Le père de ma copine – 3 –
Le père de ma meilleure copine n’hésite plus à me faire assouvir tous ces fantasmes. Il m’expose à d’autres hommes et après notre dernière entrevue, il a promis de me faire découvrir le plaisir anal…
Proposée le 4/10/2021 par Valentina Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Après notre dernière entrevue, je n’ai qu’une chose en tête : monsieur Colin veut me sodomiser. Je pense que son sexe est trop gros pour passer entre mes fesses mais cela m’obsède. J’ai envie de le revoir, je veux qu’on s’embrasse, qu’on se donne du plaisir, qu’il m’ordonne de me mettre à genoux et qu’il éjacule sur moi. J’ai discrètement pris son numéro dans le portable de Marie et je lui ai envoyé une photo de moi en petite tenue. Il m’a réprimandé, je ne dois pas lui envoyer de message, sauf s’il le demande. Il a dit qu’il allait me punir la prochaine fois. Et j’ai été heureuse de lire ‘la prochaine fois’, mais maintenant que nous avons convenu d’un rendez-vous, je dois avouer que la punition m’inquiète un peu. Marie est partie avec sa mère rendre visite à ses grands-parents et monsieur Colin m’a invité chez eux, nous serons tranquilles. Il ouvre la porte, j’entre rapidement, et cette fois ci, il n’hésite pas, il m’embrasse tout de suite. Je crois qu’il n’a plus de remords, après tout je suis majeure maintenant. Il m’entraine dans le salon, il s’assoit dans un fauteuil, il me regarde.
– Déshabille-toi.
Je tire sur le nœud de ma robe portefeuille et je me retrouve nue.
– Tu es sortie sans sous-vêtements ! Coquine.
Je suis un peu troublée d’être nue devant lui comme ça. Il perçoit ma gêne, il sourit et sort son sexe qui est déjà dressé.
– Caresse-toi les seins.
J’adore le voir se masturber. Il me demande ensuite de m’assoir sur la table basse, jambes écartées.
– J’ai envie de voir ta petite chatte mouillée. Je passe la main sur mes tétons durs et descends entre mes jambes, je stimule mon clitoris. Cette scène m’excite tellement. Monsieur Colin continue de se branler et je sens que mon entrejambe devient humide. Après quelques instants, il approche son doigt tendu et l’enfonce directement dans ma chatte, envoyant des frissons dans tout mon corps.
– Aaah monsieur Colin.
– Arrête de m’appeler comme ça ! Je m’appelle Richard.
Richard ? Ça serait bizarre de l’appeler comme ça… et si ça m’échappe et je l’appelle par son prénom devant sa famille ?
Je me concentre sur la sensation de son doigt en moi, il en glisse un deuxième, il continue de se branler et moi aussi. – Ta petite chatte est si étroite, j’ai envie de te prendre tout de suite.Sur ces mots, il enfile un préservatif, relève mes jambes et me pénètre lentement, sur la table basse. Je ne suis pas sûre qu’elle puisse supporter nos deux poids, et quand nous commençons à entendre des craquements, monsieur Colin se relève et me demande de me mettre à quatre pattes. Je me retourne et il me reprend d’un coup, il va-et-vient en moi très rapidement. Il me met plusieurs fessés puis je le sens cracher sur mon petit trou, il l’humidifie un peu et pousse son doigt dans mon cul. Immédiatement, j’adore cette sensation, mes deux orifices remplient de lui, il coulisse parfaitement et je ne tarde pas à avoir un orgasme qui me secoue le corps entier, monsieur Colin se retire et éjacule sur mes fesses. Nous restons un moment dans cette position, puis il m’essuie les fesses avec un mouchoir et s’assoit sur le canapé. Je me blottie contre lui, je trouve cela super excitant d’être dans son salon nue avec lui. J’attends un peu avant de réveiller son sexe. J’imagine déjà le prendre directement dans ma bouche et l’avaler jusqu’au fond de ma gorge. Mais il me demande de me rhabiller. – Non, pas déjà monsieur Colin !
– Il faut arrêter ça Valentina. Tu te rends compte de ce qu’on risque si ma femme ou ma fille l’apprenne !
– Vous n’aimez pas ? Je croyais que je vous donnais du plaisir.
– Bien sûr que si, c’est délicieux de coucher avec toi, mais enfin tu as l’âge de ma fille ! J’attrape sa main et prend son index dans ma bouche, je le suce quelques secondes puis le pose sur ma chatte.
– Vous voyez je suis toute mouillée, j’ai encore envie de vous. Je passe son doigt le long de ma fente puis l’appuie sur mon clitoris et je bouge afin de me donner du plaisir. Je sais qu’il va céder car je vois son sexe qui reprend de la vigueur. J’écarte les jambes et son doigt se fraie un chemin jusqu’à l’entrée de mon vagin. Il s’arrête :
– Si je continue, tu es à moi Valentina. Tu fais ce que je te dis. Tout le temps.
– Oui, d’accord.
– Tu réalises ce que je te demande ? Une photo quand je te le demande, tu viens quand je veux, tu fais ce que je veux et avec qui je décide.
– Tout ce que vous voulez monsieur Colin. J’approuverais tout ce qu’il me demande, mais je tique un peu sur le ‘avec qui je décide’. Qu’est-ce qu’il veut dire par là ? En fait je m’en fous. J’ai envie d’être sa petite salope. Le secret m’excite, qu’il soit le père de ma meilleure amie encore plus et plus aucun des garçons que je connais ne m’attire donc monsieur Colin peut faire ce qu’il veut de moi. J’avance mon bassin pour faire entrer son doigt en moi et je bouge pour le faire aller et venir. Puis je me penche et je prends sa bite dans ma bouche, elle durcit encore et monsieur Colin me tient la tête fermement et me baise la bouche. Il s’enfonce trop profondément, j’ai des hauts le cœur, les larmes me montent aux yeux et je manque de m’étouffer, lorsqu’il me relâche enfin, il me sourit.
– Tu vas être obéissante Valentina ?
– Oui monsieur Colin.
– Très bien. Alors maintenant je vais te baiser, je vais prendre ta petite chatte très fort et quand tu vas repartir, je veux que tu ailles acheter du lubrifiant. Tu sais pourquoi ?
Je ne réponds pas.
– Parce que la prochaine fois, je vais te mettre ma bite dans le cul. D’accord ?
– Oui.
– Et demain au lycée, ne met pas de culotte et envoie moi une photo de ta petite chatte.Sur ces mots, il me fait assoir sur lui, dos à lui, les pieds sur ses cuisses je m’empale sur son dard, il me caresse le clitoris et quand je suis en train de jouir, il enfonce son doigt dans mon petit trou et je crois que j’ai un orgasme qui dure des heures. Le lendemain, je porte une jupe au-dessus des genoux, j’ai mis une culotte malgré ses instructions et je la retire dans les toilettes à la pause, pour prendre une photo. Mais au moment de l’envoyer, je pense que ça serait plus excitant de prendre une photo dans la salle de classe. Je retourne donc en cours sans culotte et je profite d’un moment où le prof a le dos tourné pour remonter rapidement ma jupe et prendre une photo de ma chatte, les jambes entrouvertes, avec la salle de classe en fond. Je suis satisfaite, je crois qu’il va aimer. Je l’envoie à la pause suivante et il répond immédiatement « petite salope, tu me fais bander ». C’est le meilleur texto que j’ai reçu de ma vie ! Monsieur Colin me propose un autre rendez-vous un soir de la semaine suivante. Je prétexte un travail de groupe pour que mes parents me laissent passer la nuit chez Marie. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que Marie ne sera pas chez elle… J’arrive en jean et brassière et monsieur Colin ouvre prestement la porte. J’entre et je suis surprise de découvrir 4 autres hommes, d’environ l’âge de monsieur Colin.
– Messieurs, voici Valentina dont je vous ai parlé. Vous allez voir son corps est magnifique et sa petite chatte est à se damner.
Je reste sur le pas de la porte. Il me demande si je veux rester ou partir. Je dois être totalement folle car je lui dis que je veux rester. – Alors déshabille toi.
Je retire mes vêtements, les hommes me regardent. Un d’eux prend la parole :
– On a vu la photo de toi en classe, c’était magnifique.
Ils tournent autour de moi, me regardent, monsieur Colin m’apporte un verre de whisky, je le bois d’une traite. Il me redemande si je veux rester et j’acquiesce une nouvelle fois. Il m’entraine dans la cuisine et m’assoit sur l’ilot central.
– Allonge-toi. Les 4 hommes m’entourent, ils me regardent pendant un moment et je me demande si j’ai pris la bonne décision. Ne devrais-je pas partir ? Que vont-ils faire ? Et qu’est-ce qui ne va pas chez moi parce que cette situation m’excite et je sens l’humidité entre mes jambes.Monsieur Colin se tient en retrait. Un des hommes me caresse la joue, puis sa main suit mon cou, mon épaule, tourne autour de mon sein en se rapprochant de mon téton, voyant cela, un autre prend mon orteil dans sa bouche, il le suce et caresse mes jambes, et d’un coup, toutes leurs mains sont sur moi, sur mon ventre, mes cuisses, mes seins… le premier attrape mon téton entre ses dents, un autre m’embrasse, je commence à être essoufflée. Ils sont assis sur les hauts tabourets de la cuisine et monsieur Colin est debout au bout du plan de travail, il me regarde me faire toucher par toutes ces mains. Après quelques minutes (quelques heures ? je ne sais plus…) il demande un peu de calme et annonce.- Valentina va nous montrer ses talents de suceuse. Qui veut commencer ?
Ils lèvent tous la main.
– Tu choisis, Valentina. Je m’assois sur le plan de travail et je les regarde tour à tour. Il veut vraiment que je les suce tous ? Je saute par terre et m’approche d’un des hommes, je descends sa braguette, fais sortir son sexe que je branle un peu avec ma main, puis je fais rebondir son gland sur ma langue tirée. Son pénis n’est pas très grand, il est assez épais par contre et je dois ouvrir grand la bouche pour le faire entrer, très rapidement, il me demande d’arrêter et je passe au suivant qui a déjà sortie sa queue, il se masturbe et guide ma tête vers son membre que je qualifierais de petit, je le prends entièrement dans ma bouche sans aucun mal. Après quelques minutes de fellation, il retient ma tête, et éjacule dans ma bouche. Je n’avale pas, je vais recracher dans l’évier et je me rince la bouche. Je déshabille le troisième homme, découvre son pénis, long et fin et le quatrième sort lui-même son sexe, il prend ma main et le pose sur lui pour que je le branle pendant que je suce l’autre. Puis ils me font passer d’un sexe à l’autre, à un moment je prends même les deux en même temps dans ma bouche. Puis monsieur Colin vient me relever, je me rassois au bord de l’ilot central et il écarte mes jambes. – Regardez messieurs, quand avez-vous vu quelque chose d’aussi parfait ?
Il écarte mes lèvres pour dévoiler mon intimité, tous les hommes se penchent pour mieux voir.
– Sa petite chatte rose est une invitation à la jouissance et elle est tellement serrée. Et je vous ai dit que son cul était vierge. Monsieur Colin se penche et sa langue rencontre enfin mon clitoris. Il écarte mes lèvres au maximum, il me lèche, me suce, me tète, il aspire mon clitoris et ça me rend folle. Deux des hommes s’occupent de mes seins, tous se branlent. Je suis au comble de l’excitation.Monsieur Colin enfonce sa langue dans mon vagin et il annonce que je suis bien mouillée maintenant. Celui qui a la queue longue et fine demande s’il peut gouter ma chatte. Monsieur Colin lui cède sa place. Il se trouve que sa langue est aussi très longue et il me titille le clitoris très rapidement, en quelques secondes il m’amène aux portes de la jouissance mais s’arrête avant de me faire jouir. Il plante ses yeux dans les miens, enfile un préservatif et plante sa longue queue dans mon vagin. Les 4 autres hommes sont assis autour de nous, en train de se branler. Plusieurs fois, il arrête ses mouvements juste avant que l’orgasme ne me submerge. Puis il se retire et c’est monsieur Colin qui le remplace.
Sa grosse queue me remplit totalement, l’homme qui était en moi juste avant, à recommencer à me lécher le clitoris et cette fois, sentir sa langue sur moi et monsieur Colin en même temps me font perdre la tête, je jouis sous leurs regards et ils m’encouragent, j’entends des ‘oh oui, laisse-toi aller, c’est beau ça, elle aime ça hein…’
Quand je reprends mes esprits, monsieur Colin pousse sa verge aussi profond que possible et un homme essaie d’entrer son doigt en même temps dans mon vagin.
– Je crois que ça va passer, on pourrait essayer une double vaginale ?
Monsieur Colin refuse.
– Non, elle n’est pas prête. Puis il me retourne, il me reprend, écarte mes fesses, les hommes regardent, un me crache sur l’anus, un autre entre son doigt dans mon cul, pendant qu’un autre s’est agenouillé pour prendre mes seins dans sa bouche, j’ai un nouvel orgasme. Monsieur Colin se retire, je vois dans son préservatif qu’il a joui lui aussi. L’autre homme qui m’avait pénétré me demande de le sucer de nouveau, les 3 autres se branlent en nous regardant. Il se retire rapidement de ma bouche et éjacule sur mes seins. Je me relève, monsieur Colin me prend dans ses bras et chuchote :
– Tu as aimé ?
Je hoche la tête. Oui, j’ai adoré. Je lui dis que je voudrais prendre une douche. Il m’embrasse et me claque les fesses.
– Vas-y. J’entends les hommes qui n’ont pas joui demander pourquoi je pars déjà. Monsieur Colin répond que j’en ai assez. Je me douche en repensant à ces moments, à ces hommes et je me dis que je suis folle d’accepter ça. Mais c’est tellement bon ! Quand je redescends, ils sont partis et monsieur Colin prépare une salade. C’est bizarre de manger en tête à tête avec lui. Nous discutons comme des adultes, je n’ai plus l’impression d’être l’amie de sa fille, il me demande même de le tutoyer. Tutoyer monsieur Colin ? Je ne sais pas si je pourrais. Il prétend qu’avoir joui ensemble rend le tutoiement obligatoire. Nous rangeons la cuisine, buvons un verre et je suis épuisée, je veux aller me coucher. Je monte et me couche dans son lit, il me rejoint, se déshabille et je remarque son sexe dressé. Il s’allonge dans le lit, je l’embrasse et m’assois immédiatement sur lui. J’ai du mal à le faire entrer dans mon vagin, mais j’ai envie de le sentir en moi tout de suite. Je m’empale sur son dard poilu pendant ce qui me semble des heures. Puis il nous fait rouler et se retrouve au-dessus de moi. Il s’active sur moi puis serre mon visage entre ses doigts :
– Je n’ai pas de préservatif Valentina, il ne faut pas faire ça. Où veux-tu recevoir mon foutre.
– Dans la bouche.Il parait surpris. Il se retire et enfourne sa queue dans ma bouche, il fait quelques va-et-vient et je sens son sperme chaud arriver en giclées dans ma bouche. J’hésite mais je ne l’avale pas, je me lève et vais recracher dans la salle de bains. Je le rejoins dans le lit et m’endors dans ses bras. Le matin, je sens ses doigts fouiller ma chatte et sa queue dressée contre mes fesses, je me laisse faire, il murmure dans mon oreille :
– Vas chercher le lubrifiant.
Ah. C’est le moment qu’il m’avait promis. Lorsque je reviens dans la chambre, il est en train de se branler.
– Viens me sucer. Je m’agenouille devant lui, le prend dans ma bouche et m’applique pour lui faire la meilleure fellation de sa vie. Il ne me laisse pas continuer très longtemps. Je me mets à quatre pattes à sa demande et sens sa langue le long de ma fente, puis sur mon clitoris. Il me fait mouiller me baise avec ses doigts, enfile un préservatif afin de me pénétrer. Lorsqu’il est dans mon vagin, il fait couler du lubrifiant sur mon petit trou, beaucoup de lubrifiant, puis il pousse un doigt dans mon anus. J’adore toujours autant le sentir dans tous mes trous. J’aime avoir son doigt dans le cul comme ça, mais je suis persuadée que sa queue est trop grosse pour mon petit trou. Ces tergiversations m’empêchent de jouir, j’ai peur qu’il me fasse mal. Il a maintenant 2 doigts dans mon cul, il rajoute du lubrifiant et je le sens se retirer de mon vagin. Il pose son gland sur mon anus.
– Détends-toi, ça va aller. Il me tient les hanches et pousse sa verge en moi, mais il a beau pousser, il ne peut pas rentrer. Il met du lubrifiant sur son sexe, et pousse d’un coup son gland en moi. Je sens mon anus s’ouvrir et je hurle.
– Ça va aller maintenant, on y est presque.Il continue de forcer l’entrée de mon petit trou, je le sens avancer entre mes fesses, lentement, péniblement. Il s’arrête puis reprend son parcours. Mais sa bite est trop grosse, il me fait mal.
– Monsieur Colin, vous me faites mal.
Je reçois une grande claque sur les fesses.
– Arrête de m’appeler comme ça ! Écarte tes fesses.J’écarte mes fesses avec mes mains, j’enfouis ma tête dans les couvertures. Je sens qu’il progresse, je sens mon cul s’ouvrir de plus en plus. Et puis je sens ses couilles contre ma chatte. Il a mis toute sa longue bite dans mon cul. Il attend un peu, puis ressort légèrement pour encore faire claquer ses couilles contre ma chatte.
– AAAHHH ça fait maaaal. J’en peux plus, c’est douloureux. Il commence ses va-et-vient, je cri, je hurle, je m’apprête à lui demander d’arrêter lorsque je me rends compte qu’il coulisse de mieux en mieux en moi. Je me redresse sur les mains, je bouge et fais moi-même aller et venir sa queue entre mes fesses, il tient mes fesses écartées.
– Mmm une bonne sodomie avant d’aller au lycée, ça fait du bien hein ?
– Oui, monsieur Colin. Monsieur Colin accélère et je sens mon ventre se tordre.
– Aaaah monsieur Colin je vais jouir.
Il accélère de plus belle, je hurle de plaisir, j’ai peur d’alerter les voisins mais les cris sortent de ma bouche à mesure que le plaisir me submerge. C’est trop bon. Il me demande :
– Tu aimes de faire enculer ?
– Oui, oui j’adore. Je passe ma main entre mes jambes, je me caresse et jouis de nouveau, monsieur Colin se retire et jouit lui aussi, sur mes fesses. Je ne bouge pas. Je n’en reviens pas d’être passé de douleur à plaisir aussi rapidement, je suis complètement surprise que le pénis de monsieur Colin a pu pénétrer mon petit trou, je le pensais trop gros et surtout d’avoir eu un orgasme de cette façon. Je vais me laver et me préparer, en marchant pour aller au lycée, j’ai mal de partout, mais j’ai le sourire aux lèvres. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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