Les 1001 perversions de Nathalie (13) – Douze motards
Dans la chambre, malgré la baie ouverte, la chaleur demeure étouffante.
AllongĂ©e sur le lit, les pensĂ©es de Nathalie sont obscènes. Elle revit sa nuit de dĂ©bordements dans la villa sordide oĂą Juan l’avait emmenĂ©e la veille.
Proposée le 12/07/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: InclassableType: Fantasme
Ses seins sont gonflĂ©s et sa vulve gluante. Car Marc, ne voulant pas ĂŞtre en reste, lui a promis une surprise pour la nuit Ă venir… Elle se masturbe jusqu’à l’orgasme, mais n’arrive pas Ă trouver le sommeil. Il fait trop chaud. Elle se lève. Par la baie vitrĂ©e, une lĂ©gère brise vient caresser son corps nu.
Elle fait quelques pas sur les dalles menant à la piscine. Elle perçoit des petits cris provenant de la chambre de Juan. Intriguée, troublée, elle prête l’oreille. Il y a quelque chose d’inhabituel dans ces plaintes. Elle est incapable de dire si c’est sous l’effet de la douleur ou du plaisir.
La lumière passe entre les rideaux mal fermĂ©s de la chambre. Le store n’est pas baissĂ©, la porte-fenĂŞtre est entrouverte. Elle s’approche. Reste figĂ©e.
Léa est allongée sur le lit, les yeux bandés, les poignets et les chevilles liés aux quatre montants. À proximité, un coffret contenant des godes est ouvert.
Juan tient une cravache qu’il promène sur le corps de Léa. Il la caresse tantôt avec une extrémité, tantôt avec l’autre. Le pommeau glisse lentement de la base du cou à l’entrée béante du vagin, non sans avoir titillé le bout des seins et le clitoris, au passage.
À voir ses contorsions, à entendre ses plaintes et ses supplications, le manège de son amant la met au supplice, mais Juan, imperturbable, la caresse toujours, s’arrêtant quand il la sent sur le point de jouir.
Derrière la porte, son trouble s’accroît quand elle remarque les stries rouges qui parsèment les seins, le ventre et le haut des cuisses de Léa. Par moments, Juan remplace le pommeau par la courte mèche de cuir de la cravache.
Ses caresses se font alors plus brutales. Il tapote les mamelons, le clitoris, les petites lèvres. Léa se trémousse en poussant des plaintes aiguës, prolongées, qui donnent à penser qu’elle souffre et jouit en même temps.
Le jeu dure un long moment. Appuyée d’une main contre l’encadrement de la porte, Nathalie se masturbe de l’autre. Elle ne peut pas résister tant le spectacle l’excite.
Ă€ la fin, Juan monte sur le lit. Il s’accroupit entre les jambes de LĂ©a et lui lèche la chatte. En mĂŞme temps, il glisse ses doigts sous les fesses pour lui forcer l’anus. Hors d’elle, elle le supplie de la faire enfin jouir, mais il ignore ses exhortations. Au bout d’un moment, il s’empare d’un gode en mĂ©tal. Il le pose entre les fesses de LĂ©a, contre son anus.
Il prend ensuite le plus gros de ceux qui se trouvent dans la boîte. La fausse queue est impressionnante, tant par sa longueur que par son épaisseur.
Nathalie n’ose croire que Léa va être possédée par les deux bites artificielles en même temps. C’est pourtant ce qui arrive.
Juan commence par Ă©carter les fesses, prend le gode mĂ©tallique et le positionne contre l’anus, après l’avoir mouillĂ© en lui faisant faire quelques allers-retours dans le sexe dĂ©trempĂ©. Il l’enfile ensuite sans difficultĂ© dans l’étroit canal. LĂ©a pousse un cri aigu. Après, c’est au tour du gros gode d’entrer dans le vagin. La chatte parait pouvoir tout absorber.
Elle supplie toujours Juan de la faire jouir. Il se réinstalle entre ses jambes puis lui lèche le clitoris. Elle se tord en tous sens, criant son plaisir avec une telle force que Nathalie en est effrayée. Elle n’imaginait pas que quelqu’un puisse jouir avec une telle violence.
Quand Léa se tait, un silence pesant envahit la chambre. Après tant de démonstrations bruyantes, c’en est presque inquiétant. Juan, lui, doit avoir l’habitude, car il ne semble pas impressionné. Il retire avec précaution les deux godes du corps de Léa et la détache ensuite. Elle se laisse passivement retourner sur le ventre.
Juan la prosterne en lui repliant les jambes sous elle. Ainsi, elle offre son cul sans défense. Il lui écarte les fesses et appuie le gland de sa grosse bite sur l’anus. Il ne lui faut qu’un coup de reins prolongé pour s’enfoncer, d’un mouvement lent mais continu, jusqu’à la racine dans le cul de Léa.
Elle ne bouge pas, même lorsque Juan la défonce violemment de ses terribles coups de boutoir. Il jouit à son tour en poussant un cri puis retombe de tout son poids sur le dos de Léa.
Nathalie en est Ă son deuxième orgasme. Elle se malaxe les nichons, les pressant comme si elle voulait en faire sortir du lait. Juan s’est retirĂ© de LĂ©a, la verge molle. Il se penche pour lui lĂ©cher l’anus alors qu’elle se laisse glisser sur le ventre, inerte.
Nathalie comprend que c’est le moment de regagner sa chambre.
Peu avant de s’endormir enfin, elle entend LĂ©a râler très fort dans la chambre voisine. Elle vagit, cela ressemble aux cris d’un bĂ©bĂ©. Nathalie recommence Ă mouiller et elle s’endort, la main entre les cuisses…*********Nathalie est installĂ©e sur la banquette arrière de la voiture. Un masque de velours noir lui cache leur destination. Ils filent depuis une demi-heure sur une route dĂ©serte. OĂą Marc la conduit-il ? Quel est le but de leur excursion ? La chaleur est enivrante. Après quelques virages, la voiture arrive devant un corps de ferme abandonnĂ©, s’arrĂŞte devant un portail de fer.
Il coupe le moteur. Personne. La pleine lune se dĂ©gage tout Ă fait des nuages, et il fait presque aussi clair qu’en plein jour. Il n’a pas besoin d’utiliser la moindre lampe pour l’aider Ă sortir de la voiture.
– OĂą sommes-nous ?
– Ne posez pas de questions !
– Je peux retirer mon bandeau ?
– Vous plaisantez ?
Il la guide, il pousse l’un des battants du portail et ils pĂ©nètrent dans la cour de la ferme abandonnĂ©e.
Le second battant du portail est restĂ© fermĂ© : il la plaque contre, et en quelques secondes, elle s’y retrouve attachĂ©e, les bras en croix.
Elle se tortille :
– Qu’allez-vous me faire… OĂą sommes-nous ?
– Cessez vos jĂ©rĂ©miades inutiles… Vous ĂŞtes ici car tel est mon bon plaisir. Je vous ai prĂ©parĂ© une surprise.
Il entreprend de caresser son corps, sa main remonte le long de ses cuisses, flâne jusqu’aux abords du con qui, Ă peine effleurĂ©, s’ouvre sous ses doigts. DĂ©jĂ , elle coule. Il ne lui reste plus qu’Ă sortir son petit vibro-masseur, lequel ne quitte jamais sa poche en cette occasion.Â
Son clitoris ainsi flattĂ© se gonfle, palpite comme un coeur en furie puis se relâche, avant de se tendre Ă nouveau en quĂŞte d’orgasme. Elle jouit Ă perdre haleine, ses cris rĂ©sonnent dans la cour de ferme.
Il s’Ă©carte pour savourer le spectacle d’une femelle assaillie par le plaisir, ici, dans cet environnement pouilleux, accrochĂ©e Ă une grille et entièrement soumise Ă ses vices.Â
Soudain, un bruit de moteur, d’abord lointain, puis se rapprochant peu Ă peu, immerge Nathalie dans la panique.
– On vient !Â
– Taisez-vous…
Une minute s’Ă©coule et une nuĂ©e de Harley Davidson fait son entrĂ©e dans la cour de ferme. Les motos pĂ©taradent, s’immobilisent devant eux. C’est tout un groupe de bikers vĂŞtus de cuir, tatouĂ©s Ă outrance, tous affublĂ©s d’un bandana rouge.Â
Aveugle, elle tremble d’apprĂ©hension, alors que la chaleur nocturne atteint des records. Pour ajouter Ă son Ă©pouvante, les bikers entament une sorte de circuit assourdissant dans la cour, poussant leurs engins Ă leur puissance maximale, frĂ´lant sa robe avec leurs bottes, se livrant ainsi Ă un ballet oĂą son corps attachĂ© apparaĂ®t dans les phares. L’atmosphère se charge de vapeurs d’essence, d’odeur d’huile chaude et de sueur qui imbibe le cuir des combinaisons.Â
Marc fait un signe : quelques moteurs s’arrĂŞtent, les autres continuent de tourner ; la troupe de bikers s’avance vers elle. Des mains nombreuses et entachĂ©es de cambouis tâtent ses formes, maculent sa belle robe blanche puis s’enhardissent, pĂ©trissent ses grosses outres, ses hanches, son ventre, ses cuisses sans mĂ©nagement, avec une rudesse de fauve.
Des dizaines de doigts rugueux, mais vicieusement habiles, relèvent puis arrachent maintenant sa robe, explorent son con à plusieurs, ne laissent pas un millimètre de chair disponible du haut en bas de la vulve, investissent tout comme une armée terriblement efficace, lui soutirant des frissons et des gémissements de plaisir.
Alors qu’elle savoure cette brutalitĂ© primaire, tout en la fouillant avec de plus en plus de fĂ©rocitĂ©, ils l’insultent tant qu’ils peuvent, la couvrent d’injures que ses oreilles n’ont probablement pas souvent l’occasion d’entendre. Excitante humiliation.
Marc estime qu’il est temps de la dĂ©tacher de son portail, et de la livrer Ă ces taureaux en rut. Elle est immĂ©diatement traĂ®nĂ©e vers l’une des Harley, on la plaque en travers du siège. En une seconde, un sexe gĂ©ant force sa bouche, l’investit jusqu’au trĂ©fonds de sa gorge.
Sur ces entrefaites, une bite plantureuse la pĂ©nètre, s’active sans tarder, y va franchement, sans retenue, pour Ă©jaculer vite et fort. Une autre se hâte dans son fondement qu’elle laboure par saccades. Les moteurs des engins tournent toujours, la dizaine de bikers est pressĂ©e de l’enfiler, Ă la suite, comme une salope dĂ©pravĂ©e.
La scène dure une demi-heure Ă peine. Douze membres se succèdent aux trois orifices, sous les cris, les hurlements de jouissance qu’elle glapit lorsque sa bouche n’est pas remplie par une queue ou dĂ©borde de foutre.Â
Puis les braguettes des pantalons de cuir se reboutonnent, un Ă un les bikers apaisĂ©s enfourchent leurs engins et se rangent dans la cour, bien alignĂ©s.Â
Le chef des motards s’offre une gâterie : il la met Ă quatre pattes dans la poussière et l’encule longuement devant tous les autres qui jubilent, appuyĂ©s sur leur guidon.
Marc l’empoigne alors par les cheveux et la traĂ®ne jusqu’au portail. ÉpuisĂ©e, elle n’oppose aucune rĂ©sistance lorsque qu’il l’attache Ă nouveau. C’est le moment de lui retirer son bandeau : elle peut ainsi contempler le tableau de sa soumission, et constater par qui elle a Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ©e de toutes parts.
Les moteurs pĂ©taradent, elle voit disparaĂ®tre ses baiseurs dans un nuage de poussière et de fumĂ©e.Â
Nathalie retrouve peu Ă peu ses esprits, regagne sa condition normale. Du moins presque, car l’aspect qu’elle offre, fixĂ©e au portail, les bras en croix, les cheveux hirsutes, le corps couvert de sueur, de sperme, de sable et de cambouis, est plutĂ´t celui d’une pouffiasse malpropre.Â
Marc sort de sa poche le petit vibromasseur. Il se colle contre elle, glisse le vibro entre ses cuisses, contre son clito, et le met en marche. Elle pousse une plainte en se cambrant autant que le lui permettent ses liens.
Marc prend sa bouche qui sent le sperme des bites qui l’ont remplie, il suce sa langue. Elle jouit encore en vagissant de plaisir. Elle frotte ses tĂ©tons bandĂ©s contre sa poitrine. Elle râle. Il sort sa queue. Il bande comme une bĂŞte en rut. Elle supplie, elle quĂ©mande la bite, mendie le mâle, dans son dĂ©lire, elle le tutoie maintenant :
– Pine-moi… Pine-moi tout de suite… Pine tous mes trous avec ta grosse bite !! Fais-le moi comme un porc que tu es !
Il se colle entre ses cuisses, s’empale d’un seul coup dans son con et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle beugle :
– Oui… Par le cul… Prends-le fort, mon gros cul !
Il la dĂ©tache et la retourne. Pris d’une excitation bestiale, il prĂ©cipite sa queue au fond de son cul.
Elle dĂ©lire, les pointes de ses tĂ©tons sont bandĂ©es Ă mort et allongĂ©es, dures. Elle dĂ©gouline de partout. L’orgasme la foudroie, elle se tĂ©tanise, comme sous l’effet d’une dĂ©charge Ă©lectrique :Â
– Ouiiiiii… Vas-y, Ă©largis-moi ! Fais-moi un cul de putain… Je t’en supplie, fais-le, oui, mon porc… Encule-moi fort ! Plus fort !!!
Alors, il s’agite comme un déchaîné dans son trou et ils jouissent comme des bêtes, mêlant leurs cris et leurs plaintes.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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