Le Manoir de la Luxure (part 1 : Clarisse)
(Attention : il s´agit lĂ d’une histoire fantasmĂ©e aux limites du vraisemblable. Avec votre indulgence…)
Matthieu pensait passer des vacances ordinaires, avant que sa sirupeuse et richissime voisine de pallier Clarisse ne decide d´y ajouter un peu
Proposée le 2/01/2018 par Bob Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Rappel : les aventures de Matthieu ne sont qu’un enorme fantasme absurde et lubrique. Prière de ne pas y accorder trop d’importance, et en aucun cas y voir une réelle vision de la Femme.
Par ailleurs : quelques coquilles orthographiques subsistent (une histoire tapĂ©e fĂ©brilement sur un clavier de telephone…), et il ne s´agit pas lĂ d’une recherche stylistique aboutie.
Merci de votre comprehension, et bonne lecture.Le Manoir de la Luxure, Chapitre 1 : ClarissePour une fois, je passais mes vacances seul dans l’appartement familial, Ă Paris. Retenu Ă la capitale par un stage la première semaine des congĂ©s, je restais solitaire et sans grande occupation la seconde, passant mes journĂ©es Ă flâner, paresser et profiter de la douceur de l’Ă©tĂ©.
ÉtĂ© qui, je ne le savais pas encore, allait se rĂ©vĂ©ler… torride.
Les choses sĂ©rieuses dĂ©butent un matin, oĂą j’Ă©tais sorti m’acheter de quoi manger. De retour devant la porte de l’immeuble, mon sac Ă la main, je croisai une femme au visage cachĂ© derrière une montagne de paquets de provisions, arc-boutĂ©e contre la porte d’entrĂ©e et visiblement en difficultĂ© avec tout son chargement.
D’abord un peu hĂ©sitant, puis voyant qu’elle n’arrivait pas Ă bouger, ensevelie sous sa montagne branlante de sacs, je finis pas demander : « excusez moi, je peux vous aider ? »
L’inconnue Ă©mergea la tĂŞte de son fardeau, et je rĂ©alisai qu’elle ne m’Ă©tait pas si Ă©trangère.
C’Ă©tait notre voisine de palier, Madame (ou plutĂ´t mademoiselle, puisque nous ne lui avions jamais connu de mari) Clarisse De la Rosière.
MalgrĂ© sa trentaine passĂ©e , je la trouvais très « jeune dans sa tĂŞte »… et il faut le dire, sacrĂ©ment bien roulĂ©e ! Elle avait conservĂ© une taille de guĂŞpe, une silhouette fine et sportive, et surtout un imposant tour de poitrine qui n’avait pas manquĂ© de me faire loucher aux dĂ©tours de la cage d’escalier. VĂŞtue ce jour lĂ d’un tailleur et d’une juppe noires ainsi que d’une chemise blanche, elle Ă©tait super sexy…
un bon mètre soixante dix, un visage avenant au sourire angélique, deux yeux bruns chocolat, le tout encadré par une cascade de cheveux blonds cendrés ondulés.
Bien qu’elle fut notre voisine depuis un bail, elle restait très mystĂ©rieuse. Jusqu’Ă son mĂ©tier nous Ă©tait inconnu, et seuls son nom Ă particule et ses vĂŞtements luxueux nous indiquaient une situation assez aisĂ©e.
« Oh ! Bonjour Matthieu ! » S’exclama-t-elle avec un sourire radieux et Ă©clatant, malgrĂ© sa charge « Je veux bien que tu m’aides, oui, ce be serait pas de refus ! »
Passant mon sachet plastique Ă mon poignet, je la dĂ©lestai de la moitiĂ© de son fardeau et nous pĂ»mes rentrer dans l’immeuble.
Après avoir monté les escaliers, nous nous arrêtâmes devant sa porte où elle se débattit quelques instants avec la serrure, avant de réussir à ouvrir.
« Vous voulez que je vous les pose dans l’entrĂ©e ou… » demandais-je.
« Non, rentre ! Pose les sur le bar et assieds-toi : je vais bien t’offrir un verre pour te rĂ©compenser ! »
« Oh, c’est pas la peine, vous savez..! » m’empressai-je de dire, ne voulant pas dĂ©ranger.
« Fais ce que je te dis.. » répliqua-t-elle en entrant et en me faisant signe de la suivre « Il fait une chaleur de bête, tu dois avoir la gorge sèche »
Je pĂ©nĂ©trai donc dans l’appartement non sans apprĂ©hension, et posai mon chargement sur le comptoir de la petit cuisine amĂ©ricaine alors que mon hĂ´te s’Ă©clipsait.
Un peu gĂŞnĂ©, je m’assis dans un confirtable fauteuil en cuir, et observai l’intĂ©rieur : que du luxe. De la sobriĂ©tĂ©, dans les tons noirs et blancs, mais seulement des objets design et des tableaux qui devaient etre hors de prix…
« Houla ! Detends toi ! » me lança-t-elle, candide, en revenant, delestĂ©e de son tailleur noir. Elle ouvrit le frigidaire et me demanda : « qu’est ce que je te sers ? »
« Un…un jus de fruit, s’il vous plaĂ®t » bredouillai-je en me triturant les mains.
« Très bien jeune homme ! Et, tu peux me tutoyer : on sé connait depuis longtemps, non ? »
J’acquiesçai timidement, et ma voisine revint, un verre de jus de fruit dans une main et une coupe de champagne dans l’autre.
« Cette fille boit de l’alcool si tĂ´t avant midi ? Du champagne qui plus est ?! »
Elle me passa le verre et se laissa tomber sur le sofa, sa coupe Ă la main.
« Aaaah… il fait une de ces chaleurs ! » Souffla-t-elle en avalant une gorgĂ©e d’alcool mordorĂ© tout en ouvrant un bouton de sa chemise. Je detournai le regard de l’echancrure de ses enormes seins qui commençait a poindre, et bus un coup de mon jus d’orange.
« Dis moi, tu as quel age, maintenant ? »
« 17 ans, mademoiselle… »
« Pas de ca avec moi ! » Rit-elle « Appelle moi Clarisse : je t’ai deja dit de me tutoyer ! »
« D’accord… »
« 17 ans deja… c’est fou ce que tu as grandi… tu dois etre en terminale, c’est ça ? »
J’acquiesçai en sirotant mon jus.
« Ça se passe bien ? On prepare le bac ? Tu as des amis sur qui compter au moins ? Une petite copine ? »
Je m’Ă©tranglai et toussotai legerement. Ça faisair un bail que j’avais pas eu de copine… et pourquoi elle me demandait ça bordel ?!
« Ah, 17 ans a peine et vous semblez deja si matures… » soupira-t-elle. Elle avala une nouvelle gorgĂ©e de champagne « Je me souviens de mon emmĂ©nagement, vers mes 20 ans. Tes parents s’installaient en face, et je te voyais gambader sur le paillasson… tu Ă©tais Ă croquer ! »
« Puis je t’ai vu grandir, de l’autre cotĂ© du pallier… Et tu es presque un homme maintenant ! »
Elle but une autre gorgĂ©e de champagne, avant de se tourner vers moi et de dire d’une voix soudain très sirupeuse
« Dis moi Mathieu… tu as dĂ©jĂ couchĂ© avec une femme ? »
Ces mots rĂ©sonnèrent dans ma tete comme tres lointains, carillonnant de manière irrĂ©elle alors que le rouge me montait aux joues. Mais c’Ă©tait quoi ces questions soudaines ?!
Baissant les yeux de ses prunelles chocolat, mon regard echoua sur sa poitrine. CourbĂ©e en avant comme elle Ă©tait, appuyĂ©e sur son coude, j’avais une vue plongeante sur ses miches entre le col ouvert de sa chemise blanche, et entrapercevais la dentelle de son soutien-gorge.
Un debut de trique se fit sentir dans mon pantalon. Oh merde…
J’eus envie de partir en courant pour abrĂ©ger cet interrogatoire intime, mais je me sentais comme engourdi et un peu lourd. La chaleur sans doute… toujours est-il que je repondis machinalement, sans vraiment le vouloir :
« U…une fois. Il y a un an… »
« Une fois seulement ! » S’exclama-t-elle, mi amusĂ©e, mi attendrie.
Quelques secondes de silence s’Ă©coulèrent et me parurent durer une Ă©ternitĂ©, avant que son regzrd ne se plisse, se faisant de braise, et que ses lèvres ne se plient en un sourire mutin
« Et… ça te dirait pas de recommencer ? »
Je sursautai : lĂ , ce n’Ă©tait plus seulement des questions un peu trop personnelles.
Cette fois, son rictus entendu et ses yeux langoureux provoquèrent dans mon caleçon une erection complète. La vache, ce que j’Ă©tais excitĂ© !
Je mis quelques instants Ă comprendre.
« Serait-ce une bosse que je vois se dessiner dans ton pantalon ? » Me lança-t-elle en feignant la surprise, lorgnant mon entrejambe.
« Qu’est-ce que vous avez mis dans mon verre ?! » M’exclamai-je d’une voix blanche en tentant de rĂ©frĂ©ner mon excitation qui ne cessair de grimper en fleche, cachant pudiquement le pli qui se formait dans mon jean
« Moi ? » Fit-elle d’un air innocent « rien du tout… ah, a moins que je n’aie par inadvertance utilisĂ© un verre encore sale. Il devait rester un fond d’Ambroisy dedans… »
Elle se dressa devant moi avec une expression maligne
« … un produit developpĂ© par une de mes entreprises, donnant d’irrepressibles envies sexuelles a son consommateur, tout en lui confĂ©rant une endurance maximale. »
« Il se trouve que par hasard, » dit-elle en ouvrant par gestes lents les boutons de sa chemise, faisant furieusement augmenter ma gaule « il devait en rester un fond dans ma coupe aussi, et j’avoue avoir Ă©galement du mal Ă rĂ©frĂ©ner mes pulsions en ce moment mĂŞme… »
Je vis alors avec effarement un filet luisant couler le long d’une de ses cuisses. Ma voisine, la respectable Clarisse de la Rosière, me droguait au viagra surpuissant et mouillait abondamment devant moi sans aucune gène…
« …Alors… » dit-elle enfin en se mordant la lèvre, ecartant les pans de sa chemise pour me devoiler sa poitrine rebondie prisonnière de son soutif de dentelle blanche, baissant un peu d’un doigt la taille de sa jupe pour montrer l’Ă©vasement tres erotique de son bassin « …si on se soulageait mutuellement et que tu me montrais ce que tu sais faire avec un marteau pilon poussĂ© dans ses derniers retranchements ? »
Je restai abasourdi quelques millisecondes. Je devais rĂŞver, c’Ă©tait impossible… on aurait dit un scĂ©nar bateau de film de cul !
Mais bordel, qu’est-ce que c’Ă©tait tentant ! Qu’est ce qu’elle Ă©tait bandante, cette nana !
Alors, je fus pris d’un accès de fougue bestiale. Elle Ă©tait dĂ©sirable, dĂ©sireuse, et un appĂ©tit animal nous rongeait tout deux, nous faisant perdre la tete. Sautant sur elle, je l’etreignis brutalement et elle cueillit ma bouche au vol. Elle embrassait foutrement bien, la voisine, et ma langue se delecta de ses levres charnues et encore parfumĂ©es d’alcool.
je fis glisser sa chemise le long de ses bras, dĂ©voilant ses Ă©paules nues et son cou fin qui j’embrassai avec dĂ©lice, mordillant au passage une des bretelles du soutif blanc, passant mon souffle brĂ»lant suf sa clavicule.
Nous faisant pivoter, elle me poussa sur le grand sofa et sauta a califourchon sur mon bassin. Passant ses mains sur mon torse avec aviditĂ©, elle enleva mon t-shirt et s’attaqua Ă ma ceinture qu’elle defit d’une main experte mais nĂ©anmoins febrile, et tira mon pantalon, devoilant mon caleçon sous lequel se dressait mon sexe gonflĂ© Ă bloc. Puis Elle abaissa (si ce n’est arracha) mon sous vetement, laissant ma bite se dĂ©ployer librement de toute sa hauteur.
J’ouvris des yeux ronds, tout comme ma partenaire, dans les yeux de laquelle etincelait une gourmandise perverse.
Jamais elle n’avait Ă©tĂ© aussi grosse et longue, gonflĂ©e de veines saillantes, le gland luisant, bien droite, plantĂ©e entre mes deux boules qui semblaient au bord de l’explosion.
« Voila un bien bel objet… » susurra-t-elle d’une voix de miel qui attisa une fois de plus mon dĂ©sir « Un vrai bazar de taureau ! L’Ambroisy fait des miracles quznd il s’agit de pousser un homme jusqu’Ă ses limites… »
Puis elle engloutit sans prĂ©venir mon brakmar avec un hoquet etranglĂ©. Elle releva aussitĂ´t la tete en prenant une profonde inspiration, rejetant Ses cheveux d’or en arrière, et afficha un large sourire d’excitation, les yeux fermĂ©s. Unfilet de salive dĂ©goulinait de mon mât de chair fièrement dressĂ©.
Chacun ses lubrifiants…
Je me redressai et cherchai avec empressement la fermeture de son soutien gorge, que je finis par dĂ©graffer pour libĂ©rer ses deux grosses miches de leur prison de dentelle immaculĂ©e, et decouvrir avec Ă©merveillement la plus belle poitrine que je n’aie jamais vu.
Deux beaux et gros seins, ronds, soutenus, gracieusement galbés, terminés en de sublimes tétons hérissés par la fougue de ma partenaire. Les yeux etincelants, je cueillis les grosses loches avec avidité entre mes doigts : assez fermes, douces, matures, bien plus que celles de ma première partenaire mais en meme temps pas encore tombantes.
Parfaites.
Excité a mort, je malaxai la chair, y enfouis mon visage, léchai les tetons en arrachant a chaque caresse des soupirs de plaisir a ma compagne qui me passait les mains dans les cheveux.
Me faisanr rebasculer en arrière, m’arrachant contre mon grĂ© aux delicieuses mamelles, dressĂ©e au dessus de moi elle entreprit de retirer ses talons avec empressement, puis de se debarasser desa jupe et de sa culotte de dentelle.
Je pus, pendant ce bref intermède, admirer la puretĂ© de ses formes. Comme je l’avais dit, une taille de guĂŞpe, fine et souple. Son corps dĂ©nudĂ© Ă©tait tonique, svelte, entretenu comme on enretient une statue de venus. Ses levres, son cou, ses epaules, ses seins genereux, sa peau dorĂ©e au soleil, ses fesses aussi rebondies que sa poitrine et que je malaxai avec dĂ©lice, son bas ventre ciselĂ© qui se rĂ©vĂ©lait de plus en plus a mesure que son humide culotte de dentelle legere descendait, la cambrure de son dos… tout m’excitait dans sa personne, dont on ne devinait alors les quarante printemps fraichement passĂ©s qu’Ă l’expĂ©rience dans le denouement de ceintures et au tour de poitrine a pleine maturitĂ©.
Finalement, dressĂ©e au dessus de moi, appuyĂ©e sur ses genoux avec ses cuisses toniques en extension de part et d’autre de mon bassin, delestĂ©e de son ultime sous-vĂŞtement et donc entièrement nue (et follement excitante), deux doigts ecartant ses levres intimes et rasĂ©es de près auxquelles perlait sa mouille luisante, elle me dit dans un soupir brĂ»lant, le rouge aux joues : « Prends-moi… »
Je ne me le fis pas dire deux fois : lĂ oĂą j’avais stressĂ© pendant une demi-heure lors de ma première fois au moment d’enfiler ma capote (pensanr nerveusemenr aux accidents, aux mst, aux enfants, aux consĂ©quences…) ma fougue balaya toute inquiĂ©tude et ,agrippant sa taille, j’enfournai brutalement ma lance gonflĂ©e a bloc dans sa chatte, lui arrachant un cri et un spasme de dĂ©lectation.
« AAAAaaaah ! »
Une sensation de chaleur et de confort m’envahit, ma bite fermement serrĂ©e Ă l’intĂ©rieur du vagin brĂ»lant et humide de ma compagne.
AussitĂ´t, je commençai un mouvement de va-et-vient avec mon bassin, d’abord lent, puis de plus en plus rapide, ma partenaire poussant a chaque passage un soupir de voluptĂ©.
Alors que mon rythme balancĂ© accĂ©lĂ©rait (en meme temps que celui de mon coeur et des miaulements de Clarisse), je realisai dans un Ă©clair de luciditĂ© la merveille qu’Ă©tait cet Ambroisy. Depuis le debut, et malgrĂ© mon excitation invraisemblable, je n’avais pas a me soucier d’un rythme quelconque. Pas une goutte de sperme ne montait a ma hampe, et je pouvais simplement m’adonner aux plaisirs charnels de tout mon ĂŞtre, pillonnant avec dĂ©lectation la cavitĂ© intime de ma partenaire, dont les soupirs langoureux s’Ă©taient changĂ©s en hurlements torrides et en piaillements survoltĂ©s ponctuĂ©s de « Oh oui, c’est trop bon ! »
CambrĂ©e au possible, ses enormes seins tressautant au rythme de mon Ă©treinte, poussant des cris hystĂ©riques, elle semblait au bord de l’orgasme au bout de dix minutes de martèlement vigoureux.
Brusquement, elle bascula sur moi, collant sa poitrine pulpeuse Ă mon torse
« A..aaahhh… D… » hoqueta-t-elle, le souffle court « D…Dans la chambre !! »
ObĂ©issant, je pivotai sur le cĂ´tĂ© et me levai du sofa. Ma delicieuse voisine se pendit a mon cou et croisa les jambes autour de ma taille, restant empalĂ©e sur ma queue. Je m’elançai a grands pas a travers le salon, arrachant de petits gĂ©missements Ă Clarisse, et ouvris d’un coup d’epaule la première porte venue.
immĂ©diatement, je la jetai sur les drzps et fondis sur elle pour Ă nouveau la transperçer avec vigueur, debout au pied du lit. AllongĂ©e sur le matelas, elle se tordit de plaisir dans un nouveau cri, et je repris mon ouvrage avec toujours plus d’enthousiasme.
GalvanisĂ© par l’excitation que me procurait sa chatte parfaite, son corps sculptural et ses cris divins, notre etreinte me semblait irrĂ©elle et j’avais peur de vivre un reve erotique particulièrement saisissant .
Mais tout etait bien lĂ . J’etais bien en train de marteler avec fougue les parois intimes de ma MILF de voisine. C’Ă©tait bien Clarisse de la Rosière Ă©tendue devant moi, son corps brĂ»lant empalĂ© sur mon Ă©pieu dont les reliefs se dessinaient sous son bas ventre, ses seins globuleux dansant sous mon nez au rythme de mon va et vient bestial, son visage tordu par le plaisir dans une moue orgasmique au milieu d’une couronne de cheveux blonds cendrĂ©s.
« Je vais jouir ! C’est trop bon ! » Hurla-t-elle, suffocante, en agrippant les draps.
Sentant moi aussi l’ejaculation venir, je profitai de mes derniers instants de vigueur pour redoubler de force et attraper ses seins dont la chair rebondie etait un delice pour les doigts.
Soudain, tout partit. Mon pĂ©nis dĂ©versa au fond de ma partenaire un flot Ă©cumant et chaud, et mes doigts se resserrèrent avec force sur la poitrine de cette dernière. Clarisse, elle aussi, poussa un ultime cri de jouissance, avant que sa voix ne se brise dans l’orgasme.
Donnant trois coups de reins qui firent cracher Ă mon brakmar ses dernières cartouches, je m’effondrai, Ă©puisĂ©, sur le corps de ma compagne, lui massant une dernière fois les seins avant de l’embrasser goulĂ»ment. « C’Ă©tait gĂ©nial ! » Me dit-elle, adossĂ©e dans l’embrasure de la porte « On ne m’avait pas baisĂ©e comme ça depuis un bail ! »
La chaleur retombĂ©e, nous avions quittĂ© notre Ă©treinte. Alors que je restais assis, nu comme un ver, sur le bord du lit pour rĂ©flĂ©chir a ce qu’il venair de se passer, Clarisse Ă©tait allĂ©e prendre une douche, avant de revenir pour discuter avec moi, vĂŞtue d’un peignoir blanc qui laissait apercevoir l’Ă©chancrure de ses seins et l’intĂ©rieur de ses cuisses. Aguicheuse mĂŞme après l’acte…
« C’Ă©tait bon pour toi aussi ? » Me demanda-t-elle en jouant avec ses cheveux mouillĂ©s
« Hmm… » repondis-je mollement, les yeux fixĂ©s sur mon sexe encore Ă moitiĂ© dressĂ© par les effets aphrodisiaques de l’Ambroisy. Bien sĂ»r, j’avais adorĂ© mon intense partie de jambes en l’air avec ma dĂ©lectable voisine, mais l’excitation retombĂ©e, je commençais a stresser un peu…
« Tu as peur d’avoir fait une erreur en me remplissant de foutre jusqu’Ă rabord ? » Gloussa-t-elle « Ne t’inquiète pas : je passe des tests rĂ©guliers et je n’ai pas de mst. Toi non plus, je suppose, vu ton petit nombre de relations (sans vouloir de vexer). Quant aux enfants, l’Ambroisy, en plus d’ĂŞtre un aphrodisiaque du tonnerre, a des vertues contraceptives : tu ne risques pas de te retrouver jeune papa au lendemain d’une de nos seances de galipettes ! »
Je sursautai. « Nos seances de galipettes ?! Vous voulez dire qu’on va le refaire rĂ©gulièrement ?! »
« À moins que tu ne veuilles pas, bien entendu… »
« SI SI ! »
Clarisse arbora une moue malicieuse.
« Je m’en doutais… en tout cas ma porte et mes cuisses te seront toujours ouvertes si tu as la moindre envie de cabrioles ! Je suis tombĂ©e sur un bel Ă©talon, dont je souhaite prendre soin ! »
Puis elle s’assit Ă cĂ´tĂ© de moi.
« À ce propos, j’aurais quelque chose a te demander… »
Elle me pressa la bite en me lançant un regard mutin. J’eus un lĂ©ger sursaut, surpris.
« Je crois avoir compris que tu etais seul et libre ces temps-ci… Tu voudrais pas devenir un de mes sujets de test ? »
Je haussai les sourcils.
« Vois tu, je suis issue d’une famille particulièrement riche, dont j’ai hĂ©ritĂ© un bon nombre d’entreprises, de propriĂ©tĂ©s, et un capital imposant. FascinĂ©e par les plaisirs du sexe, j’ai ouvert de nouvelles entreprises tournĂ©es vers le secteur des plaisirs charnels. Et parmi elles, » expliqua-t-elle « en plus de l’Ambroisy il y a le Manoir de la Luxure. Dis toi que c’est un genre de maison close XXL de luxe, Ă©tablie dans une des grandes propriĂ©tĂ©s de ma famille, oĂą le moindre membre du personnel est une nymphomane au corps de rĂŞve qui te fera tout ce que tu veux sur demande… un lieu entièrement dĂ©diĂ© au sexe et Ă la belle vie. »
Je deglutis. Rien que l’evocation de ce lieu me donnait des bouffĂ©es de chaleur
« Ce manoir, extrement secret, est habituellement ouvert aux riches entrepreneurs et patrons qui y prennent du bon temps en charmante compagnie : golf et petite sodomie entre chaque trou (quel jeu de mots !), piscine puis fellation sur un transat, dĂ©jeuner et levrette a meme le sol pour digĂ©rer… Que du bonheur Ă la chaĂ®ne dans le luxe et le sexe ! »
« Et vois-tu, je compte commercialiser l’Ambroisy au sein meme du manoir de la Luxure, comme un petit bonus en cachet disponible pour quelques centaines d’euros supplĂ©mentaires, afin d’augmenter ses performances et son endurance dans le lit de mes petites protĂ©gĂ©es, histoire de maximiser le plaisir. Mais avant cela, j’ai besoin d’effectuer des tests : y a t-il des effets secondaires a la consommation massive d’Ambroisy ? Quelle esr sa durĂ©e d’action cumulable maximale ? Les filles peuvent-elles le supporter en continu ? »
Elle me prit les mains d’un air très sĂ©rieux, et Ă©nonça d’un ton grave :
« VoilĂ ce que je te propose : un sĂ©jour privatisĂ© et gratuit dans mon manoir de luxe, avec toutes les hĂ´tesses Ă ton unique disposition, sous la seule contrainte de coucher avec quatre de mes filles les plus performantes en consommant de l’Ambroisy, qui te sera bien sĂ»r distribuĂ© Ă volontĂ© pour ta consommation personnelle durant le sĂ©jour . Qu’en dis tu ? »
Je restai bouche-bĂ©e, n’en croyant pas mes oreilles. En gros, ma voisine super bonnasse me proposait de troquer une semaine cloĂ®trĂ© seul dans mon appart parisien Ă me branler en solitaire pour des vacances gratuites dans un domaine de luxe rempli de sublimes crĂ©atures que j’avais pour mission de baiser Ă la chaĂ®ne.
Ça ressemblait Ă un scĂ©nario tordu de film porno… mais qu’importe, je signais immĂ©diatement !
« Bien sĂ»r que je veux venir ! » M’exclamai-je, fantasmant dĂ©jĂ . Clarisse sourit avec malice, et repondit : « heureuse de te l’entendre dire ! Nous partirons donc demain matin vers dix heures dans ma voiture pour le manoir de la Luxure ! »
« D’ici lĂ , » me susurra-t-elle a l’oreille « on aura le temps de faire encore quelques cabrioles, nan ? »© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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