Les ancêtres de Patrick. 3
Brigitte continue son éducation. C’est devenue une experte mais le summum est atteint avec son cousin Henri qui allie une pure ignocence à un organe hors du commun.
De cette rencontre naitra un garçon prénommé Patrick. La bête de sexe que vous connaissez si vous avez lu ses aventures.
Proposée le 27/04/2021 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Brigitte la fille de Lucie. La mère de Patrick.
L’enfant était devenue une ravissante fille prénommée Brigitte et je vais maintenant vous conter ses premières aventures érotiques.
Brigitte avait pris l’habitude tous les matins de monter dans notre lit et avait souvent été présente pendant que je faisais l’amour sans tabou pour elle à sa mère Lucie ma belle-sœur, et jouait avec l’engin raidi arrivant parfois à me faire jouir tout en s’amusant.
Brigitte éprouvait déjà une grande satisfaction à tripoter ce morceau de chair s’étonnant que ce tuyau flasque se transforme en ce dur gourdin.
Elle me suivait aussi quand je prenais mon bain et adorais venir me rejoindre dans la baignoire, Lucie due s’absenter plusieurs mois pour aller soigner mon frère malade et Brigitte pris l’habitude de venir dormir dans mon lit.
Je la dépravais lentement au cours des mois suivant et elle se mit à chercher d’autres expériences qu’elle trouva d’abord avec Jean, un jeune employé de maison bien membré et connaissant son affaire puis avec d’autres hommes. Ses excès amoureux ne l’empêchaient pas d’être toujours disposée à me satisfaire le soir.
Devenant de plus en plus imprudents, je les surpris un jour dans leurs ébats et après un moment de colère une réconciliation eut lieu sur le lit ou il se fit enfiler après que je me sois occupé de Brigitte. Elle nous observait et se masturbait comme une forcenée. Elle subit ce jour là la jouissance suprême, moi par devant et Jean par derrière. Elle se sentait doublement pénétrée ne formant plus qu’un seul corps polymorphe. Mais je vais maintenant lui laisser continuer ce récit.Brigitte
Je suis devenue une belle demoiselle de seize ans experte sexuellement pour mon âge et cherchant de nouvelles conquêtes. Une occasion se présenta d’elle-même, le décès de mon oncle fit que papa recueillit chez nous mon cousin Henri, un beau jeune homme de mon âge. Sa maman acceptant qu’il vienne chez nous pour pouvoir pousser ses études car ils habitaient une ferme très isolée dans le haut-Jura assez inaccessible surtout l’hiver avec la neige.
Il m’aimait comme une sœur et étant inconsolable, j’avais pris l’habitude de l’accompagner dans sa chambre et de l’aider à se coucher attendant qu’il s’endorme avant de me retirer.Henri était tout ce qu’il y a de plus innocent des questions sexuelles, sa mère assez puritaine et leur isolement faisait qu’il ne connaissait rien sur le sexe et il était dépourvu de toute honte. Il se déshabillait complètement pour passer son pyjama et pissait devant moi dans le pot de chambre.
J’ai été choquée la première fois que j’ai vu son sexe, même au repos sa verge était d’une longueur inusité, je n’avais jamais vue ça! Quand je quittais sa chambre, je me rendais aussitôt chez un de mes amants ou bien avec les deux pour de nouveaux ébats mais je ne cessais de penser à Henri et son impressionnant engin. Un matin je décide que ce serait le jour ou je le dépraverais.
Sachant que comme la plupart des hommes il aura sûrement le sexe raide le matin, je me glisse dans sa chambre et vois, comme je m’y attendais la proéminence que fait l’engin d’Henri simplement recouvert d’un drap par cet été caniculaire. Sans hésiter, pendant qu’il dort, je relève le drap et tombe en extase en contemplant son membre divinement érigé, il est vraiment bien monté, sa verge fait au moins vingt centimètres, elle n’est pas encore en pleine érection et sa grosseur est phénoménale.
Je ne peux résister à l’envie de prendre doucement dans ma main cet oiseau rare. L’engin est déjà dur mais aussi doux que du velours. En tirant légèrement le prépuce, je peux apercevoir le bout rose, bien fendu et renflé. Surexcitée, je me glisse dans son lit en faisant attention à ne pas le réveiller et relève ma chemise de nuit de façon à ce qu’il puisse bien sentir le contact de ma peau nue, je le prends tendrement dans mes bras et le réveille.
Il est surpris mais ravi de se trouver à mes côtés, il m’embrasse aussitôt et me câline. Je passe les bras le long de son corps complètement nu à cause de la canicule et jouant la surprise lui demande qu’est-ce qu’il y a de si dur qui se presse contre ma main, et je m’empare de l’instrument en question. Je rejette alors le drap pour voir ce que c’est et vois sa virilité pointée, Henri toujours aussi innocent ne fait aucun mouvement. Je l’interroge, mutine :
– Ça alors, quand tu te couches le soir ton tuyau est mou, comment est-ce possible qu’il soit devenu cette tige si longue?
– C’est toujours comme ça le matin mais une fois que j’ai pissé, il redevient mou comme avant!
– Lève-toi et va faire pipi, je dois faire moi aussi!Henri s’exécute et dès qu’il a fini je lui prends le pot de chambre, et me tenant debout les jambes écartées, me plaçant de telle sorte qu’il peut voir toute ma fente ouverte laissant échapper un flot tiède et doré.
Il reste pétrifié d’étonnement, c’est vraiment la première fois qu’il découvre les parties intimes d’une femme.
– Comme s’est drôle!…s’exclame-t-il d’une voix troublée, tu pisses par une fente et tu n’as pas de quéquette…Ah! Je voudrais bien pouvoir regarder d’un peu plus près…
– Oh ne te gênes pas, tu peux regarder tout à ton aise mon cousin, je vais m’étendre sur le dos de manière à ce que tu puisses mieux voir mais il faut me promettre de ne rien dire à personne.
– D’accord Brigitte, je te jure de ne pas dévoiler notre secret.
Je m’étends sur le lit après avoir enlever ma chemise, j’écarte mes cuisses le plus possible. Il s’approche, très ému, se met à genoux, entrouvre ma fente humide et caresse mon clitoris qu’il appelle petite quéquette, tout durci de désirs. Je lui dis de toucher l’intérieur de la fente avec son majeur, il le pousse dedans et je sers si fort mon vagin qu’il a de la peine à le retirer, découvrant la chaleur de fournaise qui règne à l’intérieur de mon corps.
La nature faisant son effet, la verge d’Henri est devenue plus raide que jamais, je m’empare de l’objet qui est devenu énorme, je n’en reviens pas, son pénis dépasse de loin tout ce que j’ai connue jusqu’à maintenant, en plus d’une longueur d’au moins vingt quatre centimètres, elle est d’une épaisseur monstrueuse et doit faire dans les six centimètres de diamètre minimum, mes doigts n’arrivent pas à en faire le tour!…
– Comment se fait-il que ton sexe soit si dur et encore plus grand et plus gros et qu’il se dresse si haut?
– Je ne sais pas ce que j’ai, répond Henri, je me sens tout drôle, depuis que je regarde ta fente, mon engin grossit.
– Je vais t’apprendre pourquoi, viens dans mes bras et étends-toi sur mon ventre.Son mandrin palpite avec fureur contre mon bas-ventre, je saisis son bélier et le guide vers ma chatte avide pensant avec fierté que je suis en train de prendre le pucelage d’un beau jeune homme plein d’innocence. Je gémis et mords ma lèvre inférieure pendant que je sens la grosse queue entrer en moi, écarter mes lèvres intimes jusqu’à la déchirure pour faire pénétrer son incroyable épaisseur par ma fente mais je ne peux l’absorber en entier, son engin est beaucoup trop grand.
– Aaaaggh! Ah, tu es très gros, Henri! J’ai connu beaucoup de bites et la tienne est la plus grosse! Unnggh! Tu vas réussir à me la mettre en entier, hein ? Vas-y. Unggh! Bourre bien ma chatte. Dépêche-toi!
Je lui dis comment opérer et l’instinct du mâle fait le reste, il comprend vite qu’il faut se mouvoir en un mouvement continu de l’avant vers l’arrière. Son rythme augmente. Je prends du plaisir, le mandrin puissant d’Henri me fore à me faire défaillir, enfin après un bon moment je me cabre et explose dans un cri d’enfer et jouis comme jamais…
Henri redouble ses coups de boutoirs puis se bloque et envoie au fond de mes entrailles la première décharge de sa vie, il n’arrête pas de jouir, sa queue n’en finissant plus de cracher sa liqueur séminale, ça ne m’étais jamais arrivé un tel volume de foutre, des giclées qui n’en finissent plus. Je n’en reviens pas des décharges copieuses qui m’emplissent le vagin. Comment peut-il avoir une réserve de sperme aussi incroyable ? Il faut dire que le récipient n’a encore jamais été vidé.
Mais je vais d’étonnement en étonnement, son énorme sexe n’a même pas débandé et sans un instant de répit, il reprend le pilonnage comme si c’était tout naturel, encore et encore m’amenant d’orgasme en orgasme et quelques minutes plus tard il me noie à nouveau sous son foutre. Il s’écroule enfin sur moi, je sens sa bite toujours gonflée au fond de mon vagin.
J’éprouve un plaisir incomparable à la pensée d’avoir enseigné la volupté à un jeune garçon innocent.
Je l’embrasse en le caressant, ma main droite s’égare sur ses bourses et aussitôt je réveille le monstre lubrique qui sommeille en lui. J’essaie de me relever mais il me repousse sur son lit et c’est reparti pour un tour. Il reprend sa chevauchée fantastique, sa verge ferrugineuse coulisse dans mon vagin dilaté. La montée de la jouissance est plus longue, plus insidieuse. Le massage de sa queue sur mes muscles intimes accentue son plaisir et après vingt minutes il sent l’orgasme le gagner sans qu’il ne puisse le freiner. Pour arriver rapidement à ma délivrance sexuelle, sachant qu’Henri est aux portes de la jouissance, je glisse une main entre mes cuisses afin de me frotter le clitoris avec entrain. Ne pouvant contenir plus longtemps cette éjaculation qui lui gonfle la queue, il se cambre convulsivement, enfonçant profondément son membre à l’intérieur de moi. Dans un râle presque inhumain, il lâche pour la troisième fois son jus, le corps complètement tétanisé, les rafales de sperme jaillissant de la verge plantée dans mon sexe m’inondant à la manière d’un lavement. Je sens encore d’énormes quantités de sperme gicler et frapper pour la troisième fois les parois internes de mon sexe, et au plus profond de ma matrice comme jamais je ne l’ai connue auparavant. Il gémit de plus en plus fort et continue de frapper ma grotte d’amour avec son monstre et n’arrête pas d’expulser sa semence à l’intérieur de moi. Je le sens gicler et se répandre, m’inondant au plus profond de celle-ci, noyant mon utérus avec une crème chaude et bienfaisante, je suis tellement pleine de sa semence de ses trois courses de plaisir que ma fente déborde de foutre à chacune de ses poussées, d’un effort surhumain il arrache sa bite de mon fourreau en feu et continue de gicler.
Je regarde les jets épais et lourds de son sperme atterrir sur ma chatte, sur mon ventre sur mes seins.
– OH OUI, C’EST MON BÉBÉ QUI JOUIT ! Va y, mets en partout….Arrose bien le minou de ta cousine !
Je ne peux toujours pas réaliser la quantité phénoménale de sperme qu’il éjacule sur moi. L’extérieur de ma chatte est couvert de son foutre et elle se vide à chaque contraction incontrôlable de mon vagin du trop plein de jus dans ma raie des fesses vers mon trou du cul.
Je regagne ma chambre enchantée au-delà de mes espérances de l’amant extraordinaire que je viens de découvrir.
Quelques jours plus tard je lui fais découvrir les plaisirs de la sodomie. Après un début de nuit lubrique je lui explique qu’un homme peut aussi prendre une femme par une autre ouverture beaucoup plus étroite et lui fais voir mon joli derrière, il est tout étonné et me rétorque en regardant mon petit œillet brun et fripé que son engin ne pourra jamais rentrer dedans. Je lui dis qu’il a un accès libre à l’objet de ses convoitises. Mon anus est dégagé, graissé et prêt à subir ses assauts mais je ne veux pas subir. Je prends doucement son pal et le dirige vers le centre de mon cul. J’ai un peu peur et je ne veux pas qu’il m’éventre. Je ne vais pas lui laisser l’initiative et vais m’enculer sur son gros machin tout en douceur
Je l’attire à moi, il se rapproche. Je le sens bien obéissant. Après tout, c’est moi qui accepte la sodomie alors il me laisse carte blanche. Ma main presse sa queue raidie. Je pose l’extrémité de son gland sur ma rosette fripée et entreprends de me l’enfiler dans l’anus. L’intromission commence. Tout d’abord, le gland est très gros. Il y a une telle différence de taille entre son gland et ma rondelle. Il n’a aucun rapport de volume avec mon anus. Jamais cela ne rentrera, malgré le mélange de ma mouille et de son sperme mêlé qui enduisent ma muqueuse anale. Je présente à tâtons, le bout de son gland sur le centre de mon cratère. Je recule mon cul vers ce pal tendu et je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir.
Henri me guide et me conseille : ¬- Pousse comme si tu allais à la selle …. Je voudrais bien le voir à ma place… Je sens la chaleur de sa queue contre mon anneau. Les larmes coulent sur mes joues mais cette fois ci ce ne sont plus des larmes de plaisir mais de douleur. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi. Curieusement, le début se déroule plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus. Je suis inquiète. Je me retourne et par dessus mon épaule je lui jette un regard apeuré. J’ai peur qu’il me fasse mal de par son inexpérience. Il s’arrête et me demande : ¬ – Ça va ? Je ne te fais pas trop mal ? ¬ – Non… mais va doucement… Et j’espère que tu vas me faire du bien… Il ne bouge plus. Il laisse le temps à mon sphincter de se détendre. Mon cul se dilate comme par enchantement. D’un petit coup de reins, je lui fais comprendre qu’il peut continuer à me pénétrer. Doucement, il pousse d’un mouvement régulier sans aucun arrêt. Inexorablement et surtout sans aucune brutalité, sans forcer sur ma rondelle, son monstrueux sexe avance, dilate, perfore mon cul. Ses mains, crochetées sur mes fesses, m’ouvrent l’anus facilitant l’intromission.
Il me pénètre inexorablement. Je pousse, lui aussi, nous poussons tous les deux pour la réussite de notre entreprise. Je m’ouvre, il entre… consentante, j’éprouve un délicieux sentiment de plaisir à être forcée. Je suis en train de subir le pire des supplices, celui du pal et quel pal!!! J’y prends un certain plaisir.
Mais je constate, preuve à l’appui que le supplice peut aussi être un délice. Je me fais empaler et je trouve cela bon et agréable… Il pousse toujours et bonne élève, je l’aide de toutes mes forces. Je ne vois pas où il en est dans mon enculage. Je tourne la tête et regarde notre reflet dans la glace fixée au mur. Je vois aussi, non sans une certaine crainte que le sexe monumental d’Henri est loin d’être totalement entrer dans mon fondement. Heureusement que j’ai des heures de vol autrement comment mon petit cul n’aurais pu absorber un tel morceau ! Et cela n’est pas fini, vu qu’il en reste un bon bout en dehors. Croisant mon regard dans la glace, il s’enquière de ma condition : ¬ – Ça va toujours ? Je n’ai jamais ressentis ça, ma queue est complètement broyée par ton petit trou. Ça te plait par là aussi? – Oui bien sûr mais tu es tellement énorme, mais je vais quand même tout avaler ce que tu me proposes… ¬ ¬
C’est bon, fort, très fort mais délicieux. La lente mais inexorable poussée continue, jusqu’au moment où je sens le contact de ses couilles sur ma chatte. Cette fois, il est entré, tout entré. Il reste immobile quelques instants, pour que ma rondelle accepte la dimension de son mandrin. Il est entré entièrement en moi !!! Je me fais enculer en levrette sur le lit par Henri au sexe démesuré. Je sens son énorme verge au plus profond de moi et j’y prends beaucoup de plaisir.Pendant plusieurs mois nous continuâmes nos ébats jusqu’au jour ou Julien nous surpris. Ce qu’il en découla? Des parties à cinq avec mes trois hommes, mon beau-père, mon cousin et jean permettant de combiner de nouvelles poses voluptueuses.
Un de mes amants me mit enceinte et quelques mois plus tard j’accouchais d’un fils ; Patrick, mais qui était le père de Patrick?
Les années s’écoulèrent. Beaucoup plus tard je fus mise au courant de la renommée de mon rejeton, et je crois vu son appétit sexuel et ses performances exceptionnelles, (un cas médical rare), qu’il est le fils d’Henri plutôt que de mon beau-père. Enfin…un MEMBRE (dans les deux sens du terme) de la famille.
Julien confia Patrick à un couple d’ami qui partageait certaines soirées très spéciales et ne pouvait avoir d’enfants, j’ai été triste de l’abandonner mais avec la vie assez dissolue que je menais, c’était la meilleure des solutions.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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