L’éducation de Pierre (Chapitre 7)
L’éducation de Petit-Pierre se poursuit. Une visite imprévue va quelque peu perturber les cours particuliers que Chantal donne à Pierre mais cette dernière saura en profiter pour poursuivre l’éducation de son jeune élève.
Proposée le 25/08/2022 par Lolo67 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Marie-Anne était la meilleure amie de Chantal, aussi brune que Chantal était blonde. Elles exerçaient le même métier et avaient sympathisé lors d’une rencontre professionnelle.
Par ailleurs, Christian, son compagnon de l’époque, était l’un de mes meilleurs amis.
Après avoir vécu ensemble une bonne dizaine d’années, ils s’étaient séparés. Christian était très volage et Marie-Anne n’avait plus supporté ses nombreuses incartades.Marie-Anne vivait seule à présent et avait décidé de bien profiter de la vie.
Il faut dire qu’elle n’avait pas eu beaucoup de chance avec les hommes qu’elle avait fréquentés. Un premier mari alcoolique qui la battait et enfin Christian qui la trompait. Aussi, malgré ses 60 ans passés elle avait décidé de jouir des années qui lui permettraient d’attirer encore les hommes, sans pour autant s’attacher à qui que ce soit.Son truc à elle, c’était les petits jeunes et quand je parle de jeunes, je pourrais même dire les très jeunes gens. En effet, ces derniers temps ses amants réguliers avaient entre 16 et 20 ans.– Plus âgés, ils réfléchissent trop, ils sont moins performants et surtout leur jus est moins bon, prétendait-elle.On peut dire qu’elle vouait au sperme un goût immodéré et ne s’en cachait pas. Sous forme d’humour, elle prétendait être capable de deviner l’âge d’un homme rien qu’au goût de sa semence.
En outre, comme Christian l’avait initiée à la pluralité masculine, elle avait conservé cette habitude des parties à trois.Marie-Anne, malgré ses quelques rides qui ne masquait pas son âge, possédait un corps bien entretenu par les nombreuses heures passées « à la salle ». Aucun bourrelet superflu, son 90B ayant subi un léger « rafraîchissement » comme elle disait, avait une apparence tout à fait naturelle.
Ce qui frappait surtout chez elle c’était sa manière de s’habiller : toujours à la mode, dans des tenues un peu « space » comme on disait dans les années 80. Souvent vêtue de noir, court et près du corps, elle pouvait aisément rivaliser avec bien des minettes de 18 ans.
Son maquillage également ne laissait pas indifférent. Le rimmel et le crayon noir étaient ses meilleurs amis ainsi que son rouge à lèvres rouge-intense. Un peu trop intense à mon goût mais ça fonctionnait parfaitement avec ses tenues.Chantal et elle partageaient tous leurs secrets de femmes et elles étaient d’une rare complicité.
– Tu ne lui as pas dit que tu donnais des cours particuliers ? m’étonnai-je
– Non j’ai oublié de lui en parler mais comme je dois la voir vendredi soir, je lui en glisserai un mot. Je pense que je vais bien rigoler en observant sa réaction lorsque je lui décrirai Pierre.
Je te raconterai à mon retour, c’est promis.C’est ainsi que samedi matin au petit déjeuner, Chantal me fit un petit compte-rendu de sa rencontre de la veille, entre filles, avec Marie-Anne.
– Elle est incroyable cette nana ! s’esclaffait Chantal. Toujours à l’affût d’un bon coup, elle était excitée comme une puce quand je lui ai annoncé que j’avais accepté de donner des cours d’allemand à un ado.- Et, ça fait combien de temps que tu lui donne des cours ? Et, ça se passe comment ? Et, quel âge il a ? Et, il est comment ? Etc. etc.Elle m’a bombardé de questions pendant une heure.
Je dus lui expliquer le déroulement des cours d’allemand proprement dits avec Pierre tout en restant volontairement très vague sur la partie « éducation comportementale » de ce dernier.
Mais je ne sais pas si elle a un sixième sens, cette fille, car elle a très vite compris qu’il y avait autre chose que je ne lui disais pas.
– C’est bizarre, me dit-elle. Toi qui as toujours refusé de donner des cours de quoi que ce soit à des gamins et qui étais même farouchement contre, voilà que tu acceptes d’un seul coup. Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ?J’ai eu beau lui expliquer que le père de Pierre était un ami intime et que c’était juste un service que je lui rendais, elle n’a pas gobé ce demi-mensonge.
Alors pour me débarrasser de son questionnaire digne de l’inquisition, je lui ai tout dit :
Pierre sur le point de mal tourner et ma découverte de ce jeune mâle alpha en devenir et de son potentiel.- Et Laurent est d’accord ? m’a-t-elle demandé.
Je lui ai répondu que tu étais parfaitement au courant de tout, que tu me faisais entièrement confiance pour mener à bien cette mission et que tu me prodiguais d’ailleurs de bons conseils.Connaissant bien le fonctionnement de Marie-Anne, je me doutais que cette dernière n’en resterait pas là et qu’elle chercherait forcément à récolter de nouvelles informations croustillantes.
– Tu as réussi à te défaire de cette petite fouineuse aussi facilement, l’interrogeais-je ?
– Non, tu penses bien ! Elle m’a d’abord proposé son aide pour les cours d’allemand, étant elle-même parfaitement bilingue.
Entre nous soit dit, je trouve que ce n’est pas forcément une mauvaise idée car Petit-Pierre pourrait ainsi se familiariser avec un autre accent que le mien. Cela pourrait l’aider dans l’apprentissage de la conversation courante.
– La connaissant, je suis certain qu’elle entrevoit aussi une possibilité d’évaluer « les autres progrès » de ton élève, répondis-je ironiquement.
– Bien sûr et je ne suis pas dupe. Elle m’a aussi demandé si je l’avais « essayé ». Ce à quoi j’ai répondu que Pierre n’était pas encore prêt à cet exercice et qu’il était encore vierge de surcroît.A cette annonce, elle a paru encore plus excitée.
– Ça c’est bien ! C’est même très, très bien, a-t-elle répété. C’est lui qui te l’a avoué ? Et tu l’as cru ?
Je lui ai assuré que sur ce point tout indiquait que Petit-Pierre disait vrai.
– Si je peux me permettre de te donner un conseil, tu devrais quand même le faire tester même s’il t’a paru sincère. Les jeunes d’aujourd’hui trempent leur biscuit un peu partout. On ne peut pas savoir ce qu’ils peuvent te ramener comme saloperie.
En ce qui me concerne, j’ai accompagné moi-même mes petits GSP* au cabinet d’analyses médicales de Colmar avant de les essayer. Comme ça, après, tu es plus tranquille.*GSP : godes-sur-pattes, c’est ainsi que Marie-Anne dénomme ses jeunes amants.J’ai bien ri à son conseil tout en sachant qu’elle avait effectivement fait ce qu’elle avait dit.
Pour ce qui est de sa proposition de service, je ne lui ai pas répondu mais qui sait, je ferai peut-être appel à elle un de ces samedis.Le compte-rendu des réactions de Marie-Anne que venait de me faire Chantal ne manqua pas de me faire sourire mais j’étais quasiment certain que la belle brune ferait une apparition à la maison un jour prochain.Ce que j’étais loin d’imaginer c’est que ce serait aujourd’hui qu’elle se pointerait vers 15H30…Apercevant la petite voiture rouge de son amie, Chantal accouru au-devant d’elle, un peu chagrinée.
– Tu es vraiment impossible toi ! chuchota Chantal lorsqu’elle lui ouvrit la porte.
– Le gamin est là, en train de travailler et toi tu te pointes sans crier gare !
– Je passais dans le coin et je me suis dit que je ne pouvais pas ne pas m’arrêter pour te faire un petit coucou. Prétendit-elle avec aplomb.
Allez ! Laisse-moi entrer, histoire que je ne sois pas venue pour rien.
Chantal n’était pas dupe.
– Tu es une curieuse invétérée ! je suis certaine que tu mourais d’envie de voir mon petit protégé.
Ok, entre mais je t’en prie, aucune remarque déplacée, c’est bien compris ?
– C’est promis, jura Marie-Anne. Je serai sage comme une image.Les deux femmes pénétrèrent dans le salon à pas de loup et Chantal invita son amie à s’asseoir.
Étonnée de la voir prendre place dans le canapé alors qu’habituellement elle utilisait plutôt un des deux fauteuils, Chantal réalisa aussitôt que l’incorrigible brune avait opté pour l’endroit duquel elle pourrait observer tout à loisir la table de la salle à manger où travaillait Pierre.
S’adressant tout bas à son amie :
– Tu restes bien sage, s’il te plait, la leçon n’est pas finie et Pierre doit encore me rendre sa copie pour que nous la corrigions ensemble.
Tu veux que je te serve un café en attendant ?
– Avec plaisir ! je ne bouge pas.Chantal revint vers Pierre qui avait réalisé qu’une intruse venait de pénétrer dans la pièce alors qu’il était en train de faire ses devoirs uniquement vêtu de son collier de cuir. Du regard, il questionna sa maîtresse, implorant et inquiet. Chantal tenta de le rassurer.
– Ce n’est rien gamin, juste ma meilleure amie qui vient me faire une petite visite. Continue ton exercice.A présent, Petit-Pierre semblait totalement déconcentré par l’apparition de cette femme qui sirotait son café en le matant sans complexe.
Chantal comprit que la séance n’irait pas beaucoup plus loin mais elle fit mine de l’encourager.
– Concentre toi Pierre tu as bientôt terminé. Il ne te reste plus que 2 questions et après tu pourras te joindre à nous pour un petit rafraîchissement. On fera la suite samedi prochain.
Une dizaine de minutes s’écoulèrent encore, sans que le petit élève n’ait beaucoup progressé.
Sans se fâcher, Chantal conclut la séance gentiment et invita Pierre à regagner le salon.
– Allez, c’est bon pour aujourd’hui, je vois bien que tu n’es pas dans ton assiette. Ça ne sert à rien de continuer, nous reprendrons ce cours la prochaine fois.
Viens boire quelque chose avec nous !Le ton amical employé par Chantal n’avait toutefois pas du tout rassuré Pierre qui se demandait sans doute comment il pourrait s’approcher du salon sans que la brune se rende compte de sa tenue.
Chantal tenta autre chose :
– Ne t’inquiète pas, Marie-Anne est comme une sœur pour moi. On se connait depuis tellement longtemps. Et puis, ce n’est pas la première fois qu’elle voit un Homme nu.
Pierre ne manqua pas de réaliser que c’était la première fois que sa maitresse employait le qualificatif d’homme en parlant de lui. Cela lui donna le courage nécessaire pour franchir les quelques mètres qui le séparaient du fauteuil dans lequel il s’installa.- Quel beau jeune homme que voilà ! en put s’empêcher de déclarer Marie-Anne qui n’avait pas manqué une miette du déplacement de ce dernier. Son membre, bien que ramolli présageait d’une belle longueur et le ballottement des testicules à chaque pas n’avaient pas, non plus, échappé à l’œil inquisiteur de la belle brune.
Faisant comme si de rien n’était, elle interrogea, alors, Pierre sur les leçons particulières que lui donnait Chantal.
– Depuis combien de temps prends tu des leçons chez Chantal et Laurent ? Elle n’est pas trop dure la prof ? l’interrogea-t-elle avec un petit sourire aux lèvres.
– Ça fait quelques semaines maintenant que je viens ici tous les samedis, madame lui répondit Pierre poliment.
– Je t’en prie, pas de madame entre nous. Comme Chantal te l’a dit tout à l’heure, elle et moi sommes de vieilles copines et nous nous disons tout comme deux sœurs.
Elle avait bien insisté sur cette dernière partie de phrase en regardant le garçon droit dans les yeux.
Chantal qui n’avait pas raté un seul mot prononcé par son amie rectifia gentiment.
– Tout, enfin pas tout à fait. On a chacune notre jardin secret.
– Tu as raison ma chérie concéda Marie-Anne. Et voulant couper court à cette petite polémique, elle s’adressa à nouveau à Pierre.
– Tu n’as pas répondu à ma deuxième question beau jeune homme. Chantal n’est-elle pas trop sévère ?
Flairant la question piégeuse, Pierre formula une réponse qui plut beaucoup à Chantal.
– Depuis que je prends des cours, j’ai constaté que j’avais fait de gros progrès et je me sens maintenant bien plus à l’aise en cours d’allemand et je crois aussi que je suis bien plus calme avec mon entourage. Avant j’étais très impulsif et cela nuisait à mes rapports avec les autres.
Marie-Anne comprit qu’elle ne tirerait rien de plus croustillant du gamin assis devant elle et cessa son interrogatoire.- Il est bien ce gamin, tu sais ? Tu dois être très fière de lui je suppose dit-elle à Chantal.
Et quelle maîtrise soi ! Je suis très impressionnée.
Tout en prononçant ces derniers mots Marie-Anne décroisa les jambes gainées de bas noirs qu’elle portait comme à l’accoutumée.
Ce geste que l’on aurait cru anodin était en fait très calculé. Dans le mouvement, la jolie robe fluide qu’elle portait était légèrement remontée au-dessus des genoux de la belle femme brune. Pierre se trouvant exactement en face d’elle s’aperçut furtivement de l’absence de culotte, tout comme de l’absence de toute pilosité dans l’entre-jambes de Marie-Anne. Les talons de la belle sexagénaire n’étaient à présent plus joints comme ils auraient plu l’être de la part d’une femme bien élevée mais les cuisses n’étaient pas non plus écartées comme l’auraient été celles d’une aguicheuse patentée. Leur écart aurait été juste suffisant pour déstabiliser n’importe quel homme alors imaginez son effet sur un jeune puceau.Chantal avait bien observé le manège de son amie et elle comprit aussitôt que cette dernière voulait, en fait, tester le self contrôle de son jeune protégé.
En effet, Pierre avait à présent bien des difficultés à ne pas porter son regard vers les genoux de Marie-Anne et sa queue commençait bien vite à prendre du volume, en dépit des efforts de concentration du gamin.
Au fil des minutes, alors que les deux femmes discutaient entre elles et semblaient ne plus se soucier de lui, il se mit à modifier sa position sur son fauteuil pour libérer un peu de place à son membre qui ne tarda pas à prendre une nette orientation verticale.Lorsque la brune posa à nouveau les yeux sur le jeune homme elle ne put s’empêcher de s’écrier :
– Waouh, quel morceau ! Quand tu as ça dans le ventre tu dois te sentir vraiment bien remplie ! plaisanta-t-elle.
– Je t’en prie Marie-Anne, tu vas mettre Petit-Pierre mal à l’aise, d’autant que tu as tout fait jusque-là pour l’exciter, si tu penses que je n’ai pas remarqué ton jeu de jambes.
– Je suis désolée de t’avoir mis dans cet état Pierre, s’excusa-t-elle avec une pointe de sourire ironique mais sache qu’une femme est toujours sensible à ces marques d’intérêt.
Elle resserra les jambes, faisant ainsi preuve auprès de Chantal d’une contrition qui se voulait sincère.
– Bon, c’est pas tout ça mais il faut que j’y aille. J’ai rendez-vous avec mon nouveau GSP Karim à 17h00. Le temps de me préparer, je serai juste à l’heure.
Je vous quitte les amis.Elle embrassa chaleureusement Chantal, me fit une bise sur chaque joue et tout en s’adressant à Pierre :
– Ne te lève pas, je vois que tu es un peu gêné. A bientôt de te revoir… en aussi bonne forme.
Chantal la raccompagna jusqu’à sa voiture.De retour au salon, Chantal nous retrouva en pleine discussion.
– J’étais en train de rassurer Pierre, lui confiai-je.
Il craignait que tu sois fâchée contre lui pour ne pas avoir su se contenir devant ton amie.
– Mon pauvre Petit-Pierre, tu n’es pas responsable de ce qui vient de se produire. J’ai bien remarqué que Marie-Anne cherchait à te provoquer. Tu as simplement réagi naturellement et je te félicite d’ailleurs de ne pas t’être enfui en voyant que tu ne pouvais pas contrôler ta bandaison. C’est très courageux de ta part d’avoir assumé cette réaction naturelle.
S’adressant à moi :
– Elle est incorrigible, dès qu’une belle bite est dans son entourage, elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour se faire remarquer.
Et à Pierre :
– Que va-t-on faire de toi gamin ? je ne peux pas te renvoyer chez ton père dans cet état.
Veux-tu te détendre quelques minutes avant de partir ?
– Oui, j’aimerai bien en effet. Si vous pouviez me traire madame et me vider les testicules.
– Voilà qui est correctement formulé apprécia Chantal.
Viens, approche, je vais vidanger ces boules bien pleines.
Laurent ? veux-tu bien aller me cherche le bac à glaçons dans le congélateur s’il te plait ? J’ai bien envie de jouer un bon tour à cette coquine qui a voulu se moquer de notre jeune ami.Sachant ma chérie autant espiègle qu’imprévisible parfois je suis donc allé récupérer l’objet qu’elle m’avait demandé, en la laissant quelques instants avec notre jeune ami.De retour au salon, je constatai que Pierre à genoux sur la table basse, était en plein effort. Contrairement à la fois précédente où sa maîtresse l’avait laissé seul se débrouiller avec sa main, elle se chargeait cette fois-ci activement de sa traite tout en l’encourageant. Elle avait empoigné énergiquement du membre turgescent à sa base et exerçait une série de va et vient rapides qui décalottaient frénétiquement un gland violacé.
– Allez gamin fais toi du bien et donne-moi tout ton lait de petit homme. Lorsque tu te sentiras partir mets-toi à quatre pattes que je puisse facilement préparer un petit cadeau à notre ami Marie-Anne.Pierre n’avait pas totalement compris ce que sa maîtresse attendait de lui mais il lui faisait entièrement confiance et ses mouvements du bassin se faisaient tout à la fois souples et amples.
Lorsqu’il annonça qu’il allait jouir il adopta aussitôt la posture demandée.
Chantal se déplaça, alors, pour se positionner vers l’arrière tout en accélérant le rythme de la traite. Elle avait certainement dû affermir sa prise car le gland était de plus en plus foncé.Au moment où Pierre allait délivrer sa marchandise, Chantal approcha le bac à glaçons et relâcha tout doucement la pression qu’elle exerçait sur la magnifique queue de manière à ce que le sperme vienne doucement remplir une alvéole puis une deuxième. Voyant que la source ne tarissait toujours pas elle put même obtenir un futur troisième glaçon de semence.
– Tu vois gamin, la prochaine fois que Marie-Anne nous rendra visite, nous lui offrons l’apéritif et elle aura même droit à quelques glaçons annonça-t-elle, toute gaie du bon tour qu’elle avait préparé à sa copine.
Pierre et moi avons bien ri et nous attendions avec impatience la nouvelle visite de la belle brune.Tu as bien travaillé Petit-Pierre, tes progrès sont étonnants comme tu l’as dit à Marie-Anne et je suis très fière de toi. Maintenant tu dois rentrer, il se fait tard.
Les consignes pour cette semaine sont identique aux précédentes : travail, sérieux… et pas de branlette.
Le regard du gamin laisser percer la fierté qu’il ressentait après ces compliments. Après nous avoir embrassé, il se rhabilla bien vite et enfourcha son scooter.
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