Le porno n’est pas mort
Quand le cul et le cynisme s’accouplent sous le regard complice de la sociĂ©tĂ© de consommation, il arrive qu’un grain de sable fasse sauter la machine.
Proposée le 19/07/2016 par Ziggy Kaïros Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: GroupesLieu: ParkingType: Fantasme
Blogueuses mode, statistiques Google et panels de consommateurs s’accordaient sur un point : Amber et Zack Slider formaient le couple le plus sexy du moment.
Une Ă©quipe de tournage suivaient le moindre de leurs pas dans la rue. Et le couple n’Ă©tait pas en reste puisqu’il se filmait lui-mĂŞme – en double – en se mettant en scène dès que possible.
En les regardant poser sur la terrasse du dernier Starbucks construit Ă Cleartown, un touriste lambda aurait pu les prendre pour des jeunes gens comme les autres. Ils Ă©taient beaux. D’une beautĂ© clinique et plastique. Mais cela ne les diffĂ©renciait pas du reste des habitants de la ville.
Ce qui les distinguait des anonymes ? Une cohue dĂ©clenchĂ©e dans les rues du centre-ville Ă l’annonce de leur sortie surprise. Jamais Cleartown n’avait connu un tel chaos – mĂŞme pour la venue de Madonna ou de Mark Zuckerberg.
La force du couple tenait à leur auréole psycho-érotique dans un monde totalement apaisé.
Un monde sans violence. Un monde Ă la lumière Ă©blouissante. Un monde modèle pour le futur oĂą le mal avait Ă©tĂ© Ă©vacuĂ© de l’autre cĂ´tĂ© de la frontière.
Ă€ Cleartown, Amber et Zack incarnaient le top niveau en matière de sexualitĂ©. LE COUPLE ALPHA avait titrĂ© l’Ă©dition locale de Vanity Fair – Alpha comme un nouvel archĂ©type du star system.
Leurs qualités physiques et leur énergie aurait suffit à en faire des stars dans le cinéma X. Mais ce qui leur valaient une réputation sans égale venait de leur capacité à sublimer la sexualité. Ils personnifiaient ce moment historique où le tabou de la pornographie venait de voler pour de bon en éclat.
Au mĂŞme titre que d’autres sous-genres artistiques avant lui, le porno venait de perdre son aura nĂ©gative pour servir Ă vendre des produits de consommation courante. Premier couple d’acteurs pornos en activitĂ© Ă se mettre au service des marques, Amber et Zack Slider ne faisaient que leur job en se rendant Ă l’inauguration de la nouvelle Nissan GT-R.Toutes sortes de rumeurs avaient couru sur le fil Twitter du constructeur. Personne n’avait prĂ©vu que le service de communication rĂ©quisitionnerait le plus grand parking de la ville pour l’occasion.
La nouvelle Nissan GT-R allait ĂŞtre prĂ©sentĂ©e lors d’une cĂ©rĂ©monie très privĂ©e. Devant un public triĂ© sur le volet : clients, partenaires, pilotes et quelques stars… Les spectateurs dĂ©couvrirent le lieu de l’avant-première en mĂŞme temps que les deux acteurs.
L’ambiance sombre du parking souterrain donnait Ă la rĂ©ception un soupçon d’interdit. Il flottait dans l’air un parfum de pneu brĂ»lĂ© – une rumeur de courses clandestines oĂą la prĂ©sence d’une camĂ©ra Ă©tait Ă peine tolĂ©rĂ©e.
Le public accueillit le couple sous une clameur inquiĂ©tante dont les Ă©chos prospectaient les recoins les plus sombres du niveau le plus bas de l’Ă©difice.Amber et Zack Ă©taient chargĂ© de dĂ©voiler le bolide.
Amber portait un ensemble Saint-Laurent Paris et une paire de Louboutin, comme prévu au cahier des charges.
Zack – liĂ© par contrat Ă la marque Diesel – avait optĂ© pour la panoplie total cuir de la marque.
Le couple se dĂ©shabilla pendant que l’on servait les convives en alcool et amuse-bouches. Ils s’Ă©lancèrent contre la voiture et commencèrent Ă s’enlacer sur la bâche poussiĂ©reuse qui recouvrait la carrosserie. Leur Ă©treinte se devait d’ĂŞtre intense – tels deux membres d’un couple qui se retrouvaient après une longue sĂ©paration.
La marque souhaitait transmettre un message simple. Il ne s’agissait pas d’un Ă©nième nouveau coupĂ© sport lancĂ© sur le marchĂ©. Les clients devaient s’attendre Ă des retrouvailles avec un Ă©tat d’esprit bien prĂ©cis : des retrouvailles avec la passion.
Et la passion fut au rendez-vous quand Zack se déchaîna sur Amber.
La toile de nylon tombait peu Ă peu, dĂ©voilant en douceur les formes agressives du bolide – sous des applaudissements de plus en plus insistants.
Après ce court moment d’excitation, les encouragements se tarirent et le couple continua son set – une performance huilĂ©e comme un moteur de Formule 1.Amber et Zack se forçaient Ă garder le sourire. Ils usaient de leurs meilleures techniques d’acteurs pour prouver Ă leur public qu’ils prenaient leur pied.
Zack sentait un malaise chez Amber. Il l’entendait Ă ses gĂ©missements. Il y avait un truc en plus, ou en moins. Il manquait aussi un supplĂ©ment d’âme dans les attentions de Zack. Comme s’il retenait ses caresses pour ne laisser transparaĂ®tre aucune tendresse.
Ce n’Ă©tait pas qu’une vue de l’esprit, mais une exigence de l’organisateur.
#mĂ©canique, #prĂ©cis, #explosif Ă©taient les trois mots clĂ©s associĂ©s au scĂ©nario dont les termes prĂ©voyaient – en plus de l’introduction sur le capot – une pĂ©nĂ©tration contre la porte cĂ´tĂ© conducteur, une autre scène dans l’habitacle de la voiture de sport, et un final sur un point prĂ©cis du parking. Un point marquĂ© d’une croix noire sur le bĂ©ton d’oĂą le cadreur pourrait immortaliser les images de la campagne de publicitĂ© Ă venir.En s’installant dans l’habitacle minuscule, les deux acteurs se rendirent compte d’un dĂ©sintĂ©rĂŞt total pour leur performance. On les regardait comme des robots, sans convoitise, comme on envisage l’achat d’une nouvelle voiture de sport quand on en possède dĂ©jĂ une dizaine dans son garage.
Le couple – voyant qu’il n’Ă©tait lĂ que pour le dĂ©cor – dĂ©cida de se lancer dans une improvisation et de rĂ©aliser une cascade non prĂ©vue au programme.
Zack aida Amber Ă monter sur le toit de la voiture. LĂ , il guida ses hanches pour qu’elle se pose Ă quatre pattes. De manière Ă ce que la moitiĂ© de l’assistance voit Ă quel point son cul Ă©tait superbe. Un cul bien ouvert en deux et une chatte pleine de jus qui coulait Ă la simple pensĂ©e de la provocation dont ils allaient se rendre les auteurs.
Zack cracha plusieurs fois. Dans ses mains et entre les fesses d’Amber.
L’autre moitiĂ© de l’assistance, quant Ă elle, pouvait observer les nuances de rouge envahir le visage d’Amber Ă mesure que Zack la fouillait par-derrière.
La sodomie n’Ă©tait pas prĂ©vue au programme. Mais le contrat ne l’interdisait pas expressĂ©ment. Alors Zack ne ressentit aucune hĂ©sitation quand il se posta au-dessus du bassin d’Amber pour forcer l’entrĂ©e de ses reins.D’un cĂ´tĂ© : le public jouissait d’une vue unique sur la pĂ©nĂ©tration. Les couilles de Zack tapaient sur le sexe d’Amber en provoquant des bruits de dĂ©tonation.
De l’autre cĂ´tĂ© : l’essentiel du spectacle rĂ©sidait dans la danse extatique des seins de la belle et dans la vision du visage des amants transfigurĂ©s par cette plongĂ©e au fond des entrailles.
Les cris d’Amber – en augmentant progressivement d’intensitĂ© – coupèrent la parole Ă tous. Une gĂŞne venait de remonter Ă la surface. Comme un vieux fond de culpabilitĂ©.
Ici, l’on cherchait Ă dissimuler son regard. LĂ , un couple retrouvait le chemin de la sortie. Tandis qu’un groupe d’amis se rapprochait dangereusement de la voiture.
La foule se rĂ©organisait autour de la nouvelle Nissan GT-R. Les agents de sĂ©curitĂ© n’avaient aucune idĂ©e de la manière de rĂ©agir Ă cet imprĂ©vu. Cela faisait-il partie du show ? Personne ne le savait. Et la responsable de l’Ă©vĂ©nementiel Ă©tait introuvable. Si Amber avait provisoirement perdu toute capacitĂ© de discernement, Zack avait parfaitement sentit le souffle de discorde qui divisait l’assistance. Il claqua les fesses d’Amber pour la prĂ©venir de ses intentions scandaleuses.
Attends-toi Ă ce que ça secoue ma belle, semblaient dire la paire de claques qui avaient marquĂ© les hanches de l’actrice. Ă€ ce signal, ses pĂ©nĂ©trations redoublèrent d’intensitĂ© et Amber hurla Ă en faire plisser le mĂ©tal. Zack la transperçait si fort qu’il en perdit l’Ă©quilibre. Son pied glissa. Il s’enfonça pleinement dans Amber, jusqu’Ă la garde, et l’entraĂ®na dans sa chute.
Ils tombèrent dans un ballet improvisĂ© : du toit sur le pare-brise – puis du capot sur le sol de bĂ©ton – sans pouvoir se raccrocher Ă un Ă©lĂ©ment de la voiture dont le design Ă©tait complètement orientĂ© vers l’aĂ©rodynamisme.
La scène aurait pu en rester Ă l’Ă©tat d’accident. Un accident de la route Ă l’arrĂŞt. Mais certains invitĂ©s ne voyaient pas les choses sous cet angle. Un cadre d’une cĂ©lèbre marque d’Ă©quipement automobile sortit son sexe, aidĂ© en cela par sa patronne (maĂ®tresse BDSM Ă ses heures) qui l’avait convaincu de donner Ă Amber une nouvelle chance de s’envoler.
Je crois qu’elle est assez chaude mon jeune ami, lui avait-elle dit, je vous propose de lui offrir un bon tour de piste.En face, Matthew McAllister n’aurait pour rien au monde acceptĂ© de laisser la vedette Ă sa concurrente directe.
Alors que la foule s’Ă©tait divisĂ©e en deux parties distinctes, la minoritĂ© de pervers se rĂ©unissait en cercle autour de la voiture. Ils dĂ©couvrirent la plus vicieuse des assistantes de Matthew McAllister se dĂ©lester de sa robe Versace et remettre Zack Slider sur ses pattes.
Les invitĂ©s les plus indĂ©cis quittèrent le parking quand ils comprirent que la situation Ă©tait devenue totalement hors de contrĂ´le. Le service d’ordre – dĂ©bordĂ© – se gardait bien d’intervenir dans cette partie de dĂ©bauche pour riches.
La responsable de l’Ă©vĂ©nementiel n’Ă©tait toujours pas joignable. Ce qui Ă©tait normal puisque l’une de ses mains se situait en ce moment mĂŞme sur l’une des cuisses d’Amber.
La jeune actrice fut allongĂ©e sur le capot. Tout le monde devait profiter du spectacle. Des bras la retenaient pour Ă©viter qu’elle ne bouge ni ne glisse. Des mains la fouillaient de partout. Elles lui palpaient le ventre, lui pinçaient les fesses et la chair de sa poitrine. Chacun pouvait alors juger de la rĂ©alitĂ© de son 95C. Une taille de poitrine validĂ©e par un algorithme tenu secret.Un des hommes – plus acrobate que les autres – grimpa sur le capot pour lui fourrer son sexe dans la bouche. Pendant qu’elle suçait cet ancien pilote vĂŞtu d’un costume Armani, Amber se faisait baiser par une suite de bites aux tailles diverses et variĂ©es.
Un homme en remplaçait un autre. Tour à tour dans la chatte ou dans le cul. Ils se relayaient avec la même hâte. La même hargne à jouir en elle. Alors que son corps se recouvrait de maintes couches de sperme en provenance de couilles trop pressées pour attendre leur tour.
Comme la raretĂ© des orifices d’Amber limitait les possibilitĂ©s de pĂ©nĂ©tration autant qu’elle attisait les passions – les hommes agglutinĂ©s autour du carrosse mĂ©tallique se frictionnaient en meutes indĂ©cises. Leur impatience s’exprimait en bourrades viriles et en Ă©changes de regards belliqueux.
Il fallut l’intervention d’un jeune prĂ©sentateur tĂ©lĂ© promis Ă un brillant avenir pour Ă©viter que la file d’attente ne se transforme en ring sanglant. Le pantalon baissĂ© sur les genoux, son superbe cul sculptĂ© en salle de fitness s’exhibait en guise d’offrande rĂ©conciliatrice.
Son anus cernĂ© d’un bourrelet tumĂ©fiĂ© n’allait plus connaĂ®tre de repos avant le lever du jour. Un sexe sorti de nulle part se fraya un chemin dans cette boursouflure mallĂ©able. La bite massive de l’inconnu s’y enfonça comme une petite cuillère dans un pot d’Häagen-Dazs sous les regards approbateurs des spectateurs.Comme pour encourager Amber dans sa terrible Ă©preuve, d’autres fesses masculines se rĂ©vĂ©lèrent sous la lumière chirurgicale des nĂ©ons.
Une gamme de relations complexes entre la cruautĂ© et la curiositĂ© se manifestaient dans les plis et replis de ces trous du cul nouvellement exposĂ©s. Une palette de tentatives de pĂ©nĂ©tration qui allait de la simple aviditĂ© Ă la violence pure – de l’envie d’une nouvelle expĂ©rience sexuelle Ă la volontĂ© de dĂ©foncer un cul, quelqu’il soit.
La voiture ployait sous le poids des corps et des coups. La chair et le mĂ©tal s’unissaient dans une cĂ©lĂ©bration ardente de cette bestialitĂ© retrouvĂ©e. Et ceux qui avaient eu leur compte de sexe investirent leurs forces dans un autre genre de dĂ©fouloir : la Nissan GT-R Ă©tait devenue Ă sa manière un corps qu’il fallait marquer.
Ă€ l’inventaire des stigmates irrĂ©versibles l’on comptait un siège Ă©ventrĂ© avec un couteau Ă caviar, des vitres explosĂ©es Ă coup de talon aiguilles, des obscĂ©nitĂ©s gravĂ©es dans la peinture, et un fatras de câbles arrachĂ©s au moteur.
Outre les sĂ©vices mĂ©caniques, d’autres convives redoublaient d’imagination pour alimenter l’habitacle en offrandes : du Champagne Armand de Brignac, des petits fours Ă presque cent dollars le kilo, et toutes sortes de dĂ©chets ramassĂ©s dans les recoins les plus douteux du parking.Ă€ l’arrière de la voiture – du cĂ´tĂ© du moteur Ă propulsion de presque six cents chevaux – Zack n’avait pas le temps de considĂ©rer les outrages que subissaient la voiture et sa compagne.
Son cas n’Ă©tait pas si diffĂ©rent. On se l’arrachait. Sa prĂ©sence avait provoquĂ© une bagarre entre femmes. Une rixe dont la chorĂ©graphie amusait beaucoup le public masculin.
La scène venait de tourner Ă l’Ă©meute, si bien qu’aucun des invitĂ©s restants ne se tenait Ă un rĂ´le de voyeurs. Chacun participait ou avait participĂ© au carnage Ă sa manière.
Les femmes se battaient entre elles pour se faire baiser par le cĂ©lèbre Zack Slider et quand l’une d’elles atterrissait sur le sol après avoir reçue une manchette ou un coup de sac Hermès dans l’estomac il y avait toujours un mâle pour lui sauter dessus et lui donner ce qu’elle venait de rĂ©clamer avec tant d’ardeur.
TĂ©moignages de la fureur sourde qui avait soulevĂ© le public, des restes de tailleurs Chanel et de lingerie Victoria’s Secret gisaient sur le sol, arrachĂ©s de leurs propriĂ©taires pour faciliter la rencontre des sexes et la frĂ©nĂ©sie de copulations Ă mĂŞme le bĂ©ton.L’une de ces femmes – une fille de bonne famille au teint de porcelaine – venait de se faire rudoyer de la sorte. Entre les bris de verres et les morceaux de mĂ©tal, le visage plaquĂ© contre le pied d’un pylĂ´ne, elle s’Ă©tait fait baiser si violemment qu’elle n’avait pas eu le temps de comprendre que deux hommes l’avaient prise Ă la suite.
L’action l’avait transformĂ©e en une sauvage affublĂ©e de vagues haillons poussiĂ©reux. Les jambes couvertes d’hĂ©matomes et de plaies coulantes. Mais cela ne l’empĂŞcha pas de se relancer dans la mĂŞlĂ©e pour retenter sa chance auprès de Zack quand une intervention singulière suspendit les hostilitĂ©s.
Valentina Von Sordoza – la cĂ©lèbre Ă©gĂ©rie Gucci – venait de faire son entrĂ©e dans le cercle.
Comme repoussĂ©es par l’effet d’un champ magnĂ©tique, les autres femmes reculèrent d’un pas. Il aurait fallu ĂŞtre complètement cinglĂ©e pour s’attaquer Ă une icĂ´ne aussi prestigieuse.
En prenant en main les deux fesses du mannequin – deux sublimes lobes aussi prĂ©cieux qu’une paire d’Ĺ“ufs de FabergĂ© – Zack Slider ne savait pas s’il devait se rĂ©jouir de ce court moment de rĂ©pit. Chanteuse Ă ses heures perdues, Valentina Von Sordoza se servaient Ă prĂ©sent de ses cordes vocales pour hurler des insanitĂ©s entre deux râles de plaisir.
Elle insultait les convives Ă mesure que Zack prenait ses aises entre ses cuisses. Et quand la pression Ă©tait montĂ©e trop forte, et que la jalousie avait pris le pas sur le respect induit par le rang du top model, il avait suffit qu’une des femmes se dĂ©cident Ă rompre la barrière invisible pour que toutes les autres se jettent Ă leur tour sur le mannequin.
Leurs intentions variaient. Certaines voulaient juste la frapper. D’autres en voulaient Ă ses bijoux. L’une d’elle tenta d’arracher sa crinière dorĂ©e tandis que le reste des femmes cherchaient le meilleur moyen d’insĂ©rer leurs doigts dans les profondeurs de son bas-ventre.
La frontière Ă©tait mince entre la profanation gratuite et la quĂŞte barbare d’un secret de beautĂ©. Et aucun des cris de jubilation des femmes n’auraient pu nous renseigner sur le sens vĂ©ritable de leurs intentions.Zack profita de ce dĂ©chaĂ®nement de violence pour quitter la scène.
Quelques secondes auparavant, Amber avait glissĂ© sur le sol, ivre de terreur et de fĂ©licitĂ©. Dans la cohue, les hommes s’emparèrent de la première femme Ă portĂ©e de main et la contraignirent Ă prendre place sur le capot de la Nissan GT-R.
La responsable de l’Ă©vĂ©nementiel assurait dĂ©sormais le rĂ´le de la victime. FilmĂ©e en gros plan par le cadreur qui se masturbait d’une main sans jamais lâcher sa camĂ©ra.
Tout comme Amber, elle allait finir la soirée recouverte de marques de coup et de traces de claques. Son teint légèrement halé passant du cuivre à la rougeur grossière et sa coupe de cheveux de créateur sombrera dans un magma de fibres grasses pulvérisées dans tous les sens.
Tout comme Amber, elle allait voir ses orifices dĂ©border de sperme. Elle ne retrouverait son souffle qu’avec peine tant elle aura du mal Ă tenir sur ses jambes une fois que tous les hommes auraient suffisamment abusĂ© d’elle pour s’en prendre Ă une autre. La violence des Ă©changes Ă©tait telle qu’Amber et Zack trouvèrent le moyen de gagner la sortie sans Ă©veiller l’attention des fĂŞtards.
Lui, les couilles vides et le corps lardé de griffures.
Elle, gluante de foutre de la tĂŞte aux pieds.
Ils s’Ă©vadaient en laissant derrière eux le grondement d’une bĂŞte dont les lamentations continuaient Ă rĂ©sonner dans leurs ventres. DrĂ´le de couple originel recrachĂ© par quelque kraken en passe de regagner ses abysses.
Dans un dernier regard jetĂ© en arrière, leurs yeux se croisèrent et ils n’eurent pas besoin d’ouvrir la bouche pour se comprendre. Un sourire pervers leur suffit pour se dire que le porno n’Ă©tait pas mort.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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