Les auto stoppeurs
Comment rendre service, est bien récompensé !
Histoire fantasmĂ©e d’un voyageur…
Proposée le 9/01/2017 par cupidon Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
L’avion vient de se poser, je poussais un soupir de lassitude, la semaine avait été dure et j’étais content de rentrer chez moi-même si personne ne m’y attendait.Je débarquais dans les premiers passagers et je filai récupérer mon bagage. Dans la salle, tout en attendant avec impatience mes affaires, je regardai mes éphémères compagnons de vol.Je fus attiré par une superbe fille brune aux cheveux longs, vêtue d’un jean moulant et d’un débardeur à fines bretelles sous lequel dardaient deux insolents tétons. Elle était accompagnée d’un jeune éphèbe blond qui consultait un guide de voyage, l’air embarrassé. Il dit quelques mots à sa compagne qui eut l’air excédé. Elle regarda autour d’elle, m’aperçut et se dirigea vers moi.
Excusez moi, nous cherchons le camping du cèdre bleu
Je le connais, il est à une dizaine de kilomètres d’ici sur la route qui longe le lac, il faudra prendre un taxi pour y aller, le bus part vers la ville.Elle fit la moue, ce qui la rendit encore plus attirante et m’expliqua que le budget de leurs vacances était compté et que cette dépense n’était pas prévue.
Profitant de l’occasion, je me proposai de les dĂ©poser puisque je passai devant pour rentrer chez moi. Elle accepta avec joie et hĂ©la son ami.Les bagages rĂ©cupĂ©rĂ©s et chargĂ©s, nous prĂ®mes la route. Elle s’assit Ă cotĂ© de moi et se mit Ă me raconter leur projet de sĂ©jour, ignorant tout Ă fait son compagnon jusqu’à l’arrivĂ©e devant le camping. Elle s’aperçut la première qu’il Ă©tait fermĂ© en ce dĂ©but de saison, et s’en prit alors vertement Ă son ami qui penaud ne savait plus que balbutier une suite d’onomatopĂ©es.Bon prince et surtout sĂ©duit par la beautĂ© de la diablesse, je leur proposai de les hĂ©berger cette nuit, ce qu’elle accepta aussitĂ´t sans daigner demander l’avis du blondinet.ArrivĂ©s chez moi, je les dirigeai vers la chambre d’amis et leur donnai les draps et couvertures pour qu’ils puissent s’installer. Je leur proposai un verre et un petit quelque chose Ă grignoter, la fille refusa presque sèchement et invoqua une subite fatigue pour pouvoir gagner son lit.Je les saluai et me rendit un peu déçu dans ma chambre, tout en jalousant Rodolphe (l’Ă©phèbe blond) qui allait caresser et mĂŞme faire l’amour Ă Julia (la diablesse brune) … Ă condition qu’il rĂ©ussisse Ă calmer sa mauvaise humeur.Comme d’habitude je me mis nu (je ne dors jamais autrement), je commençai Ă caresser mon membre excitĂ© par cette superbe femelle sexy. Je me calmais rapidement, frustrĂ© par une pauvre masturbation alors que j’avais imaginĂ© (sottement, j’en conviens) une soirĂ©e plus chaude !
FatiguĂ©, je sombrais rapidement dans un profond sommeil.Le bruit de la porte me rĂ©veilla, j’ouvris les yeux un peu hĂ©bĂ©tĂ© et Ă la lumière de la pleine lune j’aperçus une fille qui s’approchait. Tout Ă fait Ă©veillĂ© par cette vision je vis Julia nue devant moi. Elle se pencha, alluma la lampe de chevet, manipula le variateur pour obtenir une douce lumière, rĂ©vĂ©lant ainsi un corps sublime. Je n’avais pas souvent vue une aussi belle fille, jambes longues et musclĂ©es, peau mate, cheveux noirs tombant sur ses Ă©paules fines. Ses seins Ă©taient superbes, de petite taille, dĂ©licieusement fermes et ronds. Les tĂ©tons Ă©taient gros et longs majestueusement dressĂ©s. Son minou Ă©tait très poilu (j’adore…) et formait un triangle touffu dont je devinais la forte odeur.Elle Ă©carta la couverture et murmura « superbe, tu bandes dĂ©jà » tout en s’agenouillant sur le bord du lit et en prenant ma queue en bouche. Ce fut dĂ©licieux, elle suçait fougueusement puis lentement, passait sa langue le long de mon membre puis l’enfournait intĂ©gralement avant de jouer avec mon gland.Je voulus me glisser entre ses cuisses pour humer et lĂ©cher sa chatte, mais elle arrĂŞta aussitĂ´t sa fellation. « Baise moi, maintenant et fort » m’intima-t-elle ! ». Elle se mit en levrette et pris ma bite en main pour la guider dans sa chatte. Elle Ă©tait Ă©troite et humide, son odeur de femelle excitĂ©e m’arrivait Ă chaque coup de queue augmentant sans cesse mon dĂ©sir. Elle se mit Ă gĂ©mir puis Ă crier de plus en plus fort et au rythme de mes assauts, j’alternais des mouvements profonds et lents et des coups plus rapides. J’admirais son petit cul ferme, j’y passais les mains, j’insinuais les doigts Ă proximitĂ© de son anus. Je sentais la toison qui ornait son petit trou et je bandai encore plus fort. J’accentuai la pression de mon index et je pĂ©nĂ©trai sans trop forcer sa rondelle, elle cria encore un peu plus tout en poussant son cul vers moi, je la pĂ©nĂ©trai au plus profond de ma queue et de mon doigt et nous explosâmes tous les deux. VidĂ©s, Ă©puisĂ©s, nous nous sommes laissĂ©s tombĂ©s sur le lit ma queue encore raide dans son vagin.Quelques minutes se sont Ă©coulĂ©es, je lui demandai :
Que vas penser ton mec, tu l’as droguĂ© ?
Ce n’est pas mon mec, comme tu dis ….
….
C’est un pote et il n’aime pas les filles
Homo ?
Et oui, pas de chance pour moi, j’aime le cul et je pars en vacances avec un garçon qui aime les hommes !
Pas de chance … sauf pour moi
Lèches moi, j’ai du retard Ă rattraper ….Je m’exĂ©cutai immĂ©diatement et j’enfouis mon visage entre ses cuisses laissant ma bite au dessus de ses lèvres avec l’espoir d’une nouvelle fellation !Nous commençames alors un long Ă©change de caresses buccales, je faisais courir ma langue sur ses lèvres, remontant doucement sur toute la longueur de sa fente, m’attardant sur son clitoris. Elle sentait très fort, l’odeur Ă©tait dĂ©licieusement Ă©rotique, je bandais Ă en avoir mal. Au bout d’un moment mes caresses se prĂ©cisaient et je happais son petit bouton, elle eu plusieurs spasmes de jouissance et Ă©jacula contre mon visage. Elle Ă©tait de ses rares filles Ă avoir l’orgasme aussi copieux, elle avait vĂ©ritablement inondĂ© mon visage. Elle avait lâchĂ© ma queue pour exprimer bruyamment son plaisir, elle me fit dĂ©gager de son corps. Elle prit ses jambes avec les mains et bascula son bassin vers l’arrière.
Encules moi, tu l’as bien mĂ©ritĂ©,Je ne me fis pas prier et j’approchai mon gros gland de son petit trou humide. J’appuyai doucement et je la pĂ©nĂ©trai sans effort jusqu’Ă ce que mes couilles touchent ses fesses. A nouveau, j’attaquais ce dĂ©licieux va et vient profitant de ce cul offert et de la vue de cette superbe femelle, seins dressĂ©s, chatte humide, haletant puis criant encore de plaisir. Je jouis en elle, vidant mon sperme dans une extase rarement atteinte.
Je ne me souviens de rien ensuite, ni comment je suis sorti de son cul, ni comment je me suis retrouvĂ© tĂŞte bĂŞche avec elle endormi ma tĂŞte entre ses cuisses et la sienne entre les miennes.Je me suis Ă©veillĂ© ainsi, Ă©merveillĂ© par l’odeur qui exhalait d’elle et par la vue de son corps. J’ai bougĂ© doucement pour ne pas la dĂ©ranger et je suis aller boire un peu d’eau Ă la cuisine.
Il faisait encore nuit et je manquais de peu Rodolphe qui Ă©tait lui aussi debout dans l’obscuritĂ© du couloir. Il poussa la porte de la chambre d’ami et m’attira Ă l’intĂ©rieur. Sans un mot, il commença Ă me toucher les bras, puis les Ă©paules, il avança une main vers mon ventre, se hasarda sur mon pubis. Son autre main effleura mon membre mou puis se saisit de mes testicules, je me mis Ă bander fortement. Je n’avais jamais Ă©tĂ© touchĂ© par un homme et j’Ă©tais excitĂ© par ce contact. Moi aussi je le touchais, il Ă©tait torse nu, ma main entra dans son caleçon et saisit sa bite tendu. Sa queue Ă©tait dure, il Ă©tait intĂ©gralement rasĂ©, ses couilles Ă©taient lisses. Je glissai un doigt entre ses fesses, sa raie aussi Ă©tait soigneusement Ă©pilĂ©e. Curieux couple, la fille avait chatte et cul poilue et lui Ă©tait sans un poil !Il se mit Ă genoux et engloutit ma bite enflĂ©e. J’Ă©tais imprĂ©gnĂ©e de la forte odeur de Julia, mais Rodolphe ne semblait pas dĂ©rangĂ© par ces remugles de femelle en chaleur.Je n’y tins plus et je le poussai vers le lit, je passai sur lui Ă©cartant ses jambes pour avaler sa queue tout en lui prĂ©sentant Ă nouveau la mienne. Cette double fellation m’excitait, je n’avais jamais sucer une bite et je m’acharnais sur la sienne. Il bougeait son bassin en rythme et rapidement, il abandonna mon dard pour gĂ©mir Ă son aise et se vider les couilles dans ma bouche. Il ne s’Ă©tait pas toucher depuis longtemps si j’en juge par la quantitĂ© de sperme que j’avalais.SpontanĂ©ment, il se mit en levrette et Ă©carta ses fesses avec ses mains, je regardai son trou de cul glabre avant de le lĂ©cher pour le lubrifier un peu. J’approchai mon gland ; un mec lubrifie moins qu’une fille et il fallut que j’insiste pour entrer (je n’ai pas une queue monstrueuse, mais elle est Ă©paisse). Je ressortit mon engin et prenant Rodolphe par les cheveux, je lui fit Ă nouveau sucer la bite qui venait d’explorer son cul après avoir visiter la chatte et le cul de Julia. Il me suça avec entrain et force salive.J’humectai ensuite son trou de cul avant d’y remettre ma bite Ă©paisse. Bien graissĂ©, je me mis Ă aller et venir avec facilitĂ©. Je passais la main sur ses couilles et je fus surpris de le sentir Ă nouveau bandĂ©… manifestement il aimait se faire enculer. Je me vidai en lui (je ne devais plus avoir grand chose) dans un cri de jouissance.Mes deux auto stoppeurs ont finalement passĂ© leurs vacances chez moi et les jours et les nuits furent torrides !© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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