Loris, 18 ans, et Énora, 46 ans (2)
Enora s’arrange pour qu’Eric quitte la maison. Elle va pouvoir en profiter pour continuer à s’amuser avec Loris…
Proposée le 6/05/2020 par Aldorus Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Je me levai à 11 heures le lendemain. Éric et Antonia, sa copine, prenaient déjà leur petit déjeuner au comptoir de sa cuisine américaine avec sa copine. Nous nous claquâmes la bise, mangeâmes un morceau puis nous dirigeâmes vers les transats et la piscine du jardin pour fumer un joint.
Cependant j’avais la tête ailleurs. Ce petit jeu auquel Énora s’était livré avec moi me laissa songeur toute la matinée. Je fis quelques brasses dans la piscine, espérant penser à autre chose. Au contraire les baisers, les caresses, la fellation partagés cette nuit avec Énora m’occupèrent tout entièrement. Je finis donc par m’allonger sur un transat et regarder le ciel.Nous déjeunâmes à 13 heures. Énora s’était réveillée et nous avait préparé un rôti de bœuf. Elle nous fit à tous la bise, moi en dernier, et en profita pour effleurer mon entrejambe pendant qu’Éric avait le dos tourné. Je me sentis durcir instantanément. J’avais à peine eu le temps de me remettre de cette nuit que ses avances reprenaient de plus belle. Ne s’arrêtait-elle donc jamais ?
Nous déjeunâmes rapidement pour permettre à Antonia de s’en aller pour la journée. Des missions bénévoles l’attendaient à 15 heures en maison de repos. Énora était assise à ma gauche à la table de la salle à manger et me fit du pied pendant tout le repas. Je me demandais si je parvenais à bien cacher mon trouble. Mais Éric et Antonia gloussaient et se chamaillaient comme des enfants de huit ans, je ne devais pas avoir à trop m’en faire.Je ne pris pas de dessert et aussitôt Antonia partie, Éric et moi remontâmes dans sa chambre et allumâmes sa PlayStation 4. J’affrontai distraitement mon pote à un jeu de baston. J’avais choisi une guerrière à la chevelure rousse flamboyante et la poitrine généreuse. Évidemment. Je me faisais battre sans arrêt. Éric était trop emporté par l’excitation de la victoire qu’il ne prêtait pas attention à mon air troublé.
Sa mère l’appela depuis le rez-de-chaussée. Il mit le jeu en pause, m’invita à ne pas tricher en son absence et sortit de sa chambre. En l’attendant je pris le temps de répondre à mes messages.
Il revint deux minutes plus tard.
– Bon ma mère attend un colis et elle m’envoie faire une course. Je vais prendre la bagnole, j’en ai pour une heure et demi.
Mon cœur battit à tout rompre. Énora l’avait-elle fait exprès ? Ce départ était suspect. D’autant plus avec un regard sur la nuit de folie que je venais de passer. Je me retrouverais seul avec elle… Ça pourrait être intéressant.Éric rassembla quelques affaires et m’enjoignit de jouer à ce que je voulais, puis il redescendit.
La simple idée de son absence déclencha chez moi une nouvelle érection. J’étais pris de remords mais affreusement excité. Je déverrouillai mon téléphone et ouvrit ma conversation avec Énora, puis visualisai la photo qu’elle m’avait envoyée de son sexe. Je le contemplais en grand écran en me touchant à travers mon jean. J’avais décidément encore du mal à me détacher de la nuit dernière. Je repensai à ces coups de langue que je lui avais appliqués…
Pendant que je fantasmais sur une levrette avec elle, je reçus un message de sa part. Je ne le lus pas tout de suite, ma tremblote ayant repris. Espérant dans ma tête une nouvelle invitation, je ne fus pas déçu en découvrant son contenu.
« Viens me voir dans la cuisine. »J’espérais qu’elle me réinviterait. Je l’espérais fort. Mon érection ne trompait pas. Mais, encore décontenancé par la soudaineté de son rentre-dedans je n’eus pas immédiatement le courage de lui répondre. À la place je déboutonnai mon jean, attrapai mon calibre directement sous mon boxer et recommençai à me branler sur son sexe. Je passai cinq bonnes minutes à imaginer dans quelles positions je pourrais la fourrer quand Énora m’envoya un nouveau message.
« Bah alors mon petit cœur, on me délaisse ? »
Quel goujat devais-je faire. Je décidai de me montrer poli (non sans rêver de sa croupe en même temps) et rangeai mon engin. Je sortis de la chambre d’Éric et descendis les escaliers. J’entrai dans la cuisine. Énora s’y trouvait, derrière le comptoir. Je ne fus pas surpris de voir ce que je vis : sa tenue se résumait à un négligé vert hyper moulant, descendant jusqu’au bras des fesses, transparent en ligne droite depuis les seins jusqu’au haut des jambes. Cette coupe me laisse m’apercevoir que la mère d’Éric ne portait pas de culotte.
Mon appétit fut aiguisé de bien des façons. Le comptoir était encombré d’aliments sucrés. Yaourts, crème fouettée, pâte à tartiner, confiture, fruits, et même une petite glacière… Je repensai au fait que je n’avais pas pris de dessert. Énora avait-elle quelque chose derrière la tête ?- Ah, Loris mon petit cœur, j’ai eu peur de t’avoir traumatisé (petit clin d’œil). Allons, viens t’asseoir ! ajouta-t-elle en me désignant un tabouret placé sur le rebord du comptoir opposé au sien.
J’y pris place et commença à triturer nerveusement mes doigts. Énora alternait lascivement des poses plus suggestives les unes sur les autres en minaudant doucement. Quelle surprenante mise en scène.- Alors euh… commençai-je tout penaud. Éric est allé où ?
Énora éclata de rire.
– Ne t’inquiète pas il ne risque pas de revenir avant un moment. Je l’ai envoyé chercher du matériel de bricolage, et il faut aller plutôt loin pour ça.Elle me fit un clin d’œil concupiscent et se mordit la lèvre en commençant à grimper sur le comptoir. En six secondes elle s’y tenait à quatre pattes, me faisant face et me caressant la mâchoire inférieure tout en se pourléchant les babines.
– Mmmmh j’ai envie de te croquer tout cru mon petit cœur, me glissa-t-elle dans un murmure aguicheur.
Puis elle fit fusionner nos bouches. Elle en profita pour me caresser la nuque et les hanches en même temps. Ne sachant trop que faire j’attrapai ses seine rebondis et les malaxai furieusement. Sa position rendait ma prise plutôt hasardeuse mais je me débrouillais suffisamment pour arracher quelques soupirs de plaisir à Énora.Tout en m’embrassant, sa main experte était descendue jusqu’au bouton de mon jean, qu’elle avait fait sauter d’un geste. Elle n’eut pas à prendre la peine de dézipper la fermeture, je m’en étais déjà chargé dans la chambre d’Éric. Mon pantalon tomba d’un coup. Sa main agrippa mon membre à travers le polyester de mon boxer et commença de lents mouvements de masturbation.
Séparant ses lèvres des miennes, elle m’affubla d’un regard des plus coquins et me fit un clin d’œil du même acabit. Sa main libre faisait imprimer à son index des mouvements m’incitant à la rejoindre. Je me débarrassai de mon t-shirt et grimpai sur le comptoir. Plutôt large heureusement. Nous nous y tenions à genoux.Énora fit descendre mon boxer le long de mes cuisses et attrapa mon membre.
– Mon petit cœur, je vais te dévorer crois-moi.
Puis les choses prirent une tournure étrange.
Elle avait ouvert un pot de confiture de fraise et avait plongé la main dedans. Elle posa ensuite celle-ci sur ma verge et commença à la branler. Mon membre fut aussitôt recouvert de confiture tiède et poisseuse, dont l’excédent tombait et salissait le comptoir. La sensation était bizarre… Mais, étrangement, pas désagréable. Ma bite envahie de cette substance fut prise d’une vigueur nouvelle. Je bandais de plus belle. Énora s’en rendit compte et lâcha prise pour prendre mon engin en bouche. Elle imprima de lents et puissants mouvements de succion sur toute sa longueur, m’arrachant des gémissements incoercibles. Je ne me sentais pas uniquement pompé, je me sentais aussi nettoyé. Sa langue faisait consciencieusement le tour de sa circonférence, recueillant la moindre trace de confiture qu’elle eut pu trouver. C’était incroyable.
Une de ses mains caressait mes couilles, les enduisant à leur tour de confiture. La suite était évidente. Une fois qu’elle m’eût pompé entièrement, sa bouche descendit vers mes bourses et les nettoya avec tout autant d’application. Elle se redressa et replongea sa main dans le pot ouvert et enduisit ses seins de confiture.
– À ton tour Loris, tu dois avoir faim nom ?
J’allais le prendre, finalement, ce dessert.
Je plongeai ma tête vers sa poitrine avec appétit. Je commençai à téter ses mamelles durcis. Le goût de la fraise et d’Énora envahit immédiatement ma bouche. Je m’appliquai ensuite à ne pas laisser une trace de confiture sur sa généreuse poitrine. Je n’allais pas mourir de faim. Ma langue et mes lèvres en fouillèrent les moindres recoins. Juste avant que je ne finisse, Énora s’était emparée de la pâte à tartiner et d’un couteau à beurre. Elle en tartina ensuite ses tétons.
– Allez mon petit cœur applique-toi, il ne doit rien rester. Je me remis à l’ouvrage. Plus dense, cette substance requérait plus d’application. J’en léchais tout ce que je pouvais, par petits à-coups. Il en restait toujours un peu, et je dus passer ma langue avec force dans les petits replis de ses tétons pour les en débarrasser complètement, ce qui lui arrachait des gémissements de jeune pucelle. Je devais bien faire le travail.
Elle me fit ensuite allonger de tout mon long sur le comptoir. Du haut de mon mètre 78, j’y tenais encore un peu. Elle ouvrit ensuite un yaourt et en fit couler le contenu sur ma verge. Le contact avec cette texture froide me fit sursauter, ce qui lui arracha un gloussement. Je n’étais en effet pas au bout de mes surprises. Elle avait également ouvert la glacière et en avait sorti une boîte de glace au chocolat ainsi qu’une cuillère à glace. Sans eau chaude à sa disposition, elle en arracha plus un morceau qu’une boule, bien que de belle taille, et le fit tomber au niveau de mon nombril. Glacial cette fois-ci, je ne pus réprimer un frisson. Énora enfin replongea sa main dans le pot de confiture et se caressa langoureusement. Elle se positionna par-dessus moi en 69 et m’offrit sa vulve poisseuse de fraise tandis qu’elle s’affairait à nettoyer mon chibre de tout le yaourt qu’elle avait renversé. Je compris également l’utilité de la glace : elle était au niveau de ses seins et ne risquais pas de tomber, emprisonnée ainsi. Le froid mordant qui prenait place à cet endroit me tendit et, chose surprenante, décupla ma libido. Quelle ingénieuse, pensai-je.Je ne perdis pas de temps et me remis à l’ouvrage. Je passai tout d’abord ma langue sur l’intérieur de ses cuisses, victimes de ses caresses poisseuses. Une fois cette zone plus ou moins clean je m’attaquai à son vagin. La fureur de sa fellation décuplait mon ardeur. Dès que je passai ma langue entre ses grandes lèvres, le mélange de sa mouille et de la fraise fut un nectar. Conquis par une telle saveur, je passai en revue les moindres replis de sa chatte, jusqu’à y enfoncer ma langue le plus profondément que je le pouvais. Énora avait poussé un cri. Du chocolat fondu coulait à flots sur le comptoir. Tant de fraîcheur commençait à me faire mal mais ne m’interrompit pas, bien au contraire.
Tandis que je faisais durer mon périple lingual, j’entendis ma cougar déboucher la bombe de crème fouettée. Un bruit de siphon puis je sentis le contact froid et crémeux envahir mon érection, et Énora continuer de me masturber pour en imprégner toute la longueur. C’était doux, moelleux et confortable. Mille fois mieux que la confiture. Je poussai un soupir de plaisir qui ne laissa pas Énora indifférente. Elle dut faire fonctionner la bombe pendant dix secondes en continu. Mon corps et le comptoir étaient recouverts de crème fouettée. J’avais fini de relécher toute la confiture étalée sur son con, elle se retira et m’enjoignis de me remettre à genoux. Elle d’étala à son tour de son long et la totale suivit : elle étala dans le creux de sa poitrine confiture, pâte à tartiner, yaourt et crème fouettée. Je compris ce qu’elle attendait de moi. Je n’eux pas à me faire prier. Je m’approchai d’elle et posa mes genoux de chaque côté de son corps. Elle se releva légèrement sur les coudes pour faciliter les mouvements de pénétration et enferma ma verge entre ses nichons. J’effectuai des mouvements frénétiques, m’imaginant enserré en elle. Le contact de toutes les substances à la fois produisait son effet : collant, visqueux, liquide, crémeux tout à la fois, je n’avais jamais ressenti un plaisir pareil, je bandais, grognais comme un forcené. Sous mes coups de reins, le mélange jaillit en geysers informes par le creux supérieur de ses seins, avant que le mélange ne se stabilise. Ça glissait avec facilité, Énora agitait même ses nichons de haut en bas pour accélérer la cadence. Elle me regarda, la bouche déformée en O et les yeux révulsés, pantelante. Mes allers-retours provoquaient des bruits gluants et obscènes. Tout m’excitait au plus au point, je me sentis venir. Énora dut s’en apercevoir, à l’écoute de mes grognements à peine contenus. Elle se rua sur mon entrejambe recouvert de mélange sucré et entama une fellation sauvage. Je tins à peine trois secondes avant d’exploser, pendant qu’elle avalait ma bite et ma semence en gorge profonde. De longs jets fusèrent directement dans son œsophage. Elle toussa mais ne bougea pas. Elle pompa ensuite goulûment mon gland, aspirant jusqu’à la dernière goutte de sperme qu’elle pouvait recueillir. Quelle cochonne.Elle se redressa pour me faire face. Nous étions sales. Un mélange informe constellait le comptoir, sur lequel je glissais, le bas de mon corps et l’intégralité de celui d’Énora. Je me régalais en silence, trop abasourdi pour prononcer un mot.
– Tu as peut-être fini, Loris… mais pas moi, minauda-t-elle en s’emparant d’une banane dans la coupe à fruits.
Elle la pela entièrement pour révéler un fruit courbé, sans aucune brunissure et étonnamment long. Que mijotait-elle encore ?Tenant la banane de ses deux mains, elle se mit à la lécher sur toute sa longueur, ne se privant pas de me targuer de ses œillades les plus perverses. Elle en cracha sur le sommet et laissa la salive couler jusqu’à sa première main, avant d’opérer de lents mouvements de bas en hauts, suffisamment délicats pour ne pas la rompre. Puis elle mima une fellation dessus, sans jamais détourner ses yeux des miens. N’arrêtait-elle donc jamais avec sa bouche ?
Elle fit descendre le fruit le long de son corps sublime, le faisant passer entre ses seins, puis elle posa ses fesses sur le comptoir, écarta souplement les jambes et positionna son extrémité à l’entrée de sa vulve. Allait-elle vraiment faire ça ? Ça paraissait quand même dégoûtant. Mais elle semblait savoir y faire. Et moi, malgré mon appréhension, j’étais fasciné.Elle introduisit doucement son objet et entama de délicats va-et-vient. Elle ferma les yeux, afficha une grimace de plaisir et soupira. Tétanisé, je ne savais quoi faire, Énora semblait bien se débrouiller toute seule. Je me contentai de caresser ses mollets, embrasser ses cuisses. Elle n’accélérait pas, et conservait la même allure tout au long de son godage fruité. N’ayant introduit que la moitié de la banane, elle la retira délicatement, la retourna et me la tendit.
– Vas-y. Doucement.
Je m’en emparai avec précaution. Pas question de faire le guignol et de la casser. J’essayai de reproduire ses gestes avec le plus de délicatesse possible mais c’était difficile. Sa cyprine rendait la banane fragile et glissante. Mes mouvements étaient lents mais Énora semblait tout de même en profiter. Elle tendit le bras pour attraper la crème fouettée et en aspergea ce qui me faisait office de manche.
– Régale-toi. (Clin d’œil encore.)Je compris. J’en introduisis le plus que possible dans ma bouche et croqua. Un délice. La saveur de la mouille d’Énora mêlé à la texture ferme d’une banane tout juste assez mûre, et l’onctuosité de la crème. Je n’aurais pas pu espérer meilleur dessert pour aujourd’hui. Je sentis ma vigueur reprendre, ce qui ne put échapper au regard acéré de ma compagne. Elle retira le reste du fruit de son vagin désormais enflé, le mangea de la même manière que moi et attrapa mon membre pour l’attirer vers son sexe.
– Prends-moi mon petit cœur, baise-moi, défonce-moi, laboure-moi comme la salope que je suis !Alors ça y est, ça allait bel et bien se produire ? Ce fantasme inavouable prenait réalité ? Jusqu’ici les choses s’étaient résumées à des préliminaires, fort épicés évidemment, mais là c’était d’un tout autre niveau. J’étais sur le point de baiser une femme dans ma tranche d’âge préférée, la mère de mon meilleur ami qui plus est, et encore mieux une femme sur qui je fantasmais depuis longtemps, qui m’adressait en supplément les invectives les plus salaces possibles ! Quel veinard ! Je me retins de me pincer et me positionna. Ma queue pénétra Énora en même temps que je lui roulai une grosse pelle.
Chauffé à blanc, je n’y allai pas de main morte. Je lui donnai des coups de bassins fermes et rapides, une main posée sur chacune de ses fesses pour faire suivre le mouvement. Elle éructa des mots crus, m’invita à la fourrer jusqu’aux couilles, à déglinguer sa chatte de salope, à la bourrer, à taper dans le fond. Mon corps fusionné au sien fut à son tour recouvert de crème fouettée et de yaourt mais je m’en foutais : je vivais cet instant comme un rêve. Son con était poisseux à cause de la confiture, mais surtout doux et bouillant. Je me sentis aspiré. Elle avait contracté ses muscles et s’apprêtait à jouir. Poussé à bout par ses hurlements incontrôlables et sa chaleur, je tins en tout trois minutes avant de pousser un grognement de libération et d’éjaculer une deuxième fois, tout au fond d’Énora, tandis que celle-ci jouissait aussi.
– Un vrai champion ! s’exclama-t-elle au pic de son orgasme.Tous les deux éreintés, nous restâmes dix minutes dans les bras l’un de l’autre, moi refusant de me retirer tant je me sentais bien dans la chaleur de cette déesse, elle me léchant le cou et les oreilles. J’étais sur un petit nuage. Énora était parfaite. Allait-on en rester là ? Je ne l’espérais pas…
Elle me fit signe de me relever à l’aide de trois tapes sur les fesses.
– Allez mon petit cœur va te doucher, il ne s’agirait pas qu’Éric nous surprenne. Je m’occupe de ranger tout ça.
Elle me gratifia d’un clin d’œil coquin tandis que je ramassais mes fringues et me dirigeai vers l’étage.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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