Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue…Je suis une blonde physique agréable, Julie, poitrine attractive, vingt-huit ans, mariée depuis cinq ans avec Gael. Bien installés socialement, nous vivons en harmonie notre relation de couple. Mon mari, chef d’entreprise, mon aîné de quatre ans joue parfois un peu le grand frère. J’avais eu une vie avant de le rencontrer, il a su m’apporter son expérience, la découverte du plaisir dans l’attente et la patience. L’abandon de soi pour l’autre, s’oublier pour mieux offrir tout son corps. Nous savions aussi avoir des activés différentes pour mieux nous retrouver. J’avais un poste dans le staff d’une boîte de Com.Vivant dans une grande métropole en bord de mer, j’étais attirée par la pratique de la voile. J’associais la mer, le vent le soleil. J’idéalisais le côté sensuel dans ce rapport entre un voilier et son équipage. Les moqueries de Gael ne me découragèrent point. Ainsi je suivis un stage avec un groupe fort sympathique.Nous avions rendez-vous un samedi matin à 9 heures au Club House sur un quai du Vieux Port. Notre groupe, joyeux et motivé, était composé d’un couple trentenaire, Audrey, jolie femme, brune cheveux mi-longs et des yeux de chat, très clairs, qui captaient immédiatement l’attention, Tim, son mari, beau gosse, bien dans sa peau. Adrien, quadra, timide, physique sportif et sympa. Luc, le skipper, était déjà à bord, souriant, signe de sa bonne humeur permanente. Les voiles étaient à poste. Un briefing court nous précisa le déroulement de la sortie. La météo était des plus agréable avec un léger mistral ; une journée de plaisirs véliques s’offrait à nous.Notre skipper mena le bateau pour la sortie du port. Il nous guida pour la montée des voiles.Tout s’enchaîna, à notre rythme. La voix rassurante de Luc nous mit en confiance, déjà familiarisés dans ces manœuvres lors de nos précédentes sorties.Les garçons bordèrent les écoutes, Audrey assise à côté de moi, attentive. Le voilier s’appuya sur son bâbord, avec souplesse, presque délicatement. Le silence s’installa à bord, chacun concentré sur son rôle. Je me sentais bien à la barre, le bateau était équilibré et facile à mener. Luc, debout derrière moi, observait son équipage. Le seul bruit était celui de l’étrave qui taillait la mer de son tranchant. Je sentais le pied de Luc contre mes hanches. C’est sa façon de communiquer par des pressions plus au moins appuyées selon le message à passer.J’adorais son côté secret, réservé, ses yeux marron, trop souvent cachés par les lunettes de soleil. Un léger frisson accompagna mes pensées. Une pression plus appuyée me rappela vite à la réalité. Le soleil était déjà chaud. J’avais adapté ma tenue faite d’un bermuda et d’un polo pastel, très léger, près du corps moulant un peu ma poitrine contenue dans une brassière. Audrey avait une tenue comparable mettant en valeur son allure juvénile. Elle ne faisait pas ses trente-trois ans. Sa poitrine était, a priori, plus petite que la mienne. Dans ses déplacements, son allure légère lui donnait une sensualité qui ne laissait pas indifférents les garçons.La rade Sud s’ouvrait à nous, sous le vent de l’archipel des Îles du Frioul. Nous continuions vers le large pour ensuite mettre le cap sur l’univers des Calanques. Audrey prit ma place à la barre, avec un grand sourire. Je captai un regard malicieux de Tim, très attentif à mes rondeurs. Luc s’activa soudain au fond du bateau et remonta avec un grand sac. Nous allions envoyer cette voile d’avant, colorée, donnant au bateau plus de vitesse quand le vent vient de l’arrière, le spinnaker ! Le Graal du stagiaire ! La manœuvre demandait de l’attention. La bulle éclata, colorée, ronde, majestueuse. Le bateau bien dans ses lignes prit un peu de vitesse, le bruit de l’eau glissant sur la coque nous offrit une musique enchanteresse.Nous avions les yeux levés, tous contents d’avoir réussi cette première. Luc, à la barre, nous dirigeait avec calme, précision, dans une sérénité qui nous permettait de profiter pleinement du moment. Au large de l’Île de Riou, paradis des oiseaux, il nous fallut affaler la bulle. Avec Audrey, nous devions récupérer la voile sur le côté. Tout se passait bien, mais dans l’euphorie elle glissa soudain, partit en arrière. Elle s’accrocha à moi et se trouva alors dans mes bras ravis d’avoir stoppé sa chute contre ma poitrine. Elle tourna son joli minois me dit merci et me fit une bise, suffisamment longue pour provoquer un rappel de Luc. Cette marque d’affection, dans ce moment incongru, provoqua un frisson. Je sentis durcir mes bouts de seins. Certainement la caresse de la brise sur mon corps !De retour à quai après cette belle journée, un échange de bises ponctua notre séparation, rendez-vous fut pris pour la prochaine et dernière séance. Au volant de ma voiture, je me surpris de penser à cette bise, marine, qu’Audrey me fit avec une tendresse inattendue.Je retrouvai mon mari sur la terrasse de notre maison, récupérant de son match de tennis. Assise sur ses genoux je me pris à le câliner. Ma bouche déclinait une tendresse de bisous le long de son cou. Ma main, curieuse, vérifiait la réaction, posée négligemment sur la bosse de son short. La douche fut prise en commun, déclenchant une tempête de caresses. Ses mains couraient sur mes seins prenant les bouts entre deux doigts. Collé contre mon dos, son sexe entre mes cuisses coulissait, excitant mes lèvres. Je cambrai, cherchant à accentuer le contact de son ventre contre mes fesses. Une flexion de ses jambes, et son sexe envahit mon vagin coulant.Son va-et-vient puissant me pénétrait au plus profond. J’étais collée, ma joue et mes seins contre les carreaux de la douche italienne. J’avais, avec difficulté, passé mes mains entre mes cuisses, me caressant de l’une et de l’autre, accompagnant son sexe inquisiteur. Sa main sur ma nuque, l’autre sur ma hanche, je sentais son plaisir proche. L’eau coulait sur la paroi trouvant le chemin entre mes seins, pour finir en cascade sur mon bouton, intensifiant mes caresses. Notre plaisir éclata, fulgurant. J’accueillis sa jouissance en moi avec délice. Sa bouche mordillait mes épaules, accompagnant les spasmes qui m’agitaient. Les yeux fermés, j’étais ailleurs. Subitement m’apparut le visage d’Audrey. J’ouvris aussitôt les yeux, surprise par cette vision irréelle qui perturba mon plaisir. De tendres baisers mirent fin à notre douche, me rappelant à la douce réalité des marques de tendresses de mon mari. Amoureusement enlacés, nous allions profiter de notre soirée.La séance suivante de voile fut l’égal des précédentes. Du plaisir, un groupe soudé, riants tels des ados, fiers d’avoir appris avec notre skipper. La pétole s’établit et Luc décida de nous offrir « Le bain » ! Un bout traînant à l’arrière en sécurité, et nous voilà barbotant dans une mer transparente. Audrey et moi profitions un maximum de ces instants. À l’appel du skipper je me hissai à bord dans le silence soudain des garçons. Adrien avait les yeux rivés sur le haut de mon maillot qui avait bien du mal à contenir ma poitrine, les deux autres guère plus discrets. J’en riais intérieurement, sauvée par l’arrivée d’Audrey. Son maillot une-pièce ne provoquant pas le même engouement, ou tout simplement la présence de Tim ! Nous sommes rentrés dans le carré du bateau pour nous changer. La promiscuité du lieu nous fit retrouver face à face, nues un court instant. Je sentis furtivement sa main effleurant ma poitrine. Audrey me sourit, son regard angélique me fit rougir, ajoutant à mes interrogations.Le retour au moteur, ponctué de nos papotages, se fit assez rapidement. Sur le quai, Audrey nous invita tous pour un barbuc à leur villa. Un détour par la maison, une douche, prévenir mon tendre de l’invitation. Je me glissai dans une jolie robe blanche. La maison d’Audrey et Tim se situe dans le quartier de rêve de Saint-Barnabé. Un grand platane couvrait, de sa frondaison imposante, la terrasse et une partie du jardin.La maison, ancienne maison de maître, était pleine de charme. L’intérieur, superbement contemporain était meublé avec goût où le blanc dominait, seul le canapé Roset attirait les regards par sa couleur jaune pale. Tim, aidé par Gael et Adrien, s’activait autour du barbecue. Le courant, bien aidé par le rosé, passait bien entre eux. J’apportais mon aide à Audrey pour préparer l’accompagnement. Enfin prêts, les ribs marinés arrivèrent sur la table éclairée par deux belles lanternes. En cuisine nous avions concocté une salade de tomates, et une salade de pâtes froides.La discussion animée donnait à cette soirée le côté potache que Gael et moi adorions. Adrien regrettait son célibat à la vue des regards dont nous faisions, nous femmes innocentes, l’objet. Les sujets fusaient, aussi futiles les uns que les autres. Un joyeux mélange d’esprits embrumés par la douceur insidieuse de Coteaux d’Aix. Nous, femmes, étions un peu à part. Audrey me parlait doucement. J’étais fascinée par son regard perçant, presque dur qui captait toute mon attention. Il me paralysait. Quel contraste avec son sourire juvénile doux que soulignaient ses lèvres fines. Il me semblait sentir mon sexe réagir.C’est le moment que choisit Audrey pour m’entraîner.— Viens, j’ai besoin de toi. J’ai acheté une robe pour le mariage de mon filleul et je voudrais ton avis sur mon choix.Sur son lit, une belle robe fauve.Elle ferma aussitôt la porte de la chambre, geste qui me surprit un peu.Aussitôt elle glissa hors de son jean, son chemisier coula de ses épaules et la voilà en string. Mon pouls s’affola. Avec grâce, elle leva les pieds, monta la robe. Une forme droite, dos très dégagé mettant en valeur son physique longiligne. Je fixai sa poitrine si fine dont je vis les bouts tendus. Elle se tourna et me demanda :— Tu peux me monter la fermeture.Me voilà empruntée, hésitante, sans raison. Remontant la fermeture, ma main glissa sur son dos. Je sentis aussitôt Audrey se raidir imperceptiblement. La vision de sa chute sur le bateau tournait alors dans ma tête tel un ralenti de cinéma.Je bredouillai :— Tu es splendide, elle te va à merveille.Avec grâce, elle fit quelques pas, se retourna, me fit face, ses yeux dans les miens, son regard envoûtant me transperçait. Je tremblais, l’humidité envahit mon sexe.— Merci, je savais que tu avais bon goût.Avec la rapidité d’un félin, elle déposa un baiser langoureux sur mes lèvres, me laissant pantois et sans réaction.— Mardi, je dois me trouver des chaussures, tu m’accompagnes ?— Oui, dis-je presque inaudible.Nous avons retrouvé la joyeuse troupe, toujours dans leurs discussions aussi improbables que décousues. Il était temps de siffler la fin du match. La sagesse m’imposa de conduire pour le retour. Une excitation latente me gagnait. Je posai ma main droite sur la cuisse de Gael, je caressai son sexe à travers le tissu. La fermeté se fit aussitôt sentir. Je glissai ma main dans l’ouverture de son pantalon et pris possession de son sexe. Conduisant d’une main, je le branlais de l’autre. Sa main se faufila sous ma robe, investissant mon sexe qu’il trouva dans un état proche de l’inondation. Ses doigts me pénétrèrent, me fouillèrent et provoquèrent un orgasme qui nécessita l’arrêt immédiat de la voiture. J’enjambai la console centrale et vins m’empaler sur son sexe, bien dur malgré une forte inhibition alcoolique. Nous voilà comme deux collégiens dans une étreinte sauvage. Je me libérai de ma frustration, je montais et descendais augmentant le rythme jusqu’à sentir la douce et chaude coulée de sa libération. Nous avons repris notre chemin inconscient de cet intermède nocturne, en milieu urbain.Mardi vers 13 heures, je sonnai chez Audrey, un peu inquiète, sans trop savoir de quoi serait faite la suite de cette journée. Je me mis en mode débranché, dans une bulle. La porte s’ouvrit sur une Audrey souriante, vêtue d’un simple T-shirt.— Tu n’es pas prête ?Sans un mot, elle se colla à moi, m’embrassa avec tendresse.Ses yeux clairs me scrutaient, m’éblouissaient.Ses lèvres étaient douces, son baiser doux et sensuel. Sa langue cherchait l’ouverture. Je ne résistai pas et répondis avec fouge à cet appel du plaisir. Du pied, elle referma la porte palière, ouvrant un moment d’inconnu que nous recherchions sans vouloir nous l’avouer. Elle me guida vers une chambre.En chemin elle m’effeuilla, ne cessant de m’embrasser, je me retrouvais presque nue dans la pénombre de la pièce. Sa bouche investissait ma peau, suçant avec délice mes tétons, flattant mes seins d’une langue qui électrisait tout mon corps. Ses mains me caressaient partout. Les derniers remparts de tissu avaient disparu. Nos corps s’abandonnaient à l’autre. Sa bouche trouva le chemin de ma grotte, trempée à souhait. Elle embrassait mon sexe comme elle le fit de ma bouche, ses bras tendus empaumant mes seins et jouant avec mes tétons. J’explosai dans un orgasme, rapide, volcanique. Mes doigts se crispaient sur sa chevelure. Dans un mouvement de reptile, elle glissa sur moi, ses bouts effleurant mes cuisses, mon ventre, se reposant un instant sur ma poitrine. Je frissonnais offerte et timide dans l’attente. Ses yeux me fixaient, implorants. Ses doigts invasifs flattaient mon sexe d’où coulait une jouissance, forte, extrême. J’attirais sa tête. Je voulais sa bouche. Elle avait mon odeur. Ma langue la fouillait, enroulait la sienne.Ma main s’aventura vers le triangle d’or. Je poussai mes doigts à l’intérieur légèrement recourbés vers le haut, imitant en cela des incursions déjà ressenties. Je grattais avec douceur cet antre humide. Audrey se cambrait, son corps tétanisé par un plaisir puissant, nos bouches soudées dans un baiser sans fin. Après un instant de calme, je glissai vers sa poitrine. Ma langue mignota ses tétons, à l’unisson de ses gémissements. Lentement ma bouche arriva vers son ventre, ses cuisses, pour se coller avec passion sur ses lèvres déjà ouvertes. L’odeur de sa jouissance augmenta mon envie, ma gourmandise. Je dévorais son sexe goulûment faisant pénétrer ma langue aussi profondément que je pus.Nos étreintes n’avaient plus de fin. La mélodie de nos plaisirs était une symphonie, certainement pas inachevée. Pas une parole n’avait été échangée. Seuls son regard et son sourire donnaient le tempo. Elle me retourna exacerbant la sensibilité de mon dos, explorant ce sillon d’une langue déterminée à l’ouvrir jusqu’à l’abandon. Mon naufrage était total. Je me soulevai légèrement pour mieux ressentir la caresse de son sexe sur mes fesses. Sa reptation lente, sensuelle, ses bouts de seins effleurant ma peau m’électrisaient. Une jouissance nouvelle m’envahit, j’étais ailleurs loin, très loin ne maîtrisant plus mon corps. Un spasme plus fort libéra le jet de ma fontaine. Audrey glissa aussitôt sa bouche sur mon sexe pour recueillir cette offrande. La musique de nos respirations, de nos plaintes, de nos gémissements emplissait la pénombre de la chambre.Dans une demi-lucidité, je regardai ma montre. Ce fut un choc brutal. Il était largement le temps d’activer la procédure d’atterrissage. Dans l’affolement, la douche fut rapide, seule. Une dernière étreinte sur le perron toujours sous l’emprise et le charme de ce regard énigmatique, hypnotique.Je fis la route de retour avec prudence encore dans les limbes d’un plaisir nouveau, enivrant. J’avais encore le goût de son sexe sur mes lèvres. Ses yeux, son regard étaient là .Gael était déjà rentré. Un sourcil levé ponctua cette arrivée tardive et une tenue quelque peu froissée.— Coucou, je prends une douche.Lavée, propre, je rejoignis Gael sur la terrasse, quémandant un verre de rosé.— Alors vous les avez trouvées, ces chaussures ? dit-il avec un sourire crispé.— Oui, nous sommes allés à Aix finalement. Beaucoup de circulation sur le retourJe me suis lovée sur lui, inconsciente de ma situation. Il était silencieux. Mes baisers étaient sans effet.Une petite libellule tournoyait autour de la lampe de la terrasse. Un instant plus tard, une odeur de brûlé arriva à nos narines.— Ha, elle s’est brûlé les ailes, aveuglée par la lumière.Cette remarque anodine résonna bizarrement et me donna froid dans le dos. Je cachai ma tête dans son cou, silencieuse. Notre nuit fut calme. Dans mon sommeil, je revoyais deux yeux jaunes qui me scrutaient ce regard insistant, ce sexe, ces seins qui m’avaient chaviré.Le jour pointait timidement. Il était tôt. Je regardais Gael dormir encore, ou faire semblant. Il était nu comme à son habitude. Lentement, avec douceur, je me penchai sur lui, prenant son sexe dans la main et le glissant dans ma bouche. Mes lèvres coulissaient sur le gland avec délicatesse. Ma chevelure caressait ses cuisses accélérant la réaction du sexe qui n’était plus endormi. Il se dressait dur dans ma bouche que je voulais aussi douce que gourmande. Je le frottais contre la paroi buccale, faisant tournoyer ma langue. Je sentis une main dans mes cheveux puis un mouvement de son bassin. Il était réveillé ! Gobant tout entière cette offrande matinale que je voulais tout à moi jusqu’à l’explosion. Un grognement fut le signe annonciateur de sa libération. J’accueillis la chaude coulée volcanique et ne pus qu’avaler le flot de cette jouissance matinale.Il y eut un instant de flottement ; j’attendais, ma joue sur ses cuisses. Sa main me tira vers le haut, je rampai sur lui, ma poitrine s’appuyant sur son torse.Ses lèvres prirent les miennes. Je répondis avec fougue à cette invite.Une tape sur les fesses mit fin à l’étreinte.— Allez, ma libellule, il est temps de revenir à la réalité journalière, à la douche et hop, au boulot.Après son départ, je me préparai tranquillement, avec en tête le souvenir et l’odeur de mon après-midi précédent.Sur le chemin de mon bureau, la vibration de mon téléphone m’indiqua un message. Au feu rouge suivant, j’en pris connaissance.« Envie de toi, je t’attends nue. Audrey. »Aussitôt mon ventre se contracta, mes seins durcirent.Sans hésiter, je changeai de direction guidée par le chant des sirènes m’invitant dans le monde de l’irraisonnable.Arrivée devant chez Audrey, tremblante déjà offerte, la sonnerie de Gael retentit sur mon téléphone. J’étais affolée, déboussolée. Je décrochais.— Allo— J’ai oublié de te dire : à midi, je viens te chercher à l’agence pour déjeuner. Je te présenterai ma dernière recrue et je veux ton avis.— OK, à toute.La foudre m’avait frappé. Je ne pus retenir mes larmes. Je remontai dans ma voiture.Il n’y eut jamais plus de message.