Un soir dans un bar, rue de la GaitĂ© Ă Paris 14°, alors que je sortais d’un spectacle, j’Ă©tais allĂ© prendre un verre Ă la terrasse d’un cafĂ©. On Ă©tait en mai et il faisait bon, mĂŞme assez tard et un soir en sortant d’un spectacle. J’avais tout mon temps et j’observais les gens qui m’entouraient comme j’aime le faire souvent…Je restais bien lĂ près d’une hure ou plus peut-ĂŞtre. J’allais partir quand je repère une femme plutĂ´t jolie pour ce que j’en voyais, accoudĂ©e au bar et qui me paraissait bien Ă©mĂ©chĂ©e, voire un peu plus… Je vous l’ai dĂ©jĂ dit les femmes un peu « paf » m’excitent et Ă©veillent en moi un vieil instinct de rut. Et gĂ©nĂ©ralement les observer ne fusse que quelques minutes me met Ă©normĂ©ment en Ă©rection. Celle-lĂ dĂ©clencha les mĂŞmes effets et je dĂ©cidais de rester un peu plus Ă la regarder… Elle Ă©tait en compagnie d’un homme encore plus saoul, affalĂ© sur le bout du comptoir. Elle Ă©tait assez fine et mĂŞme classe. Son aspect extĂ©rieur tranchait avec son comportement d’ivrognesse. Elle paraissait propre sur elle, plutĂ´t de bonne mise vestimentaire, enfin pas une pocharde, quoi… Ce dĂ©calage avait le pouvoir de m’exciter encore davantage. Et dans les soirĂ©es, mon attention se porte plutĂ´t sur les femmes un peu gaies, car je trouve que dans ces conditions, elles sont de  » meilleurs coups « .Elle Ă©tait blonde, enfin plutĂ´t blonde, les cheveux mi longs et soignĂ©s, et avait dans les 32 — 35 ans. En temps normal, il m’aurait plu de draguer cette jolie fille, si ce n’est qu’elle Ă©tait plutĂ´t saoule… Elle remarqua que je la regardais. Elle me fit un geste hĂ©sitant et peu construit d’invitation Ă la rejoindre. En m’approchant je vis qu’elle avait de beaux yeux bleus rendus brillants par l’alcool. Elle avait de jolis traits, fins et très fĂ©minins, un joli nez de femme sensuelle. Ses cheveux Ă©taient assez dĂ©faits, une mèche qu’elle ne pouvait tenir en place, lui retombait constamment en travers du visage, trait caractĂ©ristique des personnes qui ont bu…Elle m’adressa un sourire embuĂ© d’alcool et me tendit son verre vide. Je compris et demandais au garçon de lui remettre une tournĂ©e. Le corsage de sa robe assez lĂ©gère Ă©tait gĂ©nĂ©reusement rebondi ; pas trop cependant, compte tenu de la corpulence plutĂ´t mince la femme. Je remarquais que la naissance des seins prĂ©sentait dans l’ouverture du corsage, des sortes de ruisseaux, pouvant ressembler Ă des veines En y regardant de plus près, il Ă©tait facile de voir que ces sortes de veines Ă©taient faites par le breuvage qui avait dĂ©goulinĂ©.Le barman posa devant elle un whisky et une chope de bière brune. Je compris avec quoi elle se saoulait. Je su aussi un peu plus tard que c’Ă©tait une Irlandaise qui avait noyĂ© la tristesse d’un soir dans un arrosage plutĂ´t « sec ». En effet, elle m’expliqua dans un français assez approximatif qu’elle venait d’accompagner Ă la gare trois de ses meilleures copines, irlandaises comme elle, qui partaient faire un travail saisonnier dans l’extrĂŞme sud de la France… Elles avaient donc arrosĂ© cela copieusement. Elle me dit avec toutes les difficultĂ©s de prononciation que l’on devine, qu’elle en Ă©tait Ă son 9ème, ou peut-ĂŞtre 10ème, whisky — bière, elle ne savait plus au juste. Elle ajouta en me montrant le type endormi au coin du bar une fesse sur le tabouret et la tĂŞte sur son bras sur le comptoir, qu’elle en avait dĂ©jĂ Ă©puisĂ© un, mais qu’Ă son avis, il avait de l’avance quand elle Ă©tait arrivĂ©e…Elle voulu s’asseoir sur le tabouret, mais je dĂ» l’aider car elle n’arrivait pas Ă se soulever seule assez haut pour monter ses fesses sur le siège. Au moment oĂą elle s’installait sur son perchoir et alors que je la retenais pour l’empĂŞcher de chavirer en arrière, elle releva sa robe et son jupon trop haut et elle me donna Ă voir de très jolies jambes, fines, bronzĂ©es et des cuisses très fĂ©minines… Cette perspective juste entrevue me fit bander de plus belle. Elle avala d’un trait la moitiĂ© du whisky et d’un trait suivant, en trois 3 gorgĂ©es, la moitiĂ© du demi de bière. Elle avait une sacrĂ©e descente!!Elle me dit alors que j’Ă©tais un gentleman de lui offrir un coup Ă boire que j’Ă©tais plutĂ´t mignon et qu’elle aimait bien les français. C’Ă©tait, Ă l’en croire de bons baiseurs au lit… Et par association d’idĂ©es sans doute, elle enchaĂ®na en me disant qu’elle finirait bien la nuit avec moi, car j’Ă©tais un gentleman et je lui plaisais bien et que ne savais plus trop oĂą aller maintenant, incapable de retrouver son chemin… Pour me dĂ©cider peut-ĂŞtre, tout en me demandant si elle me plaisait Ă moi, elle Ă©carta les jambes et me montra ses cuisses et mĂŞme jusqu’Ă son petit slip rose…Je bandais comme un fou! Puis brusquement elle rabat sa robe entre cuisses et cache Ă ma vue ses dĂ©licieux appâts…Prenant son geste pour un recul de sa proposition, je lui dis que je pouvais lui appeler un taxi et mĂŞme de donner son adresse au chauffeur pour ĂŞtre plus sĂ»r… Elle se mit Ă rire et me dire que ce n’Ă©tait pas cela qu’elle voulait. Elle insista en se penchant vers moi au point de tomber si je ne l’avais pas retenue, que c’Ă©tait avec moi qu’elle voulait dormirJe lui dis qu’il n’y a rien de plus facile : mon hĂ´tel est Ă cinquante mètres, dans la rue Jolivet juste en face le Square G. Baty. Sans doute, sans avoir bien sĂ»r compris tout ce que je lui ai dit, elle acquiesce et vide son whisky « cul sec » et avale le reste de sa bière en longues lampĂ©es. Le liquide dĂ©borde de la chope et coule en longs filets sur ses joues, roule sur son cou et disparaissent dans le corsage… Puis elle saute du tabouret en prenant appui sur mon bras… Elle titube… Je la prends fermement par le bras et la soutiens jusqu’Ă l’hĂ´tel heureusement tout près.Heureusement encore, il y a un ascenseur. Sans doute sous l’effet du mouvement ascensionnel, elle est prise d’un violent hoquet et je crains un moment qu’elle ne vomisse dans l’ascenseur. Fort heureusement les choses se dissipent avec quelques rĂ´ts, ce qui a pour effet de la mettre en joie et elle part d’un grand fou rire. Nous arrivons au 4ème et je la fais entrer dans la chambre… Elle la trouve parfaitement Ă son goĂ»t. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Elle sent fortement la bière et l’alcool, mais je suis très excitĂ©, et dans la circonstance, cela ne me dĂ©range pas… Elle s’affale sur le lit et je l’y rejoins pour la caresser sur et sous ses vĂŞtements. MalgrĂ© son ivresse, elle apprĂ©cie les caresses et se pâme Ă demi… Elle ouvre les cuisses et je lui remonte sa robe aussi haut que possible. Je lui passe la main sur les cuisses et sur le slip. Je sens que l’entrejambes est mouillĂ©. Je ne pense pas qu’elle jouisse dĂ©jĂ ou qu’elle ait dĂ©jĂ joui… Je remonte ma main et sens mes doigts : la cochonne a dĂ» uriner Ă un moment sans doute dans le fou rire de l’ascenseur… Je repasse ma main par le slip… Il est bizarre : très ajustĂ© sur le fond, devant et derrière, il est flottant sur les cĂ´tĂ©s, un peu comme une culotte flottante de soie…En tout cas c’est extra pour passer la main par les bords et les cĂ´tĂ©s… Ma main rencontre une pilositĂ© soyeuse et mes doigts s’insinuent dans la fente que je trouve large, profonde et surtout avec des grandes lèvres très dĂ©veloppĂ©es et très grasses. La chatte Ă l’air Ă©paisse et sensuelle. Je bande de façon très affirmĂ©e.J’ai envie de la sucer et de la caresser nue. Je lui retire sa robe en la faisant asseoir sur le bord du lit, elle est complètement dans les vaps… Elle apparaĂ®t jolie en soutien gorge et en slip jupon. Le soutien gorge est maculĂ© de traĂ®nĂ©es de bière encore humide. De savoir qu’elle s’est souillĂ©e ainsi en buvant m’excite terriblement. Je lui enlève son soutien gorge, de très beaux seins biens dĂ©veloppĂ©s, pommĂ©s et bien fermes se montrent alors complètement. Les arĂ©oles sont très dĂ©veloppĂ©es et claires, les pointes dressĂ©es et bien fines…Je les langotte un bref instants, elle gĂ©mit doucement, montrant ainsi qu’elle sent très bien ce que je lui fais… Elle fait un bon 95 et a de très jolis seins. Je vais pour lui, retirer le jupon, mais oh!, surprise! : celui-ci est « attaché » au slip. En fait, c’est un slip très spĂ©cial que je n’avais jamais vu avant — et que je n’ai pas revu depuis : au niveau de la taille le slip retombe en « jupon » jusqu’au niveau des fesses un peu en dessous, au niveau de l’entrejambes Ă peu près, et fait un faux jupon, attenant Ă lui. J’Ă©carte un peu le bord du slip rose pâle presque blanc et j’aperçois le pubis poilu mais pas trop fourni… J’Ă©carte un peu plus bas et je vois la jolie chatte qui est endormie sous les replis des grandes lèvres. Je lui enlève la culotte jupon et son sexe m’apparaĂ®t avec une toison rousse fauve mĂŞme, et très soyeuse et pas trop Ă©paisse.Ma première sensation avait Ă©tĂ© bonne : elle a une chatte avec de très grosses lèvres qui enveloppent et dissimulent tout Ă la vue. La chatte proprement dite est peu poilue, et s’il y a quelques poils, ils sont très clairsemĂ©s au niveau des grandes lèvres… Je les Ă©carte et je dĂ©couvre une fente magnifique avec un clitoris très gros, Ă peu près comme le bout du petit doigt, qui sort de son capuchon et qui fait sailli en haut du con… En dessous des petites lèvres très dĂ©veloppĂ©es aussi, mais qui sont repliĂ©es sur elles mĂŞmes, sont très fines et très dĂ©coupĂ©es. La cochonne manifestement doit ĂŞtre très sensible de la vulve… J’Ă©carte les petites lèvres, superbe : la fente s’ouvre et me montre l’entrĂ©e du con très rosĂ©e et mouillĂ©e; au-dessus le clitoris sort un peu plus et pointe encore davantage… Je tire encore sur les bords de la fente. Le clitoris est maintenant dressĂ© et le trou Ă bites bien ouvert et montre tout les reliefs de la grotte d’amour… Je remarque que la belle salope doit se faire baiser assez souvent par des gros calibres vue l’entrĂ©e de la dite grotte avant dilatations… Je me demande comme elle doit ĂŞtre après!! .Je m’enfouis le visage dedans pour la lĂ©cher. Dès le premier coup de langue sur le clito et sur les lèvres Ă l’entrĂ©e du con la jolie blondinette rĂ©agit et gĂ©mit…Pourtant, le goĂ»t très fort et l’odeur très prononcĂ©e de l’urine me rendent intenable le fait de continuer, et j’aurais aimĂ© qu’elle fut propre de partout. Je dĂ©cide de la mettre sous la douche. Je me dĂ©shabille rapidement Ă mon tour, puis, je la fais lever tant bien que mal et l’emmène Ă la douche… J’ai du mal Ă la faire tenir debout tant elle est ivre et elle se cale Ă demi flĂ©chie sur la paroi. Je commence Ă lui faire couler de l’eau dessus et lĂ elle se met Ă pisser, dru et tendu. Le jet passe largement au-dessus du bord de la baignoire et je le prends en pleine poitrine. La salope me pisse dessus et de la voir pisser ainsi m’excite très fortement. Je bande Ă fond et je dĂ©cide d’aller me doucher en mĂŞme temps ce qui sera plus facile pour la retenir sous la douche. Je lui lave la poitrine, le corps et en particulier l’entrejambes.M’accroupissant dans la baignoire derrière elle, je lui Ă©carte les fesses et je regarde en dĂ©tails sa rosette que je trouve très Ă mon goĂ»t. J’y enfonce un doigt avec dĂ©licatesse, il entre sans aucun mal. Je pense qu’elle doit aussi se faire enculer. Je lui Ă©carte au maximum les fesses, je lui fais mettre un pied sur le bord de la baignoire et toujours accroupi derrière elle je lui darde ma langue dans le cul, elle gĂ©mit de nouveau. Puis passant la tĂŞte entre ses cuisses, je lui lèche le clito, les lèvres… Puis, j’avance fort avant la langue dans le trou Ă baiser. Elle chancelle et gĂ©mit davantage encore… Me mettant debout derrière elle, je lui passe ma bite sur toute la longueur de la fente depuis le clito jusqu’au trou du cul, dans un lent va et vient.. Brusquement je sens un liquide chaud sur ma bite, elle pisse de nouveau abondamment et en longs jets qui vont jusque dans la pièce, elle ne peut plus se retenir de pisser et se cramponne aux parois carrelĂ©es de la salle de bain… Je n’y tiens plus et retirant ma bite d’entre les lèvres de sa vulve, je dĂ©charge en lui aspergeant les fesses et le trou du cul… Elle a une vellĂ©itĂ© d’orgasme et manque de tomber dans la baignoire… Je la fais sortir et je l’essuie, puis l’amène au lit, lĂ elle me dit Ă grand peine qu’elle croit bien qu’elle est un peu saoule, mais qu’elle veut me sucer pour me remercier.Je me mets en 69 sur elle et lui donne ma bite Ă sucer pendant que je lui lèche la fente et le trou du cul… Mais au bout de quelques secondes, elle s’endort avec ma bite dans la bouche. Je continue de la langotter mais elle ne rĂ©agit plus et je m’endors moi aussi…Le lendemain matin, ce fut le festival, c’est elle qui me rĂ©veilla sur le coup de 6 heures par une superbe pipe qui me fit dĂ©charger un premier coup en beautĂ© avant que je n’ai eu le temps de me rĂ©veiller… Puis elle me reprit en bouche et me rĂ©veilla tout Ă fait quand elle vint se baiser sur ma queue Ă laquelle elle avait redonnĂ© toute sa vigueur.C’Ă©tait avant les « annĂ©es Sida ». Elle eut un orgasme violent et en continu en se baisant sur ma bite comme ça…Puis Ă 8 heures du matin, elle me rĂ©veilla de nouveau et me redonna toutes les forces pour que je l’encule Ă sa demande, elle aime bien cela mais seulement si les amants ne sont pas trop bien montĂ©s, parce qu’ajouta-t-elle avec un fort accent :-  » Ca fait souvent plus de mal que du bien! »… Elle se fit donc enculer pour finir. Puis, elle me remercia et descendit, seule, ne voulant pas que je l’accompagne. C’Ă©tait vraiment un super coup…Je l’ai revue 5 ou 6 ans après au restaurant de la tour Montparnasse oĂą elle travaille. Elle m’a Ă peine reconnu et pour cause, mais moi je suis sĂ»r que c’est elle, mĂŞme si nous avons pris l’un et l’autre quelques annĂ©es de plus…Elle y Ă©tait encore l’annĂ©e dernière… Pourtant je ne l’ai pas remise dans un lit… Dommage…Dominiknic, dĂ©cembre 2011