Le copain de ma proprio 1
Histoire vraie de ma rencontre avec Jean-Pierre, nouveau copain de ma propriétaire. Naturiste comme moi, cet homme d’âge mûr, sympathique mais directif est doté d’une bite superbe et adore insulter et baiser les salopes comme moi, surtout quand elles portent leur petite lingerie…
Proposée le 17/06/2021 par guillemette30 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Hier, je suis rentré chez moi vers 16 heures. Il faisait une chaleur épouvantable, caniculaire, même dans le jardin ombragé de la villa dans laquelle se trouve mon appartement. En refermant le portail, je remarquai une peugeot 308, que je ne connaissais pas, garée devant le garage. « Tiens, sûrement une nouvelle conquête de Jasmine », me dis-je, connaissant l’intérêt prononcé que porte ma propriétaire à la gente masculine.Agée de 65 ans, encore bien foutue, avec de gros seins lourds qui semblent toujours vouloir sortir de son corsage, je l’entends presque tous les soirs se faire sauter pendant des heures. Elle ne m’a jamais attiré, mais c’est très excitant d’entendre ses cris de jouissance, à cette pute ! A force, je suis devenu expert dans leur interprétation. Je sais quand elle jouit par la chatte ou quand elle se fait défoncer le trou du cul.
Je traversai l’agréable jardin et me dirigeai vers la porte d’entrée principale, l’ouvrai puis m’apprêtai à monter les escaliers menant à mon logement, au premier étage. C’est alors qu’un homme d’une soixantaine d’année, un tournevis à la main, surgit de l’autre appartement et tomba nez-à-nez avec moi. Il était entièrement nu, hormis une paire de tongues.
« Salut, tu dois être G., le locataire, me lança-t-il d’un ton jovial, sans chercher en aucune manière à cacher sa nudité ou à masquer son sexe qui, je dois le dire, était de belle taille. Je suis Jean-Pierre, le copain de Jasmine, continua-t-il tout en s’avançant pour que l’on se serre la main. Je suis naturiste, j’espère que ça ne te choque pas trop ?… J’aime vivre nu chez moi, surtout quand il fait une telle chaleur.
– Enchanté… Non, non, pas de problème, je suis moi aussi naturiste, depuis tout petit, alors ne te gêne pas pour moi, lui répondis-je, tout de même surpris, voire émoustillé par cette rencontre incongrue. Jasmine n’est pas là ? lui demandai-je.
– Non, elle revient demain avec son fils… Tu avais quelque chose d’important à lui dire ? Tu veux que je lui téléphone ?
– Non, non, y’a pas d’urgence, ça attendra, je te remercie. »
Jean-Pierre était un homme sympathique, grand et charpenté, bien conservé pour son âge, même si un bon ventre bien rond trahissait son goût pour la bière. Nous discutâmes quelques minutes du jardin, des travaux que Jasmine lui avait demandé de réaliser. Il était 16 heures, mais la température était encore torride pour couper la pelouse et je sentais son manque de motivation. Nous dégoulinions tous les deux de sueur. Une odeur de mâle, de transpiration, forte et acide, emplissait peu à peu la cage d’escalier de l’entrée. « Tu veux monter boire quelque chose de bien frais, j’ai de la bière, du Coca ou de l’orangeade glacée ? lui proposai-je très simplement.
– Allez, ok, une bonne bière, avec plaisir, et puis on fera connaissance. De toutes manières, il faudrait être fou pour se mettre au jardin maintenant», répondit-il sans hésitation en gravissant l’escalier à ma suite.
Je fis coulisser le grand panneau de bois qui faisait office de porte palière et Jean-Pierre entra dans le séjour, plongé dans la pénombre. J’avais fermé les volets et les rideaux en partant mais il faisait tout de même très chaud. Je branchai immédiatement le ventilo et l’invitai à s’asseoir sur la grande banquette moelleuse. « C’est très sympa chez toi », dit-il en se laissant aller le dos dans les coussins, les mains derrière la nuque, jambes ouvertes et pieds en éventail.
J’avais une vue imprenable sur son sexe et ses boules et mes yeux ne pouvaient s’en détacher. Il était entièrement rasé et je pouvais voir tous les détails de son anatomie intime. Et j’étais sûr qu’il était conscient de mon émoi. Sa queue, non circoncise, comme la mienne, était épaisse et longue et ses couilles rondes pendaient lourdement dans ses bourses.
« Bon, ben puisqu’on est entre naturistes… » commençai-je et, le plus naturellement du monde, je me débarrassai de mon short et de mon T-shirt et me retrouvai moi aussi nu comme un ver. Je me tournai vers la kitchenette et fouillai dans le frigo.
Pour mon âge, 47 ans, je suis encore pas mal foutu et musclé. Plutôt mince, j’ai de belles petites fesses rebondies de jeune homme et des jambes fuselées. Je suis presque imberbe, les quelques poils de mon pubis ne cachant pas grand chose de mon entrejambe. J’ai une mignonne petite queue au repos, qui ressemble beaucoup à celle d’un jeune ado, couilles remontées dans des bourses tendues. Quand je bande, ma queue est de taille moyenne, assez fine et longue, bien dure et endurante quand elle visite une chatte.
En général, je ne suis pas gêné de me montrer nu, même devant des inconnu(e)s, j’y suis habitué. Mais cette fois-ci, je sentais que c’était différent. La situation me troublait, m’excitait même. Un frisson agréable me parcourut l’échine quand un silence se fit et que je sentis les yeux de Jean-Pierre se poser sur moi.
« Alors, tu bois quoi ? lui demandai-je en me retournant vers lui.
– Une bonne bière fraîche, s’il te plait », répondit-il avec un grand sourire franc.
En le rejoignant avec nos boissons sur la banquette d’angle du coin salon, je remarquai que sa queue était à moitié bandée. Je m’assis à sa droite, à une cinquantaine de centimètres de lui. Je me laissai aller moi aussi en arrière dans les coussins.
Nous savourâmes quelques minutes en silence nos boissons glacées puis commencèrent à discuter de tout et de rien. Il s’était tourné vers moi et son ventre rond et lisse me touchait presque. Sa bite était maintenant complètement dressée entre ses cuisses et son gros gland luisant pointait fièrement son méat à travers les plis du prépuce.
Je sentis dans mon bas-ventre une chaleur caractéristique m’envahir, en même temps que la bière faisait son effet. Malgré mes efforts, je ne pus masquer bien longtemps que je bandais moi aussi. Imperceptiblement nous nous étions rapprochés l’un de l’autre. Nous ne cherchions plus ni l’un ni l’autre à cacher notre envie grandissante qu’il se passât quelque chose entre nous.
Le silence s’installa durablement, Jean-Pierre tourna la tête vers moi et plongea ses yeux dans les miens. J’y vis de l’envie, de la concupiscence même, ce qui déclencha chez moi une irrésistible envie de saisir sa queue dans ma main et de l’astiquer. Son visage n’était plus qu’à quelques centimètres du mien, son regard charmeur et pervers me transperçait, semblant me dire : « Tu me fais tellement bander, ma salope, je vais t’exploser le trou du cul».
Il glissa lentement sa main droite le long de mes tempes, faisant pénétrer ses doigts dans mes boucles châtain et les enroulant autour de mon oreille. Ce geste était d’un érotisme incroyable. Tendrement, presque amoureusement, il me caressa la joue et les cheveux quelques secondes avant de glisser vers ma nuque, qu’il empoigna fermement. Il me tira vers lui et plaqua nos deux bouches l’une sur l’autre. Surpris, je restai un instant figé, interdit, puis me détendis quand un nouveau frisson, encore plus intense que le précédent, parcourut mon corps tout entier. Nos lèvres s’ouvrirent, nos langues se trouvèrent et s’enlacèrent dans un baiser humide. Son haleine était lourde, chargée d’alcool, mais cela m’excitait énormément d’enfin faire l’expérience de rouler un patin à un mec, qui plus est âgé de vingt ans de plus que moi. Son baiser était goulu, chaud et baveux, fougueux et dominateur, presque violent.
De son bras gauche qu’il passa derrière mes hanches il m’attira tout entier contre lui, sans que nos langues ne se séparassent. Je me lovai contre son corps, épousant des miennes ses courbes matures, j’ondulai langoureusement contre sa bedaine, frottai ma queue contre sa peau aux exhalaisons de testostérone irrésistibles.
Ma main finit par rencontrer sa bite, qu’elle saisit avec douceur, sans serrer, avant d’entamer de lentes caresses. Jean-Pierre réagit instantanément à ce contact par un grognement éloquent quant au plaisir que je lui procurais. Il m’embrassa de plus belle puis il ouvrit largement les cuisses et se cambra pour me faciliter la vue et l’accès à ses trésors. Sa bite, maintenant en érection totale, turgescente, était d’une taille réellement impressionnante, hors-norme, presque irréelle. Au fond de moi -si j’ose dire- je savais que j’allais bientôt la sucer et je me demandais si elle arriverait déjà à entrer dans ma bouche. La réponse à ma question intérieure fut positive et rapide car Jean-Pierre, m’agrippant de nouveau la nuque, m’obligea sans ménagement à me plier en avant et à enfourner son gland. Il entra finalement assez facilement et sa hampe suivit, coulissant vers le fond de ma bouche.
J’étais aux anges ! Enfin je goûtais à une bite ! Enfin je pompais un chibre et découvrais que c’était délicieusement bon de sentir ce bâton de chair me défoncer la bouche comme il aurait tringlé une chatte. Je parcourais sa queue de ma langue, titillais son frein, descendais lécher son scrotum et ses grosses couilles en lui lançant un regard obscène avant de reprendre en bouche son énorme dard et enchaîner de nouveau les va-et-vient.
« Je savais que t’étais une petite salope, toi ! lança-t-il, en même temps qu’un puissant coup de rein fit pénétrer plus avant son engin et manqua de m’étouffer lorsqu’il toucha ma glotte. Tu pompes divinement, tu sais, oui, divinement, putain… continue, oui, c’est trop bon, sale chienne…
– Oui, dis-le encore, dis-le encore que je suis une chienne ! lâchai-je sans réfléchir, trop excité par ce qu’il se passait. Dis-moi que je suis ta pute, ta femelle, je ferai ce que tu veux… C’est tellement bon de sucer une bite ! Ta bite !
– Ne me dis pas que c’est la première fois que tu pompes une queue ? demanda-t-il, interloqué. Tu fais ça comme une pro !
– Si, si, c’est la première fois, je te jure… et j’adore !
– Je vois ça, sale petite pute ! T’apprends rudement vite et ta bouche est faite pour tailler des pipes, je te le dis, moi, petit pédé ! Oh que oui tu es un petit pédé ! Et je suis sûr que tu aimes porter de la lingerie, hein ? Et qu’on te mate en webcam en train de branler ton gros clito et de montrer ton cul d’enfer ! C’est pas vrai, dis, enculée ?!
– Oui, c’est vrai, répondis-je sans lâcher sa queue toujours aussi raide, j’adore me prendre pour une femme, ma balader en lingerie et talons… et me branler comme un fou ou me doigter le cul en imaginant que je suis mariée à un homme hyper-viril et macho, vieux et sale, dominateur et pervers, qui m’utilise quand et comme il le souhaite pour assouvir la moindre envie sexuelle, même la plus extrême, la plus humiliante, la plus avilissante… bref… pour l’instant, je prends un pied pas possible en m’exhibant sur internet et en faisant gicler des gros mecs vicieux.
– Ça me fait encore plus bander ton histoire, ma salope ! Je vais bientôt décharger et je ne veux pas, pas encore… on va faire durer notre petite « sauterie », qu’en penses-tu, hein, ma chérie ? me demanda-t-il en glissant son index le long de ma raie, jusqu’à atteindre ma petite rondelle.
– Oh oui, mon amour, tout ce que tu veux ! Dis-moi ce que tu veux que je te fasses! Je suis à toi. » Et je replongeai la tête vers son gland, le tétant avec des bruits de succion obscènes. J’étais alors complètement entré dans mon personnage, toutes mes inhibitions étaient tombées.
Il m’arrêta, me fit me lever sans ménagement et m’ordonna d’aller m’habiller dignement, comme une femelle en chaleur doit l’être pour accueillir son mâle, c’est-à-dire en petite tenue sexy. Je jubilais.
Je courus dans ma chambre, sortis la grosse boite en carton qui renfermaient les accessoires accumulés au fil de mes branlettes travesties. Je vidai le contenu directement sur mon lit. Soustifs et bustiers affriolants, robes ultra-moulantes ou nuisettes transparentes, escarpins, godes, faux seins, chaînes et lubrifiant, j’étais bien équipé. Et bien entendu, je ne savais trop que choisir. Je finis par me décider, ne voulant pas faire retomber l’ambiance torride en prenant trop de temps.
Je me glissai dans un corset de dentelle noire, galonné à l’ancienne, très serré au niveau de la taille (que j’ai déjà assez mince) et ouvert sur le devant, dévoilant une poitrine plus que généreuse très réaliste, en silicone, de taille 110-F. Je passai de jolis bas-résille et le porte-jarretelles noir associé, puis des bottes de cuir à lacets, montant jusqu’au genou. Perché ainsi sur ces talons-aiguille de plus de 10 cm, moulé par le corset et portant haut mes gros nichons, je me regardai dans le grand miroir et découvris une silhouette très féminine, aux courbes rondes et marquées. Je ne mets ni perruque ni maquillage car mes cheveux sont assez longs et je déteste le maquillage. Je mis une touche finale en passant un gros collier pour chien, bardé de pointes, d’où pendait une laisse terminée par une poignée de cuir.
J’entendis Jean-Pierre qui se servait une nouvelle bière et zappait sur ma télé les films de cul que j’avais lancés avant d’aller me faire belle. « Prend ton temps ma belle, prend ton temps… Il faut que tu sois belle et bandante pour ton petit mari, hein ma chérie ? » cria-t-il depuis la salon.
Je me dis alors que j’avais le temps de peaufiner le tableau. Je me saisis de mon rasoir électrique et me rasai pubis, couilles et cul en moins de cinq minutes. J’appliquai ensuite un lait de corps pour bébé pour atténuer le feu du rasoir et ne manquai pas d’en mettre une bonne dose sur ma rondelle, que je massai quelques secondes. Celle-ci s’entrouvrit spontanément et je pus y glisser deux doigts plein de crème. Mon érection était un peu retombée et ma queue et mes couilles rétractées ressemblaient vraiment à celles d’un jeune garçon, elles étaient adorables !
Je suis enfin prête ! Prête à me faire baiser! Prête et excitée comme une nymphomane qui sait qu’elle va enfin se faire ramoner les entrailles. Je m’admire quelques secondes dans le miroir et me dis que si je le pouvais, je me baiserais bien !
Je rejoins silencieusement Jean-Pierre dans le salon, marchant en croisant les pieds comme les mannequins et sortant le cul, le balançant de droite et de gauche comme une vraie habituée du trottoir.
Quand il me voit arriver, Jean-Pierre ouvre des yeux écarquillés et reste muet de stupéfaction. Puis il reprend ses esprits, je vois sa bite se redresser à vue d’œil et il me fait signe de venir plus près de lui. « Putaaaiiin !… Que t’es bonne, c’est pas vrai, t’es une vraie bombe, avec une jolie petite bite en plus ! Viens-vite que je te baise, que je te défonce, que je t’explose ton trou de chienne ! Salope, salope ! » hurle-t-il, comme fou.
Je reste pourtant quelques minutes à un mètre de lui, entamant une danse lascive et provocante. Je me caresse, joue avec la laisse et me déhanche, exhibant avec fierté toutes les parties de mon corps. Ma bite est droite devant moi et mes couilles se balancent au rythme de la musique et des cris de jouissance qui viennent de la télé. Jean-Pierre est scotché sur la canapé, se branlant avec frénésie sans détacher son regard de mon corps, la lèvre inférieure pendante et la bave abondante.
« Ça te plaît, mon chéri ? Je te fais bander ? Regarde comme ils sont beaux mes nichons ! Et mon cul, regarde mon cul, on dirait un vrai cul de femelle, hein ? Tu vas y mettre ta grosse queue et l’exploser, hein ? Tu vas la mettre bien au fond des intestins de ta jument et la faire hurler de jouissance, hein mon chéri ? Mmmmhhh, putain c’est bon de faire la pute devant toi comme ça, j’ai tellement envie que tu me salisses, que tu me souilles de ton foutre, de ta pisse, de tout ce que tu veux… »
A ces mots, Jean-Pierre se lève brusquement, m’agrippe par le bras et me jette brutalement sur le canapé. Je me retrouve sur le dos, jambes grandes ouvertes, totalement offerte. Il me soulève le cul en me prenant par les chevilles puis descend ses mains avides sur mes couilles et ma queue. Celle-ci n’a pas la taille de la sienne, mais elle a de la vigueur et se dresse très vite dès qu’il commence à en malaxer la hampe. Il la prend dans sa bouche et je la sens gonfler à son maximum, se raidissant comme de l’acier sous les coups de langue et les succions de Jean-Pierre. Puis il descend vers ma rondelle qu’il explore et titille un peu avec ses doigts, déposant ou crachant de bonnes doses de bave, qu’il introduit dans mon trou avec sa langue dardée, poussant de petits grognements de plaisir. « Allez tourne-toi maintenant, ma chérie et tend bien ton cul, j’en peux plus, faut que je t’encule maintenant, putain d’enculée de chienne, faut que je te défonce et que je t’engrosse !!! »…. à suivre…..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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