Le cousin Jérémie
Une histoire vraie entre cousins pendant les grandes vacances familiales. J’ai toujours eu une attirance pour Jérémie mais quand on est jeune, on n’ose pas dire ou faire certaines choses. Pourtant il suffirait de se parler ..
Proposée le 7/02/2021 par LINOGREG Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
De plus loin que je me souvienne, j’ai été assez précoce sur les choses de la vie et la sexualité en particulier. J’étais plutôt un bel enfant avec mes cheveux frisés blonds et une peau blanche. Ma mère m’habillait souvent d’une petite robe à smock que j’avais portée en tant que petite fille d’honneur lors d’un mariage familial.
Souvent le soir, allongée sur mon lit, je relevais ma chemise de nuit sur la taille, écartais mes jambes et laissais ma main vagabonder entre mes cuisses, sur mon sexe imberbe et sur mon bas ventre. J’avais très bien remarqué que cela me faisait du bien. Nous passions tous les étés dans la demeure familiale de mes grands-parents en Bourgogne. Bien que la maison soit grande, je dormais dans un corridor qui desservait respectivement les chambres de ma grand-mère et mon grand-père. On avait installé un lit et je dormais là, dans ce passage.
Les autres chambres étaient occupées par des oncles et tantes avec leurs enfants. Je n’avais pas de cousins ou cousines de mon âge. Le plus proche était Jérémie de 4 ans mon année. Je l’aimais bien mais je pense qu’il ne me considérait même pas, me prenant encore pour un bébé. Il y avait même une photo dans l’album familial où Jérémie posait avec moi dans les bras le jour de mon baptême.Les enfants dînaient dans la cuisine avant le service des « adultes » qui était servi dans la grande salle à manger. Compte tenu de mon âge, j’étais du premier service et Jérémie à la table des parents. Nous étions déjà couchés lorsque les adultes commençaient leur dîner. Un soir, alors que j’étais allongée sur mon lit dans le corridor, les jambes relevées en train de me caresser machinalement pour trouver le sommeil, j’entendis le bruit de la poignée et de la porte qui s’ouvrit tout doucement comme pour éviter de me réveiller. Très vite, je rabaissai ma chemise de nuit et me mis dans les draps pour faire semblant de dormir. J’aperçus dans la pénombre la silhouette de Jérémie qui marchait à pas de loup vers la chambre de mon grand-père. Il s’arrêta deux ou trois secondes pour vérifier si je dormais. Je fis semblant de respirer comme une dormeuse. Je l’entendis fouiller des choses dans la chambre d’à côté et refaire le parcours en sens inverse.C’est alors que je me remis en position avec mes cuisses écartées et ma chemise relevée jusqu’à la taille pour lui présenter mon petit abricot sous son meilleur jour et fermais les yeux pour faire croire que je dormais du sommeil du juste. J’entendis ses pas feutrés puis il s’arrêta au milieu de la pièce. Que faisait-il ? Cela me parut interminable puis soudain je sentis qu’il se dirigeait vers mon lit. Il se mit à genoux au niveau de ma tête et déposa un léger baiser sur mes lèvres pour connaître ma réaction et vérifier le degré de mon endormissement. Comme je ne bougeais pas … il s’enhardie et alla déposer un baiser sur mon petit sexe imberbe. Puis un deuxième et un troisième pour finir par carrément passer sa langue sur ma petite chatte et même à descendre sur mon petit trou du cul. Je n’osais lui montrer que j’y prenais plaisir de peur qu’il se sauve. Je ne pourrai dire combien de temps dura cette première langue dans ma chatte mais il se releva et déposa un dernier baiser sur mes lèvres avant de quitter la chambre en marchant comme une souris et fier de son coup pensant que j’étais endormie.Les jours suivants, j’ai bien tenté des sourires complices mais Jérémie fuyait mon regard et n’est jamais revenu lécher ma petite chatte au fond de mon lit.
Combien de fois me suis-je caressée en repensant cet épisode ? C’était un secret de famille que je gardais bien précieusement enfouie. Quelques années plus tard, alors que je venais d’avoir 16 ans, ma cousine Corinne la sœur de Jérémie organisa son mariage dans la demeure familiale. C’était une grande fête à la campagne avec dîner et danses. Je me souviens que je portais une robe en mousseline beige très décolletée qui descendait au-dessus des genoux et des escarpins de la même couleur avec talons hauts.
Jérémie, en tant que frère de la mariée, était bien habillé d’une redingote avec un gilet gris. Il portait beau. Très naturellement, nous dansions tout le temps ensemble car il y avait toutes les générations mais ni lui ni moi ne voulions nous mélanger. Après des rocks endiablés arriva une série de slows et nous enchaînâmes sans nous poser de questions. Il ouvrit ses bras et je me blottis contre son torse. Ses mains se refermèrent sur mes hanches. Nous faisions tout de même attention de rester correct car la famille aurait pu s’offusquer d’une attitude trop tendre entre deux cousins. Nous nous laissions porter par la musique sans parler lorsqu’il tenta un dialogue
– « Je voulais te demander … » dit-il avant de se reprendre
– « Me demander quoi ? » Répondis-je l’air inquiète
– « Non laisse tomber ce n’est pas grave et puis j’ai oublié … »
– « Ne me prends pas pour une gamine ! quand tu commences comme ça c’est qu’il y a quelque chose …. Allez vas-y – sois pas con ! je t’écoute … » me demandant bien ce qu’il voulait vouloir dire.
– « Eh bien ! voilà, il y a quatre ans pendant les vacances alors que tu dormais dans le corridor, je suis passé et je t’ai embrassée … Je me suis toujours demandé si tu dormais vraiment ? »
– « C’est tout ? » répondis-je l’air déçu. « Eh bien ! oui je ne dormais pas »
– « Et le reste tu t’en souviens ? » dit-il presque en s’étranglant.
Je secouai la tête en signe d’acquiescement en le fixant du regard avec un grand sourire complice.
– « Eh bien voilà ! J’aurais aimé recommencer et finir le travail. J’y pense dès que je te vois … »
Je lui mis mon index sur la bouche pour lui intimer l’ordre de se taire et de l’autre main je lui frottais son sexe à travers son pantalon pour lui signifier mon accord.
Puis je quittai brusquement la piste de danse pour me diriger vers le buffet extérieur plus à l’abri des regards et dans la pénombre.
Jérémie ne tarda pas à me suivre et m’entraîna dans une petite serre du potager tout proche. Nos deux cœurs battaient à cent à l’heure. Il m’appuya sur le mur, se mit à genoux devant moi, souleva ma robe pour découvrir ma culotte blanche en dentelle. Il s’approcha et écarta ma culotte avec ses doigts pour enfouir sa langue dans mon sexe. Il émit un grand soupir de soulagement comme s’il attendait cela désespérément. J’étais trempée et j’avais presque honte de cet état pensant que cela allait le dégoûter. Tout au contraire, cela semblait le stimuler puisque sa langue s’activait de plus en plus vite. Il s’arrêtait quelques secondes pour aspirer mon clitoris puis revenait me labourer l’intérieur. Machinalement, j’avais pris sa tête entre mes deux mains comme pour le guider mais surtout pour qu’il ne se sauve pas.
Ses deux mains à lui étaient plaquées sur mes fesses qu’il malaxait doucement. Puis avec fermeté mais douceur, il me retourna et me trouvais face contre le mur et les fesses cambrées à sa merci. Il entreprit un nettoyage en règle de mon petit trou du cul. Il enroulait sa langue pour la pénétrer le plus loin possible en exerçant un va et vient. Une de ses mains farfouillait ma chatte qui dégoulinait de bonheur.Il se passa plusieurs minutes ainsi lorsqu’il s’arrêta. J’entendis le bruit d’une ceinture que l’on ouvre et le zip d’une braguette puis un bruit sourd d’un pantalon tombant sur le sol. J’étais comme pétrifiée car je comprenais ce qu’il faisait et j’allais être prise par mon cousin. Cela n’était pas du tout prévu.
Il frotta son sexe sur ma chatte humide sans me pénétrer. Il s’amusait plutôt à manier sa bite comme un pinceau sur ma chatte, sur mon cul et mon anus.
C’est alors que je pris l’initiative. Je me retournai face à lui et me mis à genoux en attrapant sa bite. Son pubis sentait bon l’eau de toilette de qualité. Du Guerlain sans doute ! Je n’avais jamais vu une bite comme cela à la fois épaisse et juteuse et surtout bien décalottée.
J’ouvris grand la bouche pour aspirer ce braquemart que j’enfonçai jusqu’au plus profond de ma gorge jusqu’au moment où il me devenait impossible de respirer. Je recommençai l’opération deux ou trois fois puis plus délicatement je passai ma langue sur son gland ou allait lui aspirer une couille. Sa bite était dure et veineuse et il disait des petits mots incompréhensibles comme « continue » ou « la vache ».
D’un coup, il m’intima l’ordre de me relever en prenant mes deux bras. Debout l’un contre l’autre, je sentis son sexe droit comme un i sur mon bas ventre. Il m’embrassa à pleine bouche et nos langues s’entremêlaient. Je pensai à ce moment que c’était la première fois qu’il le faisait.
Il me repoussa dos au mur et d’une main souleva une des mes jambes. Puis il avança son bassin et présenta sa bite à l’entrée de ma chatte. Très délicatement, il entreprit de me pénétrer par étape jusqu’au moment où il enfonça son sexe jusqu’au fond puis resta quelque seconde immobile avant d’entreprendre un va et vient de plus en plus rythmé. Il s’arrêtait pour éviter de jouir en moi et recommençait en variant la vitesse.
Après quelques minutes dans cette position, il arrêta de me pilonner et mis fin à l’étreinte. Je me retournai vers lui et me mis à relécher son sexe encore tout dégoulinant de ma mouille. J’aurais aimé qu’il jouisse dans ma bouche pour goûter la première fois le sperme d’un garçon.
Mais il ne l’entendait pas ainsi. D’une main forte, il appuya sur ma nuque pour me forcer à me plier et faire ressortir mon cul. Je me laissai faire et il se plaça derrière moi pour m’enfiler debout en levrette. Son sexe rentrait et sortait et on pouvait entendre le claquement de nos deux corps lorsque mon cul tapait contre son bas ventre.C’était magique ! alors que l’on entendait les bruits de la fête toute proche avec des rires et de la musique, je me faisais mettre comme une petite chienne par mon cousin à l’abri des regards et cela décuplait mon désir. Si les invités et mes parents savaient ce qui se passait à quelques mètres d’eux …. Je n’osais imaginer le scandale. Bon sang ! Que c’était bon.
Jérémie tout en m’explosant ma chatte crachait de la salive sur mon petit trou du cul pour l’humidifier et essayer d’y glisser un doigt tout en écartant mes globes fessiers avec ses deux mains.Nous fûmes surpris par un toussotement et des pas qui venaient du chemin qui mène au potager dans notre direction.
– « alors les enfants !! Vous vous amusez bien ? » c’était la voix de l’Oncle Jacques, le père de Jérémie. Celui-ci sortit brusquement de ma chatte et tenta de remettre son braquemart dans son slip et remonter son pantalon. Quant à moi, je partis en courant laissant ma culotte quelque part dans le potager.Je n’ai jamais su ce que l’Oncle Jacques avait dit à Jérémie et si même il avait compris avec qui forniquait son fils. Je ne revis pas Jérémie du mariage et l’été suivant il ne passa pas ses vacances dans la maison familiale ayant obtenu un stage à l’étranger pour ses études.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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