Le fauteuil
Rentrant Ă la maison après une longue absence, ma compagne a dĂ©cidĂ© de prendre les choses en main et l’initiative de la soirĂ©e de retrouvailles. Ma dĂ©couverte du candaulisme mĂŞlĂ© de soumission telle que je l’ai imaginĂ©e. Je vous raconterai comment elle s’est rĂ©alisĂ©e une prochaine fois.
Proposée le 19/08/2018 par pierrot66 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
L’obscuritĂ©…
Cela fait Ă peine plus d’une minute que je suis lĂ , les yeux bandĂ©s, assis sur ce fauteuil dans le salon, les mains attachĂ©es chacune Ă un accoudoir par ces mĂŞmes menottes que je t’avais offert, et je commence Ă m’inquiĂ©ter. Quel genre de surprise me rĂ©serves tu ? Ă€ quel genre de jeu veux tu jouer?
Comment me suis-je retrouvĂ© lĂ , assez simplement et très insidieusement en vĂ©ritĂ©.Cela faisait une semaine, une longue semaine d’absence, et d’abstinence, pour un dĂ©placement professionnel. Une semaine Ă jouer et Ă s’exciter par Ă©crit, Ă parler de nos jeux et nos envies mutuelles. Une semaine que j’attendais ce moment de retrouvailles et cette soirĂ©e de jeu en perspective.
Je t’avais, pour cette fois, laissĂ© dĂ©cider seule de la soirĂ©e que tu voulais que nous passions. Moi, quelque fĂ»t ton choix, tout m’allait, du moment qu’il y avait un jeu ou un thème, du Champagne, et que tu portes une de ces tenues qui te vont si bien et qui m’excitent tellement, ne serait-ce que de savoir que tu les portes.Une jupe crayon, soulignant admirablement tes hanches, suffisamment longue pour rehausser ta classe naturelle et ton style, mais suffisamment courte pour laisser apparaĂ®tre la dentelle de tes bas couture noirs au moindre de tes mouvements avec cette petite encoche Ă l’arrière qui elle ne laisse aucun doute Ă l’Ĺ“il attentif ou avisĂ©, tes talons vernis vertigineux, ceux que je t’ai offert avec lesquels tu sais te dĂ©placer avec Ă©lĂ©gance et cette veste de tailleur qui souligne admirablement ton dĂ©colletĂ© en dĂ©couvrant le haut de tes seins.
Ces seins…!
On pourrait vraiment croire que tu ne portes rien en dessous.
VoilĂ la tenue que tu avais choisie pour cette soirĂ©e, celle que tu portais quand tu m’as ouvert la porte, une flĂ»te de Champagne Ă la main.
Tu m’as sautĂ© au cou, embrassĂ© Ă pleine bouche, j’ai lâchĂ© mon sac pour t’enlacer, te caresser et te rendre ce langoureux baiser.
PassĂ©s au salon, le temps de prendre le verre de Champagne que tu m’avais prĂ©parĂ©, de constater la dĂ©coration de la pièce, la lumière tamisĂ©e, le parfum d’ambiance, la musique, ce fauteuil, la table basse Ă©cartĂ©e plus que d’habitude du canapĂ©, ta boĂ®te d’accessoires sur un coin de celle-ci, et nous reprenons notre Ă©treinte.
Mes mains sur ta taille qui te tirent pour te coller Ă moi, nos bouches qui se rencontrent, nos langues et nos lèvres… Mes mains descendent sur tes fesses dont je m’empare. Je m’aventure plus bas, tes cuisses, je remonte sur la dentelle de tes bas puis je tente de m’aventurer plus haut sous ta jupe, mais tu les rattrapes pour les remonter sur tes fesses.
– Ne sois pas si impatient!
Je me plie Ă tes conditions, mais j’ai tellement envie de dĂ©couvrir ce qui se cache dessous! C’est bien à ça que ça sert, non? Regarder l’emballage, imaginer ce qui pourrait se trouver dessous, avant de le dĂ©couvrir effectivement et d’en profiter. J’aime ces jeux prĂ©liminaires qui durent. Mais je n’y tiens plus! Je tente une autre approche, par le haut cette fois. Je tente de me faufiler sous les pans de ta veste, mais lĂ encore, Ă©chec.
« – Tu m’as l’air bien impatient et très peu obĂ©issant… ! Me dis-tu. Assied toi ici. » Ajoutes tu en m’indiquant le fauteuil de bureau dont nous sommes tout près.
J’obĂ©is.
Tu prends nos, verres et me tends le mien pour que nous puissions boire, puis tu ajoutes: « alors monsieur l’impatient, voyons… As-tu une idĂ©e de ce Ă quoi nous allons jouer? »
Tu reprends mon verre et te retournes pour le poser sur le meuble, puis tu fouilles dans ta boîte et en sors les deux paires de menottes recouvertes de fourrure noire.
« Une idĂ©e… ? Toujours pas…? »
Je sais que tu aimes être attachée parfois lors de nos ébats, souvent en fait, alors je me risque à répondre :
« -Oui, je pense…
-Ah bon ? Voyons ça tout de suite! »
Tu te rapproches de moi et, Ă ma plus grande surprise, commences Ă attacher, d’abord ma main gauche, puis la droite, aux accoudoirs. Puis, reculant d’un pas:
« -C’est ce que tu pensais?
-Euh… Pas vraiment, mais bon… »
Tu as ton regard de « coquine », pour ne pas dire autre chose, ce petit sourire que tu arbores quand tu es fière de ton mauvais coup.
Sans me quitter du regard, tu portes tes mains aux boutons de ta veste
 » c’est ce que tu voulais voir? » me demandes tu en la degrafant et en en Ă©cartant les pans.
J’opine du chef en me mordant les lèvres en guise de rĂ©ponse.
Tu portes une guĂŞpière que je n’avais encore jamais vue, mais qui te mets très bien en valeur.
Tu ôtes totalement ta veste et la poses sur une extrémité du canapé puis tournes sur toi même devant moi afin de me faire apprécier sous toutes les coutures cette nouvelle tenue qui te va à ravir.
« -Alors? Ça te plait?
-Oui! Beaucoup !
-L’avantage, c’est que je peux faire comme avec la bleue », faisant allusion Ă la première guĂŞpière que je t’avais offerte, et tout en disant ça, tu sors tes seins l’un après l’autre par dessus les bonnets.
Je suis surexcitĂ© ! J’aime tellement te voir dans cette tenue!
« -Ça te plaît toujours ?
-J’adore! »
Tu reprends ton verre pour boire une gorgĂ©e et, l’ayant reposĂ© tu t’approches de moi et tu t’appuies sur les accoudoirs, juste derrière mes mains. Tes seins sont Ă lĂ hauteur de mon visage, lĂ , sous mon nez! Je voudrais les saisir! Mais les liens m’en empĂŞchent ! Alors tu les approches un peu plus, encore, jusqu’Ă ce qu’ils soient Ă portĂ©e de ma langue. Je ne me fais pas prier pour lĂ©cher tes tĂ©tons dĂ©jĂ bien durcis, du bout de la langue.
Un petit gĂ©missements de plaisir et tu t’approches un peu plus. Cette fois je les prends Ă pleine bouche, les aspire, les lèche, m’attarde sur les pointes puis les mordille doucement… Mais d’un coup tu te retires.
« Assez joué ! » me dis tu avec un petit rire
Tu recules d’un pas pour revenir Ă ta position prĂ©cĂ©dente et, portant tes mains Ă plat sur le bas de ta jupe, la remontes lĂ©gèrement, doucement, dĂ©couvrant peu Ă peu la dentelle de tes bas, jusqu’en haut pour que je puisse en voir la naissance, la limite avec ta peau, et les agrafes des jarretelles de ta guĂŞpière.
« Et ça ? Ça te plaĂ®t ? C’est ce que tu voulais voir? »
Nouveau hochement de tĂŞte, les yeux grands ouverts, en guise de reponse, ce Ă quoi j’ajoute: « Un peu plus haut mĂŞme !
-Pour ça, tu vas devoir attendre encore un peu, et être très sage et obéissant »
Ă€ cet instant j’ai tellement envie de te dĂ©couvrir plus, de profiter de ce bel emballage et de goĂ»ter la friandise qui se trouve Ă l’intĂ©rieur que j’accepte sans rechigner.
Tu te retournes à nouveau vers ta boîte.
Je me demande bien ce que tu vas en sortir et Ă quel genre de spectacle je vais assister avant de pouvoir enfin profiter librement de toi…
Mais c’est avec un bandeau noir que tu reviens vers moi Ă ma plus grande surprise. Tu le mets sur mes yeux et le noues derrière ma tĂŞte.
« -Joues le jeu! Sinon tu n’auras rien! »
Nouveau hochement de tĂŞte pour acquiescer.
Tes pas sur le tapis Ă©pais, qui s’Ă©loignent… Il me semble que tu quittes la pièce.
Me voilĂ dans le noir, Ă me demander ce que tu peux bien me prĂ©parer.Quelques instants, et tes pas qui reviennent dans le couloir, puis l’entrĂ©e, le salon, le tapis…
« Ça va? Toujours prêt à jouer le jeu?
-Oui, toujours… »
Je sens que tu t’approches de moi, je sens ta peau, ton parfum près de moi.
« -Je vais te retirer le bandeau, mais tu vas garder les yeux fermĂ©s jusqu’Ă ce que je te dise de les ouvrir, d’accord? Tu joues le jeu, hein! De toutes façons, c’est ta surprise que tu gâcherais, pas la mienne.
-OK… »
Je me demande vraiment ce que tu m’as prĂ©parĂ© !
Je sens tes mains sur ma tête et je ferme les yeux alors que tu défais le noeud.
Le bandeau glisse, tu t’Ă©loignes en l’emportant avec toi… Des mouvements, respiration, je sens ta prĂ©sence, quelque part devant moi, Ă moins de deux mètres peut-ĂŞtre.
D’autres bruits feutrĂ©s, encore quelques instants… Les bruits cessent et ta voix:
« Tu peux ouvrir les yeux », dis-tu avec une certaine malice dans la voix. Alors je prends le temps de les ouvrir doucement, craignant la lumière, qui finalement s’avère inoffensive, et je dĂ©couvre avec stupeur la scène.
Tu es Ă genoux, les seins toujours sortis, de l’autre cĂ´tĂ© de la table basse, devant un homme,debout, que je ne connais pas, et tu es en train de lui administrer une de ces fellations dont toi seule a le secret.
Mon cĹ“ur bondit dans ma poitrine, mais je suis incapable d’Ă©mettre un son. Je reste interdit devant ce spectacle.
Lui semble Ă l’aise, et ne prĂŞter aucune attention Ă ma prĂ©sence. Nu, un pied posĂ© sur la table basse, l’autre solidement ancrĂ© dans le tapis du salon, il semble goĂ»ter le traitement que tu lui offres. Les yeux mi-clos, la tĂŞte lĂ©gèrement en arrière, il goĂ»te, en connaisseur semble-t-il, ce que tu lui fais. Une main dans tes cheveux, il te tient fermement, comme pour te dominer, accompagnant les mouvements de ta tĂŞte. Ta langue s’active sur sa queue qui, sans ĂŞtre dĂ©mesurĂ©e, est tout de mĂŞme de dimensions impressionnantes. De la base jusqu’au gland, ta langue glisse le long de l’Ă©paisse tige avant que ce dernier ne disparaisse dans ta bouche. Tes joues se creusent, car tu aspires, ta main, qui a tout de mĂŞme du mal Ă faire le tour du membre, l’enserre et accompagne le mouvement de ta bouche et de toute ta tĂŞte. J’imagine très bien ta langue, s’activant autour de son gland, d’ailleurs, comme si tu avais lu dans mes pensĂ©es, tu ouvres la bouche et je peux la voir lĂ©cher et tourner autour de celui-ci. Un nouveau long coup de langue sur la hampe, et, sans lâcher de ta main la tige nerveuse ni arrĂŞter le mouvement, tu t’attaques Ă ses couilles. Tu les lèches, les gobe, les aspire doucement, tout en continuant Ă le branler.
Te tournant vers moi, tu me lances un « ça te plaĂ®t toujours ? » Et, sans attendre de rĂ©ponse de ma part, que de toutes façons je serais bien incapable de te donner Ă cet instant tant je suis abasourdi, tu le reprends dans ta bouche. Cette fois c’est lui qui donne le rythme, te dirigeant par les cheveux, il se sert littĂ©ralement de ta bouche comme d’un sexe. Il finit par retirer ta main et, assez naturellement, tu places les deux mains dans ton dos, comme pour te soumettre totalement. Il Ă©met un râle suivi d’un « putain ! » Puis, Ă mon endroit : « elle suce bien ta femme ! »
Nouveau bond dans ma poitrine alors que tu étouffes un rire moqueur.
« -Tu vas mĂŞme sĂ»rement en voir un peu plus que ce que tu imagines, je pense… » Ajoutes-tu.
Quelques instants supplĂ©mentaires de ce traitement et, sans lâcher tes cheveux, il se retire de ta bouche, te contourne, t’entrainant avec lui pour venir s’installer dans le canapĂ©, juste en face de moi. Ta jupe relevĂ©e sans aucune pudeur me laisse apprĂ©cier ton cul dĂ©nudĂ©. Je te connais, pourquoi te serais-tu encombrĂ©e d’une culotte ? Il attire ta bouche vers cette queue, qui me semble encore plus grosse Ă prĂ©sent, et tu ne te fais pas prier pour reprendre, avec la plus grande application, ton ouvrage, auquel tu sembles mettre du coeur. Tu te jettes avidement sur son membre tendu bien droit et l’avale goulĂ»ment. Quelques va et vient, et tout en continuant Ă le branler, tu te redresses lĂ©gèrement, le regardant dans les yeux, pour lui lancer: « elle est bonne ta queue! », avant de la reprendre en bouche. Il semble vraiment apprĂ©cier ce que tu lui fais, et, connaissant tes talents en la matière, je ne peux que le comprendre. Pourtant, il a vraisemblablement d’autres projets, et toi aussi sĂ»rement, puisque qu’il relève ta tĂŞte et, joignant sa bouche Ă la tienne, te roule une pelle de la manière la plus Ă©hontĂ©e, la plus salace qui soit, sans avoir lâchĂ© tes cheveux.
« – Tu suces comme une vraie chienne ! Te dit-il
-Je sais, on me le dit souvent. » Lui réponds tu avant de te tourner vers moi en précisant : « pas toi, hein! »
Ricanements de concert, puis tu reprends : » -Tu vas me baiser quand-même !?
-Oh oui! Ça… je vais te baiser ! Mais avant… » Et, sans terminer sa phrase, lâchant enfin tes cheveux, il t’aide Ă te redresser et te fais asseoir puis Ă©tendre sur la table basse. Il se place Ă son tour Ă genoux devant toi et, saisissant tes chevilles, relève et Ă©carte tes jambes pour plonger son visage entre tes cuisses grandes ouvertes. Tes yeux se ferment, tu soupire, gĂ©mis et lâche un « c’est trop bon! » Il s’occupe ainsi de toi un moment, avec une technique qui semble plus efficace que la mienne car, assez rapidement, au bord de l’orgasme, tu le supplies d’arrĂŞter et de te baiser enfin.
Il s’exĂ©cute, relève la tĂŞte, repose tes pieds sur le sol, et retourne s’installer au mĂŞme endroit dans le canapĂ©. Tu reprends rapidement tes esprits avant de le rejoindre et de t’agenouiller Ă nouveau devant lui pour le reprendre dans ta bouche un court instant. Tu te redresses et il enfile, non sans une certaine dextĂ©ritĂ©, un prĂ©servatif. Plaçant un genoux de chaque cĂ´tĂ© de lui, tu es Ă cheval au dessus de sa queue qui pointe dĂ©jĂ vers ta chatte, que je peux voir luisante de ma place. Vos bouches se joignent Ă nouveau pour un langoureux baiser, pendant lequel tu descends doucement, t’empalant progressivement sur lui. Ton dos, cambrĂ©, tes fesses tendues vers moi, je peux voir sa queue Ă©carter les lèvres, tout d’abord, puis glisser en toi jusqu’Ă la garde. Un gĂ©missement, « hummmmm ! Putain ! »
Tu ne bouges plus, remplie par cette queue imposante, empalĂ©e jusqu’au bout.
« -Tu vois bien lĂ ? » Me lances tu en prenant tout juste la peine de te tourner lĂ©gèrement vers moi. Aurais-je pĂ» te rĂ©pondre que tu ne t’en serais pas souciĂ©e car tu as dĂ©jĂ commencĂ© Ă monter et descendre sur sa queue. J’entends le claquement de ton cul sur ses cuisses Ă chaque fois que tu te laisses retomber brutalement sur lui, comme pour qu’il se fiche plus profondĂ©ment en toi Ă chaque fois. Il tient tour Ă tour tes seins, les lĂ©chant parfois, et tes fesses, pour mieux les Ă©carter et imprimer le rythme auquel il te baise. J’entends Ă tes cris aigus que je connais si bien que tu apprĂ©cies la position et la sensation de cette queue au plus profond de toi, pourtant, je t’ai dĂ©jĂ entendue crier plus fort, sans aucune retenue, et je sais ce que tu aimes vraiment. Encore quelques instants dans cette position. Tu prends maintenant toi mĂŞme tes seins entre tes mains. Quelle image ! Mais de lĂ oĂą je suis je ne vois pas tout puisque tu me tournes le dos. Tu sembles en avoir conscience car tu lui dis : » Attends, je crois qu’il ne voit pas bien. »
Tu te lèves et lui aussi, semblant d’initiative de ta part, mais pourtant c’est lui qui te dirige et te fais t’allonger sur la table basse, Ă nouveau, lĂ exactement oĂą il y a quelques instants il avait la tĂŞte entre tes cuisses, et dans la mĂŞme position. Il prend une de tes jambes entre ses mains et Ă©carte ainsi tes cuisses puis il crache sur ta chatte et Ă©tale avec ses doigts la salive. Il te caresse un instant, introduit ses doigts avant de les remplacer par sa queue et de passer son bras libre sous ton genoux pour soulever ta deuxième jambe. Il te pilonne ainsi, devant moi. Je vois tes seins balloter au rythme de ses coups de reins, j’entends tes cris aigus, plus encore que dans la position prĂ©cĂ©dente. « -Ouiiiiiiiiii! Encore ! Plus fort ! ». Le claquement de son bas ventre et de ses cuisses contre tes fesses. « -Regarde bien et apprends! me lances tu. Regarde comme il faut me baiser ! »
Il tape fort dans ta chatte et tu te cramponnes à la table comme tu peux car chacun de ses coups de queue te fais reculer sur celle-ci. Il te ramène fermement vers lui, te tirant par les cuisses puis, empoignant une de tes chevilles, te lève une jambe bien haut.
Je sais combien tu aimes ça, être dominée, dirigée, utilisée, baisée sans ménagement.
« -Putain, elle est vraiment bonne ta femme ! Quelle salope ! » Dit-il en s’adressant Ă moi Ă nouveau.
Il te baise un bon moment ainsi, je suis impressionné par son endurance. Vous êtes pourtant tous les deux en sueurs!
Il se retire sans lâcher tes jambes pour te doigter brutalement. Le rĂ©sultat ne se fait pas attendre, il sait vraiment s’y prendre. Dans un cri accompagnĂ© de spasmes tu te mets Ă mouiller abondement. J’entends le bruit humide que fait le va et vient de ses doigts entre tes lèvres. Tout en continuant Ă te caresser, plus doucement, il se penche vers toi, et tu fais le reste du chemin en t’aggripant Ă son cou. Vos bouches se rencontrent de la mĂŞme manière salace que plus tĂ´t. Il continue Ă te caresser et Ă Ă©taler le liquide sur ta chatte puis glisse insidieusement vers ton cul, que je devine bien disposĂ© Ă l’accueillir. Il y introduit un doigt, puis deux, et ta rĂ©action est immĂ©diate. Tu sais ce qui t’attend et tu ne demandes pas mieux. Il prĂ©pare le terrain, vous bouches se quittent et tu te laisse aller, Ă nouveau allongĂ©e. Il crache dans sa main et Ă©tale la salive sur ton petit trou dĂ©jĂ prĂŞt Ă le recevoir, et son gland pointe dĂ©jĂ sur l’ouverture. Il appuie, de plus en plus fort. Ta respiration change, plus intense Ă mesure que ton trou s’ouvre pour accueillir ce membre Ă©norme. Je jubile presque Ă l’idĂ©e que tu vas souffrir quand il va rĂ©ussir Ă t’embrocher totalement, mĂŞme si je sais Ă quel point tu aimes ça et comme, vu ton Ă©tat d’excitation, il ne va pas avoir besoin de trop forcer.
Dernier effort de sa part, gros soupir de la tienne, que je connais bien, ça y est, il est en toi. Tu portes tes mains à ton visage, tes doigts à ta bouche, comme pour les mordre. Tu dois la sentir passer.
« – Tu la sens lĂ salope ? te demande-t-il
– Oh oui…! LĂ je la sens bien ! C’est autre chose…
– Autre chose que la queue de ton mec, hein?
– Oui!! Vas-y ! DĂ©fonce moi le cul, montre lui! »
Il ne se fait pas prier et commence ses va et viens instantanĂ©ment. Lentement d’abord, puis, Ă mesure que ton cul se dilate et qu’il peut en recevoir, il accĂ©lère. Il tape maintenant Ă un bon rythme et tu ne caches pas ton plaisir. Pourtant, assez rapidement… « Baise moi par derrière. » Lui demandes tu sur un ton entre la supplication et l’autoritĂ©.Qu’Ă cela ne tienne, il se retire, non sans bien Ă©carter tes fesses pour admirer ton petit trou bĂ©ant dans lequel il en profite pour introduire des doigts un instant. Il se redresse et tu lui tends les mains pour qu’il t’aider Ă te relever Ă ton tour. Tu prends un court instant pour reprendre tes esprits, en passant tes mains dans tes cheveux et tu en profites pour boire une gorgĂ©e de champagne. Puis, ton verre toujours Ă la main, caressant tes seins de l’autre, tu me regardes et me dis : » Il me baise trop bien! J’espère que tu apprĂ©cies le spectacle et que tu prends des notes ! ». Te tournant vers lui Ă prĂ©sent, tu ajoutes : » Il va falloir que tu reviennes me baiser plus souvent. En plus, je ne suis pas certaine qu’il ai bien compris ou qu’il soit capable de faire mieux… »
Petit sourire narquois en guise de rĂ©ponse… Tu reposes ton verre et te retournes, face Ă la table basse, toujours devant moi, lui tournant le dos, avant de te pencher en avant, toujours sur tes pieds, les mains sur la table, cambrant bien tes reins en guise d’invitation. Lui n’a pas cessĂ© de se branler pour rester bien dur, prĂŞt Ă enchaĂ®ner. Il Ă©carte tes fesses, crache sur ton petit trou et d’une main Ă©tale la salive en prenant bien soin d’introduire des doigts pour en lubrifier l’intĂ©rieur. LĂ©gèrement de travers, maintenant d’une main tes fesses Ă©cartĂ©es et tenant dans l’autre son imposante queue, il pointe dĂ©jĂ son gland sur l’ouverture pour forcer le passage, que je devine dĂ©jĂ bien fait. Il n’a pas trop de mal Ă s’enfoncer entre tes reins et je vois rapidement disparaĂ®tre son membre en toi. Il t’aggripe maintenant les hanches, une bonne claque sur ton cul Ă laquelle tu rĂ©agis immĂ©diatement. Une deuxième puisque tu aimes ça, et les allers-retours commencent. Il te dĂ©fonce sans aucun mĂ©nagement et tu ne fais preuve d’aucune pudeur quand Ă ton plaisir. Quand il lâche une main de tes hanches pour attraper tes cheveux et te tirer la tĂŞte en arrière, tu lâches un « Oui!!! » qui ne laisse aucun doute sur la manière dont tu veux qu’il te traite. Enhardi par cet encouragement, il tape dans ton cul cambrĂ©, offert, ouvert, comme il le ferait pour la dernière des putes. Tu cries. « Oui!!! Vas-y ! DĂ©fonce moi ! »
Il lâche tes cheveux pour s’agripper bien fort Ă ton cul. Il tape fort!
Entre deux cris et soupirs, tu t’adresses Ă moi : »Tu vois bien lĂ ? »
Ça, pour voir…! Ce mec que je ne connais pas, avec une queue bien plus grosse que la mienne, est en train de dĂ©foncer devant moi ma propre compagne, qui ne fais aucun effort pour cacher le plaisir qu’elle prend. Je vois tes seins gonflĂ©s balloter au rythme de ses coups de reins. Je me mords les lèvres et tu reprends :
« -attends, je crois qu’il ne voit pas bien. »
Il semble qu’il ait lu dans tes pensĂ©es ou qu’il ait devinĂ© ce que tu attendais car il se retire, non sans avoir dĂ©posĂ© une claque bien appuyĂ©e sur ton cul encore tendu, ni sans avoir caressĂ© ton trou, bĂ©ant encore une fois. Tu te relèves avant d’attraper Ă nouveau ton verre et, avant de le porter Ă tes lèvres, lances : » Je me fais dĂ©foncer ! »
Lui pouffe brièvement de rire pendant que tu t’avances vers moi après avoir bu. Posant tes mains sur les accoudoirs, tu approches ton visage du mien, ta bouche de la mienne… Nos lèvres entrent en contact, tu Ă©cartes les tiennes, me forçant un peu Ă ouvrir les miennes, et me roule une pelle Ă la manière de celles Ă©changĂ©es plus tĂ´t avec lui.
-Tu aimes?
-Quoi? Je me risque Ă demander
-le goût !
-du champagne ?
-du champagne et de sa bite! Dis tu en riant.
Ta phrase finie, toujours penchée sur moi, tu cambres à nouveau ton dos et agites brièvement ton cul.
Lui semble avoir compris instantanĂ©ment le message. Il se place Ă nouveau derrière toi et reprends son ouvrage, probablement dans ta chatte cette fois car il a changĂ© de prĂ©servatif. Mais je ne peux que le supposer vu de cet angle. Il te baise, par derrière, ton visage, qui Ă©tait Ă la hauteur du mien au dĂ©but, est remontĂ© au dessus de ma tĂŞte sous la violence de ses assauts rĂ©pĂ©tĂ©s. Tes seins ballotent maintenant contre mon visage. Devançant ses coups de queue, tu envoies ton cul en arrière comme pour l’inviter Ă taper plus fort et plus profond. Ton visage est revenu Ă hauteur du mien, assez pour que je puisse lire de près l’expression de ton visage, mais glisse rapidement au dessus de mon Ă©paule, tout près de mon oreille. J’entends tes cris, ta respiration, et, de ce nouveau point de vue, je vois ton dos, creusĂ©, tes reins, cambrĂ©s, ton cul, tendu vers lui, et son bas ventre qui claque contre ce dernier.
-T’aimes ça grosse pute ! Hein? Te faire dĂ©foncer comme une chienne devant ton mec.
-Putain oui! J’adore ! DĂ©fonce moi ! Montre lui!
J’en ai mal Ă l’oreille tant tu as criĂ© ton dĂ©sir de te faire traiter ainsi.
Il te baise ainsi un moment, mais le rythme est soutenu et il ne va sĂ»rement pas rĂ©sister trop longtemps. Je sens les pauses qu’il fait dĂ©jĂ . Il attrape Ă nouveau tes cheveux et tire ta tĂŞte en arrière, ramenant ainsi ton visage face au mien. Je sens ton souffle sur mon visage, je lis les expressions sur le tiens, tes yeux fermĂ©s par moments. J’entends tes cris, tes gĂ©missements et les encouragements Ă te dĂ©foncer comme une pute que tu lui envoies. Je sens tes seins contre moi par intermittence…
Il se retire et t’entraine avec lui par les cheveux. Il te dirige par ce moyen et, retirant d’une main sa capote, te mets Ă genoux devant lui. Un sourire aux lèvres, tu ne te fais pas prier pour t’agenouiller face Ă sa queue. Mettant de toi mĂŞme tes mains dans le dos, tu le regardes par en dessous, pour te soumettre totalement Ă ton maĂ®tre du moment, et ouvres la bouche, la langue sortie, devançant ainsi sa demande.
« Quelle salope…! » Dit-il en me regardant. Tu esquisses un sourire…
Mais il te domine et il entend l’affirmer encore. Alors, profitant de la position, de ton attitude et de ta soumission, tenant toujours d’une main tes cheveux et de l’autre son membre raide, violet tant il est gonflĂ©, l’introduit dans ta bouche. Tu n’attends pas de directive supplĂ©mentaire pour refermer tes lèvres et l’envelopper dans ta bouche. Tu suces comme tu sais le faire, comme tu aimes le faire, mais toujours privĂ©e volontairement de l’usage de tes mains. Tes joues se creusent, je te voir aspirer, mais il t’ordonne aussitĂ´t : « Ouvre la bouche salope. »
Tu t’executes immĂ©diatement, sans abandonner ce regard de chienne soumise.
Il entreprend des va et viens sur ta langue, entre tes lèvres. Il te baise la bouche, littĂ©ralement. Se sert d’elle comme il se servait plus tĂ´t de ta chatte et de ton cul. De plus en plus loin.
« Maintenant vas-y. Suce moi espèce de grosse pute! »
ObĂ©issance immĂ©diate de ta part. J’entends presque le « d’accord » que tu lâches parfois quand on te demande quelque chose que tu attends.
Pour le coup, tes mains quittent le lien imaginaire qui les retenaient dans ton dos pour empoigner sa bite. Coup de langue en remontant le long de la hampe, un autre sur le gland, avant de le faire disparaitre dans ta bouche, de l’aspirer, de l’entourer de ta langue, le tout accompagnĂ© des mouvements de ta main. Tu n’oublies pas ses couilles que tu caresses, lèche, gobe tour Ă tour. Il est au bord de l’explosion, tu le sais, et je le vois. En bonne salope tu insistes, tu veux clairement le faire jouir. Tu lui prodigues ce traitement que tu maĂ®trises Ă la perfection encore un court moment. Il rĂ©siste…
« Putain, elle suce vraiment comme une chienne! » Dit-il en s’adressant Ă moi.
« Tu vas me faire jouir salope ! » Ajoute-t-il en te regardant. « J’espère bien! » Lui rĂ©ponds tu.
Il reprend sa queue en main, sans lâcher tes cheveux, et se retire de ta bouche pour se branler à quelques centimètres de ton visage. En bonne chienne que tu es, tu ouvres la bouche et tires la langue, prenant tes seins entre tes mains.
« Tu vas bien m’en mettre partout j’espère ! »
Sans rĂ©pondre, dans une sĂ©rie de spasmes, il crache tout son sperme sur ton visage, dans ta bouche ouverte, sur ta langue et tes seins. Tu es lĂ , devant moi, agenouillĂ©e sur le tapis Ă ses pieds, littĂ©ralement couverte de foutre qui coule sur ton visage et dĂ©gouline sur tes seins. Je n’en crois pas mes yeux. Tu jettes vers moi ce regard de chienne et de dĂ©fi avant de reprendre sa bite en main et de te lancer dans un nettoyage en règles. TantĂ´t en me regardant, tantĂ´t en le regardant, tu la lèche pour recueillir ce qu’il reste de son jus, aspire son gland jusqu’Ă la dernière goutte. Quelle chienne !!
Puis sans ajouter un mot, dĂ©laissant sa queue maintenant bien propre, tu te relèves et t’approches de moi. Tu plantes ton visage devant le mien, pour bien me montrer, et de près, le sperme dont tu es couverte. D’un doigt, tu rĂ©cupères une grande partie de ce qui reste sur ton visage avant de le porter Ă ta bouche, de le lècher et le sucer. Tu plantes ton regard dans le mien, toujours sans un mot, en t’appuyant Ă nouveau sur les accoudoirs. Ton visage s’approche maintenant dangereusement du mien. De ta main, tu prends mon visage et mes joues en serrant lĂ©gèrement. Tes lèvres entrent en contact avec les miennes. Tu tentes de me les faire ouvrir mais je rĂ©siste. Alors tu serres plus fort et ta langue force le passage pour s’introduire dans ma bouche. Tu me roules une pelle profonde, recrachant dans ma bouche tout ce qui restait dans la tienne. Quelques secondes, quelques tours et tu relâches ton emprise et t’Ă©cartant tu me dis : « VoilĂ , comme ça tu sauras quel goĂ»t ça a. C’est bon? Moi j’aime bien ! ».
Ma vengeance, Ă la hauteur de cette « humiliation », fera l’objet d’un autre rĂ©cit…© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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