Les aventures de Patrick. Ma toute première expérience sexuelle.
Pour mes fidèles lecteurs(trices), vous avez suivi mes aventures. Mais il faut revenir au commencement.
J’ai connu mes premiers émois en colonie de vacances avec une monitrice. Et comme on dit- La valeur n’attend pas le nombre des années…
Proposée le 31/12/2020 par mlkjhg39 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Je vous ai raconté ma première vraie expérience sexuelle avec une couguar- Claude quand j’avais quinze ans.
Mais en réalité, mes premiers émois sexuels, je les ai connus en colonie de vacances quand je venais d’avoir treize ans, mais physiquement j’en faisais quinze et assez précoce question puberté.
Je suis en colonie dans un petit village dans une ancienne ferme aménagée. Dieu sait pour quelle raison mes parents ont eu la fichue idée de m’envoyer en camp de vacances. J’ai passé les premiers jours en solitaire, parlant peu avec mes camarades de chambre, montrant peu d’entrain durant les activités et repoussant les pathétiques avances des gamines de douze ans.
Je préfère espionner Laure et Yannick, deux moniteurs, qui dès qu’ils en ont l’occasion se font des « câlins », enfin vous voyez ce que je veux dire. Justement Yannick, de surveillance au dortoir le soir, me surprend en train de me branler dans mon lit, il s’assoit sur le lit à côté de moi et tire le drap découvrant ma verge d’une vingtaine de centimètres sur cinq de diamètre et deux bourses gonflées. Il la saisit entre ses doigts et tire dessus en décalottant le gland, sans aucune gène.
Il me recouvre ensuite du drap et éteignant la lumière me souhaite bonne nuit et retourne voir Laure, l’une des quatre monitrices. Je me lève et le suis en silence.
Laure est assise sur son lit à l’attendre, il se déshabille devant elle avec une certaine perversion, lui permettant de bien le regarder.
Puis il s’approche d’elle et pose son gland sur ses petites lèvres qui s’ouvrent et pousse sa verge dans la chaude petite bouche puis ils font l’amour pendant quelques minutes
Il fait des allers et retour de plus en plus rapidement jusqu’au moment où, lui présentant son chibre devant son visage, il explose dans sa bouche, tout en lui disant de toute avaler, ce qu’elle avait commencé de faire avant même qu’il le lui demande.
Une fois finit, il attend que sa verge perde son érection et se retire. Laure a un grand sourire, apparemment ça lui a plu à elle aussi. Yannick lui déclare.
– Je viens de surprendre Patrick en train de se branler, l’un des nouveaux de cette année, tu ne devineras pas ce que j’ai vu, ce gamin est monté comme un âne. Il m’a foutu la honte de ma vie. Il faut que tu voies ça! Laure lui répond. – Tu sais, la taille ne fait pas tout, comme on dit, il vaut mieux une petite courageuse qu’une grosse fainéante et à son âge c’est de « l’éjaculateur précoce! » – Voila ce que tu vas faire, rétorque Yannick, tu vas………………
Mais je suis dérangé et dois regagner mon lit.
Quelques jours plus tard, nous partons faire du camping, nous couchons à quatre par tente, Laure nous dit qu’il faut qu’un mono dorme sous chaque tente pour des raisons de « sécurité » et qu’elle a été « désignée » pour la nôtre vu qu’il y a plus de monitrices que de moniteurs. Au moment du déshabillage malgré notre gène, elle nous observe sans vergogne lorsque nous retirons nos slips pour passer un pyjama. La nuit ne fait que commencer. Soudain elle nous demande: – Je voudrais savoir si vous êtes bien fait, allez les garçons, levez-vous ! – Qu’est-ce que tu veux dire ? demande Jules.
– Rien de mal, les garçons, au contraire, je veux voir si vous avez de belles bites, allez laissez vous faire, n’ayez crainte vous êtes en de bonnes mains! Nous rassure Laure.
– Mais, tu n’as pas le droit ! répond Jean. – Mais, je veux seulement voir si vous avez de beaux sexes les garçons ! Rétorque-t-elle. – C’est quand même surprenant comme demande, tu en conviendras? réplique Paul éberlué.
– Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi ? répond Laure tout en décroisant ses jambes.
– Tu te rends compte, tu nous demandes qu’on te fasse voir nos sexes, mais c’est contraire à la morale ! lance André.
– C’est vrai ça, je renchéris.
– Mais, moi, j’ai une envie soudaine de voir vos petites queues, j’ai envie de les voir!
Elle plonge ses deux mains dans les pyjamas, évalue la grosseur des sexes avec ses doigts, retire ses mains et enlève simultanément les pantalons de Paul et Jean puis s’occupe du mien et de celui d’André, on se retrouve dans le plus simple appareil devant Laure.
– Et bien mes garçons, je peux dire que vous êtes pas mal montés pour votre âge, même si toi mon petit André c’est un peu léger, par contre toi Patrick, tu sors largement vainqueur, quel bite, c’est la plus grosse de la colonie, foi d’experte en la matière! S’exclame Laure, puis d’un coup elle s’agenouille à nos pieds.
– Bon, j’espère que là c’est fini? C’est pas possible ça! S’emporte Jean quand Laure caresse sa verge avec sa main gauche et de la droite branle André. Mais au bout de quelques instants.
– Ah, c’est pas possible arrête! J’ai la queue toute dure ! S’offusque Jean.
– Oh, moi aussi, j’ai la queue toute enflée, je ne dis pas non maintenant, mais alors, rien qu’une petite pipe! Renchérit André à Laure en train de branler de plus en plus fort leur bite.
– Ne vous en faites pas, je vais vous faire découvrir ce que veut dire fellation ! Nous informe Laure continuant à branler les verges juvéniles.
Elle se tourne vers moi et Paul, accroupie à nos pieds elle attrape nos bites qui ont commencé à enfler à la vue de ce qu’elle fait subir aux deux autres. En un rien de temps, nous nous retrouvons les quatre la queue en l’air. Elle se met à sucer goulûment, allant de bite en bite, sans jamais avoir les mains vides.
Les mains toujours alertes s’affairant avec la même ardeur à sucer nos queues juvéniles avec envie et délectation, Laure nous avoue :
– Oh, qu’elles sont bonnes vos queues les garçons, qu’elles sont belles et bonnes mais putain Patrick, ta queue n’arrête pas de s’allonger, elle est déjà beaucoup plus grande que celle d’un homme lambda, et quelle grosseur, c’est monstrueux, je n’ai jamais vu ça!
Et elle continue en s’occupant en même temps de trois d’entre nous, passant d’une bite à l’autre, une dans chaque main et la troisième dans la bouche.
– J’aime trop ça, oh oui!
– C’est vrai que tu suces bien, reconnait Jean tout en nous regardant, c’est la première fois qu’on me fait ça !
– T’as raison! souligne André, dire que c’est la première fois qu’une femme me suce, oh, quel pied !
– Oh, c’est vrai, je ne pensais pas qu’un jour …? Oh, Laure, va moins vite…. Oh je sens quelque chose qui monte ! Grogne Paul, tout excité expulsant quelques gouttes de sperme qui coulent sur la main de Laure.
– C’n’est pas grave ça, Paul, tu jouis, c’est normal, je te donne du plaisir. Et elle passe à ma queue.
– Oh, c’est vrai qu’elle est bonne, oh quelle salope! Je murmure. C’est pas possible, Laure est en train de me sucer mon chibre.
– Putain que t’es gros, je dois ouvrir ma bouche au maximum pour te gober, allez, allez viens, jouis Patrick, je veux goûter ton sperme ! Ordonne Laure tout en continuant à branler mon sexe.
Ma queue me fait mal tellement elle est dure. Mais comme je ne jouis pas, déçue elle passe à Jean et reprend sa fellation.
– Oh, je jouis, oh ce que tu vas prendre ! Oh j’ai les couilles pleines depuis le temps que je l’espérais, cette première fois ! s’écrie Jean, qui éjacule avec force deux belles giclées sur le visage de Laure.
– Oh, qu’il est bon et chaud ton sperme, je m’en délecte. Avoue Laure, tout en continuant à me branler ainsi qu’André qu’elle prend en bouche.
– Oh, Laure, je vais jouir, moi aussi, oh, je vais t’inonder le visage, tiens prends ça! Oh qu’est-ce que tu suces bien, bordel ! Siffle André en train de décharger sur son visage déjà souillé.
– Oh, les garçons, qu’elles sont bonnes vos queues, j’ai encore envie de vos bites!
Elle attrape mon gourdin à pleine main, ses doigts serrant comme ils le peuvent la base de ma verge et la branle en le tirant vers le bas pour mieux apprécier sa raideur. Elle commence à sucer ma queue extrêmement dure, les yeux fermés, tout en s’émerveillant de la rigidité fabuleuse de cet engin. Quelle intense ivresse érotique, elle suce le bout de ma verge, frottant ses lèvres uniquement sur la couronne du gland. Ce massage terriblement voluptueux devient très vite insupportable. Après cinq minutes d’une intense fellation, je mets mes deux mains dans sa chevelure ,l’obligeant à enfourner pratiquement la totalité de ma bite en extension maximum, en lui bloquant le visage contre mon pubis pour que l’excitation retombe. La contraignant à garder la totalité de ma longue queue dans sa bouche, le gland enfoncé au plus profond de sa bouche.
(Je viens de réaliser qu’avec de la volonté, j’arrive à dominer l’envie irrépressible de jouir.)
Je sens ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux. Je relâche ma pression sur sa nuque et elle en profite pour se rejeter vivement en arrière, crachant mon gros chibre qui lui obstruait la gorge. – Ouah !… Quel morceau, s’exclame-t-elle, les commissures des lèvres luisantes de salive… Tu as bien failli m’étouffer…Je n’ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin. Tu sais que tu es rudement bien monté pour ton âge, que dis-je, tu es bien membré tout court, tu es tellement gros que j’ai eu de la peine à te prendre en bouche. Et tu tiens la distance mon salaud, et elle replonge sur mon nœud.
Comprenant aux gémissements que je pousse, que j’approche de l’orgasme libérateur, Laure accélère alors sa voluptueuse fellation. Tout en suçant uniquement le gland incroyablement dilaté, elle branle d’une main habile la partie de la queue qui se trouve hors de sa bouche. Ces deux caresses simultanées m’amenant à l’extase finale. Sous ce soudain changement de rythme et de caresse de Laure, je sens que je ne vais pas pouvoir retenir ma jouissance plus longtemps et je crie dans un dernier sursaut… – Je viens !… Aaarrhhh… Aaaahhhh….
Dans un grognement inhumain où se mêlent plaisir et crainte, en proie à une jouissance phénoménale, je décharge à longs jets dans la cavité buccale de ma suceuse une quantité effroyable de foutre, je n’ai jamais connu ça dans mes joutes solitaires, tandis que tout mon corps se tétanise de la nuque aux pieds. Pressentant l’imminence de l’éjaculation, elle a refermé ses lèvres autour de mon gland. Aussi lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappe le palais elle n’est pas surprise. Elle bloque sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillit du gland soubresautant, et un troisième puis un quatrième. Le sperme encore fluide s’agglutine au fond de son gosier. Les jaillissements suivants perdent enfin de leur force s’écoulant mollement du gland assagi engluant sa langue. Laure recrache mon gland avalant avec volupté mon nectar puis s’exclame: – C’est pas possible, tu es un véritable étalon et tes couilles sont inépuisables, j’en avais plein la bouche. Putain, qu’est-ce qu’il m’a mise! C’est pas une bite qu’il a ce gamin, c’est une vrai lance à incendie et regardez votre camarade les garçons! Il bande toujours ! Ben mon cochon. Tu en avais une sacrée réserve. C’est toujours comme ça quand tu jouis ? Tes décharges sont toujours aussi abondantes ? Et en plus ta bite est toujours disponible et dure comme un roc, t’es un cas!
Les autres me regardent, la bite en berne, pendant que Laure en profite pour retirer son tee-shirt nous montrant ses seins. Elle retire son soutien-gorge, et affiche une poitrine d’une grande générosité. Ils sont magnifiques. Ils ne tombent pas du tout malgré leurs masses.
Laure tend sa main et prend entre ses doigts ma verge turgescente pour la frotter sur ses mamelons. Doucement, j’avance ma main et englobe l’autre sein, le caressant, sentant la pointe durcit à son contact. Les trois autres ne voulant pas rester inactifs, se mettent à la caresser en se branlant pour redonner vie à leurs queues.
Laure hurle de plaisir sous toutes ses caresses, jouissant à plusieurs reprises.
En quelques minutes ils la couvrent à nouveau de leurs semences et leurs queues redeviennent molles. Mais moi comme je viens d’éjaculer il n’y a pas si longtemps je n’arrive toujours pas à jouir, elle me dit alors de me coucher sur le dos et se mettant à cheval au dessus de moi, écarte sa culotte et s’empale en entier sur mon engin et s’astique comme une folle dessus, la sensation que je ressens alors est incroyable et en quelques minutes, je lui remplis la chatte de copieuses rasades de mon foutre.
Quand elle se retire de ma verge, un flot de sperme s’échappe de sa matrice et coule sur mon ventre ou ma virilité toujours vaillante cache mon nombril en retombant. Mon sexe s’est à peine rétracté.
– Putain mais tu ne débandes donc jamais? S’écrie t’elle en riant et elle me reprend en bouche pour me conduire à ma troisième jouissance qui est longue à venir après les deux précédents épisodes. Dépités, les trois autres n’arrivant plus à bander, ont regagné leur sac de couchage et nous regardent avec envie et jalousie. Je me concentre pour faire durer le plus longtemps possible, retenant mon éjaculation. Sentant mes couilles sur le point d’exploser, je retire de sa bouche en feu mon engin et me mets à gicler. Mes jets sont puissants, épais et nombreux. Elle se pince les tétons des deux mains pendant que je l’inonde copieusement. Mon premier jet est si puissant qu’il passe au-dessus de sa tête, pour aller s’écraser sur la toile de tente. Elle s’extasie : – Oh mon Dieu, t’es pas possible! Laissant sa bouche grande ouverte, un second jet copieux arrive en plein dedans puis finit sur son nez. Elle ferme les yeux, dégustant mon épaisse purée, d’ autres jets lui arrivent dans les cheveux, sur le front et dans l’œil gauche, puis d’ autres encore sur le cou, sur les seins, me tarissant enfin sur son ventre …Elle souligne ma performance, s’essuyant le visage: – Je me suis déjà faite pas mal asperger par quelques gros jouisseurs bien excités mais là, j’ai vraiment l’impression qu’un régiment entier vient de m’éjaculer dessus. Et j’adore ça… Et moi qui craignais que tu ne sois un éjaculateur précoce!! – Et dire que tu es inexpérimenté. Dans quelques années, un jeune mâle comme toi, avec une bite aussi fantastique qui reste si longtemps bandée une fois qu’elle est dans la chatte d’une fille va faire un malheur…Houlà! Tu vas en faire monter au rideau des tas et les faire gueuler de plaisir. Elles vont se battre pour être admises dans ton harem.
Quand soudain, le directeur de la colonie entre dans la tente, horrifié par la scène qu’il surprend. Nous avions fait tellement de bruit que quelqu’un était allé le prévenir.
Laure fut renvoyer sur l’heure et je ne sus pas ce qu’il lui était arrivée après.
Quand à nous quatre, on dut écourter notre séjour et rentrer chez nous.
Mais quel souvenir!!!!…………..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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