Le bel Algérien
Nathan à 17 ans et est étudiant en rétho. C’est un bon élève, garçon plutôt discret et solitaire…
Il faut dire que, les relations, aussi bien avec les mecs qu’avec les filles n’ont jamais été faciles pour Nathan.
Puis un jour, ce beau garçon ..
Proposée le 23/10/2017 par Feuille Morte Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: InclassableType: Fantasme
Nathan à 17 ans et est étudiant en rétho. C’est un bon élève, garçon plutôt discret et solitaire…
Il faut dire que, les relations, aussi bien avec les mecs qu’avec les filles n’ont jamais été faciles pour Nathan.
En effet, il traine souvent avec des filles de son école, et, le courant passe vraiment bien, mais, avec les mecs,
c’est différent, c’est le malaise…
Impossible pour lui de soutenir le regard avec un autre mec, que ce soit un inconnu ou un ami proche…Un peu comme si, quand les gens fixent ses yeux, il avait peur que l’on puisse « voir tout un tas de choses enfuit en lui »
C’est peut-être dû aux questions qu’il se pose sur sa sexualité, enfin, toutes ces choses la quoi…Outre le fait qu’il soit un bon élève, toujours discret, cela fait un moment que son esprit est ailleurs pendant les cours…Ailleurs, mais pas n’importe où, non, il est obsédé par un de ses amis, Amir.Dans notre petit groupe il y a donc Amir le bel Algérien, Alberto un Italien à qui je parle peu et Sam, un grand gaillard.C’est ce garçon, là-bas , que je peux observer de dos, assis 2 bancs en face à droite, avec sa tignasse frisée noir charbon
et sa peau brune, typiquement Maghrébine où Arabe, je ne sais pas trop, mais cette peau me pousse à imaginer les choses
les plus folles. Elle me donne envie de le toucher, le caresser puis de le chatouiller et mordre sa peau puis de…. Je ne compte plus mes nuits occupées à me masturber frénétiquement en pensant à lui ou il me surplombe avec ses bonnes épaules
et ses muscles d’homme du désert en repensant à son odeur corporelle que je n’oublierai jamais et dont je ne serai jamais écoeuré.Je me souviens que part un jour d’été en cours de chimie, assise à coté de lui, je respirais l’odeur de sa transpiration,
ce qui me permettait d’imaginer un peu plus les sensations que j’aurais si je pouvais m’allonger sur lui et me blottir contre son torse.*La sonnerie de l’école retentit****- Bref je m’égare, il faut que j’aille en gym, pour une fois que je n’ai pas oublié de prendre ma tenue.« Encore à la limite du retard Nathan, mais qu’est-ce que tu fout entre le cours ? Me dit monsieur Hilbert, mon professeur de gym.
-Votre local est juste pourtant en bas à droite et les autres arrivent à l’heure…
-Rien, je…j’étais aux toilettes quoi… ( J’étais habitué à me masturber après la plupart des cours que j’avais avec Amir)
-Bon, file dans les vestiaires te changer, les autres y sont toujours et le cours va commencer. » J’entre alors dans le vestiaire et je vois la plupart des autres garçons effectivement changés ou encore en torse nu…. Il ne reste plus vraiment de place sur les bancs pour me changer alors je décide d’aller m’incruster là où c’est encore possible.Je me rends compte que je suis entouré d’un mec que je ne connais pas et de l’autre côté voila que se trouve Amir en slip.
Il ne m’a pas encore vu, trop occupé à chercher quelque chose dans son sac, penché vers celui-ci dans un slip un peu trop…serrant. Je ne peux m’empêcher de jeter de petits regards furtifs vers ce corps bien baptis, ses jambes poilues mais pas trop,
en passant par son ventre agréable et sec à son torse imposant, tout en essayant de me changer sans tarder.( Il me jette un regard amusé ) »Merde, je pense qu’il m’a repéré. » « Bon, je fais comme si de rien n’était et j’enfile ces chaussures. » « Pourquoi ce sourire…étrange de sa part ? »
« Ça me trouble, on est pote depuis quelques années mais on parle jamais vraiment, puis il ne sourit pas souvent, alors pourquoi…Voilà que les 2 heures de cour de gym viennent de se terminer. »Qu’est-ce qu’il a un de ces culs dans sa tenue de gym… »***-On est transpirant et on est bon pour se doucher, chose que je déteste faire à l’école… »Mais bon, faut pas que tu passes pour un dégueulasse, puis l’autre connard de Kevin n’est pas là aujourd’hui pour me les casser
dans les douches et encore m’humilier…
Allez vous faire foutre ceux qui disent que la confiance en soi est un choix, c’est du bullshit. »( Pour la petite histoire, je suis assez petit pour mes 17 ans et je n’ai pas une constitution physique très imposante,cela doit contribuer au manque de confiance que j’ai en moi )Monsieur Hilbert : « Me faut 3 solides gaillards avant de renter aux vestiaires pour ranger le matériel, ey je vois que presque tous sont déjà partis…
Amir, Maxime et Nathan, allez !
« Bordel, je vais encore rater mon bus ! Mais bon, c’est Hilbert qui le demande après tout… »
Vous serrez surement les derniers et moi je dois m’en aller, je vous laisse les clefs pour fermer les vestiaires les gars ! »Retour aux vestiaires donc, je commence à me déshabiller et à sortir ma serviette…
Maxime semble avoir disparu, il a été rapide.
Reste Amir.Une fois nu, j’enroule ma serviette autour de mes hanche pour entrer dans les douches, par soucis de pudeur. »Je sais bien qu’Amir ne prend jamais de douches. »Enfin, c’est ce que je pensais, jusqu’à ce qu’il entre pendant que je nettoyais mes longs cheveux avec du shampoing.Je ne le vis pas dès le début, faisant dos à la porte d’entrée, ni le n’entendis à cause du bruit de l’eau.Il avait vue sur mes fesses.***-C’est quand je sentis une main se poser sur mon épaule *sursaut * que je me retournai et qu’on se fit fasse, nus.
J’étais terriblement gêné et je cachai mon sexe par reflexe avec une grande rapidité.
J’osais à peine le regarder dans les yeux.
Lui, n’avait pas l’air plus gèné que ça.Alors s’ensuit un silence, ou nos corps nus, le sien plutôt musclé et bien tracé typé Nord-africain, étaient figés l’un devant l’autre.
(Ce qui me gênait le plus c’était la vue de sa grosse queue qu’il laissait pendre devant moi sans trop de gènes,
son gland rosé ressortant même à moitié…)Le silence fut encore plus pesant quand l’eau cessa de couler.Toujours dans cette même situation, j’essayai d’articuler, de formuler quelque chose mais le trouble en moi
n’était que plus grand et toujours plus fort quand j’eus la certitude de voir que son pénis était plus ou moins en érection,
ce qui était dur à déterminer vu l’imposante queue qu’il avait déjà au repos.Quand il comprit ce que je regardais, il commenca à rigoler. J’en fis autant. « ça pourrait passer. »