Je suis bel homme, j’ai une bonne situation, je suis marié à une ravissante épouse qui me donne toute satisfaction, j’ai deux beaux enfants dont je suis très fier, tout pour être heureux, en somme. Et heureux, je le suis, effectivement : un bon mari, un bon père de famille et un bon amant, si j’en crois les dires de ma femme. J’essaie d’être prévenant, attentionné, résistant, inventif, j’essaie de lui donner un maximum de plaisir pour la satisfaire entièrement. Je l’aime d’un amour profond et désire rester toute ma vie avec elle. À ma façon, je suis fidèle. Je ne regarde que ma femme, je ne vois que par elle, je n’ai d’yeux que pour elle, c’est la reine du bal. La salle pourrait être remplie de top-modèles, de beautés pulpeuses ou de petites allumeuses que cela n’y changerait rien. Ma femme est tout pour moi, il n’y a qu’elle qui m’intéresse.Mais derrière ce tableau idyllique, il y a tout de même une zone d’ombre, une zone trouble, une vie cachée. Je ne m’en vante à personne, d’ailleurs personne n’est au courant. C’est la partie Mister Hyde qui sommeille en moi depuis toujours. En façade, Docteur Jekyll aime les femmes mignonnes, potelées, bien en formes, le style Laetitia Casta me convient tout à fait. Je ne dirai pas que ma femme lui ressemble, mais elles ont des points communs et pour ma part, je trouve Sandrine parfaite, aussi bien de corps que de visage. Et derrière, le vilain Mister Hyde est fasciné depuis toujours par les gros culs, les très très gros culs, les popotins énormes.Et quand je parle de gros culs, je ne parle pas de grosse femme. Une femme très forte mais bien proportionnée ne capte pas mon attention, tandis qu’une femme plus mince avec un cul gigantesque me fait détourner les yeux. Je ne m’intéresse qu’au bas du personnage, en priorité aux fesses et ensuite à la périphérie, les cuisses et le ventre. Le haut du corps, à partir des seins ne m’intéresse pas. Au contraire, une femme avec des fesses énormes et des petits seins est encore plus bandante. Une grosse en forme de poire, hum quel délice ! De quoi me faire perdre mon self-control et que je la suive dans la rue en espérant quelque chose. Et cette perversion dure depuis mon adolescence…Je suis parent d’élèves et m’occupe de temps en temps de l’association. Il y a deux ans, en passant devant la cantine pour aller à une réunion, je tombe nez à cul – si je peux dire – avec un derrière hors norme, celui d’une femme qui s’affaire dans les cuisines. Inutile de dire qu’à ladite réunion j’insiste vivement pour m’occuper de la cantine. On essaie de m’en dissuader. Vu mon métier, on m’aurait plutôt vu trésorier, mais je tiens bon et rentre à la commission qui s’occupe de la cantine, accompagné de trois vipères qui vont me mener la vie dure. Petit colloque à quatre après cette réunion pour nous répartir les tâches. Étant donné que je ne m’impose ni pour la composition des menus, ni pour la surveillance des achats et du budget, que je veux bien m’occuper au contraire du volet « salubrité et sécurité » dont les autres n’ont que faire, pour elles je suis le bon bougre, elles vont pouvoir continuer à s’entre-dévorer toutes les trois.Du coup, je les laisse et passe dans la cuisine. Le gros cul y est toujours, en train d’éplucher les légumes. Je me présente et lui annonce qu’elle me verra sans doute souvent, cette année. C’est une blonde aux cheveux gras et raides, avec un ventre énorme (au milieu duquel ses seins paraissent ridiculement petits). Quant à son fessier, je n’en ai pas souvent vu d’aussi gros. J’en suis stupéfait et me mets à bander rien que d’y penser. En plus, j’apprends qu’elle habite seule, à deux pas de chez moi, qu’elle a 42 ans, qu’elle est originaire d’Alsace, qu’elle est divorcée, qu’avant de travailler à la cantine elle faisait des ménages, qu’elle est venue habiter ici pour une raison qu’elle ne veut pas dévoiler, qu’elle s’ennuie un peu, parce que c’est dur de lier connaissance dans la région, et qu’elle n’a plus de voiture, car le moteur vient de lâcher.Je saute sur l’occasion pour lui proposer de lui prêter la vieille 305 dont nous ne nous servons plus, ni ma femme ni moi, mais qui est toujours assurée. Elle me remercie, mais me dit qu’elle ne peut pas accepter comme ça, qu’elle connaît le coût des choses et que, dans ce cas, elle aimerait me rembourser. Je lui dis qu’il n’en est pas question, mais que si elle veut vraiment me remercier, puisqu’elle a déjà fait des ménages, elle n’a qu’à passer à la maison, un week-end, pour m’aider à ranger la buanderie. Comme elle a terminé son travail pendant que nous discutions, je me propose pour la raccompagner chez elle. Elle me trouve très gentil et très sympathique, ne se doutant pas le moins du monde que je n’en veux qu’à son cul.Petit à petit, nous avons lié amitié. Le lendemain, dès l’aube, je lui ai porté la voiture avant d’aller travailler. Je l’ai trouvé en vêtements de nuit, le cul encore plus énorme que la veille au soir. Tandis qu’elle me préparait un café, je me suis délecté de mater ce fondement divin. Le week-end suivant, elle est venue pour m’aider à ranger le sous-sol et a fait la connaissance de mon épouse. Celle-ci, qui a horreur de la poussière, en a profité pour emmener les garçons à la piscine, nous laissant tout le samedi après-midi seuls tous les deux. J’avais bien entendu très envie de passer à l’acte et de me la sauter, mais j’avais aussi fort peur qu’elle soit choquée par mes propositions et ainsi de perdre toute chance avec elle. Il fallait agir avec plus de tact, je le savais. Je me suis contenté de la frôler tout l’après-midi mais sans avoir l’air de rien, la prenant même une ou deux fois par le fessier, mais simplement pour lui demander de se pousser, sans en avoir l’air. Il fallait que je me contrôle et que j’attende encore un peu.Ces temps-là, j’ai fait de multiples visites à la cantine, prenant visiblement à cœur ma mission pour l’association. Mais plus que cela, je pense que ce qui lui mit la puce à l’oreille, c’est que je passais de plus en plus souvent chez elle, pour des motifs souvent futiles. Un soir, donc, où je m’étais arrêté chez elle au retour du boulot, elle me parla en toute franchise :— Je vous trouve très sympathique, très gentil et très prévenant, mais vous en faites vraiment trop. Je voudrais savoir ce que vous attendez de moi.— Que vous soyez une amie, tout simplement.— Non, soyez honnête, répondez-moi franchement, nous sommes adultes tous les deux, je préfère savoir où je vais, même si c’est vrai que c’est très agréable d’avoir quelqu’un qui est aux petits soins pour soi.— Ce sont vos fesses qui me fascinent.Elle rit.— En voilà une nouvelle ! Mais ça, je le sais depuis le premier jour, je ne suis pas née de la dernière pluie. J’ai compris votre manège dès le début. De plus, les hommes qui me tournent autour ne sont en général pas légion et leurs motivations sont presque toujours les mêmes. Ce que je veux savoir, c’est ce que vous attendez de moi précisément ? C’est pour un coup ou pour un abonnement ?— Non, je veux que vous soyez ma maîtresse de façon durable.— Ouh lala, vaste programme… Et si j’accepte, ce sera juste pour exhiber ma viande ou alors il faudra en plus que je sois amoureuse ?— En tout cas, ce n’est pas la première hypothèse.— C’est bien ce que je craignais… Le premier jour, je n’ai pas voulu vous dire pourquoi j’étais venue m’installer dans cette région. Je suis venue pour un homme comme vous, qui s’intéressait lui aussi à mes fesses et qui était très gentil avec moi, tout comme vous. Au fil des mois, j’en suis tombée amoureuse, tant et si bien que lorsqu’il a déménagé pour venir s’installer ici, avec sa famille, j’ai tout plaqué là-bas pour venir le rejoindre ici. Le seul hic, c’est qu’ici, il y avait sans doute d’autres paires de fesses plus intéressantes que les miennes. En tout cas, je n’ai plus jamais entendu parler de lui.— Moi qui connais bien la région, cela fait longtemps que je n’ai pas vu un cul comme le vôtre.— … Le problème, c’est que pour mon plus grand malheur, je suis déjà amoureuse de vous, vous êtes le seul à m’avoir communiqué un peu de chaleur, ces derniers temps et j’ai tout de suite succombé. Je sais très bien que ce n’est pas du tout raisonnable et je sais que je vais en souffrir : vous êtes trop gentil, trop prévenant, et moi, je suis comme toutes les femmes (malgré mon aspect) ; j’aimerais vous avoir pour moi toute seule, mais je sais bien que ce n’est pas possible. Alors n’ayez pas peur, je ne suis pas une sangsue, je ne vous embêterai pas par mes assiduités. Je ne vous demande qu’une seule chose : si un jour vous vous lassez de moi et que vous n’avez plus envie de me voir, je veux que vous promettiez de me le dire franchement…— Je vous le promets.— Très bien, dans ce cas, c’est à vous de jouer, je suis totalement disponible et prête aussi à beaucoup de concessions. Alors ne vous gênez pas, ne me ménagez pas. Je suis prête à tout entendre, à tout subir, à tout essayer. Je pense que je ne peux pas vous dire mieux.Je saisis immédiatement mon portable et téléphone à ma femme :— Blablabla… Chérie, je ne rentrerai pas ce soir, car l’avion que je devais prendre demain midi à Roissy est annulé, et je dois filer à Londres pour prendre un autre vol…— Et voilà ! C’est arrangé, je reste avec vous toute la nuit. En plus, je n’ai guère menti, j’ai simplement oublié de dire qu’un avion-taxi part d’ici demain matin pour Londres… Maintenant, si nous passons aux choses sérieuses, montrez-le-moi, ce gros derrière !— Ici, dans le salon ?— Oui, tournez-vous et déshabillez-vous lentement, faites-moi un strip, pour bien mettre en valeur vos grosses fesses !Et nous voici partis pour une nuit folle, durant laquelle je vais pouvoir enfin profiter à loisir de son énorme fessier, le regarder, le toucher, le lécher, le défoncer, l’enculer. Elle a dit qu’elle était prête à tout, alors autant en profiter… Et elle n’a pas menti, elle me le donne généreusement, son gros cul, en toute confiance, sans fausse pudeur et sans interdit. Elle exauce toutes mes demandes sans sourciller, d’ailleurs plus par don de sa personne que par soumission ou par passivité, tant et si bien que lorsque je la quitte, au petit matin, je suis moi aussi plus ou moins amoureux, avec en plus l’esprit rempli d’images excitantes. Ce voyage d’affaires me semblera terriblement long, tellement j’ai envie de la retrouver rapidement, tant et si bien que, sitôt de retour, je ne pourrai m’empêcher de faire un saut chez elle pour la baiser de nouveau, avant de rentrer sagement chez moi.Depuis ce jour, nous nous retrouvons régulièrement, en moyenne deux fois par semaine, et elle m’offre toujours de bon cœur son monstrueux fessier, des culs comme ça, on ne trouve quand même pas ça à tous les coins de rue. Mais désormais, je pense que vu tous les liens qui nous unissent, même si je trouvais un plus gros cul, je resterais fidèle, à ma cantinière. D’une autre façon, mais avec tout autant de force, j’éprouve autant d’amour pour elle qu’envers ma légitime, et s’il fallait un jour choisir, je serais vraiment drôlement embêté.