L’amour d’un père, chapitre 4
L’aventure continue pour ce trio plus que particulier…
Proposée le 19/05/2017 par Loco2016 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Chapitre 4 : Une vie de famille. Je me réveille de notre sieste, mes deux amours à côté de moi. Elles sont encore endormies. Elles sont si mignonnes ainsi pelotonnées contre moi. Je les caresse tendrement. Mes petites femmes… Je les aime si fort. Je suis l’homme le plus heureux du monde. Je n’ai pas envie de me lever, je voudrais rester avec elles pour toujours ; hélas, il arrive bien toujours un moment où on retourne à la réalité. Nous avons pris une douche, séparément, et passé le reste de la journée comme une famille on ne peut plus normale.
Les jours suivants furent assez calmes. Enfin, disons plutôt habituel, avec son lot de baises chacun de notre côté. Je sais désormais que, même si je ne vois rien, elles font l’amour entre elles. J’essaie depuis de les espionner dans l’espoir de les surprendre et de les regarder en secret. J’ai le cœur qui bat à chaque fois que je m’approche discrètement de leurs chambres. Je suis tout le temps déçu, jusqu’au jour où mon fantasme se réalise enfin : elles sont toutes les deux nues, allongées sur le lit, en train de se caresser en s’embrassant tendrement. Leurs yeux pétillent d’amour. Je prie ne pas être arrivé trop tard et que ce soient les préliminaires.
Je sors mon sexe de mon pantalon et commence à me masturber. Nancy est au dessus de sa sœur, et glisse une main vers son entrejambe. Cette dernière écarte les cuisses pour l’accueillir. Elle gémit sous ses doigts. Elle est sous son emprise, totalement soumise. Je vois bien que mon ainée aime ça, je ne suis pas surpris de la voir en dominatrice.
Elle lâche les lèvres d’Angela pour couvrir son corps de baiser. Elle descend lentement vers ses seins et prend les tétons en bouche. Elle les lèche, les aspire, et les mordille. Son amante ondule du bassin sous le plaisir en s’accrochant fermement aux draps. Nancy se place ensuite entre ses jambes et approche son visage de son intimité. Elle se met à lui brouter le minou. Je suis surpris : elle pense au plaisir de sa sœur avant le sien. Je trouve ça adorable. Elle se donne entièrement à la tâche. Elle lance des regards provocateurs à Angela. Celle-ci soupire en se tenant aux barreaux du lit. Sa respiration devient de plus en plus irrégulière. Cela s’empire lorsque sa chatte est envahie de deux doigts pendant que son clitoris est stimulé de coups de langues. Elle mouille tellement que le visage de sa sœur est couvert de cyprine. Au bout de quelques minutes, elle finit par jouir d’un orgasme libérateur. Je la regarde, admiratif. Leur amour est sublime. Je me branle de plus en plus fort.
— C’est ton tour, maintenant, dit Nancy. Fais-moi du bien.
Elle s’assied sur ses coudes à côté d’elle, et écarte les cuisses pour l’inviter à venir. Ma cadette, en bonne soumise, s’exécute. Il y a tellement d’innocence dans ses yeux. Cela me fait encore plus craquer de la voir si coquine. Elle est à quatre pattes en train de lécher la chatte de sa sœur, Nancy prend manifestement beaucoup de plaisir. Elle glisse ses mains dans ses cheveux pour l’encourager. Elle parait bien, détendue, heureuse. Elle fixe sa sœur d’un air amoureux et bienveillant qui me comble de bonheur. Je suis si fier que mes petites filles s’aiment autant, contrairement à ces familles où les sœurs s’entredéchirent.
— Hmm, Angela, tu fais ça si bien. Continue, ma chérie.
Elle remue un peu pour s’installer plus confortablement contre les oreillers. Angela est si passionnée dans ce qu’elle fait. Elle est littéralement collée sur Nancy. De là où je suis, j’ai une vue splendide sur son petit cul rebondi. J’ai du mal à me contenir. Je n’en peux plus de les espionner. M’astiquer ne me suffit pas, j’ai besoin de les baiser ; je meurs d’envie de les rejoindre. Sa fente dégouline de mouille, comme si elle me suppliait que je vienne la prendre. C’est trop. J’ai honte d’interrompre ce moment si intime, mais je ne supporte plus d’être spectateur. J’ouvre la porte et entre dans la chambre. Nancy me sourit à me voyant arriver la bite à l’air. Je me sens rassuré de recevoir son consentement. Je monte sur le lit. Angela n’a pas l’air de se rendre compte de ma présence jusqu’à ce que je la pénètre. Je gémis de bonheur. C’est exactement ce qu’il me fallait : m’enfoncer dans la chatte de mon petit chaton. Elle est surprise, mais ne se rebelle pas. Rien ne peut la distraire de son cunni. J’en profite pour lui faire du rendre-dedans et me faire du bien. Je réalise à quel point j’étais en manque, comme si cela faisait des jours que je n’avais pas tiré un coup, ce qui n’est pourtant pas le cas.
— Alors papa, me fait Nancy. Elle est bonne la chatte d’Angela ?
— Oh, putain, mon bébé, si tu savais !
— Hmm, mais je sais, je viens de la gouter.
— Je sais, ma chérie, j’ai tout vu.
— Tu nous espionnais ? Cela t’a excité ?
— Tellement que je n’ai pas plus me retenir de venir jouer avec vous. Tu ne m’en veux pas ?
— Bien sûr que non. Je t’avoue que j’ai très envie de me faire défoncer par ta grosse queue.
— Tu auras ton tour, je te le promets, mais laisse-moi profiter encore un peu de ta sœur d’abord.
Angela n’a toujours aucune réaction. Elle se laisse faire comme si elle était notre jouet. Cela m’excite terriblement. Elle aussi s’il faut en croire combien elle mouille sur ma bite.
Je lui donne une fessée, puis accélère mon rythme en la prenant par les hanches. Ce que j’aime baiser ma petite fille. Je ne m’en lasserais jamais. Je la pilonne ainsi pendant plusieurs minutes, quand elle s’arrête de lécher Nancy pour me demander :
— Papa, encule-moi, s’il te plait.
— Vraiment, ma chérie ?
— Oui, j’ai envie.
Je suis bien trop heureux pour refuser. Je grimpe sur elle comme un animal et m’enfonce dans son cul accueillant. Je sais que je ne devrais pas la limer aussi brutalement pour commencer, mais je n’arrive pas à être raisonnable. Si je ne devais pas m’occuper de sa sœur après, je me laisserais bien éjaculer dans son cul. Dieu que c’est difficile d’avoir deux femmes à satisfaire.
— Tu es si belle quand tu joues les petites salopes, Angela, s’exclame Nancy. Continue de t’occuper de ma petite chatte.
Elle l’attire vers elle et presse son visage contre son minou. Angela est coincée entre nous deux. Elle est notre esclave consentante dont on se sert pour nous faire du bien.
— Tu aimes l’enculer ? me demande ma grande.
— Hmm oui, le cul de ta sœur est fantastique.
— Meilleur que le mien ?
—Le tien est tout aussi superbe, ma princesse.
— Laquelle de nous deux tu préfères baiser, papa ? Laquelle est la meilleure ?
— Elle n’a pas de sens ta question, ma chérie. Je vous aime toutes les deux aussi fort l’une que l’autre.
— Tu dois bien avoir une préférence.
— Non. Vous êtes différentes, mais vous êtes toutes les deux aussi bonnes. Maintenant que je vous ai gouté, je ne pourrais me passer d’aucune d’entre vous. Vous êtes mes amours !
— Alors baise-nous, papa, baise-nous toutes les deux !
Je vais me gêner ! Je suis accro à mes filles. Je ne veux personne d’autre qu’elles. Elles sont à moi ! Je les ai faites ! Je veux qu’elles m’appartiennent pour toujours.
Angela commence à avoir du mal à se concentrer sur son cunni. La pauvre, elle doit être proche de l’orgasme. Je décide de l’achever en lui donnant des coups plus violents. Elle finit par jouir malgré que son dernier orgasme est encore récent. Elle est incroyable.
— Aaaaaaaaaaaah ! crie-t-elle.
— Papa ! Ce n’est pas juste ! se rebelle Nancy. Il n’y en a que pour elle ! C’était mon tour de jouir !
— Je suis désolé, ma puce. Je vais me faire pardonner.
Angela s’est écroulée sur le lit, perdue dans son plaisir. Nous la laissons récupérer et j’en profite pour m’occuper de sa sœur. Celle-ci s’est entièrement allongée sur le dos, les cuisses écartées pour m’inviter à la prendre. Je me positionne pour pénétrer sa chatte, mais elle m’en interdit l’accès d’une main.
— Non, papa. Je veux que tu m’encules comme elle.
— C’est toi qui décide, ma puce.
Je lui soulève un peu le bassin et l’encule par devant. La sensation est divine.
— Plus fort, papa ! Plus fort ! J’ai trop besoin d’être prise !
Je m’exécute et lui défonce l’anus. Je trouve ça beau de voir ma bite disparaitre dans son trou du cul tandis que sa chatte est inoccupée. Parfois, j’aurais envie d’avoir deux sexes pour la remplir totalement. Je joue avec son clitoris de mes doigts pour accentuer son plaisir. Elle gémit follement.
— C’est bon, ma princesse ?
— Oh oui, papa ! J’adore ! Je suis tellement heureuse de te sentir au fond de moi.
— Moi aussi, je suis heureux de te baiser. Je t’aime, mon bébé. J’ai tellement envie de toi.
— Oh, papa. Fais de moi ta chose ! Je veux être tienne !
— Oui, tu es à moi. Tu es ma petite femme à moi !
Angela se réveille, elle se relève près de moi pour venir m’embrasser. Je lui rends son baiser avec passion. Nos langues s’entremêlent, je goute le jus de Nancy dans sa bouche.
— Papa, j’ai encore envie, me confie-t-elle.
— Encore ?! Mais tu as jouie déjà deux fois !
— Je sais, mais je n’y peux rien, rougit-elle.
— Viens là, dit Nancy. Je vais m’occuper de ta chatte.
Sa dévotion pour sa sœur me surprend et me ravit. Mon chaton se place au dessus de son visage, face contre moi, tandis que Nancy l’attrape par les fesses et commence à la lécher. Le spectacle est d’un érotisme insoutenable. J’en profite pour admirer le corps de mon Angela. Si petite, si frêle, mais si mignonne, avec ses petits seins qui pointent. Je me penche vers elle pour réclamer un nouveau baiser qu’elle me donne avec dévotion. Nous formons une famille si unie, c’est un pur bonheur de baiser ensemble.
J’ai une terrible envie d’éjaculer ; mes bourses pleines hurlent à l’agonie tant elles ont besoin de se vider, mais c’est mon devoir de père de prendre soin de mes filles avant tout. Je caresse ma cadette pendant que j’encule son ainée. Nous avons tous les trois envies que ce moment dure éternellement, mais nous commençons sérieusement à nous épuiser. Je sens qu’Angela n’est déjà plus très loin d’un nouvel orgasme. Je n’en reviens pas que mon bébé soit une telle machine à jouir. Nancy ne doit plus être très loin non plus. Sa respiration est de plus en plus irrégulière. Je la défonce furieusement dans le but de lui donner la délivrance qu’elle recherche tant. Finalement, mes filles jouissent toues les deux ensembles. Je les envie, et regrette de ne pas les avoir rejoints. Angela s’écroule sur moi et je dois la soutenir pour ne pas qu’elle ne tombe.
— Jouis, ma puce. Jouis, dis-je pour l’encourager.
Elle est toute tremblante. Elle est si mignonne quand elle jouit. En dessous de nous deux, Nancy est également en plein orgasme. Ses cris sont étouffés par la chatte de sa sœur. Je me retire de son cul, fier d’avoir accompli mon devoir ; mais j’admets être impatient que ce soit mon tour.
Je les laisse retrouver lentement leurs esprits. Angela est toujours toute collée contre moi. Je l’embrasse amoureusement en lui écartant une mèche de cheveux.
— Ça va, mon chaton ?
— Oui, papa, c’était merveilleux. Mais toi, tu n’as pas jouis ? me demande-t-elle.
— Non ma chérie, pas encore.
— On va l’aider, intervient Nancy en se relevant. Viens.
Je me doute bien qu’elle a quelque chose en tête. Je me laisse faire dans l’attente de la suite.
— Allonge-toi, papa. On va prendre soin de toi. Si tu es si curieux, on va te montrer ce que nous faisons lorsque nous sommes que toutes les deux. Tu veux bien Angela ?
Celle-ci hoche timidement de la tête.
Je me mets sur le dos, la verge dressée, tandis que Nancy donne des instructions à sa sœur :
— On va le faire éjaculer avec nos chattes, comme quand on se frotte toutes les deux, d’accord ?
Elles s’asseyent ensemble sur moi, au niveau de mon bassin, ma queue entre leurs intimités. Elles positionnent leurs jambes en ciseau l’une contre l’autre et commencent à remuer. Je n’avais jamais vu ni expérimenté quelque chose d’aussi incroyable. Elles me massent la bite avec leurs chattes, elles grimpent et descendent le long de ma verge uniquement pour me faire du bien.
— Tu aimes, papa ? me demande Angela.
— Oh, mes petites chéries ! Mais où avez-vous appris un truc pareil ? Vous êtes fantastiques !
— Tu vas bientôt jouir ?
— Oh oui, je ne vais pas tarder si vous continuez comme ça.
— Jouis pour nous, papa, enchérit Nancy. On veut te faire éjaculer.
Elles s’activent de plus en plus vite. C’est divinement bon. Elles me lubrifient avec leurs mouilles ; ça glisse tous seul. J’ai besoin de jouir ; je n’en peux plus. Je pousse un râle lorsque je sens enfin mon jus monter le long de ma tige. Je vais éjaculer ! Pour mes filles ! Pour mes adorables petits anges ! J’explose comme une fontaine et les arrose de foutre. Elles s’exclament d’admiration devant la force de mes jets. J’expulse une quantité incroyable de sperme comme si j’extirpais un poison de mon corps qui me faisait mal. Il faut que je m’en débarrasse, il faut que je me vide. Mes giclées retombent équitablement sur leurs deux ventres. Mes filles continue leurs mouvements et de me traire jusqu’à la dernière goutte. Elles ne s’arrêtent lorsqu’elles se sont assurées que plus rien ne sort de ma queue. Je suis dans les vapes, épuisées physiquement et mentalement par cette baise torride.
Lorsque j’arrive à me relever, nous nous enlaçons et nous nous embrassons. Heureux d’avoir partagé ce moment si intime ensemble. Nous sommes amoureux, et rien ne pourra jamais nous séparer.
Notre vie de tous les jours a bien changé depuis ce jour-là. Nous avons passé un nouveau stade dans la dépravation. Avant, pour baiser, je devais me cacher avec une de mes filles pour que l’autre ne soit pas gênée en nous surprenant, mais aujourd’hui, nous baisons n’importe où sans plus aucune pudeur. Je n’avais pas connu une telle liberté depuis leurs naissances, hormis qu’ici, c’est encore différent, puisque j’ai deux femmes rien qu’à moi. Cela conduit parfois à des situations assez cocasses. Un jour, j’encule Angela par devant sur la table de la salle à manger. Elle est allongée sur le dos et j’ai ses jambes sur mes épaules. Quand sa sœur débarque, elle se contente d’un « Salut papa, salut frangine », avant de s’en allere la façon la plus naturelle du monde, comme si c’était normal. Le pire, c’est que je m’y habitue moi-même. Je ne me suis même pas arrêté ; je lui ai juste répondu bonjour tout en donnant mes coups de reins. Ma cadette, elle, était trop enivrée par le plaisir pour réagir à sa présence. Nous avons continué après qu’elle soit partie. J’ai fais jouir mon chaton, puis j’ai éjaculé dans son cul.
Ce genre de scène insolite arrive désormais très souvent. L’autre fois, je prends Nancy en levrette dans sa chambre, puis Angela arrive dans la pièce. Elle nous regarde un moment, à la fois honteuse et excitée. Elle s’installe sur une chaise sans rien dire pendant que nous poursuivons notre ébat. Au bout de quelques minutes, elle n’en peut plus et se met à se masturber devant nous. J’ai de la peine pour mon bébé : elle a manifestement très envie de nous rejoindre, mais elle n’ose pas nous déranger. Je finis par demander à Nancy :
— Cela te dérange si je m’occupe un peu de ta sœur ? On ne peut pas la laisser comme ça.
— Pas du tout. Je vais t’aider.
Nous nous approchons d’Angela, toute penaude, toute timide. Nancy ne perd pas de temps pour s’agenouiller devant elle et lui lécher la chatte. Elle écarte les cuisses sous ses caresses. Moi, je lui présente mon sexe pour qu’elle me suce pendant je joue avec ses seins. Peu après, nous nous retrouvons sur le lit à baiser tous les trois. Nous formons décidément un trio fantastique. Aucun de nous n’est jamais en reste. Cela m’excite toujours follement de voir mes filles s’embrasser et se caresser ; on dirait deux anges. Si je ne savais pas qu’elles m’aimaient autant, je serais jaloux de leur amour. Au lieu de ça, j’ai la chance de pouvoir les regarder en train de jouer avec leurs minous et de participer en les sautant. C’est si beau de voir deux femmes exprimer physiquement leur amour. Je suis d’autant plus fier en sachant que ce sont mes filles. Leur façon qu’elles ont de se lécher leurs intimités me parait si tendre et si intense à la fois. J’ai l’impression de gêner et d’être de trop parfois.
Je les baise par tous les trous. Après avoir jouies toutes les deux, Nancy me fait éjaculer dans sa bouche, avant de partager ma semence avec sa sœur. Elles ont tout avalé jusqu’à la dernière goutte, se nettoyant l’une l’autre à coup de langues. Cela me rend fou. Je fais tout pour rebander, et à la seconde où je redeviens dur, je les prends à nouveau. J’ai essayé de me retenir un maximum, mais je finis par craquer, et je jouis dans la chatte de Nancy. Angela, malgré son air timide et coincée, vient la lécher pour y récolter mon sperme. Je suis sidéré de la voir aussi affamée de foutre. Elle enfonce sa langue le plus loin possible pour en avoir un max, puis la remplace par deux doigts pour essayer de faire sortir ce qui reste au fond. Elle garde tout pour elle et ne laisse rien à sa sœur comme une égoïste ; mais elle se fait pardonner ne la faisant jouir avec un cunni. Pour la remercier, Nancy la fait jouir à son tour de ma même façon. Lorsqu’elles s’enlacent l’une contre l’autre, je me sens définitivement de trop, et les laisse seules profiter de ce moment câlin.
Si Angela fait toujours sa timorée, Nancy devient parfois une vraie salope. Un soir, je prépare le dîner. Elle vient voir ce que je fais en me demandant ce qui sent si bon, puis s’installe sur une chaise en me regardant à l’œuvre. Je ne fais pas trop attention à elle, quand je la vois en train de se déshabiller et de se masturber. J’essaie de rester impassible et de faire comme si de rien était. Je me dis que ce n’est pas grave, elle est juste un peu fofolle, c’est dans son caractère. Elle ne me regarde même pas pour essayer de m’allumer, ni rien, on dirait juste qu’elle veut se donner un peu de plaisir sur l’impulsion du moment.
Peu après, je remarque qu’elle est mise complètement nue. J’ai du mal à détacher mon regard d’elle. Elle est si belle, si jeune ; avec ses petits seins qui tiennent dans la main. Sa chatte glabre dégouline de mouille, et je bande si fort que j’ai une terrible envie de m’y enfoncer et de la baiser. Je finis par craquer quand elle me demande « Papa, j’ai envie de jouir, tu ne veux pas m’aider ? ». Je laisse tout en plan, et je la saute sur la table de la cuisine comme une trainée. Je lui bouffe les seins et lui suce la langue. Quand je l’encule par derrière, son torse pressé contre le meuble, c’est le moment où Angela décide de débarquer.
— Papa ! Et le repas ?! s’indigne-t-elle. J’ai faim, moi !
— Désolé ma chérie. Je finis d’abord avec ta sœur, puis je m’en occupe. Tu veux, bien ?
— D’accord, mais seulement si c’est moi qui ait le sperme !
Je continue ainsi de sodomiser Nancy, et quand je me sens venir, j’avertis Angela qui se met à genoux et me finit dans sa bouche. Elle m’avale directement à la source. Sa sœur se plaint qu’elle ne lui a rien laissé, mais je lui rappelle que c’était le marché. Elle fait un peu la gueule, mais elle s’en remettra. En général, je suis un bon cuisinier, mais j’avoue que le diner a été un peu cramé ce jour-là.
Nous dormons la plupart du temps tout ensemble dans ma chambre. J’adore sentir mes filles blotties contre moi avant de sombrer dans le sommeil. Cela me fait sentir si bien. Je me réveille parfois avec une belle surprise, comme lorsqu’elles me font une pipe. Dans certains cas, elles me font jouir dans la bouche et se partage mon sperme, dans d’autres, ce ne sont que des préliminaires pour une baise du matin. J’aime aussi ouvrir les yeux pour les découvrir en train de se caresser ou se brouter le minou. Elles sont si mignonnes quand elles font l’amour, c’est si agréable à regarder. Je me contente d’observer en me masturbant, lorsqu’elles ont terminé, elles viennent m’aider à éjaculer à mon tour. Je suis toujours étonné de voir à quel point elles sont affamées de sperme ; elles sont vraiment comme leur mère.
Je les surprends un jour à faire l’amour toutes les deux dans la chambre d’Angela. Elles sont en ciseau, comme la fois où elles m’ont fait éjaculer avec leurs chattes ; sauf qu’elles ne sont pas entravées par ma bite cette fois. Je les trouve étrangement un peu trop éloignées l’une de l’autre pour se frotter le minou, puis je comprends. Je vois que l’argent de poche que je leur donne est bien dépensé : elles ont acheté un double gode ! Les petites salopes ! Elles ont chacun un bout enfoncée en elle et elles remuent pour se faire du bien. Puisque je n’ai plus besoin de me cacher comme autrefois, j’entre dans la pièce et me masturbe devant elle en les regardant. Cela les excite tout autant que moi.
— Tu aimes ce que tu vois, papa ? me fait Nancy.
— Hmm, oui. Je ne savais pas que vous aviez ce genre de jouet.
— On en a d’autres. Je te les montreras si tu veux.
— Avec plaisir.
Elle prend l’engin d’une main et le fait coulisser plus fermement dans leurs chattes. Sa taille est impressionnante. Il est encore plus gros que moi ; et pourtant, je suis bien monté. J’ai une pensée pour ma petite Angela, de nature si étroite, qui doit être complètement déchirée. Elle a l’air pourtant de prendre son pied. Je suis épaté qu’elle soit capable d’enfilé un si gros calibre sans problème. Cela me rend fou de voir son air si innocent pendant qu’elle fait des choses si coquines.
Elles changent de position. Elles se mettent à quatre pattes, leurs culs collés l’un contre l’autre, le gode toujours dans leurs chattes. Elles s’empalent toutes les deux dessus pour se faire du bien. La scène est incroyable. Je m’approche pour mieux observer le jouet glisser en elles. Je ne peux pas m’empêcher d’embrasser leurs fesses et de les caresser. Elles sont si jeune et si belle. J’ai faim de leur corps. Je leur mets un doigt dans le cul à toutes les deux, pour qu’elles se sentent pénétrées par les deux trous en même temps.
Je présente mon sexe à Angela, elle m’avale sans se poser de question. Elle est hélas trop déconcentrée par le gros engin qu’elle a dans le minou pour bien me sucer, alors je l’attrape par la tête et lui baise tendrement la bouche. Elle joue avec sa langue pour me donner un max de plaisir.
Je l’abandonne et me dirige vers sa sœur pour lui réclamer le même traitement. Elle essaie de garder l’équilibre en se tenant sur une seule main pour me branler avec l’autre pendant qu’elle me fait sa fellation. Elle sort ma queue pour me lécher la tige et remonter sur le gland. Je soupire de bonheur. Elle ressemble tellement à une chienne que j’aurais presque envie de lui gicler à la figure.
— Papa, j’ai envie de baiser avec toi, me fait Angela.
— Cela va être difficile, mon chaton. Tu as la chatte déjà bien remplie.
— Si ce n’est que ça, on peut se débarrasser du gode, répond Nancy. Moi aussi j’ai très envie de ta queue, papa.
Elles se retirent le jouet du vagin, et se placent en soixante-neuf pour se brouter le minou. Angela est au dessus de sa sœur. Je m’approche derrière elle. J’ai envie de la baiser, mais je ne voudrais pas gêner Nancy qui est déjà bien occupée avec sa chatte. Je décide donc de l’enculer. Elle gémit de plaisir. Je lui monte dessus et me mets à la défoncer. Son cul est si étroit, c’est tellement bon. Mon bébé d’amour, je l’aime si fort. Elle mouille tellement qu’elle dégouline sur sa sœur. J’entends des bruits de succion. Nancy est littéralement en train de la boire.
Je sens peu après sa langue sur mes couilles. Elle prend mes boules en bouche et joue avec.
— Chérie, qu’est ce que tu fais ? Je vais jouir dans ta sœur si tu continues comme ça.
— Je n’en peux plus de regarder ta bite, j’ai trop envie de te sucer, papa.
Ma pauvre chérie. Je sors du cul d’Angela et le lui fait gouter. Elle saute dessus comme une affamée. Elle me pompe comme elle peut vu sa position. Elle me lubrifie bien, puis je retourne dans l’anus de ma cadette.
— Aaah ! Oui ! soupire cette dernière.
Nancy ne doit rien rater du spectacle. Elle est aux premières loges pour observer mon chibre entrer et sortir de ses intestins. Cela lui donne terriblement envie, au point qu’elle finit par craquer et me supplie :
— Papa, pitié, j’en veux aussi. Viens me baiser !
Je n’ai pas le cœur de la torturer d’avantage. J’arrête ce que je fais et viens me placer devant sa chatte. Angela est déjà occupée avec, mais je lui demande gentiment :
— Je peux ?
— Oui, papa, j’ai très envie de la regarder pendant que tu la baises.
Je la pénètre lentement et entame mon va-et-vient. Aaaah ! C’est si délicieux. J’aime chacun des trous de mes filles. Je ne tarde pas à accélérer le rythme. Angela fixe d’un air méduser mon chibre disparaitre dans le con de sa sœur. Elle se met à lui lécher le clitoris et dévie de temps en temps sur ma queue. Je la sors parfois pour lui demander me sucer, avant de retourner besogner ma princesse. Elle me prend en bouche avec beaucoup délectation, et me donne beaucoup de plaisir.
J’adore nos petites parties à trois. J’y suis de plus en plus à l’aise. Je change de partenaire régulièrement tandis qu’elles continuent à se brouter. Je les prends par tous les trous ; les baise et les encule à tour de rôle. Nous nous arrêtons lorsque Nancy jouit sous les caresses de sa sœur, je n’étais même pas dans un de ses orifices quand c’est arrivé. Cela m’émeut toujours quand elles se font jouir entre elles. Angela est cependant loin d’en avoir terminé. Je m’allonge sur le lit, et elle me grimpe dessus pour s’empaler sur ma bite. J’adore observer ma petite fille tellement en manque de bite qu’elle me chevauche comme une forcenée. Les mains sur mon torse, elle se donne du plaisir toute seule. Je me contente de la regarder et de la caresser.
— Tu es belle, mon ange, lui dis-je.
— Je t’aime, papa, me répond-t-elle.
J’ai du mal à me retenir de jouir en elle. J’ai peur que sa sœur retrouve ses esprits et vienne me réclamer de l’attention par après. Je ne tiendrais sans doute pas jusque là. J’entends des bruits bizarres derrière, comme des cliquetis. Je crois halluciner quand Nancy arrive dans mon champ de vision :
— Ma puce ?! Qu’est ce que c’est que ça ?!
— Un gode ceinture. On l’a acheté il y a deux semaines. Tu ne voulais pas voir nos jouets ?
C’est la première fois que j’en vois un en vrai. Ca m’excite de l’imaginer en train de l’utiliser pour baiser sa sœur. Elle l’a déjà équipé, et tire sur les sangles pour se l’ajuster. Je me demande ce qu’elle compte en faire, puis je pense avoir soudain la même idée qu’elle. Ooooh, ma petite perverse. Je crois que ce sera une première pour tout le monde. Je m’arrête en pressant Angela contre mon torse pour l’embrasser, et je lui écarte tendrement les fesses. La pauvre ne se doute toujours de rien. Nancy vient discrètement derrière elle, et positionne le bout de l’engin à l’entrée de son cul.
— Mais, mais… qu’est ce que vous faites ?! s’exclame Angela, effrayée.
— Nous allons te faire du bien tous les deux. Tu ne veux pas ?
Elle n’a pas le temps de formuler une réponse que Nancy l’encule avec le gode. Elle pousse un cri de douleur. Elle est prise par les deux trous en même temps. Je sens moi-même une présence se frotter contre mon sexe dans son vagin. Nancy s’active dans son cul. Je me sens un peu honteux, on est tous les deux en train de la sauter sans lui avoir demandé son avis. Elle n’arrête pas de hurler. Inquiet, je lui demande tout de même :
— Ça va, ma puce ? Tu veux qu’on arrête ?
— Naaan ! C’est booon ! Je veux que vous me donner tous les deux votre amouuuuuur ! Aaaaah !
Rassuré, je remue du bassin plus vigoureusement. Ma pauvre chérie est complètement déchirée. Elle s’écroule sur moi en nous demandant de continuer. Nancy lui donne des fessées en l’insultant de tous les noms :
— Aaah ! Notre petite salope qui aime se faire prendre par tous les trous. Je savais que tu aimerais ça, tu es la pire d’entre nous !
Elle a raison. Sous ses airs innocents se cache une véritable perverse assoiffée de sexe, mais je l’aime comme ça.
Nancy lui donne de puissants coups de bassin. Angela ne sait plus où elle est. Elle est devenue une poupée de chair qui attend qu’on lui donne la délivrance de l’orgasme. Nous nous y attelons tous les deux avec beaucoup de vigueur, quand elle jouit enfin. Je crois qu’elle n’a jamais jouis aussi fort de sa vie. Elle crie à bout de souffle. Les contractions de son vagin ont raison de mon endurance, et je jouis à mon tour. Tant pis pour Nancy si elle avait d’autres plans pour la suite. J’éjacule dans mon bébé pour la remplir d’amour. Je gicle dans sa chatte en y déversant tout mon sperme. Je la sers fort contre moi en lui mordillant le cou. Quand je suis complètement vidé, elle tremble encore sous son orgasme qui n’en finit pas. Je suis si heureux pour elle ; je l’envie.
Elle reste ainsi collée à moi pendant de longue minute sans bouger. Je la caresse tendrement. Nancy vient nous rejoindre en s’allongeant sur elle. Je plie sous le poids de mes deux maitresses. Il faut plusieurs minutes à Angela pour émerger. Elle rouvre les yeux en reprenant lentement conscience d’où elle est.
— Ça va, mon ange ? lui dis-je. Tu vas bien.
— Oui, répondit-elle timidement.
— Tu as aimé ? Tu n’es pas fâchée ?
— Non, je ne suis pas fâchée. J’ai beaucoup aimé. Je… je voudrais bien recommencer un jour.
Ma petite perverse à moi, je l’adore. Nous restons ainsi un moment tous les trois, avant de sortir du lit.
Il ne nous a pas fallu longtemps pour recommencer ; sauf que cette fois, c’est moi qui étais dans son cul. Nous l’avons fait jouir, puis j’ai sauté Nancy jusqu’à en jouir dans sa chatte.
Angela est rapidement devenue accro à la double pénétration, au point que c’est elle qui le réclame la plupart du temps :
— AAah ! Nancy ! Je veux être remplie par les deux trous ! supplie-t-elle alors que je l’encule.
Sur ce, mon ainée va chercher sa ceinture pour la baiser.
Lorsque je suis seule avec elle, je lui enfonce parfois un plug anal pour qu’elle ait la sensation d’être envahie de partout quand je la prends. Je lui ai acheté ce nouveau jouet pour son anniversaire, elle en était ravie. Parfois, quand je viens la voir pour lui faire l’amour, je découvre avec surprise qu’elle se l’était fiché toute la journée. Cela m’excite de l’avoir aussi coquine. J’aime jouer avec pour admirer son cul dilaté, et surtout le retirer pour le remplacer par ma queue.
Le gode ceinture n’est pas utilisé que pour la double pénétration. J’aime regarder mes deux filles s’en servir pour baiser. Nancy est loin d’être toujours la seule à la porter. Ça me fait tout drôle de voir ma petite Angela ramoner sa sœur comme un homme. À ce que j’ai compris, il y a un bout qui lui rentre dans la chatte pour que cela lui fasse du bien à elle aussi. C’est mignon de les voir jouir ensemble de cette façon.
Les jouets sont mis à rude contribution durant nos ébats à trois. C’est pervers, mais j’aime ça. Nancy n’a jamais osé la double pénétration, cela me fait drôle de réaliser que la plus libérée n’est pas la plus tordue. Quand Angela la baise avec la ceinture, je me contente de me faire sucer. Voir ma grande soumise en levrette en se faisant prendre de toute part n’a pas de prix. Sa sœur en profite bien pour se venger de ce qu’elle lui fait généralement subir. Cela m’excite beaucoup de voir les rôles s’inverser. Regarder ma Nancy, fière et allumeuse, se faire dominer par la plus jeune, d’habitude timide et timorée, est un spectacle magnifique. Surtout vu comment elle y prend son pied. Qui l’aurait cru.
À une occasion, j’ai poussé la perversité jusqu’à enculer Angela alors qu’elle prenait sa sœur en missionnaire. C’était une autre façon de lui remplir les deux trous. Je la pris brutalement à genou sur le lit en la serrant contre moi. Mes coups donnaient le rythme à tout le monde. Cela me donnait l’impression de baiser les deux en même temps. Je les ai faites jouir ainsi, avant d’éjaculer dans le cul d’Angela. Nancy est venue après lui lécher le fion pour récolter mon sperme. Se nettoyer de la sorte après que j’ai joui dans une est une chose qui arrive souvent désormais, et dont je ne me lasse jamaiss de regarder.
Après moult insistances de ma part et de sa soeur, Nancy a fini par accepter d’essayer la double pénétration. Elle en avait envie depuis toujours, mais cela lui faisait peur. Elle n’était pas du tout rassurée, mais nous avons été très tendre avec elle. Nous l’avons prise tous les deux et nous l’avons faite jouir.
— Oh mon dieu, mes petits amours, fit-elle après nos ébats, si j’avais su que c’était si bon, je l’aurais réclamé moi-même depuis longtemps.
Depuis, nous l’avons refait à plusieurs reprises. Nous n’avons décidemment aucune limite dans notre débauche, mais nous sommes un trio heureux et comblé. Une vraie petite famille.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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