Des découvertes qui s’accumulent, qui peuvent paraître ubuesques ou improbables, et pourtant toutes inspirées de faits réels anciens ou récents… laissez-vous aller, bonne lecture !En ce mois de juillet ensoleillé, les vacanciers se précipitent à grands coups de serviettes, de pelles et de râteaux sur les grandes plages de Brétignolles et St Gilles Croix de Vie.Ah, l’été au soleil !J’aime tant cette Vendée, mais là je n’ose plus me risquer vers le moindre banc de sable tant ils sont envahis. Pourtant, il y a peu de choses aussi plaisantes que de profiter du sable chaud, du bruit de la mer et de la chaleur du soleil sur la peau.***Lundi 11 juillet, je suis de repos et ne peux me résoudre à rester enfermé. Je me décide à prendre mon vélo pour faire la promenade de la mer, peut-être trouverais-je un coin tranquille.Mon sac à dos est plein – serviette, crème, eau, bouquin, musique, de quoi grignoter et un petit parasol – pour passer un bon moment. J’enfourche mon antique vélo à la recherche d’un coin de paradis. Les kilomètres défilent et, à défaut de plage, je profite du paysage sous un soleil ardent.Je croise de nombreux promeneurs, à pied comme à vélo, sourire aux lèvres et bonne humeur au rendez-vous. Je finis même par m’attarder pour réparer la roue crevée d’un couple de Lille en découverte de la région. Un moment bien sympathique durant lequel nous avons beaucoup ri devant l’improbable méconnaissance de Monsieur en mécanique vélo.Malheureusement, aucun espace n’est épargné sur les plages et je n’ai pas envie aujourd’hui de partager l’intimité de tous. Je fais demi-tour et opte pour un bain dans ma modeste piscine.***Le mercredi suivant, alors que je fais une course en débauchant, j’entends un couple parler d’une plage tranquille avec un autre couple. Je tends l’oreille et fais semblant de chercher un produit dans le rayon… je ne parviens pas à saisir le lieu. Les couples se disent au revoir et me laissent sur ma faim. J’interpelle alors le premier couple et je leur dis, un peu gêné, que j’ai surpris leur conversation et que je souhaiterais connaître le nom de la plage évoquée. Tout sourire, ils me répondent sans hésiter que la plage se situe à Givrand… plage du petit pont… et me disent à bientôt sur place.J’en prends bonne note et je connais déjà ma nouvelle destination pour demain, un jour férié sous le signe de la plage.***Jeudi matin, je me réveille sous un beau soleil. L’été s’annonce vraiment magnifique et je compte bien en profiter.Je prends mon café sur ma terrasse, toujours en caleçon alors que le petit air frais est appréciable. Je pense à ce que je vais apporter pour ma journée, surtout ne rien oublier.Ma voisine – une célibataire endurcie d’une cinquantaine d’années – prend également son petit déjeuner sur sa terrasse. Je l’aperçois entre les bambous épars, pas vraiment attirante et pourtant, je bloque sur sa tenue légère. Comme moi, elle a gardé le minimum et c’est vêtue d’un simple tee-shirt difforme et sans manches qu’apparaît son profil.Bon, je me décide à prendre une douche avant de partir. Pour une fois que j’ai le temps, j’en profite pour tailler à ras ma maigre pilosité, cheveux et poils dans la tondeuse !Ah, voilà une apparence comme je les aime, je parais plus jeune mais ça me donne l’impression d’avoir un tout petit sexe… tant pis, ça ne se verra pas sous le maillot.J’enfile un vieux short de bain et un tee-shirt déjà brûlé par le soleil.Le sac prêt, il est déjà 10 h.Casquette vissée sur la tête, lunettes de soleil bien en place, je prends mon fidèle vélo, direction la plage du petit pont et je l’espère de la place pour être tranquille.***Après plusieurs kilomètres, je finis par trouver le parking mentionné l’autre soir. Je descends de vélo et l’attache sommairement.Une fois la piste cyclable traversée, je me dirige vers la plage recherchée et donc la mer. Le coin est sympa, de nombreuses dunes dissimulent la plage.J’arrive en haut du chemin, je m’arrête et contemple la plage en contrebas, quasi déserte malgré l’heure.Sur la droite de nombreux cailloux, je me décide donc pour la gauche. Je croise quelques vacanciers installés confortablement, certains en tenue habituelle et d’autres… totalement nus.A priori, voici pourquoi peu de gens y viennent : chacun y fait ce qu’il veut.Ça n’est pas bien grave, je m’installe loin de l’entrée de la plage, à mi-chemin entre la dune et la mer, ravi d’avoir trouvé cet endroit merveilleux.J’installe mon parasol, je pose ma serviette, et je retire mon tee-shirt. Me voilà fin prêt pour une belle journée.Je prends le temps de me crémer comme je le peux, surtout pour le dos.***Il est midi passé et la plage s’est quelque peu remplie désormais. Rien de comparable à ce que l’on peut voir quelques kilomètres plus loin pourtant. Je suis un peu entouré, des couples essentiellement, dont les plus jeunes doivent avoir la quarantaine. Peu portent un maillot comme moi et je commence à me sentir l’intrus de ce lieu finalement.Je mange à l’abri de mon parasol, regard tourné vers la mer, lorsque j’entends juste derrière moi un homme m’interpeller.Il est à la recherche d’un décapsuleur pour déguster les bières qu’il a apportées.Je sors mon couteau magique multifonctions qui fera bien l’affaire.Quelques instants plus tard, il me le rapporte et m’offre une bière bien fraîche.Je le remercie et nous trinquons. Sa femme, installée à quatre ou cinq mètres plus haut sur la plage, me sourit, sa bière tendue dans ma direction. Quelle drôle de situation alors que le sexe de son mari pendouille face à moi…Il me précise qu’il reviendra sûrement dans l’après-midi pour la même raison.Ils doivent avoir la cinquantaine bien tassée, bronzés, deux physiques imposants sans pour autant être gros.***La bière avalée, je vais me rafraîchir dans la mer. Il y a des vagues aujourd’hui et je joue comme en enfant à me faire bousculer ou plonger dedans.Je remonte à ma serviette, un couple plus jeune s’est installé à côté de moi. La jeune femme a de belles rondeurs, fermes mais bien dessinées. Monsieur me ressemble un peu, assez sec. Ils sont aussi blancs que le couple au-dessus est bronzé et comme moi, ils ont gardé leur maillot.***La plage s’est un peu assoupie après le déjeuner. J’en profite pour m’installer avec un bon livre. Calé sur le ventre, je me régale du nouveau Bussi.Mes deux buveurs de bière sont en pleine sieste, semble-t-il.Je remarque la position détendue de la femme, jambes et bras écartés, le plus naturellement du monde.Je me surprends à river mon regard sur son entrejambe. Comme beaucoup de femmes, pas un poil ne subsiste.Je sens mon sexe durcir sous moi, c’est malin.Alors que je regarde sur ma gauche, je vois le jeune couple qui a surpris mon manège et qui me regarde à son tour.J’ai l’air doublement malin…***Après plusieurs baignades, je me repose sur le dos, de la musique dans les oreilles.Une ombre apparaît dans mon champ de vision. La femme que j’ai scrutée un peu plus tôt se tient au-dessus de moi. Je retire mes écouteurs pour l’entendre, elle a besoin à nouveau du décapsuleur.Je me redresse pour l’attraper, lorsque je me retourne pour le lui tendre, mon visage est bien proche de son sexe et je m’y arrête une seconde de trop.Elle se saisit de l’objet avec un grand sourire et prend le temps de me remercier longuement. Je suis de plus en plus mal à l’aise et une érection commence à déformer mon short de bain.Elle n’a pas l’air décidée à partir, m’explique qu’ils aiment beaucoup cette plage assez tranquille, qu’ils viennent tous les jours et qu’ils restent parfois assez tard.Enfin, elle conclut en me disant que je devrais essayer de bronzer nu, la sensation en est très agréable selon elle.Puis elle repart rejoindre son mari d’une démarche assurée, lentement, comme si elle profitait des regards posés sur son corps.Lorsqu’elle se rassied, c’est les jambes écartées et les genoux repliés qu’elle regarde la mer. Je ne me trompe pas sur le côté volontaire de son action et je détourne le regard cette fois.Le couple à mes côtés a le regard perdu au même endroit et en profite pleinement.Je me décide à retourner prendre un bain, cela me fera le plus grand bien.C’est donc le short tendu que je marche sur la plage jusqu’à l’eau fraîche.Ah… le rafraîchissement attendu porte ses fruits et me fait oublier quelques instants cette drôle de journée.***Je sors de l’eau et remonte lentement à ma serviette.La journée est déjà bien avancée et les émotions inattendues ont eu raison de moi.Je me décide à rentrer à la maison.Je range tranquillement mes affaires et salue mes voisins qui me répondent en cœur et avec beaucoup de sympathie.Je remonte vers le couple plus âgé pour récupérer mon couteau décapsuleur et je leur souhaite une bonne soirée.L’homme me dit à demain et la femme me souhaite une belle soirée.***Sur le trajet du retour, je me dis qu’en effet je reviendrai demain pour profiter de cette belle plage. Je pense même que j’essaierai de me baigner nu car je me suis senti un peu seul en maillot.***Dimanche matin. La journée s’annonce encore très belle.Je suis décidé à retourner au même endroit qu’hier et je suis même un peu excité et stressé à l’idée de m’essayer au naturisme.Je traîne un peu pour finir mon ménage et me préparer un pique-nique agréable.Déjà 11 h passées, je pars plus tard qu’hier et lorsque j’arrive au chemin qui débouche sur la plage, je m’aperçois qu’il y a un peu plus de monde.Je tente malgré tout de me diriger vers la gauche, à la recherche d’une place proche de l’eau et un peu isolée… mais c’est peine perdue.Je marche plus haut sur la plage lorsque je vois le couple de jeunes et le couple plus âgé rencontré hier, installé au pied de la dune à l’écart des touristes.L’homme s’est levé et me fait signe de venir.En m’approchant, je découvre que le jeune couple a passé le cap en retirant tout maillot.Daniel – comme il se présente – me dit que je peux m’installer en dessous de leur installation si je le souhaite, ça facilitera les conversations.Je salue tout le monde et me dis que ça m’occupera la journée… Je prends tout mon temps pour poser ma serviette et planter mon parasol.Je retire mon tee-shirt et le temps s’arrête dans ma tête… Allez, je ne dois pas réfléchir, alors je retire mon short de bain d’un geste rapide – en prenant le soin de tourner le dos à ce beau monde.Rapidement, je me pose sur ma serviette, les fesses exposées mais pas le reste. Ouf, premier pas franchi !Remis de ce premier cap franchi, je relève la tête comme si de rien n’était.Sandrine – la femme de Daniel – me sourit tendrement, fière de moi j’ai l’impression.Elle se penche vers son large sac de plage, farfouille longuement – me laissant une vue imprenable sur son sexe lisse – puis me lance un tube de crème solaire en me faisant un clin d’œil. Message bien reçu. Daniel en rajoute et me précise que mes fesses risquent vite de virer au rouge tout comme mes testicules si je ne me protège pas rapidement.Je me crème sous le regard discret de mes hôtes, je n’ai pas le choix que de me retourner pour me crémer le sexe notamment. Ce simple geste anodin de crémage me donne un peu de vigueur et m’encourage à m’allonger sur le dos. Deuxième étape franchie ! Cette fois, j’expose mon sexe aux yeux de tous. Je ferme les yeux et profite du moment. La caresse du soleil est très agréable et un léger picotement de plaisir se fait sentir dans mon ventre. Sentir l’air marin et la douceur du soleil sur mon corps dénudé me procure une sensation de pleine liberté.***Daniel se lève et demande à Benoit -le jeune homme – s’il veut venir se baigner. Puis, les deux se lèvent et me demandent à mon tour si je souhaite venir. Je bredouille un timide, oui. Benoit qui n’a rien de très viril dans sa corpulence a l’air plutôt fier d’exhiber sa large tige. Je me lève et nous partons tous les trois à l’eau.Après un long moment passé à discuter et à nager, nous remontons sous les parasols.Je me sens déjà un peu plus à l’aise car j’ai remarqué que les porteurs de maillot étaient finalement minoritaires.À l’approche de ma serviette, je sens le regard de Sandrine et celui de Julie se porter sur nos attributs. Oups… nouveau malaise… j’évite de les regarder en retour car j’ai peur d’une réaction incontrôlée. Mais les femmes ne s’attardent pas et vont à leur tour profiter de la mer. Je m’allonge sur le ventre et me décide à lire tranquillement.Je finis par oublier ma nudité et je commence à comprendre à quel point c’est agréable.***De retour à leur serviette, Julie et Sandrine rigolent comme deux nouvelles complices.Sandrine, installée devant moi, s’agenouille sur sa serviette et se penche pour en retirer un maximum de sable. C’est vrai que c’est désagréable de s’allonger mouillé et d’avoir du sable qui colle sur soi.Le spectacle est unique et inédit pour moi dans un lieu public.Sa fente encore humide de sa baignade se trémousse presque sous mon nez. Je dois être rouge écarlate. Encore une fois, j’ai la sensation qu’elle y passe plus de temps que nécessaire. Mes yeux se perdent jusqu’à sa rosette. Et pour achever le tout, j’aperçois ses seins qui ballottent sous elle. Mon érection est cette fois violente et incontrôlable lorsqu’elle se laisse tomber sur le ventre.D’un clin d’œil, Daniel me fait comprendre qu’il m’a vu profiter de sa femme.Ouf… il n’a pas l’air soucieux de mon attitude.Julie se lève et s’approche de moi. Elle s’accroupit à ma hauteur et me demande si je peux lui prêter quelques instants le petit siège bas que j’ai apporté.J’ai à nouveau une vue indécente sur son entrejambe, ça ne facilite en rien mon apaisement. Je lui dis oui mais elle ne bouge pas pour autant, elle attend que je le lui tende. Je me vois obligé de me redresser pour me tourner, l’attraper, puis je me tourne vers elle pour le lui donner.Cette fois, c’est elle qui profite du spectacle de ma verge dressée.C’est étrange, Julie est plutôt ronde, avec des formes, certes très fermes, mais ronde malgré tout et pourtant elle semble assumer plus facilement que moi son corps. Elle me reluque sans gêne, et tout ça devant son copain. Daniel se plaît à nous regarder faire mais ne dit rien. Julie me remercie et me demande comment le déplier, faisant semblant de m’écouter tout en ne quittant pas des yeux ma virilité érigée.Je me remets rapidement sur le ventre, gêné d’avoir été surpris dans cet état d’excitation sur une plage publique.C’est ainsi que se déroule ma première journée nu à la plage, accompagné de deux couples adorables et compréhensifs. Les conversations anodines vont bon train et chaque mouvement ou déplacement est prétexte à en rajouter. Enfin, pour les deux couples car moi je ne maîtrise pas grand-chose et mes érections répétitives – pas toutes dissimulées – me font perdre pied trop souvent à mon goût.Le soir, je les quitte en les remerciant, ravi de cette journée. Ils me proposent de revenir demain lundi, malheureusement je serai au travail.Alors Daniel me propose de venir en débauchant, histoire d’en profiter un peu, ce que j’accepte volontiers en leur disant à demain.***Ce lundi passe vite au travail et je m’emploie à plier ma journée rapidement en raccourcissant ma pause déjeuner devant mon PC.À 17 h, je quitte le bureau et je file à la plage du petit pont.Arrivé au parking, je me rends compte que je n’ai pas prévu tout mon nécessaire de plage. En fait, je n’ai pris que ma serviette et ma casquette.Je retire mes chaussures fermées et je me dirige vers la plage dans mon beau pantalon et en chemise blanche.À 17 h 45, il y a déjà un peu moins de monde.Je repère vite mes compères installés au même endroit qu’hier. Nous nous saluons et échangeons quelques banalités.Je remarque que leurs parasols se touchent aujourd’hui pour ne former qu’un abri ombragé.Ils m’invitent à poser ma serviette sous leur ombre, entre Daniel et Sandrine et face à Julie et Benoit.C’est avec un peu plus d’aisance que je me déshabille aujourd’hui, les choses me paraissent déjà plus naturelles.Je suis à peine assis que Sandrine me tend sa crème solaire.Ah, ça, c’est une chose pour laquelle je vais être moins à l’aise, coincé sous leurs regards.J’opte pour une technique de détournement de leur attention en entamant la conversation sur leur journée ici.Nous échangeons, nous parlons de tout et de rien et je me crème à leur côté comme si de rien n’était.Je me relève pour crémer plus facilement mes fesses, légèrement tourné vers Daniel pour me dissimuler de Sandrine.Celle-ci se propose alors de me mettre la crème dans le dos, je ne vois pas pourquoi refuser.C’est un étalage un peu musclé que je subis mais je ne m’en plains pas. Elle s’attarde sur mes épaules qui sont pourtant déjà bronzées puis le milieu du dos, inaccessible tout seul.Puis elle redescend sur mon bas du dos et sur mes fesses. Je suis surpris mais je n’ose rien dire car l’étalage reste toujours aussi musclé. Elle me prend la main et me dépose de la crème en me disant de m’occuper du devant pendant ce temps-là.Puis sa main reprend et descend loin sous mes fesses, je suis surpris. Sandrine qui m’a senti réagir me dit que c’est l’endroit le plus sensible aux coups de soleil… après les testicules bien sûr.De mon côté, je commence à étaler la crème sur mon sexe et mes testicules justement.Étrange sensation que de sentir des mains sur moi tout en discutant et en me crémant une partie du corps assez intime.Ce geste si anodin devient vite provocateur et cela se voit. Sandrine me donne une claque sur les fesses et me dit que c’est terminé. Je me retourne pour la remercier, oubliant mon érection naissante. Elle ne manque pas de me le rappeler d’un regard très appuyé. Je suis décidé à assumer l’homme que je suis et je m’allonge donc sur le dos à leurs côtés.Sandrine, allongée sur le côté et la tête soutenue par sa main, m’interroge sur ma journée.Je lui réponds en louchant grossièrement sur sa lourde poitrine.Je me sens bien parmi ces inconnus mais je ne suis toujours pas habitué à cette facilité de parler de tout et de rien, nus, et aussi proches.***À 19 h la lumière commence à changer et la plage se vide tout doucement.Je pars me baigner, suivi de Daniel et Julie. La mer est agitée aujourd’hui et les vagues sont assez grosses.Dans l’eau, nous rigolons et nous nous éclaboussons. On se pousse et on se bouscule sans retenue, les corps allégés et portés par le mouvement de l’eau et des vagues.Un rouleau plus fort que les autres vient faire tomber Julie sur nous. Nous l’aidons à se relever. Je vois clairement Daniel la relever, une main sur son sein droit.Puis nous reprenons nos jeux et Julie se fait à nouveau emporter, cette fois un peu plus fort. En arrivant sur nous, elle m’entraîne dans sa chute. Daniel nous rejoint et, campé derrière elle, les avant-bras calés sous ses aisselles et les mains plaquées sur ses seins l’aide à se relever.Julie ne dit rien ni ne précipite le retrait de ses mains baladeuses.Désormais, Julie se décide à rester juste devant nous pour éviter de tomber une nouvelle fois.Les vagues nous font danser d’un pied sur l’autre et nous ondulons au rythme des assauts salés. Chaque vague plus massive fait reculer Julie dont les fesses heurtent et s’appuient sur nos bassins respectifs et donc nos sexes.Je suis de nouveau surpris par cette jeune trentenaire – ou plus jeune d’ailleurs – qui s’assume avec une telle facilité et autant de naturel.J’en suis là de mes réflexions lorsque je sens sa main sous l’eau me saisir le sexe. Je jette un coup d’œil à Daniel qui continue de jouer avec les vagues lorsque j’aperçois la main droite de Julie bien accrochée à sa tige également.Julie nous tourne le dos et s’emploie de plus belle à sauter à chaque vague qui nous arrive dessus, ne lâchant à aucun moment ses précieuses bites d’amarrage.Elle rigole et s’amuse comme une enfant.De son côté, Daniel joue avec les remous tout en laissant ses mains se promener sur le corps de Julie, tantôt sur ses fesses, tantôt sur ses seins. Bien entendu, Julie n’y trouve rien à redire.En ce qui me concerne, je suis assez déconcerté et sûrement trop timide pour oser en faire de même. Le simple fait d’être tenu ainsi m’a mis à nouveau dans un émoi des plus visibles, heureusement la houle nous dissimule suffisamment.Une vague vient nous surprendre par sa force et nous emporte tous les trois jusqu’au bord de l’eau. Daniel et Julie, usés par ces jeux, veulent retourner à leur serviette mais mon état n’est pas vraiment adapté en ce qui me concerne.Julie m’attrape alors par la main et m’entraîne malgré moi dans la direction des parasols.Je remonte ainsi la plage, sous le regard des rares personnes qui profitent de cette fin de journée ensoleillée. Il faut dire qu’à proximité nous ne croisons que deux couples dont le premier ne fait aucun cas de ma vigueur et le second nous sourit tout en suivant notre déplacement.Arrivés aux serviettes, je constate comme mes compagnons de baignade le large sexe de Benoit encore plus raide que le mien et dont le gland encore luisant trahit les actes passés. Il est encore installé à côté de Sandrine, sur une serviette qui n’est pas la sienne.Personne ne semble donc choqué par ma modeste érection.La lumière commence à faiblir quand tous s’installent en cercle sur les serviettes et m’invitent à les rejoindre pour prendre un apéro vue mer.Pour le moment, comme nous sommes tous assis en tailleur, ce n’est pas la vue mer que j’observe. Le moment est très agréable, la lumière change alors que seuls quelques couples profitent du spectacle. Nous terminons cette journée dans la bonne humeur autour de blagues plus ou moins grivoises.Au moment de partir, Daniel me demande si je reviens demain car Julie et Benoit seront en promenade.Il me propose de les rejoindre ici en fin de journée et de dîner face au soleil couchant.