Moi aussi, mon chaton.
Elle accélère encore le rythme. Je la devine proche de jouir. Elle se sert de mon piston pour se finir. Je l’encourage, j’ai follement envie de la voir en plein orgasme :
— Vas-y, ma puce. Laisse-toi aller, fais-toi jouir toute seule. Tu le mérites.
— Papa… c’est si bon…
— Pour moi aussi, ma chérie. Je suis si bien en toi.
Son visage… elle semble désespérée. Elle m’utilise pour essayer de se faire jouir comme si sa vie en dépendait. La vision est incroyablement érotique. Ça me fait fondre.
— Aaah !
— Allez, ma puce, jouis pour papa !
— Ça vient ! Ça vient !
Elle pousse un grand gémissement, puis elle tremble en s’écroulant sur moi. Elle cale sa tête contre mon épaule tandis que je l’enlace pour la soutenir. Dieu que c’est beau, ma petite Angela qui jouit sur ma bite. Je lui donne un ou deux coup de reins pour lui intensifier son orgasme, mais rien de bien méchant. J’attends ensuite qu’elle se calme.
— Papa…. c’était… incroyable ! me confie-t-elle.
— Je suis heureux que cela t’aie plu.
— Toi, tu n’as pas joui ?
— Non, pas encore. Ce moment était pour toi, et pour toi seul. Je voulais que tu saches ce que c’était de jouir en faisant l’amour.
— Mais c’est stupide ! Je veux aussi te faire jouir, moi !
— Mais j’en ai bien l’intention, ne t’inquiète pas. Je suis terriblement excité.
— Qu’est ce que je peux faire pour t’aider ?
Je réfléchis, il y a bien une chose dont j’ai envie mais…
— Tu as déjà sucé un garçon ? lui dis-je toute de même.
— Je… non…
— Tu voudrais essayer ?
— Je… je peux ?
— Bien sûr !
Elle me sourit, comme si elle en avait toujours eu envie sans n’avoir jamais osé le demander. Elle s’agenouille devant moi, et commence à me branler timidement.
— Tu es si gros, papa !
— Je sais.
— Maman ne s’en est jamais plainte ?
Je suis surpris qu’elle évoque sa mère dans un moment aussi intime. Cela ne semble pas la gêner. C’est bon à savoir.
— Jamais. Ce n’est pas non plus un monstre, tu sais. Il y a bien plus gros.
Elle me la tient plus fermement. C’est mignon de la voir aussi maladroite. Je me demande si ça aussi, c’est la première fois qu’elle le fait. Je la sens un peu nerveuse. Elle s’approche de mon sexe et commence par lui faire de petits bisous. Elle sort ensuite sa langue et se mets à me lécher le gland. Je gémis pour lui faire comprendre qu’elle me fait du bien. Le moment arrive enfin où elle me prend dans sa bouche. Je la guide pour la détendre et afin qu’elle s’améliore. Elle m’avale de plus en plus à chaque aller-retour.
— Ça va ma puce ? Ça te plait de sucer ?
— J’aime beaucoup, dit-elle.
— En général, on fait plutôt ça avant de faire l’amour. Ça doit te faire un peu bizarre de gouter ta propre chatte.
— Non, rougit-elle. Ce n’est pas la première fois. Je… je trouve que je goute bon…
Cette confession me touche. Ma petite coquine…
Elle me suce pendant de longues minutes. Elle gagne en assurance, et c’est tant mieux. Elle est sublime à regarder. Ma petite Angela avec ma bite dans sa bouche. C’est délicieusement pervers. Je sens que ma jouissance ne va plus tarder. Je ne sais plus quoi faire. Nous n’en avons pas parlé de comment j’allais jouir, juste qu’elle allait m’aider en me suçant. Est-ce que je peux vraiment lui éjaculer dans la bouche, comme ça ? Est-ce pire que de lui éjaculer sur le visage ? Peut-être devrais-je simplement le faire sur ses seins pour la première fois.
— Papa, je voudrais que tu me prennes… dit-elle en s’arrêtant un instant.
— Tu viens de jouir, tu as encore envie ?
— Oui… Mais je voudrais que ce soit toi qui me prennes. Je veux… te sentir me faire l’amour.
— Moi aussi, ma chérie. J’ai besoin de te faire l’amour.
Changement de plan, pour mon plus grand bonheur. Elle se lève et se penche sur mon bureau comme tout à l’heure. Elle écarte les jambes pour s’offrir à moi. Son manque de pudeur me choque et m’excite en même temps. Mon Angela qui m’offre sa chatte pour que je la baise. Je ne peux pas résister…
Je m’approche gentiment, et m’insère en elle lentement. Elle soupire de bonheur. Je commence mon va-et-vient dans son con. Cela ne fait pas si longtemps, mais il m’a manqué. Je devrais être tendre, mais je n’y arrive pas. Après toutes ces images érotiques que j’ai en tête d’elle, et sa sublime fellation, j’ai envie de la sauter pour de vrai. Elle ne s’en rebelle pas. Au contraire, je la sens frémir sous mes coups de reins.
— Aaaah ! Oui ! La grosse bite de mon papa !
— Ça te plait, mon chaton ?
— Oui, papa ! J’adore ça ! Je n’en reviens pas qu’on le fasse enfin !
— Moi non plus !
— Je veux le faire avec toi, encore et encore. Je suis amoureuse, papa ! Depuis si longtemps !
— Ma chérie…
Cela me fait tellement bizarre de voir mon bébé, que je voyais encore comme une enfant innocente il y a moins d’une heure, être une femme qui aime autant la bite. Je la ramone avec passion. Je veux qu’elle sente combien je l’aime, combien je la trouve belle. Son corps me fait rêver. Je n’arrive pas à croire que c’est moi qui l’ai fait. J’en suis si fier. — Papa. Je vais encore… jouir…
— Je ne suis pas loin de jouir, moi aussi, ma puce.
— S’il te plait, viens en moi, je veux te sentir éjaculer dans ma chatte.
Rien ne me ferait plus plaisir. Je m’abandonne et j’essaie de me faire jouir. Les lèvres de sa chatte sont toujours aussi gonflés. Je la lime si fort que mes couilles claquent contre son pubis. C’est à mon tour d’avoir l’air d’un animal qui cherche à se finir au plus vite.
— Oui, papa ! Baise-moi fort ! Comme ta femme ! Je veux être ta femme !
— Aaah, mon amour !
Comme en réponse à ses supplications, je sens que je vais jouir. Je sens mes bourses éclater avant d’éjaculer en elle en gros jets de sperme. Je grogne de bonheur.
— Oh oui, papa ! Ca y est ! Je te sens !
Elle jouit, elle aussi, et nous partageons un magnifique orgasme. Je lui déverse mon foutre comme s’il s’agissait d’une offrande. Je prends un plaisir pervers à souiller ma fille avec la semence de son père, comme si je marquais mon territoire. Je veux lui en donner le plus possible.
Je lui donne quelques derniers coups de reins, avant que ma source ne se tarisse. Nous reprenons nos esprits tous les deux. Je n’arrive toujours pas à croire ce que je viens de faire. Non pas que j’ai honte ou autre, au contraire, je ne ressens que du bonheur.
— Oh, papa ! C’était merveilleux ! me dit-elle.
Je suis aux anges, moi aussi. Elle tourne la tête vers moi et me sourit. Elle a l’air radieux, épanouie. Je ne l’ai jamais vu ainsi. Elle pose une main sur ses fesses et descends jusqu’à sa chatte.
— Je n’en reviens pas. Je suis pleine du foutre de mon papa ! Je suis si heureuse, je lui appartiens maintenant !
— Oui, dis-je avant de l’embrasser. Tu es toute à moi, mon chaton.
Nous nous réinstallons dans le siège. Elle est toute collée contre moi. Nous discutons de ce que nous avons fais. Elle m’avoue que Nancy et elle avait déjà parlé de leur fantasme commun de faire l’amour avec moi. Je suis sidéré. Je n’avais jamais soupçonné leur amour pour moi, et encore moins qu’elles étaient si proche au point d’être capable de parler ouvertement entre elles de ce genre de choses. J’en profite de lui dire que je ne veux plus qu’on ait aucun secret dans la famille, et que de ce fait, je vais devoir tout raconter à sa sœur. Elle approuve parfaitement. Elle me demande même si elle ne veut pas que ce soit elle qui le fasse ; mais je refuse. C’est moi l’adulte de cette famille, c’est ma responsabilité. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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