L’amour d’un père : chapitre 3
Après avoir couché avec ses deux filles, l’idylle d’un père continue.
Proposée le 15/05/2017 par Loco2016 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Chapitre 3 : Mes deux anges.J’ai raconté toute la vérité à Nancy. Je m’attendais à ce qu’elle se montre jalouse ou fasse un scandale, mais ça s’est mieux passé que je ne le pensais. Quand je lui ai demandé comment elle se sentait par rapport à ça, elle m’a dit qu’elle ne pouvait pas être jalouse de sa propre sœur, qu’elle l’aimait, qu’elle savait qu’elles partageaient toutes les deux le même fantasme par rapport à moi, et donc qu’au final, elle était plutôt contente de la tournure des événements. Je me suis senti rassuré. J’avais peur de voir naitre de la rivalité entre les deux.
Depuis, je baise mes deux filles à la maison. Mais attention, Je ne couche pas avec une quand l’autre pourrait nous surprendre. Ce n’est pas une question de faire des cachotteries, mais plutôt de pudeur. L’autre le sait très vite généralement de toute façon : elles se racontent tout. Cela me fait d’ailleurs parfois bizarre quand, même en ma présence, j’entends l’une dire à l’autre des choses du genre : « Papa m’a prise dans la cuisine ce matin quand tu étais en train de prendre ta douche. Du coup, tu veux que je te laisse seule avec lui ce soir ? » Je suis devenu un gode michet humain ou quoi ?
Quand j’ai dis que je les aimais aussi fort l’une que l’autre, je ne mentais pas. Lorsque j’ai envie, je ne vais jamais plus vers l’une que vers l’autre. Je leur donne tout mon amour équitablement. Ce n’est même pas réfléchi, c’est simplement naturel. Ça me fait bizarre tout de même d’avoir deux amantes à la maison. Ce n’est pas toujours facile de faire un choix. « Avec laquelle de mes filles, je vais bien pouvoir baiser aujourd’hui ? » n’est pas le genre de dilemme que je pensais avoir un jour. Elles sont toutes les deux extraordinaires, et si demandeuses. Angela est plus timide, mais beaucoup plus passionnée. Nancy, elle, est en train de se transformer en vrai petit démon. Je les adore, je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, et elles ont l’air tout aussi épanouie.
Je dors rarement seul ces temps-ci. Je suis parfois dans le lit de l’une, parfois dans celui de l’autre. C’est devenu leur nouvelle lubie : me garder pour la nuit. Il n’y a jamais beaucoup de place alors nous nous serrons très fort. C’est idiot, mais j’aime ça.
Je ne sais pas combien de temps cela peut durer. Je sais que ce que nous faisons est interdit, et que je ne pourrais pas toujours les garder rien que pour moi. Il y aura bien un jour où elles auront des petits copains et où elles m’oublieront ; mais pour moi, ce seront toujours mes amours de filles. En attendant, j’en profite un maximum. Même avec leur mère qui était pourtant une sacrée coquine, je n’ai jamais été aussi comblé sexuellement ; ce qui me fait un bien fou après autant d’années sans avoir quelqu’un dans ma vie. Ça reste parfois très éreintant, car ici, je n’ai pas une, mais deux femmes à satisfaire. Ma propre endurance me surprend de temps en temps. Un matin, Nancy vient me sucer sous la douche, et le soir, j’arrive encore à trouver l’envie d’aller dans la chambre d’Angela pour aller la sauter. C’est juste trop bon de leur faire l’amour. J’ai beaucoup de chance de les avoir.
À propos de cette dernière, puisqu’elle n’avait jamais fais l’amour qu’une seule fois, j’ai eu le plaisir de jouer les professeurs avec elle. Je l’ai initié aux nombreux plaisirs du sexe, et lui ai fait découvrir de nombreuses choses. Il y en a qu’elle aime beaucoup, d’autres moins. J’ai été moi-même surpris quand j’ai réalisé qu’elle aimait le sperme. Elle n’hésite pas à avaler, et réclame même parfois que je lui éjacule au visage. Mon petit ange est devenu une perverse, mais je le suis tout autant car j’aime lui jouir dessus et voir sa figure dégouliner de mon foutre. Je crois que sa position préférée est la levrette, bien qu’elle aime aussi beaucoup de me chevaucher.
Sa sœur, elle, est une fanatique de la pipe. Dès qu’on est ensemble et qu’elle s’ennuie un peu, c’est systématique : elle ouvre mon pantalon et me suce. Ce qui n’est pas pour me déplaire. C’est assez divin de regarder tranquillement la télé le soir, pendant que votre fille, allongée sur le canapé, vous fait une fellation. J’ai l’impression qu’essayer de me faire jouir avec sa bouche est comme un jeu pour elle. Un jeu dont je suis ravi de perdre.
Un jour, Nancy me fait une demande inattendue. Elle me confie qu’elle est un peu déçue de ne pas avoir pu m’offrir sa virginité, et que pour réparer ça, elle veux… m’offrir son autre virginité. J’ai eu peur de comprendre, jusqu’à ce qu’elle confirme qu’elle veux que je l’initie à la sodomie. Je suis un peu gêné, mais aussi enchanté. J’ai acheté du lubrifiant, je l’ai bien préparée, et nous avons essayé. Pour sa première fois, je l’ai laissée s’empaler elle-même sur mon gros chibre. Elle a eu fort mal et elle s’est arrêtée là. J’ai eu peur que cette mauvaise expérience ne la dégoutte, mais elle a insisté pour réessayer quelques jours plus tard. Ça s’est un peu mieux passé. Au bout de quelques fois, elle s’était habituée, et je pus même l’enculer moi-même. J’étais si fier d’elle lorsqu’elle a eu son premier orgasme anal.
— Alors ma chérie, tu aimes l’anal, finalement ? lui dis-je.
— Ça va, c’est bon quand on y est habituée. Tu le faisais souvent avec maman ?
— Ma puce, nous le faisions tellement avec ta mère que je me demande parfois comment vous êtes nées.
— Tu es sérieux ? glousse-t-elle. Elle aimait tellement ça ?
— Oh, oui !
— Ça a dû te manquer alors, pourquoi tu ne l’as jamais réclamé ?
— Je ne me serais jamais permis ce genre de choses, mais je suis content que tu l’aies fais. J’ai hâte de recommencer.
— Moi-aussi.
Plusieurs jours plus tard, j’aurais dû m’en douter, c’est sa sœur qui vient de me parler de sodomie. Apparemment, Nancy lui a parlé de ce que nous avons fait, et, sans doute un peu jalouse, elle vient me dire qu’elle veut essayer elle-aussi. Sa démarche ne me plait pas beaucoup. Elle ne veut pas essayer parce qu’elle en a envie, mais plus parce qu’elle ne veut pas être à la traine par rapport à sa sœur. J’accepte néanmoins de l’initier, et je suis surpris en voyant qu’elle s’y habitue bien plus vite que Nancy, et qu’elle y prend très vite du plaisir.
— Papa ! J’adore ! s’exclame-t-elle après son premier orgasme anal. Pourquoi on n’a jamais fais ça avant ?
Ma petite Angela m’épatera toujours.
J’avoue que c’est un pur bonheur de pouvoir enculer une femme à nouveau. Leurs petits culs sont si serrés. Ça m’émeut de me dire que je suis le seul homme à les avoir jamais prise par là. Je voudrais qu’il en reste ainsi pour toujours.
Cela fait des mois que nous baisons maintenant. Je crois que j’ai pris mes filles dans toutes les pièces et dans toutes les positions ; et désormais, par tous les trous. Elles sont formidables, à la fois érotiques, et délicieusement perverses. Je suis amoureux des deux, et nos liens deviennent de plus en plus fort.
Le sexe devient évidemment de moins en moins un tabou. Nous le faisons parfois pour exprimer nos sentiments les plus profonds, mais aussi parfois simplement pour le plaisir. Je ne sais jamais où ni quand cela peut arriver. À chaque fois que je prends une douche, je me demande si Nancy va venir me sucer, ou si Angela va débarquer pour réclamer quelques coups de reins. Je n’ai jamais su leur dire non. Elles sont si belles ; elles me font craquer. Je me lasserai jamais de sauter mes petites femmes.
Un matin, alors que je dormais encore, je me réveille avec une étrange sensation au niveau du pénis. Malgré mon état vaseux, je la reconnais entre toute : à la fois chaud et humide, Nancy est sans doute en train de me faire une pipe. Dans mon lit, au réveil, alors que nous n’avons pas dormi ensemble, voilà qui est nouveau. Je me relève partiellement pour découvrir ses formes sous la couette. La petite coquine s’y est glissée pendant mon sommeil ; j’entends ses bruits de succion. Quand d’un geste, j’enlève ce qui m’empêche de l’admirer en plein travail, j’ai la surprise de constater qu’il s’agit en réalité d’Angela. Je ne la voyais vraiment pas prendre ce genre d’initiative.
— Salut, mon chaton, lui souris-je.
— Bonjour, mon papa chéri. Ça te plait ?
— C’est divin. Continue, ma puce.
Nue, allongé sur mon lit entre mes cuisses, je la regarde faire avec délectation. Elle s’amuse avec mon sexe comme s’il s’agissait d’une sucette. Elle est devenue très douée pour la fellation. J’ai été un bon professeur. Je lui caresse tendrement les cheveux et la nuque, et soupire pour lui faire partager mon bonheur. Elle prend son temps. Elle ne cherche pas à me faire jouir, juste à me donner du plaisir. Elle pourrait faire ça pendant des heures. Je ferme les yeux et me réinstalle dans mon lit. Je me laisse guider par les sensations. Plusieurs minutes passent, puis je ressens quelque chose d’étrange, comme si elle avait pris à la fois mon gland en bouche, et qu’elle me léchait les couilles en même temps. Je rouvre les yeux avec l’intention d’éclaircir ce mystère, pour apercevoir que sa sœur est venue la rejoindre.
— Nancy ? Mais…
— Bonjour, papa, me salue-t-elle.
— Qu’est ce que…
— Angela devait m’attendre. Elle a été vilaine !
— Je suis désolée, se défend-t-elle. Tu as pris trop de temps à te lever. On avait dit sept heures.
Je réalise qu’il s’agit d’un coup monté. Elles se sont arrangées pour venir me sucer toutes les deux. Je suis troublé. C’est la première fois qu’elles font des choses coquines ensemble. En général, nous nous arrangeons toujours pour faire ça séparément. Je ne sais pas pourquoi, je me suis toujours imaginé qu’être en groupe les dérangerait ou que cela leur ferait trop bizarre. Manifestement, je me trompais ; je ne vais pas m’en plaindre, j’en fantasmais depuis longtemps.
— Oooh, mes petits anges, je vous aime.
— Nous aussi, papa. On t’aime, fais Nancy.
— Qu’est ce qui vous prend toutes les deux ?
Je demande ça sur le ton de la curiosité, et non du reproche.
— On s’aime, papa. On s’aime tous les trois. Alors pourquoi devrions-nous nous cacher les uns des autres à chaque fois ?
— On veut faire l’amour, papa, enchérit Angela. Tous les trois. Tu ne veux pas ?
— Bien sûr que si, mes chéries.
Elles reprennent leur divine fellation. Je ne m’étais jamais fais sucer par deux femmes en même temps ; j’ai l’impression d’être au paradis. Elles prennent soin de ma bite comme d’un objet précieux. Elles la cajolent de leurs langues et leurs bouches. Elles se battent parfois pour savoir laquelle va m’avaler. Elles m’échangent à tour de rôle comme si j’étais un jouet.
— Tu aimes, papa ? me demande Nancy.
— Oh, putain, vous êtes merveilleuses, mes puces. Je vous aime si fort.
Angela veut me faire des gorges profondes. Sa sœur, plus habituée à la chose, la guide. Cela m’émeut de les voir s’entraider ainsi, même si Nancy est un parfois un peu brusque :
— Allez, suce-le ! Faut que tu le prennes jusqu’au raz des couilles ! commande-t-elle à sa sœur en lui maintenant la tête pour la forcer sur ma queue.
Angela respire lourdement pour reprendre son souffle lorsqu’elle la relâche enfin, puis elle prend le relais :
— Regarde, je vais te montrer comme il faut faire.
Elle m’engloutit à son tour. Je sens qu’elle est beaucoup plus expérimentée. Elle arrive à me prendre entièrement malgré ma taille. Cette petite tient décidément beaucoup de sa mère. Elle serait fière d’elle.
Elles se remettent à me sucer en même temps. Elles font glisser leurs lèvres de part et d’autre de mon sexe comme pour le masser. De la base, elles remontent et se rejoignent au sommet de mon gland où elles sortent leurs langues pour le lécher ensemble. Ces dernières se touchent à l’occasion comme si elles s’embrassaient à travers ma queue. C’est un spectacle magnifique. Ça me donne envie d’éjaculer. Ça devient très dur de se retenir.
— J’espère que tu ne vas pas jouir trop vite, papa chéri, me lance Nancy comme si elle lisait mes pensées. On a très envie de baiser, nous. On ne fait que commencer.
— Oui, on a besoin de sentir ta queue en nous, enchérit sa sœur.
— Allez ! C’est moi qui commence !
— Hey ! Ce n’est pas juste ! J’étais là la première !
— Ne vous battez pas, mes chéries, interviens-je. Je vous ferais l’amour à toutes les deux.
Angela lâche mon sexe à contrecœur tandis que Nancy grimpe sur moi. Elle attrape mon chibre d’une main, et se l’enfonce délicatement dans le vagin en s’asseyant dessus. La première pénétration est douce et onctueuse. Elle profite un instant de la sensation, avant de remuer le bassin. Elle bondit sensuellement sur ma queue en posant ses mains sur mon torse. Elle gémit bruyamment, en laissant tomber sa tête en arrière. Ce mouvement brusque fait voler ses longs cheveux. Dieu qu’elle est belle. Ma fille, ma propre fille, devenue femme si rapidement. Je suis si bien dans sa chatte. Je pose mes mains sur ses fesses pour l’accompagner. Je suis hypnotisée par la vision qu’elle m’offre. Pendant un instant, j’en ai presque oublié qu’Angela est présente, jusqu’à ce que je sente sa langue me lécher les couilles.
— Angela, ma chérie, qu’est ce que tu fais ? dis-je surpris.
— Tu n’aimes pas, papa ?
— Si, j’adore, mon bébé, continue.
Elle me rend complètement fou. Quand Nancy remonte sur ma bite, elle me passe sa langue sur ma tige, puis elle descend au même rythme que sa sœur. Cela me fait bizarre de penser qu’elle est en train de gouter sa cyprine, car celle-ci mouille bien, je glisse tout seul au fond d’elle. Nancy se penche et m’embrasse comme une amante. Un baiser passionné que je lui rends avec bonheur. Elle me caresse la joue et me fixe du regard d’une femme amoureuse, puis elle me lance un sourire coquin en se redressant.
Elle rebondit de plus belle, puis sort soudainement de moi. Angela profite instantanément de cette occasion pour me prendre en bouche et me sucer.
— Vas-y, suce-le bien, rend-le bien dur pour moi, l’encourage Nancy en lui caressant les cheveux.
Ma cadette goute le vagin de sa sœur sur mon chibre, puis s’interrompt après un instant pour réinsérer ma queue dans sa chatte. Elles font ce petit manège plusieurs fois d’affilée. Je suis sidéré par leur complicité. Elles n’ont aucune pudeur entre-elles. Elles ne sont pas gênées de se voir nue, ni d’être vue par l’une pendant que l’autre fait l’amour, ni d’échanger leur propre fluide corporel. Je ne les imaginais pas si… proche physiquement. En tant que père, cela me rend fier.
— Ça suffit. C’est mon tour, intervient Angela.
— Attends ! Je n’ai pas encore joui !
— Il faut partager, ma puce, dis-je. Je vous ferais jouir toutes les deux, je te le promets.
Déçue, mais résignée, Nancy laisse sa place. Angela s’approche pour se placer au dessus de moi. Elle a l’air si innocente, si timide. On dirait qu’elle a honte d’avoir envie, mais qu’elle ne peut pas lutter contre ses pulsions. Je trouve ça craquant.
À l’instar de sa sœur, elle prend ma queue d’une main et se l’enfonce en elle. Hmm, sa petite chatte me manquait. Elle commence lentement son va-et-vient. Je me sens un peu frustré. Nancy m’a tellement excité en s’éclatant sur ma bite que j’ai envie d’y aller plus fort. J’essaie de respecter son rythme, mais au bout d’un moment, j’ai tellement faim de son vagin que je pose mes mains sur ses hanches et la force à aller plus vite. Je soupire de bonheur, ça commence à redevenir bon.
Nancy s’allonge auprès de moi et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se décollent plus. Je sens Angela accélérer de plus en plus. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle a trop attendu avant d’avoir son tour, ou simplement parce qu’elle était particulièrement en manque avant de commencer, mais elle s’est lancée dans une danse frénétique sur ma bite. Elle a clairement besoin de jouir et elle se sert de mon pieu comme un gode de chair. Son expression, les yeux à moitié fermé, la tête relevée, perdue dans le plaisir, me fait fondre. Je ne peux malheureusement pas profiter de la vue bien longtemps car sa sœur s’assied au dessus de moi, face à Angela, en me présentant sa chatte au visage.
— S’il te plait, papa chéri. Prend soin de moi aussi.
— Hmm, ma petite princesse.
J’attrape ses fesses et lui lèche sa petite chatte. Je confirme qu’elle est mouille bien. Elle me dégouline sur la figure. J’avale avidement son jus d’amour et joue avec ses lèvres. Elle doit apprécier, car elle presse davantage son bassin contre ma tête.
— Oh, papa, c’est merveilleux ! Lèche-moi bien !
Je ne peux pas parler tant j’ai la bouche pleine. Je me régale. J’ai envie de la bouffer. Je n’en reviens pas de ma situation. Je joue avec le minou d’une de mes filles pendant que l’autre s’empale sur ma bite. Les sensations sont tellement bonnes que j’ai envie de me laisser éjaculer. Je sens bien que ce serait un réel soulagement, mais je n’ai pas envie d’en finir si vite. Je veux profiter d’elles encore un long moment.
Je ne vois rien, j’entends des bruits bizarres au dessus de moi. Comme deux personnes qui s’embrassent. Je dois délirer, mes filles ne sont pas lesbiennes, je suis diablement bien placé pour le savoir.
Je sens qu’Angela est à l’agonie. Je souhaite de tout mon cœur lui donner l’orgasme qu’elle recherche, mais je suis hélas prisonnier et ne peux rien faire ; elle va devoir se faire jouir toute seule.
— Je… je vais venir… dit-elle avec un brin de honte dans la voix.
— Vas-y, petite sœur. Jouis sur sa grosse pine, fais Nancy. Nous savons toutes les deux à quel point c’est bon.
— Oui, oui, oui, aaaaaaaaaaaaaaaaah !
Elle gémit, et je sens son vagin se contracter autour de ma queue. Mon chaton est en train de jouir. Je regrette de ne pas pouvoir l’admirer pendant son orgasme, mais sa sœur semble bien en profiter, elle :
— Oh, Angela, tu es si belle quand tu jouis, ma chérie, s’exclame-t-elle.
Je ne sais pas ce qui se passe là-haut, mais pour le moment, je dois avouer que je m’en contrefous. Je suis beaucoup trop excité pour y penser.
Angela s’apaise et se retire, à ma plus grande déception. La sensation de vide autour de mon pénis est une torture. Si nous n’avions été que tout les deux, je l’aurais accompagnée et joui dans son vagin. J’en ai désespérément besoin ; hélas, j’ai une autre femme à satisfaire. J’espère que Nancy ne sera pas trop longue à venir : il faut vraiment que je me vide les couilles.
— C’est à moi, papa, fait cette dernière. Fais-moi l’amour ! Je n’en peux plus !
— Avec plaisir, mon ange.
Angela se met sur le côté pour récupérer, tandis que Nancy se met à quatre pattes sur le lit en me présentant sa chatte. Je craque, j’ai une furieuse envie de la bourrer. Je me lève et vient à sa rencontre. Je place ma queue près de son entrée, quand elle me défend d’y pénétrer en me barrant le passage d’une main.
— Non, papa. Pas par là. Je veux que tu m’encules.
— Hmm, avec plaisir, mon ange.
Je change alors de trou et m’enfonce en elle sans trop de résistance. Avec toute la salive et la cyprine de mes deux filles, je suis bien lubrifié. Je gémis de pur bonheur. Je remue du bassin et commence à lui défoncer son délicieux petit cul. Après avoir été un esclave sans défense pendant aussi longtemps, je n’en peux plus. Je prends ma revanche en lui donnant de puissants coups de bassin. Elle hurle de plaisir :
— Oh oui, papa ! Ne t’arrête pas ! Encule ta fille ! Elle adore ça !
— Aaah ! Nancy, ma princesse !
— Oui ! Vas-y ! Baise-moi comme tu baisais maman !
— Je vais te baiser plus fort encore !
Je sodomise mon ainée sous le regard médusé d’Angela. Elle vient vers nous et regarde avec beaucoup d’intention mon sexe disparaitre dans le cul de sa sœur. Cela semble l’exciter, car elle ne tarde pas à glisser une main sur sa chatte pour se caresser. Elle a joui il n’y a pas longtemps, mais on dirait qu’elle a déjà de nouveau envie. Elle se relève vers moi et m’embrasse. Je n’enlace d’une main. Mes femmes, mes petites femmes à moi. Je suis tellement amoureux. Je veux leur donner tout mon amour. Je me penche vers elle prend prendre ses tétons en bouche. Elle a de si petits seins qu’elle pourrait se passer de soutien-gorge ; cela ne m’empêche pas de les aimer.
Elle s’accroupi au niveau de nos bassins afin de mieux observer ce que je fais à Nancy. Elle a presque son nez collé sur son cul. J’ai l’impression qu’elle bave en regardant mon sexe comme si elle était affamée. Sur une pulsion perverse, je sors totalement du cul de Nancy et lui présente ma queue. Elle le suce sans que je n’aie à le lui demander, mon intuition était bonne. Je m’attendais à ce qu’elle montre des signes de dégout lorsqu’elle réaliserait qu’elle était en train de gouter le cul de sa sœur, mais elle n’en fait rien. Sous ces airs d’innocente, elle est devenue une vraie perverse. Après qu’elle m’aie bien pompée, je me renfonce dans Nancy. La pauvre avait l’air d’avoir du mal à supporter que son trou du cul soit vide, même durant qu’un bref instant. Je la prends par les hanches et la lime comme un animal. J’ai l’intention de nous faire jouir tous les deux. Curieusement, Angela fait le tour et se place à quatre pattes juste à côté de sa sœur. Je ne comprends pas ce qu’elle fait.
— Papa, moi aussi je veux être enculée, fait-elle. S’il te plait, je n’en peux plus.
— Mais tu as déjà joui, mon cœur. C’est au tour de ta sœur, maintenant.
— Ce n’est pas grave, papa, me rétorque Nancy. Encule-la si elle en a envie. J’attendrais.
— Tu es sûre ?
— Oui, évidemment. C’est ma sœur. Je l’aime, tu sais. Je veux qu’elle soit heureuse. Puis je suis certaine que tu en as très envie, toi aussi.
Je ne peux pas nier que j’ai très envie de défoncer le cul de ma petite Angela. Ma petite fille si timide qui aime pourtant autant l’anal. Je me place derrière elle et l’encule d’abord doucement pour me frayer un chemin. J’accélère le rythme lorsqu’elle est bien dilatée.
— Oh… papa !
— Ca va ? Tu es bien ma chérie ?
— Oui, j’adore. Je veux que tu me prennes comme ta petite chienne !
Je m’en donne à cœur joie ; mais quelque part, je le regrette un peu. J’ai vraiment besoin de ma délivrance. Je pensais que Nancy allait venir bientôt, mais maintenant, j’ai une femme de plus à faire jouir avant de pouvoir moi-même éjaculer. C’est tellement bon que ça en devient une torture.
— Encule-moi encore un peu, papa, réclame Nancy. Moi aussi j’ai besoin d’attention.
Je change de trou, et retourne dans ma princesse. Je deviens fou, je ne sais plus où donner de la bite.
— Vas-y papa, encule-nous ! Encule tes filles ! me fait Nancy.
Je change plusieurs fois de partenaire pour essayer de leur donner du plaisir à toutes les deux. J’ai l’impression de participer à une orgie. Mes deux filles restent plantées devant moi, à quatre pattes, totalement soumises, me suppliant que je leur donne des coups de queues. C’est comme si j’étais le maître d’un harem. Elles sont mes choses, je peux en fait ce que je veux. Cela m’excite terriblement.
Elles se regardent l’une l’autre comme pour partager le plaisir qu’elles ressentent. Soudain, il se passe un truc à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Je crois halluciner. Leurs visages se rapprochent, et elles se mettent à s’embrasser. Elles échangent un baiser fougueux et passionné ; je ne sais pas pourquoi, quelque chose me dit que ce n’est pas leur première fois. Je ne sais pas ce que je ressens, ni ce que je suis censé ressentir. Suis-je scandalisé, ou en colère ? Mon besoin d’éjaculer obscurcit mon esprit.
— Angela… Nancy… mais… qu’est ce que vous faites ?! parviens-je quand-même à prononcer.
— Je te l’ai dis, papa, répond mon ainée. On s’aime. On s’aime tous les trois. On veut faire l’amour, tous ensemble.
— Vous… vous êtes bi ?
— Non, rétorque Angela tandis que j’encule encore plus fort qu’avant. Il n’y a qu’avec Nancy que j’ai envie…
— Vous… vous avez déjà baisé ensemble ?
— Ouiiii, me répond-t-elle. Et j’aime ça !
— Cela te dérange papa ? me demande Nancy.
En guise de réponse, je sors d’Angela, et lui défonce le cul comme pour la punir.
— Vous avez été vilaine de me cacher ça ! Vous auriez dû m’en parler !
— Aaah ! Pardon papa ! fait-elle. Nous sommes désolées !
— Papa, tu es fâché ? me demande ma cadette. On ne le fera plus si cela te dérange.
En entendant sa question, je réalise soudain ce que cette révélation provoque chez moi :
— Non. J’en suis heureux. Je suis heureux de savoir que mes filles s’aiment à ce point. Vous avez ma bénédiction. Baisez autant que vous voulez. Je suis si fier de vous. Je vous aime.
— Nous aussi, papa, on t’aime.
Sur ce, elles s’échangent un nouveau baiser sans pudeur. Elles sont si mignonnes toutes les deux. J’essaie d’imaginer mes deux files, seules, en train de faire l’amour. Je devrais peut-être être jaloux, mais au lieu de cela, cela me donne une trique d’enfer. Cela explique tellement de choses. Je comprends mieux leur complicité et leur initiative de ce matin. J’en déduis que les bruits que j’avais pris pour des embrassades tout à l’heure en étaient bel et bien.
Je continue de les enculer chacune à leur tour. Je ne sais plus depuis combien de temps on baise, mais je crois que je n’ai jamais tenu aussi longtemps. J’en peux vraiment plus. Si je ne parviens pas à les faire jouir très vite, je vais plus pouvoir me retenir et je vais lâcher la sauce dans un de leur cul. Par chance, Nancy finit par être frappé par un orgasme. Elle s’écroule sur le lit. Elle est magnifique. Je m’éclate dans le conduit d’Angela en espérant la faire jouir au plus vite. Elle se laisse sauter comme une chienne docile. Elle veut que je l’utilise. Je me sens soulagé lorsqu’elle vient enfin à son tour, pour la deuxième fois de la matinée. Je suis épuisé, j’aurais pu éjaculer dans Angela, mais j’ai envie d’en terminer autrement :
— Nancy, Angela, mes amours, s’il vous plait, aidez papa à jouir ; j’en ai trop besoin.
Je me mets debout sur le matelas en me masturbant, et elles comprennent tout de suite de quoi j’ai envie. Elles se placent à genoux devant moi et commencent à jouer avec ma bite. Quel spectacle splendide. Mes bébés à moi, à qui j’ai donné la vie, que j’ai vu grandir et qui sont aujourd’hui des femmes si désirables. Je les aime de tous mon cœur. Il y a longtemps, j’ai changé leurs couches, et maintenant, je m’apprête à éjaculer sur elles. Elles prennent soin de moi. Elles me pompent les deux pour me faire jouir. Quand je sens que cela vient, je prends ma queue en main pour me finir moi-même. Elles se collent l’une à l’autre, la bouche ouverte, pour se préparer à me recevoir. On dirait deux petites chiennes qui attendent qu’on les nourrisse. Je vais exploser. Mes couilles me font mal à force de retenir leur jus aussi longtemps. Je sens celui-ci grimper jusqu’au champignon, s’arrêter un instant, puis éclater puissamment. Ça y est, enfin ! Après tout ce temps ! Ma bite expulse de copieux jets de foutre. Je leur jouis au visage en hurlant de bonheur. Je vais de l’une à l’autre pour ne pas faire de jalouse. J’en ai une quantité impressionnante. Je les salis bien. J’ai l’impression que je vais mourir et que mon cœur s’est arrêté. Je leur donne tout, jusqu’à la dernière goutte. Lorsque je sens la fin arrivé, je lâche mon sexe, et elles prennent le relais. Elles me branlent pour en faire sortir un maximum, comme si la douche que je venais de leur envoyer n’était pas assez et qu’elles en voulaient toujours plus. Elles me sucent ensuite pour me nettoyer. En retombant partiellement sur terre, je peux remarquer l’étendue du massacre que je viens de faire. Elles dégoulinent de sperme toutes les deux. Je les trouve sublime. Je me sens comme un animal qui vient de marquer son territoire. Elles sont à moi et à personne d’autre.
Quand elles en ont fini avec ma bite, elles me sourient, puis elles s’embrassent amoureusement. Elles échangent le sperme qu’elles ont dans la bouche. MON sperme. Je regrette presque de ne plus avoir de foutre à leur donner pendant que leurs lèvres sont collées les unes aux autres, car si je ne venais pas de jouir, cette vision aurait eu certainement raison de moi. Ma princesse et mon chaton, qui jouent avec mon foutre.
Elles commencent à se lécher réciproquement pour récoler mon sperme sur leurs visages. Elles ressemblent à deux chattes qui font leur toilette. Elles se caressent et se serrant l’une contre l’autre. C’est là que je réalise qu’elle ne mentaient pas quand elles se disaient amoureuses. Je n’en reviens pas. C’est beau de les voir ainsi.
Je les regarde comme ça sans bouger pendant qu’elles finissent de ramasser tout le jus qu’elles ont sur elles avec leurs langues. Elles n’avalent pas ; leur bouche est pleine. Quand elles ont terminées, elles s’embrassent à nouveau. Mon sperme déborde et dégouline sur leur corps nus. Ils tombent sur leur seins et glissent jusqu’au bas de leur ventre. Ce sont vraiment des cochonnes sans pudeur, mais cela m’excitent. Quand elles s’arrêtent, leur front collé l’un contre l’autre, elles se tournent vers moi et me sourient.
— Ça t’a plu, papa ?
— Vous êtes magnifiques, mes chéries. Je vous aime.
— Nous aussi, papa.
Peu après, nous nous allongeons tous les trois sur le lit pour faire une sieste ; une de mes filles sur chacun de mes flancs. Elles reposent leur tête contre mon torse, et je les sers très fort contre moi. Peu m’importe qu’elles soient gluantes : je les aime, et nous formons une famille unie, pour toujours. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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