Les 1001 perversions de Nathalie (14) – Le Cercle (4)
Nathalie se réveille trempée, la tête pleine d’images : Elle revoit Léa, attachée, fouettée, godée, râlant de plaisir sous les coups de cravache de Juan… Sous la douche, glissant le pommeau entre ses cuisses, elle se besogne en s’imaginant baisée et cravachée par des pervers en rut.
Proposée le 23/08/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: InclassableType: Fantasme
Elle ne se doute pas que son fantasme va se réaliser le soir même, au Cercle…
****
Lorsqu’ils entrent dans le « Salon bleu », Mr. K., dans son canapé, joue avec la chatte d’une nymphette. Du pommeau de sa cravache, il la masturbe à travers sa petite culotte de coton blanc.
Léa glisse à l’oreille de Nathalie :
– C’est Claudia, une nouvelle… Je le soupçonne de vouloir en faire sa vicieuse de prédilection.
La fille semble sortie tout droit du pensionnat. De longues tresses blondes, des grands yeux bleus, la lèvre boudeuse.
– Chers amis, je vous présente Claudia, une petite perverse qui va découvrir tous les aspects de la condition de soumise. Aujourd’hui, elle va faire connaissance avec la cravache !
Monsieur K. fait signe à Claudia de s‘approcher. Elle reste debout devant lui, les yeux baissés. Après un silence, il dit le plus naturellement du monde :
– Tu es une gamine vicieuse ! Et les vicieuses méritent une correction.
Une duègne apporte une boîte de godes, un foulard et une cordelette. Claudia fait mine de retirer sa culotte.
– Garde ta culotte !
Claudia obéit avec un petit frisson d’angoisse. Cependant, ce n’est pas désagréable, au fond, d’avoir peur. En tout cas, cela ne l’empêche pas de mouiller. La duègne lui bande les yeux. Elle lui attache les poignets, l’amène sous une poutre, fixe la cordelette à un crochet.
Claudia se retrouve les bras en l’air. Elle doit se dresser pour que ses pieds reposent sur le sol. La position fait saillir ses fesses rondes et ses seins haut perchés. Après l’avoir attachée, ni la duègne, ni Mr. K. ne donnent signe de vie. N’y tenant plus, la petite demande au bout d’un moment :
– Monsieur, madame, s’il vous plaît, où êtes-vous ?
Elle crie. Quelque chose de froid vient de se poser sur sa nuque. Elle réalise qu’il s’agit du pommeau de la cravache. Monsieur K. le glisse le long de son dos en épousant les arêtes de la colonne vertébrale. Monsieur K. joue avec ses nerfs.
Arrivé aux creux des reins, il fait le tour de la taille et se retrouve devant elle. Le pommeau de la cravache s’attarde sur le nombril avant de remonter entre
les seins. La petite s’efforce de rester impassible, mais comment cacher son excitation quand on a les mamelons tendus, et qu’on sent une tache humide s’élargir sur sa culotte ?
Monsieur K. joue, il lui tapote le bout des seins et lui caresse les aréoles avec le pommeau de la cravache. Ensuite, il redescend au nombril, et de là dans l’entrecuisse de Claudia. Elle écarte les jambes autant que le lui permet sa posture.
Le pommeau s’introduit dans la fourche. Il appuie sur le fond de la culotte comme s’il voulait la pénétrer avec la cravache. Le tissu épouse les contours de la chatte et chaque attouchement provoque un bruit mouillé.
– Tu es trempée, petite salope ! Tu as vraiment le feu au cul.
Monsieur K. poursuit son jeu un moment avant de se reculer. Maintenant Claudia implore :
– Encore, monsieur ! C’est bon !
Pour toute réponse, elle reçoit un coup de cravache sur le côté de la cuisse. Il n’a pas frappé fort. Assez, cependant, pour arracher un cri à Claudia et lui faire redouter la suite. Il passe derrière elle, glisse la tige de la cravache entre les cuisses et entame un va-et-vient.
Claudia se démène au bout de la corde. Elle se mord les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Ce n’est pas de l’orgueil. Elle craint de recevoir un nouveau coup de cravache.
Il la branle ainsi un long moment. Monsieur K. joue avec tous les endroits sensibles du corps de sa victime : les seins, les fesses, le bas-ventre. Même à travers la culotte, il parvient à la rendre folle en caressant son clitoris, ses petites lèvres, les bords de son vagin.
Claudia n’en peut plus. Au fond, elle préfère qu’il la fouette. Elle geint et immédiatement la cravache s‘abat sur sa cuisse. Plus fort cette fois. Elle pousse une plainte. La cravache strie ses fesses, lui arrache un cri strident. Alors les coups pleuvent.
La cravache s‘abat sur ses cuisses, ses fesses, son ventre. Claudia se tord au bout de la cordelette. Elle ne crie plus, elle sanglote, une sourde plainte s‘échappe de sa bouche, à la fois de douleur, mais surtout de plaisir.
À plusieurs reprises, Claudia croit s‘évanouir mais Monsieur K. s’arrête au dernier moment. Il cesse de la fouetter et s’agenouille devant elle. Il baisse sa culotte et lèche les bords du con. Claudia se tortille au bout de la cordelette. Monsieur K. doit l’immobiliser en la prenant aux fesses.
Il se livre à un long et cruel travail de sape. La chatte en feu, Claudia n’a plus peur de crier, à présent, quand la langue de Monsieur K. s’attaque à son bouton et à ses nymphes.
Claudia est à demi-évanouie quand il lui enfonce un gode en métal dans la chatte. Elle crie et a un orgasme d’une violence inouïe. Au point qu’elle lâche un jet de pisse. Monsieur K. se place derrière Claudia. De ses doigts en fourche, il sépare les fesses et place l’extrémité du gode sur l’anus.
Encore secouée par les frissons de son orgasme, elle gémit de douleur et de plaisir pendant que son sphincter cède sous la pesée.
Bientôt, le gode est enfoncé jusqu’à la garde. Les muscles serrés l’empêchent de sortir de l’anus. Monsieur K. le lâche et en prend un autre, plus gros, en latex, qu’il introduit dans le vagin. Il le fait aller d’avant en arrière, comme une queue. Claudia a un second orgasme presque aussi violent que le premier.
Il lui retire les godes et la détache. Il lui ôte son bandeau et la conduit jusqu’au canapé où il l’allonge.
Claudia a du mal à reprendre ses esprits. Les muscles de ses bras et de ses jambes sont douloureux et ses jouissances semblent l’avoir anéantie. N’empêche, elle est contente d’échapper à la fessée, bien que, au fond, une part d’elle se sent frustrée.
– Messieurs, j’aimerais bien que vous complétiez mes premiers enseignements. Elle est à vous.
Aussitôt, des mains se précipitent sur Claudia, palpent chaque recoin de son corps. On lui écarte les cuisses. Des doigts fourmillent, forcent son intimité, pincent ses tétons, s’attardent sur les marques de fouet laissées sur sa peau.
Un homme sollicite l’autorisation de Mr. K. pour forcer la bouche de sa nymphette. Il y consent. Claudia est sur-le-champ contrainte d’accepter le membre qui se présente avec violence à ses lèvres, et qui s’enfonce très vite au plus profond de sa gorge.
Elle respire comme elle le peut, suce sous les insultes, pendant que les mains des autres hommes la fouillent sans relâche.
Spectatrice de cette scène, Nathalie n’en peut plus, son excitation est parvenue à son paroxysme. Elle n’a qu’un désir : être prise, pénétrée, saccagée par des grosses bites. La grosse duègne, qui a prit place à côté d’elle sur le canapé, lui caresse l’intérieur des cuisses, lui effleure le con. Nathalie sent son jus inonder sa culotte.
Sa main posée sur celle de la duègne, Nathalie écarte les jambes, guide la main de la femme sous sa culotte. Elle se laisse branler langoureusement. Un homme a sorti sa queue, la donne à sucer à la femme, puis se fait sucer par Nathalie, et la femme se lèche les doigts avant de les remettre dans le con de Nathalie.
Mr. K. intervient :
– Chère madame, je constate que cette séance vous a plu, je dirais même excitée…
Et s’adressant à la duègne :
– Mariette, déshabillez notre amie.
La duègne lui retire sa robe, la débarrasse de sa culotte, qu’elle tend à Mr. K.
Il la porte à ses narines, la renifle :
– Vous êtes une femelle en chaleur, madame… Mariette, emmenez cette chienne en rut au Salon Rouge, elle n’attend que cela…
Nathalie sent cette tension voluptueuse, cette lourdeur qu’elle connaît bien lui tordre le ventre lorsque elle pénètre dans le Salon Rouge, où les participants, une douzaine, masculins surtout, deux ou trois femmes, déambulent dans la pièce.
On attache Nathalie à  une croix de Saint-André. Des bandes de chatterton noir maintiennent ses poignets et ses chevilles au bois, ainsi que ses aisselles et le haut des cuisses. Le point de jonction des branches se trouve juste au-dessus de ses reins.
Sa tête est libre, elle peut regarder autour d’elle. Elle sait que tous peuvent voir sa chatte baveuse, ouverte, sa mouille couler à l’intérieur des cuisses.
Mr. K. fait entrer deux filles, deux prostituées vu leur allure. Deux bombasses avec des seins énormes, un cul énorme, des jambes interminables. Elles sont parfaites, toutes les deux.
On éteint toutes les bougies, sauf celles qui éclairent la croix, et on lance une musique lancinante, un jazz lourd, répétitif, sex. Les filles s’embrassent, se caressent, puis s’intéressent à  Nathalie.
Elles lui lèchent le cou, les seins, descendent pour lui lécher la chatte, lui sucer les pieds, elles s’embrassent à  trois langues. L’une la doigte, pendant que l’autre lui roule des pelles.
Elle ne la lâche pas, à  trois doigts dans sa chatte, jusqu’à  ce qu’elle jouisse, et en jouissant, elle éjacule. Elle est essoufflée, elle aime le regard excité des hommes sur elle. Les filles vont chercher des godes. Les participants s’approchent, forment une file.
C’est la pute en rouge qui la gode. Elle fait ça bien. Elle s’y entend. Elle lui prend la bouche, le cul, la chatte, voluptueusement. Elle lui fait des bisous et des léchouilles partout.
Nathalie mouille, bave, suinte du cul, gémit comme une folle. En même temps qu’elle lui donne du plaisir, chaque participant a droit au fouet et lui en fait profiter comme bon lui semble. Ils lui cinglent la fente, les nichons, les jambes. Ils n’y vont pas de main morte. Souvent, elle se cambre de douleur, pousse des plaintes, des râles.
La pute habillée en noir, à  genoux, suce le fouetteur jusqu’à  ce qu’il gicle. Elle n’avale pas le sperme. Au moment de jouir, elle le branle de sorte qu’il jute sur la chatte de Nathalie ou sur son ventre ou ses cuisses. Ils y passent tous.
Nathalie crie sans discontinuer, des râles rauques, des cris aigus, d’autres plus prolongés. Elle jouit encore deux fois. À la deuxième fois, celui qui la supplicie accompagne ses cris de coups de fouet sur la chatte, tandis que la pute lui tord les seins. Â
Pendant tout ce temps, à  ses cris, aux grognements de plaisir et d’effort du sucé, aux gémissements factices mais excitants de la pute qui s’occupe tendrement de lui faire du bien, à  tous ces cris se mêlent ceux des spectateurs passifs qui réclament, encouragent, félicitent. Les mâles montrent leur virilité comme des chiens enfermés dans un chenil.
La séance dure une heure et Nathalie est vidée. Les deux autres filles ont l’air fatiguées aussi. On vient déplacer la croix pour qu’elle se retrouve en position horizontale.
Les deux putes se déshabillent, provoquant des applaudissements dans l’assemblée, et enfilent chacune un gode-ceinture. Elles s’approchent de Nathalie, les hommes font cercle autour des trois. Ils sortent leur queue, ils commencent à  se masturber en encourageant la première pute, qui s’allonge sur Nathalie et la baise. Elle y va de bon cÅ“ur avec son gode, et gémit presque autant qu’elle.
Pendant que la première lui passe dessus, la deuxième se promène dans l’assemblée, à  poil avec sa bite factice. Elle flatte les couilles et les queues des branleurs, ou bien donne à Nathalie son gode à  sucer, ou encore lui bat les seins avec. Tout son corps n’est que zébrures. Et elle trouve encore moyen de prendre son pied. Sans ce public bestial et excité, elle n’aurait pas joui autant.
Après l’avoir fait reluire, la pute se retire, et c’est au tour de l’autre de la baiser. Elle y va plus doucement, presque avec tendresse. Pendant ce temps, la première fille détache la ceinture, puis lui donne à  sucer le phallus plein de mouille.
Les hommes commencent à  jouir. Ils l’arrosent de leur sperme, l’un après l’autre. Après avoir giclé, ils se font essuyer la bite par sa langue, sa bouche, puis quittent la pièce : le spectacle n’a plus d’intérêt pour eux.
Quand le dernier homme a éjaculé et rejoint les autres, la pute veut se retirer de Nathalie, mais elle est trop excitée. Elle la supplie de la finir. Elle n’en a pas eu assez !
La pute lui sourit tendrement et continue à  la limer. L’autre, pendant ce temps, lui embrasse le front, lui caresse les cheveux. Nathalie râle qu’elle va jouir encore, la pute continue à  la baiser avec la même gentillesse, la même lenteur. Elle jouit en poussant des cris. Les deux filles couvrent son visage de baisers jusqu’à  ce que ses spasmes se calment, que l’orgasme reflue.
Elles se rhabillent, on les raccompagne à  la porte…Sur le chemin du retour, le jus dont elle est remplie continue à couler hors de sa fente béante, l’odeur du sperme et de sa mouille envahit la voiture. Sur la banquette arrière, les mains fourrées sous sa jupe, ils la branlent, Juan son cul, Marc sa chatte. Puis ils lui donnent leurs queues à sucer et elle jouit encore en buvant leur sperme… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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