L’éducation de Pierre (Chapitre 5)
L’éducation de Petit-Pierre se poursuit. Perturbé dans un premier temps, le jeune homme confie ses inquiétudes à sa professeure qui le rassurera. Pour la première fois Chantal accepte un contact physique avec le jeune mâle en formation.
Proposée le 23/11/2020 par Lolo67 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Les samedis suivants se déroulèrent gentiment. Pierre s’appliquait lors des leçons d’allemand et ses notes s’en ressentaient et aussi dans les autres matières. Or, François qui avait noté un profond changement dans le comportement général de son fils ne savait pas comment expliquer cette évolution. Il mettait ça sous le coup de la plus grande maturité de son fils mais ne faisait aucun lien entre les cours de Chantal et la pacification de leurs rapports.Par ailleurs, Pierre avait fait de gros progrès comportementaux. Au bout de quatre semaines, il commençait déjà à mieux gérer ses pulsions. Il arrivait maintenant à se masturber pendant toute la durée du cours d’allemand avec l’autorisation de Chantal, bien entendu, tout en maîtrisant ses éjaculations.
L’objectif qu’elle lui avait fixé était de maintenir une queue parfaitement raide et dure sans toutefois se laisser aller. Il devait se maintenir à la frontière du plaisir et de la douleur, comme elle lui avait expliqué.Les cours se terminaient immuablement par une séance de branlette « libre », Pierre astiquant son membre, tout en observant Chantal en train de se caresser, les cuisses bien ouvertes, assise près de moi sur le canapé.
Enfin, « libre » est un bien grand mot car l’élève avait interdiction de gicler sans la permission de son professeur.Le plus difficile pour le gamin avait été d’apprendre à fixer son regard dans les yeux de son professeur lorsqu’il jouissait, ainsi qu’elle l’avait exigé. Cet effort constituait pour Chantal une preuve d’une maîtrise assurée car la plupart des hommes ont instinctivement les yeux rivés sur leur bite quand ils éjaculent, histoire de contempler leur jus et sans doute se rassurer sur leur capacité à procréer. Ce dernier apprentissage avait été un peu laborieux mais au bout d’un mois et demi Petit-Pierre s’en sortait bien.Désormais, il connaissait un peu mieux le corps de son professeur. Chantal lui avait fait découvrir sa petite chatte glabre, dans tous ses détails. Les petites lèvres ainsi que le capuchon de chair qui protégeait le bouton de plaisir de son professeur n’avaient désormais plus de secret pour l’adolescent.
Sans qu’il fut encore autorisé à toucher à ce trésor, elle lui avait enseigné la manière avec laquelle elle utilisait ses propres doigts pour se conduire elle-même à l’orgasme. Elle lui avait aussi montré l’usage qu’elle faisait de son godemichet mauve et les nombreuses possibilités vibratoires qu’il pouvait offrir.Pierre commençait à comprendre que le plaisir de l’autre devait constituer le fil conducteur de toute relation sexuelle. Pour devenir une amant de première classe il devait d’abord apprendre à contrôler son propre corps afin d’être totalement attentif aux réactions de sa partenaire.Ainsi, il avait appris à s’accepter physiquement. Quand on est adolescent, se montrer nu, que ce soit à ses propres parents et à fortiori à des étrangers peut paraître insurmontable. Pierre n’échappait pas à cette règle et il avait appris à surmonter sa pudeur initiale.Les directives de son professeur concernant sa tenue lors des leçons d’allemands lui semblaient maintenant plus faciles à respecter.
Dès lors, se débarrasser de tous ses vêtements en arrivant à la maison ne le gênait plus. Il lui arrivait donc de se présenter à son professeur en érection ou totalement au repos sans pour autant paraître ni préoccupé, ni obnubilé par l’état de son sexe. Chantal et moi-même nous gardions bien de faire toute réflexion déplacée, ce qui le mettait aussitôt en confiance.Une chose pourtant semblait perturber notre jeune ami.
Un jour, Chantal qui avait ressenti ce malaise lui posa directement la question peu de temps après son arrivée.
– Qu’y a-t-il Petit Pierre, je ne te sens pas serein ? Il y a quelque chose qui ne va pas ?
– Je me demande, madame, pourquoi je dois toujours mettre ce collier depuis le temps que je viens ? N’ai-je pas fait de progrès ?
– Ah, c’est donc cela qui te tracasse ?
Alors je vais te dire quelles sont les raisons pour lesquelles je t’oblige à le porter. Ces raisons sont nombreuses.
Tout d’abord ce collier constitue avant tout un cadeau. Le premier cadeau que je t’ai offert. Il a pour moi, et je l’espère aussi pour toit, une grande valeur.Il est aussi le symbole du respect que tu me dois. Tu es mon élève et tu ne dois jamais oublier que je reste ta maîtresse, ce collier est là pour te le rappeler en permanence. D’ailleurs, il se peut qu’un jour je souhaite y accrocher une laisse et que je te promène ainsi en public tel un petit chien. Il s’agit aussi d’une marque bien visible de tous qui symbolise ta soumission à ta maîtresse et ton rang vis-à-vis des autres mâles éventuellement présents.Vois-tu, Laurent ne porte pas de collier car il est mon égal ou mon maître selon les circonstances. En effet, il m’arrive aussi de porter un tel bijou lors de certains de nos jeux intimes. Laurent m’en a offert un il y a des années. Ce collier porte sa marque qui signifie que je lui appartiens. Ce collier fait aussi partie de ton apprentissage. Je sais très bien qu’au fond de toi tu trouves ceci dégradant. Sache qu’il n’en est rien. Tu dois connaître ce que pourrait ressentir une fille, s’il t’arrivait plus tard d’offrir un tel bijou.
Par ce collier, tu as accepté que je t’enseigne certaines choses.A ce jour tu as fait d’énormes progrès ainsi que tu l’as dit. Ces progrès ne sont rien au regard de ceux qu’il te reste encore à accomplir pour devenir l’amant merveilleux, fort et prévenant que souhaite posséder toute femme. Mais aujourd’hui, tu n’es pas prêt Petit Pierre. Tu dois encore apprendre et apprendre encore.Tu as accepté que je décide ce qui est nécessaire pour toi et que tu obéisses en tout ce que je te commanderai, n’est-ce pas ?
Le jour où je te retirerai ce bijou sera le dernier jour de ton apprentissage. Tu verras alors que ce symbole te manquera pendant quelques jours. En ce qui me concerne, je serai fière du travail accompli ou au contraire très déçue de pas y être parvenueAs-tu compris la signification de ton collier Petit-Pierre ? Souhaites-tu le retirer à présent ?
– Oui, madame. J’ai compris et je ne souhaite pas retirer votre marque.Après ces explications qui le rassurèrent le cours débuta, Pierre affichant alors une quiétude relative. En effet, il n’était pas coutumier pour lui d’afficher ses faiblesses. Après tout, ce collier ne signifiait-il pas qu’il devait obéir à quelqu’un sans discuter les ordres ? Pour un jeune mâle alpha en devenir, cette situation était compliquée à gérer. Son cerveau était en totale ébullition et il dut redoubler d’efforts pour se concentrer sur la leçon du jour.Malgré ses efforts pour le mettre à l’aise Chantal était consciente de la fébrilité de son élève. Elle tenta de plaisanter plusieurs fois au cours de la leçon, mais Pierre demeurait très tendu. Son sexe l’était également. Ce jour-là, il n’eut pas besoin de se masturber ainsi qu’il en avait pris l’habitude pour demeurer aussi raide qu’un morceau de bois pendant les deux heures que dura le cours.Après lui avoir donné un dernier exercice, Chantal se leva et lui disant de finir seul pendant qu’elle irait préparer quelques rafraîchissements.
Elle se leva ce qui permit à Pierre de constater que son professeur portait ce jour-là un petit kilt à carreaux à dominante rouge. Cette micro jupe d’une vingtaine de centimètre de large tout au plus ne cachait pas grand chose des jolies fesses bien fermes de Chantal. Ce petit bandeau de tissu ne pouvait pas non plus dissimuler le fait qu’elle ne portait rien dessous. Tellement perturbé par le début de son cours, Pierre venait juste de remarquer, par la même occasion, le petit haut de tulle noir et vaporeux dont la transparence laissait apercevoir les aréoles des petits seins dont les tétons pointaient en leur centre.Au bout d’un moment qu’elle jugea suffisant pour terminer l’exercice, Chantal qui avait installé les boissons sur la table basse du salon, appela Pierre.
– As-tu fini ? Tu peux nous rejoindre au salon, nous verrons la correction la prochaine fois. Tu as bien mérité quelque chose de frais.Chantal remarqua que Pierre hésitait à quitter son siège puis il se décida enfin à nous rejoindre. D’une démarche pénible, il parcouru les quelques mètres qui le séparait de nous.
Nous comprîmes aussitôt les raisons de son malaise : sa queue était tendue au maximum et ses boules, bien accrochées à sa base, semblaient aussi dures que des boules de pétanque. Visiblement son sexe le gênait pour marcher.- Ça ne va pas Petit Pierre ? Lui demanda-t-elle. On dirait que tu a du mal à marcher ! Viens approche que je jette un coup d’œil.
– Si, tout va bien, il y a que… enfin je sais pas, c’est peut-être parce que je ne me suis pas masturbé de toute la semaine et avec ce que vous m’avez dit en début de cours, je ne sais pas ce qui m’arrive avoua-t-il en baissant la tête.
– Voilà de nombreuses semaines maintenant que je t’interdis de te toucher durant la semaine, cela n’est pas nouveau ça. Pourtant, tu n’as jamais été comme ça, il doit bien y avoir autre chose non ? Si tu souhaites en parler, n’hésites pas.
Assied-toi et détends toi Petit-Pierre
– Je préfère pas madame et si cela ne vous embête pas je préfère rester debout.
– Approche, lui ordonna-t-elle.Pierre vint à Chantal, la verge aussi dure qu’une barre de fer et se positionna face à elle les mains dans le dos comme un enfant attendant le verdict de son maître.
– Impressionnant, en effet ! constata-t-elle. Ça te fait mal ?
– Oui c’est un peu douloureux mais…
– Mais quoi ? Demanda-t-elle. Tu ne dois rien me cacher, tu le sais ?
– Mais, je pense que… Enfin, pouvez-vous m’autoriser à me branler, s’il vous plaît , ça me soulagerait sans doute ?
– C’est donc cela ? Et tu n’as rien dit depuis deux heures, alors que tu souffres en silence ?Du plat de sa main droite, Chantal caressa le dessus de la verge de son élève tout en appréciant aussi bien la rigidité de ce morceau de chair que la finesse et la douceur de la peau à cet endroit. Elle soupesa les testicules de la main gauche avant de les cueillir au creux de sa paume.
Les couilles du jeune homme étaient si dures que ses bourses semblaient prêtes à exploser.
– Elle sont bien pleines effectivement, tu dois vraiment vider tout ça.S’adressant à moi :
-Tu veux bien aller me chercher le gel de massage dans ma table de nuit mon chéri ? On ne peut pas le laisser ainsi quand même !Une minute plus tard elle se versait quelques gouttes de gel dans la paume de sa main droite.
Abandonnant l’idée de pétrir le scrotum et faire rouler les boules au creux de sa main comme elle adorait le faire sur moi, elle présenta sa main huileuse, les doigts recourbés, face au bâton de chair de Pierre.
– Allez, vas-y ! Baise ma main ordonna-t-elle.Alors qu’elle ne bougeait pas d’un millimètre, Pierre inséra son membre dans la gaine improvisée que lui proposait Chantal.
– Tu voulais te branler, n’est-ce pas ? Eh bien vas-y, je te propose quelque que chose de plus sympa non ?Timidement d’abord, Pierre fit coulisser sa bite dans la main de Chantal puis son rythme s’accéléra très rapidement.
De l’endroit où je me trouvais, le spectacle auquel j’assistais était magique. Devant moi, Chantal les cuisses écartées me laissait admirer sa jolie fente tant dis que Pierre s’activait de plus en plus frénétiquement.
Il démontrait une souplesse du bassin impressionnante qui lui assurait un rythme comparable à celui d’un chien entrain de saillir sa femelle.Au bout d’une minute à un rythme effréné, Chantal le lui fit remarquer sèchement .
– J’ai bien compris que tu voulais te vider rapidement gamin mais ce n’est pas ainsi que tu dois procéder si tu veux aussi donner du plaisir à ta partenaire.
Certes tu possèdes un bon rythme mais tu dois varier la vitesse de ton bassin ainsi que la profondeur de tes saillies.
Si tu veux que ta partenaire puisse apprécier tes performances. Tu dois alterner à la fois le rythme et la puissance de tes pénétrations. C’est ainsi qu’elle te jugera.Pierre réalisait que même en dehors des cours à proprement parler, Chantal poursuivait son enseignement.
En bon élève, il mit aussitôt en pratique les conseils qu’elle venait de lui prodiguer.
Il ralentit donc pendant quelques temps la vitesse de ses coups de reins tout en accentuant sa « pénétration » dans la main de Chantal. Son gland luisant, comme s’il avait été ciré, surgissait à chaque poussée vers l’avant puis disparaissait lors de son retrait.
Chantal avait certainement dû affermir sa prise et serrer encore davantage le membre de son élève car ce dernier semblait prendre de plus en plus de plaisir à ses va-et-vient. Le rythme de sa respiration en témoignait.
Tenté de regarder son sexe pris dans l’étau de cette main bienfaitrice, Pierre fut vivement repris par son professeur.
– Regarde moi dans les yeux ! Elle va pas s’envoler, t’inquiète, je la tiens bien !Pierre limait à présent la main de Chantal avec la concentration du bon élève appliqué à faire plaisir à sa maîtresse. Le fait que je les regarde de manière ostentatoire ne semblait pas le perturber outre mesure. Cette attitude démontrait tous les progrès qu’il avait accompli depuis son premier cours, à moins que le besoin de décharger son trop plein de testostérone ne soit plus fort que sa pudeur.
Très vite sa respiration s’accéléra et dans une prière il lâcha :
– Je vais jouir madame !
– Je te l’interdis, tu m’entends ? Tu gicleras quand je t’y autoriserai, contrôle-toi ! ordonna Chantal en assénant une claque de haut en bas sur la queue du jeune homme.La difficulté d’obéir à cet ordre se lisait sur le visage de l’adolescent. Il ralentit cependant le rythme et l’intensité de ses mouvement du bassin pour faire retomber la pression accumulée sans y parvenir totalement.
Sa bite avait l’air de lui faire mal ; Chantal le comprit et se saisit d’un verre vide sur la table puis autorisa sa délivrance :
– Donne ! Donne-moi ton lait, petit homme !Il s’en fallait de peu pour que Pierre n’éjacule avant d’avoir obtenu l’accord de son professeur. Aussi, le premier jet de sperme fusa-t-il quasi-instantanément, une fois les derniers mots de Chantal prononcés, suivi de quatre autres puissantes giclée de liquide blanc et épais pareil à du lait frais.
– C’est bien gamin, donne-moi tout. Vide-toi Petit Pierre. Secouée de spasmes qu’il ne pouvait contrôler, la queue de Pierre délivrait encore trois ou quatre giclées supplémentaires de moindre intensité toutefois. Le résultat obtenu au fond du verre témoignait des qualités indéniables de ce jeune étalon.
Brandissant fièrement le verre comme un trophée, Chantal m’interpella :
– Regarde-moi donc cette quantité ! C’est impressionnant ! Y en a bien 5 ou 6 millilitres.Puis s’adressant à Pierre :
– Je te félicite pour cette belle dose mais je dois toutefois te gronder car tu devais effectivement souffrir gamin. Depuis combien de temps avais tu mal ?
– Depuis mercredi soir madame, avoua Pierre.
– Tes couilles étaient trop pleines et tu n’as rien dit alors que j’ai exigé de toi la plus grande franchise ; tu le sais, cela fait partie de notre accord, n’est-ce pas ?
Tu aurais dû m’en parler dès ton arrivée aujourd’hui, je suis déçue par ton attitude qui prouve hélas que tu ne me fais pas totalement confiance. Est-ce que je me trompe ?
– Non madame, c’est pas ça, se défendit aussitôt Pierre. J’ai entièrement confiance en vous mais je ne savais pas comment aborder le sujet. J’ai eu peur que vous le preniez mal ou que vous ne me croyiez pas.
– Alors, c’est que tu ne me connais pas suffisamment bien. Tu aurais aussi bien pu te confier à Laurent. Nous sommes des gens très ouverts et nous pensons te l’avoir montré à maintes occasions.
– J’ai pas osé, avoua Pierre en baissant la tête.
– C’est bon pour cette fois et cela te servira de leçon, je l’espère. Tu ne dois pas te gêner avec nous. Tu peux aborder tous les sujets et je dirais même plus, TU DOIS TOUT NOUS DIRE.
Je souhaite que tu ne me caches rien désormais. Tes pensées m’appartiennent autant que ton sexe, tant que tu seras mon élève. Tu m’entends ?
– Oui madame, je vous promets de faire des efforts.
– Ce n’est pas des efforts que j’attends de toi, ce sont des actes gamin !
– Bien madame je ferai ainsi dorénavant.
– Et par exemple, s’il t’arrive, en pleine semaine, d’avoir besoin de te vider, il te suffit de m’appeler. Je verrai bien alors si ce n’est qu’un caprice ou si c’est vrai.
Bien, l’incident est clos à présent. Lui tendant le verre contenant son sperme.
– Bois ! Ordonna-t-elle, en ajoutant comme à son habitude « il ne faut pas gâcher la bonne marchandise, tu le sais ». Ton jus doit être respecté. Il ne peux servir qu’à être déversé dans un vagin, un anus, une bouche ou servir de gel de massage.
Moi seule peux en disposer à ma guise tant que tu es sous ma responsabilité.
Aujourd’hui tu n’as aucune utilité de ton lait puisque tu n’as ni vagin, ni anus à ta disposition alors tu devras recycler toi-même ta semence, bois !Pierre vida le verre d’un seul trait sans protester. La leçon du jour était terminée et après nous avoir salué, Pierre alla se rhabiller dans la salle de bain des invités.
Une fois qu’il eut disparu au guidon de son scooter, je fis remarquer à Chantal qu’elle avait été un peu rude avec Pierre.
– Tu n’as rien fait pour lui faciliter la tâche, tu lui as laissé faire tout le boulot. Même pas un mouvement du poignet.
– C’était fait exprès figure-toi. Je voulais évaluer son coup de rein. Impressionnant d’ailleurs, tu as vu ? Quel rythme ! De plus, j’ai aussi pensé que si je le branlais, ne serait-ce qu’un tout petit peu, il serait parti instantanément. C’est pourtant pas l’envie qui me manquait, sa queue était très appétissante et tellement raide. Je pense qu’il fera des heureuses plus tard d’autant que la taille et la longueur de l’engin n’ont rien de commun.
– Oui en effet une belle bite. Tu as remarqué qu’il avait à peine débandé après avoir giclé ?
– Bien sûr que je m’en suis rendue compte, je suis certaine qu’il aurait pu remettre le couvert quasiment aussitôt. Je ne voulais pas le vider complètement car ainsi je suis presque sûre qu’il aura refait le plein dès le milieu de la semaine prochaine.(En espérant que ce nouveau chapitre vous aura plu. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires qui sont toujours très appréciés me motiveront certainement la suite de la narration des aventures de Petit-Pierre)© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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