Les 1001 perversions de Nathalie (15) – En mal de mâles
« Tout a une fin… Et j’ai encore faim ! ». Nathalie ne peut s’empêcher de sourire à ce jeu de mots bon marché qui lui vient à l’esprit. Son corps est repu, gavé par ces jours de jouissances quasiment ininterrompues avec Léa, Marc et Juan.
Proposée le 1/10/2019 par enipal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Mais dans sa tête, une suite désordonnée de souvenirs obscènes se succèdent et entretiennent un état d’énervement qui ne s’apaise pas…
On a apprécié son travail, elle a eu une promotion, on l’a installée dans un bureau luxueux. La seule chose qu’elle n’aime pas est la grande baie vitrée par laquelle elle voit la totalité de son service. Aucun geste de ses collaborateurs ne peut lui échapper… mais elle ne peut rien faire sans être, elle aussi, vue par eux.
Les autres cadres sont d’un ennui mortel. Elle passe ses journées avec un slip trempé en permanence, et le sentir mouillé l’excite encore plus Elle fantasme : derrière cette vitre, elle imagine des voyeurs. Elle s’exhibe à eux, elle se branle pour eux et ils font de même en la regardant.
Elle réalise son fantasme exhibitoire les rares jours où son mari est absent. En face de son immeuble, un chantier de construction est mis en cours.
Elle allume toutes les lampes du salon, s’approche de la baie vitrée, soulève sa jupe en plaquant son ventre contre le verre.
A peine s’est-elle placée dans cette posture indécente qu’une dizaine d’ouvriers se regroupent sur l’échafaudage en face. Elle se frotte les cuisses et le ventre à la vitre froide, en roulant des hanches. Les regards des hommes braqués sur elle l’excitent. Elle mouille sa culotte. Elle écarte les cuisses, se cambre, se laisse glisser à genoux, très largement ouverte.
Les hommes la fixent. Certains ont placé la main à la braguette. D’autres ont introduit la main dans la poche. Tous se branlent. Ils échangent des propos salaces sur son compte.
Elle retire sa culotte, assise sur le sol, cuisses relevées. Plaçant ses mains de chaque côté de son sexe, elle ouvre sa fente, largement. Du plat de la main, elle fait rouler ses lèvres gluantes, avant d’introduire ses doigts dans son vagin.
Les hommes, alignés en face d’elle sur leur échafaudage, ne se tiennent plus. Ils agitent les mains sur la toile de leur pantalon, et se secouent la queue au travers du tissu. Deux d’entre eux ont carrément sorti leur bite, et se branlent sans se gêner.
Elle se met à quatre pattes et tend son cul en direction des ouvriers, le remuant comme une chienne. Elle écarte ses fesses à pleines mains, pour qu’ils puissent bien voir ses deux trous épanouis. Elle enfonce ses doigts dans sa chatte et se branle sans quitter du regard le troupeau de mâles, qui auraient bien aimé la lui mettre.
Elle saisit un gode et se l’introduit dans la chatte. Les hommes en face deviennent fous. Elle ne les quitte pas des yeux. Elle leur adresse des sourires complices. Elle les aurait voulus ici, et qu’ils la prennent tous. Elle fait aller la bite dans son vagin. Elle jouit à plusieurs reprises. Elle ne peut plus s’arrêter. Une série d’orgasmes la secoue. Elle soulève le cul. Et retombe, clouée.
Il y a bien ce jeune stagiaire qui vient d’arriver dans son service… « Pourquoi pas », se dit-elle… Félix est grand et mince, Nathalie imagine une grosse bite et des couilles en rapport. Cela tire le tissu léger des pantalons clairs qu’il porte.
Elle se masturbe en le regardant par la baie vitrée, quand personne ne tourne la tête vers elle. Elle glisse sa main entre ses cuisses pour se mettre un doigt ou deux dans la vulve. Elle n’agite que la main, pas le bras, pour que l’on ne se rende compte de rien. Heureusement, la glace se trouve à un mètre du sol.
Quand il vient dans son bureau, elle s’arrange pour retrousser sa jupe et lui montrer ses cuisses. Elle adore les ouvrir naturellement, face à lui, en faisant semblant d’examiner son dossier.
Elle ne porte pas de culotte. Elle sent sa fente trempée, il doit la voir luire de mouille. Elle soulève légèrement les cuisses afin qu’il voie la naissance de ses fesses, en le regardant dans les yeux. Il bafouille en lui répondant et elle sait qu’il a vu.
– Tu peux toucher…
Il tend son bras et ses doigts effleurent sa fente. Elle a une vague de chaleur et des picotements dans tout l’entrecuisse. Elle surveille, par-dessus son épaule, si personne ne les regarde. Il enfonce son doigt dans son trou gluant.
– Lève-toi et montre-moi ta queue et tes couilles.
Il ne sait pas ce qui lui arrive. Il s’écarte.
– Ils vont voir…
Elle lui dit qu’il leur tourne le dos, que personne n’entre sans frapper. Il hésite encore. Elle s’impatiente :
– Tu veux rester dans ce service, ou te retrouver aux archives, au sous-sol ?
Il sait qu’elle est capable de le faire muter aux archives et il finit par se lever. La situation l’excite, lui aussi. Il baisse sa fermeture éclair et sort sa queue de son pantalon.
– Tes couilles aussi. Montre-moi tes couilles…
Il ne peut s’empêcher de tourner la tête pour vérifier que personne ne les regarde. Rassuré, il extrait de son pantalon ses couilles énormes et poilues. Il a la queue presque raide, décalottée. Elle lui dit de se rapprocher et elle tripote sa bite, tout en se mettant un doigt dans la fente.
Elle aussi surveille les autres, derrière la baie, et le danger la fait mouiller. Ils peuvent deviner, quelqu’un peut entrer à l’improviste. Félix a du mal à se décontracter, pendant qu’elle le branle d’une main. Il est de plus en plus raide. Soudain, il ferme les yeux et elle comprend qu’il va éjaculer.
Elle baisse vite sa bite pour diriger le jet sur le bureau. Le sperme gicle sur le dossier qu’il lui a apporté. Elle lui ordonne de remettre de l’ordre dans sa tenue puis elle lui tend le dossier maculé de ses traînées gluantes.
– Il faudra recommencer cela, Félix. Et revenir me voir.
Il part, tenant le dossier du bout des doigts. Elle le regarde regagner sa place, jeter son travail à la corbeille et recommencer.
Elle recommence ce petit jeu plusieurs fois avec lui, et finalement, elle le fait venir, un soir tard. Il n’y a plus qu’eux à l’étage. Félix a étalé ses dossiers et papiers sur le bureau.
Elle se lève et retrousse sa jupe, pour s’asseoir face à lui, sur ses papiers. Elle ne sait pas s’il a une mine décomposée à cause de ce qu’elle lui montre, ou des dégâts probables. Il n’ose pas s’approcher. Elle ouvre les jambes, son sexe à la hauteur du sien.
Il s’avance. Elle baisse sa braguette et tire sa bite hors du pantalon, puis ses couilles, coincées par l’étroite ouverture de sa braguette. Elle le prend par la queue pour le guider jusqu’à son trou. Il lui ouvre son chemisier pour voir et palper ses seins durs et gonflés.
Il entre d’un coup en elle et il commence à donner des grands coups de reins. Sa queue glisse dans son vagin, ses couilles tapent entre ses fesses. Elle le repousse, contourne le bureau pour faire face à la baie vitrée et elle s’allonge, les jambes pendantes, le cul en l’air.
Sans attendre, il vient entre ses fesses. Sa queue glisse dans sa raie baveuse de ses sécrétions. Il la lui fourre dans la vulve.
– Non, dans le cul !
Il la retire pour placer le bout contre son anus. Son trou se déplisse tout seul, sa grosse queue au gland épais la force d’un coup, sans ménagement.
C’est tout ce qu’elle veut. Elle jouit presque aussitôt. Pas lui. Elle le termine en le suçant. Il éjacule alors qu’elle va avoir un second orgasme, terriblement excitée de sucer cette queue qui sort de sa chatte et de son cul.
Mais un beau jour, Félix se retrouve à l’étage supérieur, dans un autre service. Cela met fin à leurs relations, car elle ne veut pas le voir ailleurs. C’est le risque d’être surpris qui l’excite le plus.
Alors, de plus en plus souvent, elle retourne traîner du côté de la banlieue. Elle va dans les bars louches, où elle trouve des Arabes ou des Noirs. Il lui suffit d’attendre, souvent très peu de temps, qu’un homme lui propose de le rejoindre dans les toilettes, ou sous un porche, dans la rue.
Ça l’excite. Il la baise, sans même lui retirer sa culotte, tirant juste sur l’élastique pour mettre sa fente à l’air. Car elle met une culotte, ces soirs-là. Pour qu’on la lui arrache, ou qu’on tire dessus pour glisser un gros membre dans son con, ou son cul.
À son mari, elle raconte qu’elle est allée au cinéma, pour se distraire un peu. Elle prend sa douche, comme d’habitude, avant de le retrouver au lit. Là, elle se laisse faire. Et lorsqu’il lui met sa bite dure dans le vagin, allongée, les yeux fermés, les cuisses grandes ouvertes, ce n’est pas à lui qu’elle pense, mais aux grosses bites des Arabes. Elle jouit encore plus fort quand il éjacule, excitée de penser que peu de temps auparavant, une autre bite, énorme, inconnue, giclait entre ses fesses.
Le soir, lorsqu’il lui arrive de travailler tard pour terminer un dossier, il n’est pas rare qu’elle rencontre l’équipe de nettoyage. Le chef d’équipe se fait appeler Saïd et la fait penser à Houssam. Même barbe noire de trois jours, mêmes yeux enfoncés, noirs, perçants.
Celui-là, elle le veut ! À tout prix… Le lendemain, elle reste tard… Le surlendemain également… Quand il vient près d’elle pour vider sa corbeille, elle s’arrange pour retrousser sa jupe sur ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Aux regards qu’il lui jette, elle imagine qu’il bande, imagine sa grosse queue circoncise, la forte odeur qu’elle doit avoir.
Enfin, le troisième soir, il reste après le départ de son équipe… Nathalie attrape chaud entre les cuisses…
Jambes croisées haut, face à lui, elle renverse une boîte de trombones sur la moquette. Il s’empresse de se mettre à genoux pour les ramasser. Elle fait de même. Elle lui tourne le dos, pour lui montrer « innocemment » son cul. Hypocrite, elle se cambre un peu plus.
Enfin, elle sent ses mains sur son derrière. Il retrousse sa jupe au milieu de son dos et lui lèche le cul à grands coups de langue. Puis elle sent une queue énorme se frotter entre ses fesses.
Mais elle joue avec Saïd.
– Vous êtes fou ? Que faites-vous ?
– Tu le sais très bien, salope !
Il souffle dans son dos, continue à passer sa queue raide entre ses fesses. Elle fait semblant de se dérober et se retourne, pour s’asseoir face à lui sur la moquette, les cuisses ouvertes, le ventre nu.
– Les autres vont arriver.
Elle ne quitte pas des yeux le pieu imposant qu’il exhibe. Elle en crève d’envie. Elle s’approche de la verge, au gland mauve très sombre. Elle pose son nez dessus et il l’a soulève pour le lui mettre dans la bouche. Elle le suce, juste sur le bout du gland, jouant avec la langue à le titiller. Il suinte, sent fort, elle aime.
Elle se remet à quatre pattes, dos à lui. Elle est une chienne en chaleur. Il se presse contre elle. Son coeur bat fort, elle transpire. Il passe son gland sur sa fente, écartant les lèvres, effleurant son trou. Puis il le place sur son anus.
Elle soupire :
– Oh non, pas tout…
Mais elle se creuse, et il force d’un coup. Elle s’ouvre toute seule. La totalité de son pieu entre en elle. Elle jouit aussitôt, en se mordant le poignet pour ne pas crier. Il cogne au fond de son cul, ses seins lui font mal, et un second orgasme lui arrache une longue plainte.
Il éjacule en elle au moment où elle entend la porte de l’ascenseur se refermer, deux étages plus bas.
Quand l’équipe de nettoyage entre dans le bureau, les joues en feu, assise à sa place, Nathalie rajuste sa jupe… © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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