Plaisir à l’église
Alors que nous nous baladions dans la nature, nous trouvons, caopine et moi, une petite église isolée dans la montagne. J’ai eu alors droit à une magnifique et mémorable fellation !
Proposée le 6/01/2019 par Aramis31 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Histoire vraie
Tout d’abord une description d’Ellena, ma copine de l’époque. Elle était assez petite, avait de grand yeux noisettes et une chevelure de feu. Et bien qu’elle avait quelques kilos en trop, cela ne gâchait en rien ses formes généreuses et son appétit sexuel. En effet c’était une fille très portée sur le sexe et son éducation catholique avait, paradoxalement, fait naitre en elle un besoin sexuel important, une vraie nymphomane. Agée de 18 ans elle avait déjà connu avec moi de nombreuses expériences sexuelles. Nous étions donc en vacances chez sa grand-mère lorsque cette histoire arriva.
Nous étions dans un petit village des Pyrénées-Orientales durant le mois d’août et la chaleur était infernale. Surtout qu’Ellena adorait me narguer en se baladant avec des tenues légères devant sa grand-mère. Ce jour-là nous avions décidé de visiter une église perchée dans les hauteurs de la montagne. Le frère d’Ellena, de deux ans plus jeune, avait insisté pour nous accompagner et ce fut à contrecœur et sous ordres de sa mère qu’elle du accepter. Je compris rapidement pourquoi Ellena ne voulait pas de lui lorsqu’elle vint dans la chambre où je me préparai et me susurra :
– Dès qu’on est que tous les deux je te suce la queue.
Ellena adorait me parler comme ça car elle savait l’effet que ça faisait chez moi. Elle me lança un magnifique sourire en empoignant mon sexe qui commençait déjà à se dresser.
Après avoir attendu que mon érection se calme, je partis rejoindre dehors Ellena et son frère. Tout le long du chemin nous attendions dans une puissante tension sexuelle le moment où son frère nous laisserait enfin seul, en vain. Il ne nous quitta pas d’un centimètre durant toute la montée, ce qui énerva fortement Ellena.
Au bout d’une heure marche nous arrivâmes enfin à la fameuse église toujours en activité. Quelques touristes s’étaient assis dans un jardin qui côtoyé l’église et des gens entraient et sortaient du bâtiment. L’église n’était pas très grande mais il y avait de place pour contenir plusieurs bancs et deux confessionnaux. C’est alors que je vis un large sourire se dessiner sur le visage d’Ellena à la vue des isoloirs. Pourtant, au vu de son éducation catholique et du fait qu’elle était croyante, je la pensais incapable de faire une chose pareil, je chassai donc cette idée de ma tête, résigné. De plus, son frère était toujours avec nous et d’autres visiteurs étaient présents.
C’est alors que dehors des cris de stupeur retentirent. Je vis certains visiteurs sortir de l’église pour aller voir ce qu’il se passait. Un miracle se produit ! Le frère d’Ellena demanda la permission pour aller voir. Ellena n’hésita pas une seconde et lui accorda. Dans une montée d’adrénaline je regardai tout autour de moi pour trouver la moindre présence, personne. Quelqu’un prit alors ma main et je me sentis tiré vers l’un des confessionnaux. Ellena me regarda, les yeux remplient de malice sexuelle. Je compris alors qu’elle était capable de tout pour le sexe. Elle ouvrit l’isoloir et nous entrâmes à l’intérieur. Un peu à l’étroits, elle vint s’assoir sur moi et se jeta sur mes lèvres. Sa main vint directement sur la bosse que formait mon pantalon et déboutonna mon short.
– J’ai envie que tu me baises maintenant ! chuchota-elle doucement.
– T’es certaine ? Et si ton frère revient ?
Elle prit son portable et envoya un message frénétiquement.
– Je lui ai dis qu’on était reparti à la maison et qu’on l’attendrait là-bas.
Elle rangea son téléphone et reprit avec passion.
– T’avais pas dis que tu me sucerais au fait ? lançai-je avec défi.
J’avais envie de voir comment elle se débrouillerait dans une espace aussi restreint.
– Oh mais t’inquiète pas pour ça !
Elle réussi à s’agenouiller devant moi entre mes jambes et me lança un regard de victoire. Je baissai maladroitement mon short et mon boxer. Elle prit mon sexe dressé avec envie et entama une fellation en me léchant avidement la queue. Elle rempli ma hampe de salive en faisant jouer sa langue et en titillant mon gland. La sensation est si plaisante que s’en est presque insupportable. Elle ouvre alors sa bouche et fais entrer petit à petit son sexe. Je sens la chaleur de sa langue et de sa gorge autour de ma queue alors qu’elle fait des va-et-vient. Ma main passe dans ses cheveux et appuie sur sa tête pour lui donner le rythme. Le silence est total dans l’église, le seul bruit est celui de mon pénis baisant sa bouche de plus en plus fort. J’entends alors quelqu’un rentrer dans l’église et parler doucement de l’architecture. Je souris en me disant qu’en ce moment même je fais sucer dans le confessionnal pas loin de l’entrée. L’euphorie me fait appuyer encore plus sur la tête d’Ellena pour qu’elle aille toujours plus loin. Je sens l’orgasme arriver et je me mords la main pour me retenir de gémir. Je vois les yeux clairs de ma copine me regarder avec envie et sensualité alors qu’un mélange de salive et de liquide pré-séminal coule à la jointure de ses lèvres. Elle continue de me pomper passionnément le gland lorsque je sens le sperme monter le long de mon sexe. Connaissant Ellena je sais qu’elle adore que j’éjacule dans sa bouche mais n’avait jamais voulu avaler. Je rempli alors sa bouche de foutre tandis qu’elle ralenti la cadence. Mon sexe palpite sous sa langue qui vient recueillir la semence. Elle retire alors mon sexe de sa bouche et ouvrit grand. Je vis le liquide blanc glisser sur sa langue puis elle avala d’un coup. Du bout des doigts elle récupéra le peu de sperme qui coulait sur ses lèvres et le lécha sensuellement. Ce fut la seule fois où elle avala. A cette image mon sexe se durcit à nouveau.
– Désolé trésors, me chuchota-t-elle, mais il va falloir y aller. Je te viderais une prochaine fois.
Abasourdi et confus, je remontai mon short et nous sortîmes de l’église.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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