Les circantances font que… 2 (Histoire vraie)
Paul Ă surprit sa femme et Juliette Ă demi-nues enlacĂ©es sur le canapĂ©, il l’a giflĂ©. Elle tente de se racheter, mais Paul n’est pas dupe, il lui dit qu’elle va payer son infidĂ©litĂ©,
Proposée le 10/10/2022 par linsee Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Mariette n’est pas rassurĂ©e, elle tente de se justifier tant bien que mal :-Tu sais Paul, c’est arrivĂ© naturellement, rien n’a Ă©tĂ© prĂ©mĂ©ditĂ©, l’amour que nous avons l’une pour l’autre a grandi au fil des jours, il est bien rĂ©el, je t’assure !
-Nous avons résisté longtemps, mais, la tension dans notre corps était trop forte, tu connais la suite !
-Nous ne pouvons plus nous passer l’une de l’autre, que comptes-tu faire !Un peu dĂ©pitĂ© par cette rĂ©vĂ©lation, Paul regarde Ă tour de rĂ´le les deux femmes et dit d’un ton solennel :-Je n’ai pas encore pris de dĂ©cision, mais je vous demande de continuer ce que vous faisiez avant mon arrivĂ©e !Les deux femmes restent sans voix, un petit moment, c’est Juliette qui parle la première :
-Si je comprends bien, tu souhaites que Mariette est moi, nous faisons l’amour devant toi ?-Tu comprends vite, aller, ne me faites pas languir !
-Par contre, tu embrasses bien !Juliette hausse les Ă©paules, et s’approche de Mariette, les deux amies se regardent, Juliette dit :-Je crois que nous lui devons bien ça, qu’en penses-tu mon amour?!Mariette hausse les Ă©paules d’impuissance, et accepte la demande de son mari. C’est un peu gĂŞnĂ© de la prĂ©sence de Paul que les deux femmes s’enlacent, leurs lèvres se soudent pour un vrai baiser d’amour. Paul voit sa femme fondre entre les bras, de sa jeune maitresse. Sa rage laisse la place au dĂ©sarroi, le baiser se termine, par un, je t’aime, que les deux femmes prononcent en mĂŞme temps. Paul s’attriste, en entendant les mots doux que les deux femmes Ă©changent continuellement, sans se soucier de sa prĂ©sence.Lentement, les deux amantes font tomber le reste de vĂŞtements qu’elles avaient encore sur le corps. Paul et Ă©merveillĂ© par le corps sublime de Juliette, les deux femmes s’allongent l’une sur l’autre, les corps nus ondulent très doucement peau contre peau, la bouche de Juliette se pose sur les seins un peu flasques de Mariette, elle les embrasse avec une tendresse remarquable. Elle taquine de la pointe de la langue, les mamelons larges et Ă©pais de Mariette, qui frissonne tellement, qu’elle en attrape la chair de poule. Juliette aspire avec douceur les mamelons et les tète sans brusquerie. Mariette geint de bonheur dans les bras de sa jeune amante, elle ne cesse de lui caresser les cheveux pendant que Juliette lui suce sans gloutonnerie les mamelons. Paul n’a jamais vu les mamelons de sa femme aussi gros, il jalouse Juliette qui semble ĂŞtre un meilleur amant que lui.La bouche de Juliette dĂ©laisse les seins et descendent sur le ventre encore bien plat de la quinquagĂ©naire qui pourrait ĂŞtre sa maman. Habilement, la langue glisse sur le nombril, et s’attarde, sur chaque parcelle de peau. Mariette ne retient pas ses gĂ©missements, elle ondule du bassin en ne cessant de rĂ©pĂ©ter :-Oh, mon amour, mon amour, tu me rends folle !Le short de Paul est dĂ©formĂ©, par une Ă©rection phĂ©nomĂ©nale qu’il ne peut contrĂ´ler. Il plaque sa main dessus et presse le manche qui devient douloureux.
La bouche de Juliette continue de descendre très lentement sur le ventre de Mariette, qui frémit de plus en plus en geignant de bonheur.
Juliette fait durer le plaisir, elle dĂ©laisse le ventre et reprend les lèvres de son amour. Les langues se nouent, les salives se mĂŞlent. Les grognements des deux femmes raisonnent dans la tĂŞte de Paul, qui dĂ©glutie bruyamment. Il ne tient plus, il extirpe rapidement sa verge de son short et commence Ă la masturber très doucement en regardant les deux femmes s’aimer.Elles ont complètement oubliĂ© Paul. Mariette bascule Juliette et maintenant, c’est Ă elle de faire gĂ©mir son amour. Elle agite son corps contre le sien, les deux vulves sont en contacte, rapidement, elles laissent Ă©chapper leur cyprine. Juliette s’accroche Ă son amante en donnant de petits coups de reins, elle geint plus bruyamment que Mariette, lorsque celle-ci lui gobe un mamelon et le suce comme le fait un bĂ©bĂ© pour s’alimenter. Juliette tire sur les hanches de son amour, elle veut bien sentir sa vulve contre la sienne, elle lui plante ses ongles dans le gras des fesses en gĂ©missant :-Oh mon amour, comme je t’aime ! C’est en grimaçant que Mariette dĂ©laisse les mamelons, elle ondule du bassin comme un reptile en glissant son corps entre les cuisses de Juliette. Enfin, elle arrive Ă la chatte dĂ©bordante de son amante, elle plaque sa bouche dessus, et aspire la cyprine qui s’Ă©coule continuellement. Mariette prend une grande inspiration et enfonce sa langue profondĂ©ment dans le vagin de sa jeune amante. Juliette se cabre, en poussant de râles très sonores. Sans dĂ©faillir, la langue fouille l’antre brulant un long moment, Juliette est presque en syncope. Elle pousse un hurlement qui fait sursauter Paul. Mariette vient de lui aspirer le clito et le dĂ©vore comme une affamĂ©e. La coquine a une jouissance exceptionnelle, elle s’agite en marmonnant :-Mon amour, tu me fais mourir de plaisir !Elle repousse Mariette et se place tĂŞte bĂŞche sur elle, les deux femmes s’accrochent et se dĂ©vorent la chatte mutuellement, les clitos deviennent Ă©normes sous les succions monstrueuses des deux affamĂ©es. Les deux femmes jouissent comme de bĂŞtes blessĂ©es en hurlant leur plaisir. Les bouches deviennent inutiles, ce sont les doigts qui entre en actions. Ils s’enfoncent jusqu’aux dernières phalanges dans les volcans en pleine Ă©ruption. Ils tournent Ă l’intĂ©rieur des cratères en faisant gĂ©mir les deux actrices amoureuses. C’est l’explosion, la lave fuse des volcans en entrainant des hurlements de jouissances.Les femmes se dĂ©saccouplent, leurs yeux embrumĂ©s de plaisir, se posent sur le mâle qui se masturbe en grognant, sans les quitter du regard.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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