Ma femme, moi…et son collègue
L’histoire qui suit est celle qui nous est arrivée à ma femme et moi-même il y a déjà quelques années de cela. C’est une histoire de fantasme de partage d’épouse qui s’est concrétisé comme cela arrive à certains de couples complice. Néanmoins j’ai changé quelques détails par-ci par-là afin de préserver un certain anonymat.
Proposée le 9/12/2020 par Wiseguy55 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHHLieu: Bureau, travailType: Histoire vraie
Nous avions un petit « rituel » qui consistait pendant que nous faisions l’amour à faire de longs préliminaires en nous racontant tous nos fantasmes et toutes les envies qui nous passaient par la tête.Très vite, il est apparu que nos histoires tournaient toujours autour du même sujet : faire participer d’une manière ou d’une autre un homme dans nos jeux. Cette idée nous excitait l’un et l’autre à chaque fois de plus en plus. Ce petit jeu a duré des mois, peut-être même des années. Les films pornos mettant en scène ces situations et les accessoires achetés afin de fournir à ma femme une « autre sensation » ont assez vite montré leurs limites. Je pense que nous savions tous les deux qu’un jour on franchirait le cap… Il fallait juste que l’on se sente prêt et que l’occasion se présente.Et cette occasion s’est présentée assez rapidement une fois que nous nous sommes décidés.Il faut dire que ma femme est vraiment belle, de taille moyenne, mince, longues jambes surplombées de fesses rondes et une petite poitrine ferme comme celle d’une gamine, de longs cheveux blonds, yeux bleus, allure sportive, quelques petits tatouages et piercings habilement répartis et surtout un côté sexy et provocateur dont elle aime jouer. Elle était au début de la trentaine, cet âge ou les femmes sont les plus dangereuses, le temps n’a pas encore produit ses effets et celles ne sont plus des gamines. Elles savent ce qu’elles veulent et savent comment l’obtenir.Il ne lui fallut que quelques jours pour se rapprocher d’un de ses collègues de travail. Elle m’avait déjà parlé de lui plusieurs fois dans nos moments intimes. Je savais que ce gars lui plaisait. Et pour cause, c’était un type très sportif, très musclé, regard bleu acier…Sous prétexte de faire un peu de sport à la pause déjeuné, elle lui a proposé d’aller faire des longueurs à la piscine voisine de leur bureau. Rendez-vous était pris pour le lendemain.Les choses se précisaient, le soir nous en avons parlé ma femme et moi. Il était encore temps d’arrêter la machine, de continuer notre petit rituel comme avant. Sauf que… Au lieu de cela nous avons convenu des limites, de ce que j’étais prêt à accepter ou non mais aussi de ce que j’attendais comme contrepartie si elle se faisait sauter par ce gars. En gros, quel que soit l’endroit de son corps où il mettrait ses doigts, j’aurais le droit d’y mettre ma bite. Il n’avait pas le droit de la sodomiser, ça m’était exclusivement réservé. Elle pouvait baiser avec lui autant de fois qu’elle le désirait mais à chaque fois qu’elle le ferait elle serait sodomisée une fois rentrée à la maison.Le premier jour à la piscine, il ne s’est rien passé. Elle a simplement appâté le client. Elle avait mis pour l’occasion un maillot une pièce orange relativement échancré et un peu trop petit ne laissant aucun doute à un observateur un peu attentif sur l’aspect totalement lisse de son petit bonbon.J’appris le soir même qu’il n’en avait pas loupé une miette, il n’avait même pas fait l’effort de tenter de dissimuler ses regards ni sa satisfaction de la voire ainsi vêtue lui disant qu’elle était bien sexy pour simplement faire des longueurs. Ce à quoi elle avait répondu qu’il fallait être sexy en toutes circonstances parce qu’on ne sait jamais…Une fois de plus, le soir elle me fit part de son excitation, et du fait qu’il était musclé « de partout », que son slip de bains ne laissait aucun doute à ce sujet. Une fois de plus nous nous sommes couchés de bonne heure et ce soir-là, alors que je lui léchais le clitoris, je lui ai enfoncé d’abord un puis deux doigts dans l’anus afin de la préparer à ce qui l’attendait dans les jours à venir. D’abondantes sécrétions lui ruisselaient entre les fesse ce qui rendait mon « effraction » plus facile. Je l’ai ensuite retournée sur le ventre et me suis placé à califourchon sur ses jambes jointes, je lui écarté sa vulve de mon pouce et de mon index, l’ai pénétrée d’un coup et, la maintenant fermement sous mon poids, lui ai dit qu’elle était à moi, que j’étais aux commandes. (Et oui, on se berce d’illusions complétement idiotes quand on est sur le point de jouir.)Quelques jours plus tard, au petit déjeuné, ma femme m’annonce qu’à midi elle ira déjeuner avec son collègue. Le vendredi ils disposent d’une heure de table plus longue me rappelle-t-elle. Elle s’éclipse ensuite dans la salle de bains pour se préparer. Elle prend beaucoup de temps ce matin-là, encore plus que d’habitude. Je remarque alors que son sac à main est posé sur le comptoir de la cuisine. Il est entrouvert et je peux y voir trois préservatifs suffisamment en évidence pour que ce ne soit pas le fruit du hasard. Elle voulait que je les remarques. Elle sort de la salle de bains à ce moment-là et me lance « ben quoi ? » avec un sourire et un regard que je reconnaîtrais entre mille. Je sens mon cœur cogner dans mes tempes, j’ai un afflux de sang immédiat en direction de mon sexe. Je n’y tiens plus, je l’attrape par la taille et colle son pubis contre le mien. J’ai envie d’elle là, sur le comptoir de cuisine. Elle se dégage et me dit simplement « ce-soir ». C’est au moment où elle se recule que je me remarque sa tenue : elle a mis son petit jeans taille basse délavé qui lui colle à la peau comme si il avait été cousu sur elle, un chemisier blanc dont je sais pertinemment que les deux boutons du haut ont tendance à s’ouvrir « inopinément ». Ce genre de petit chemisier cintré au niveau de sa fine taille, un peu court qui laisse apercevoir un peu de peau et par là même l’amorce de ses fesses pour peu qu’elle lève les bras. Elle pivote sur elle-même me laissant voir un tout petit bout de dentelle noire formant le « T » de son mini string, celui qui me rend dingue. Ses petits bottillons à talons soulignent encore un peu plus son incroyable silhouette. Mais en plus de tout ça, elle s’est particulièrement appliquée à se maquiller et sent terriblement bon. Elle est à la fois totalement irrésistible, sexy et aguicheuse mais sans la moindre vulgarité. Une petite veste légère suffit à dissimuler ces trésors à toute personne à qui elle ne voudrait pas les montrer. Je suis totalement sous son charme, même après cette dizaine d’année de vie commune. L’espace d’un instant j’ai une hésitation : et si elle tombait amoureuse de son collègue, et si elle prenait goût au sexe hors mariage mais cette fois sans mon consentement, et si…, et si…Mais les hormones prennent le pas sur la raison et tout ce que j’arrive à lui dire c’est « sois prudente » « promis » me répond-elle et sort de la maison.La matinée est longue, vraiment longue. Je ne fais rien de bon au boulot. J’attends un message de ma femme, un appel, n’importe quoi. Ce message arrive vers 14H00, bref, laconique : « Ta petite femme n’a pas été sage. A ce soir mon Amour ». J’ai le souffle coupé, les jambes en coton et surtout une érection quasi immédiate qui me brûle et me tord toute la région pelvienne. Des questions se bousculent dans ma tête : jusqu’où a-t-elle été ? S’est-elle uniquement fait pellotter, doigter, ou s’est-elle fait pénétrer ? Quel orifice lui aura-t-elle offert ? Sa bouche ? Son sexe ? Son cul ? Pourvu qu’elle ne lui ai pas offert son cul… Je devrai attendre le soir pour avoir des réponses. Ce soir-là en rentrant du boulot je suis dans un état d’excitation et de nervosité extrême. Elle est déjà à la maison au moment où j’arrive. Elle m’attend dans le séjour, elle ne s’est pas changée, elle veut me faire profiter des odeurs qui flottent encore légèrement sur elle. A son regard et son attitude je vois qu’elle est au comble de l’excitation. N’en aurait-elle pas eu assez ce midi? Je sais à ce moment précis qu’on va passer une soirée exceptionnelle. Elle m’embrasse et se colle à moi. Puis se recule un peu et me souris. « Et alors ? Raconte ! » lui dis-je.La suite du récit est une retranscription assez fidèle de ce qu’elle m’a raconté.« « Au début du repas il ne s’est pas passé grand-chose, on parlait de tout et de rien. A un moment on a commencé à faire de plus en plus de sous-entendus, de phrases à double sens. On se demandait ce que diraient nos collègues de nous savoir chez lui seulement tous les deux, ce qu’ils allaient s’imaginer. Il m’a alors demandé ce que TOI tu dirais si tu savais que je déjeunais seul avec lui, dans son appartement. Je lui ai simplement dit que tu étais au courant et que ça ne te dérangeait pas. Je n’osais pas aller plus loin et je pense qu’à ce moment-là lui non plus. On a continué nos petites allusions et très vite il était temps de repartir travailler. C’est au moment de partir, juste avant de franchir la porte de son appartement qu’il m’a plaquée contre le mur et m’a embrassée. Il a déboutonné mon chemisier et glissé sa main dans mon soutien. J’ai directement mis ma main contre la bosse que formait son jeans et je me suis rendu compte qu’effectivement sa bite devait être vraiment grosse. Il a lâché ma poitrine, ouvert ma ceinture, déboutonné mon pantalon et mis sa main dans mon string. Il a immédiatement glissé un doigt dans mon vagin ignorant complétement mon clitoris. Au passage il frôla l’anneau fixé à ma petite lèvre, s’arrêta un court instant, me dit « alors là, si je m’attendais ! ». Ca a dû l’exciter très fort car en plus de son majeur il m’a introduit deux autres doigts. Je mouillais tellement et j’étais tellement dilatée que ces doigts sont rentrés sans la moindre douleur. Pourtant il a de grosses mains. Et pendant qu’il me fouillait, il introduisait sa langue dans ma bouche. Il a ensuite sorti sa queue de son pantalon, m’a fait m’agenouiller et me l’a mise en bouche sans me demander mon avis. C’est là que je me suis rendu compte que sa bite était vraiment impressionnante. Longue, épaisse et veineuse, j’avais du mal à la contenir. Je l’ai sucé deux ou trois minutes tout au plus ensuite il s’est retiré et à jouis dans un mouchoir. Comme quoi, on peut être brutal et gentleman à la fois. L’horloge avait filé et il était urgent de retourner travailler. Il fallait en plus de cela arriver séparément. On s’est croisé une fois ou deux dans les couloirs dans l’après-midi et j’ai continué de mouiller bien après avoir quitté son appartement. Je regrette de ne pas avoir joui, j’aurais aimé qu’il me caresse encore une ou deux minutes de plus, j’étais au bord. » »En entendant son récit, j’ai senti monter une excitation d’une intensité insoupçonnée. La pointe de jalousie mêlée aux images mentales de ma femme se faisant tripoter comme une gamine et s’agenouillant, soumise à une grosse bite me donnaient des douleurs aux testicules tellement elles étaient pleines. J’ai poussé ma femme sur le canapé, lui ai brusquement enlevé son jean, basculé ses jambes en arrière, fait glissé son string détrempé sur le côté et commencé à lui lécher son sexe rougis par le plaisir et les doigts rugueux de son collègue. Au plus je la léchais, au plus elle mouillait. Je me suis attardé un instant sur son anneau intime. C’est vrai que c’est très excitant. Je me suis attardé sur son clitoris aussi. En dix secondes elle s’est cambrée en me suppliant d’arrêter, disant qu’elle ne voulait pas déjà jouir, qu’il fallait encore faire durer le plaisir. Je me suis interrompu, le temps de me déshabiller et le temps pour elle d’enlever les quelques vêtements qui lui restaient encore. Je lui ai dit d’un ton assez sec d’écarter ses jambes au maximum et d’ouvrir ses lèvres avec ses doigts que je puisse admirer le « travail » de son collègue. Tout en admirant sa vulve écarlate et son petit bouton tout gonflé je me branlais de la main droite et de la gauche je lui caressais l’intérieur des cuisses, frôlant chaque fois la limite de son sexe. « Caresse-toi pendant que je te prend », ce sont les mots qui sont sorti de ma bouche. Elle s’est exécutée et je l’ai prise d’un coup, sans ménagement. Son vagin était grand ouvert et parfaitement lubrifié rendant la pénétration incroyablement douce malgré que je me défoule littéralement en elle, lui pétrissant ses magnifiques petits seins, agaçant ses tétons. Au bout d’un moment elle me dit « j’en peu plus, viens on se lâche. » A vrai dire moi non plus je n’en pouvais plus. La sodomie promise ce ne sera pas pour aujourd’hui, tant pis. Alors qu’elle jouit, je me retire et explose sur son ventre, il y a tellement de pression dans mes testicules que je lui éclabousse les seins. « Tu marques ton territoire ? » me dit-elle encore sous le coup de l’émotion.La limite était franchie, plus de retour en arrière possible…Dans les jours qui ont suivi, on a baisé quotidiennement. Ce n’était plus faire l’amour mais du sexe pur. Dans la chambre, la cuisine, le salon, entre deux portes, on ne s’arrêtait plus.La perspective de franchir un cap de plus nous échauffait à chaque fois. Il y avait cependant un léger obstacle à franchir ce cap : je connais ma femme et je sais que pour se laisser complétement aller, elle a besoin de faire les choses sans contrainte de temps. La pause déjeuner était une option qui ne lui laissait pas assez de latitude. En effet, les déplacements allez/retour jusqu’à l’appartement prenaient du temps et les petits coups rapide sur la banquette de la voiture c’est bien à vingt ans.On laissait donc passer les jours dans l’attente d’une opportunité. Ma femme se tenait prête, sous-vêtements sexy, pubis complétement épilé, préservatifs dans son sac à mains. Elle entretenait avec son collègue des flirts, baisers volés dans les couloirs et attouchements dans la voiture garée dans le parking souterrain de l’entreprise. Plusieurs fois il avait essayé de lui introduire un doigt dans son joli petit cul mais elle lui avait chaque fois refusé, lui disant que son cul m’était exclusivement réservé.Elle lui avait maintenant tout dis de notre accord et cela lui produisait à lui aussi de l’effet d’après les dires de ma femme.Un vendredi après-midi enfin, elle me téléphone pour me dire que son collègue lui a demandé de passer chez lui après le travail. Nous n’avions rien de prévu ce soir-là, ça tombait bien. Elle aurait du temps pour faire les choses. Elle voulait quand même mon accord et me dit qu’elle laisserait son téléphone allumé, que si je changeais d’avis, il suffisait que je l’appelle.Je n’aurais appelé pour rien au monde. Je lui dis « profites en bien, mais tu connais le tarif ».Elle m’a seulement répondu « tu veux que je prenne des photos en souvenir ? » « A ça oui alors ! ». Elle raccroche et moi de mon côté je rentre du travail, partagé entre l’excitation et un peu de jalousie. Ce cocktail a des effets dévastateurs sur moi qui me font perdre ma lucidité. Je ne peux qu’imaginer ce qu’elle est en train de faire et je me force à penser à autre chose. Mais les idées me reviennent par vague. Vers 19h30 je reçois un message « je rentre », je lui réponds « ça a été ? » et elle me renvoie « oh oui, je t’expliquerai ».Je suis dans mon bureau quand j’entends sa voiture se garer, je ne sais pas trop pourquoi mais à ce moment-là je n’ose pas en sortir. Elle entre dans la maison et m’y rejoint directement. Elle se teint devant moi dans sa petite jupe légère bleue. Une jupe suffisamment longue pour ne rien dévoiler et suffisamment courte pour donner envie d’en voire plus. Son petit top est du même style il couvre assez la poitrine pour qu’elle puisse se permettre de le porter au travail mais laisse deviner que dessous se cachent des seins magnifiques. Le tout couplé à des chaussures à lanière et petit talon la rendent irrésistible. On est en juillet et elle est jambes nues vu la chaleur des derniers jours. On s’embrasse et immédiatement mon stress se dissipe. Je veux lui remonter sa jupe pour lui retirer sa culotte et là surprise, il n’y a pas de culotte. Je lui fais la remarque et elle me dit tout joyeusement « oui, et c’est comme ça depuis ce matin ! ». Elle m’avoue alors que son collègue en a eu la primeur dans la matinée ou elle l’a devancé dans les escaliers pour lui montrer son abricot. « Ça l’a mis en forme pour le soir ». Je n’y tiens plus, je veux tout voir, tout savoir. Elle se retourne, s’appuie sur le bureau et se cambre en écartant les pieds. Je lui remonte sa jupe et la rabat sur ses hanches. Je prends un long moment pour observer son intimité. Le gars n’y est pas allé de main morte, malgré le trajet en voiture son vagin est encore entrouvert, ses petites lèvres sont irritées et je vois des traces de doigts sur ses petites fesses rondes montrant qu’il s’y était agrippé avec force. Son anus par contre est intacte, il n’y a pas touché, autrement il aurait été dans le même état que son sexe. Je lui caresse les fesses, descend au niveau de sa vulve et introduit un doigt pour me faire une idée de « l’ampleur des dégâts » A l’intérieur son vagin est totalement détendu. Je lui demande si ce type est si bien monté que ça pour faire une telle béance. Dans cette position, elle prend son petit appareil photo, me le tend en me disant « tu veux voire ? »Ma femme ne manque pas d’humour. La première photo est une photo de la bite du gars à côté de la main tendue de ma femme. La comparaison est saisissante. La deuxième et la troisième sont sans doute prises par lui. L’une montre une vue de ma femme se faisant engouffrer dans la bouche la moitié de la longueur de sa bite et l’autre montre ma femme couchée sur le dos, les jambes grandes ouvertes se faisant pénétrer par cette même grosse bite. Je suis tellement affairé que je mets un petit moment à remarquer que le gars ne porte pas de capote. « Tu ne t’es pas protégée !? » « On a essayé mais les capotes que j’avais apportées étaient de taille standard. Il a tenté d’en enfiler une à contrecœur mais sans succès. Et puis ni lui ni moi n’avions vraiment envie de ça. » Ce qui aurait dû me refroidir m’échauffait encore un peu plus. Même cette infime épaisseur de caoutchouc représentait une barrière psychologique, mais maintenant je savais ma femme capable de s’offrir à un autre sans aucune retenue. Je passe rapidement en revue les quelques autres photos. Je la vois dans le reflet du miroir d’une garde-robe tantôt à quatre pattes, les fesses en l’air et la tête dans l’oreiller avec le gars derrière elle, appareil photo en main, son pubis tellement collé à ses fesses qu’il ne fait aucun doute qu’il se trouve tout au fond d’elle, tantôt couchée en chien de fusil, les jambes repliées et lui, toujours collé à ses fesses, courbé vers l’arrière lui maintenant la cuisse comme pour s’enfoncer encore plus profond et , petit détail, sur ce cliché en « miroir », c’est elle qui tient l’appareil. Elle m’emmène dans notre chambre. J’avais hâte d’entendre son récit.« «Quand je suis arrivée chez lui, il ne m’a pas sauté dessus comme je pensais qu’il le ferait. Il m’a proposé un truc à boire. Un truc trop sucré, pas très bon mais que j’ai bu pour me donner du courage. On est ensuite allé dans sa chambre assez rapidement et on s’est mis à poil directement. Il a eu une hésitation quand j’ai sorti l’appareil photo mais il a rapidement trouvé ça drôle. M’a fait promettre de ne jamais les diffuser. Il ne bandait pas encore complétement alors je l’ai aidé. J’ai pris sa queue dans ma main et elle a immédiatement commencé à gonfler. J’ai beau savoir à quoi m’attendre c’est toujours impressionnant. Je lui dis que je suis un peu stressée à l’idée qu’il va vouloir entrer tout ça en moi. Je sors la capote et il perd quasi illico de sa raideur, c’est là qu’il se met debout devant le lit sur lequel on s’était allongé. Il me fait asseoir au bord du lit me prend la tête et m’enfonce d’un trait la moitié de sa bite en bouche. L’épaisseur de son gland plaque ma langue au fond de ma gorge. « Au début je n’enfoncerai que ça dans ta chatte, le temps que tu t’habitues mais ensuite je te la mettrai aussi loin que possible. » Il s’est retiré, s’est un peu bagarré avec la capote et comme il reperdait vigueur je lui ai dit de laisser tomber. Il m’a dit ensuite qu’il aimait bien que je le chauffe mais que je ferais moins la belle dans pas longtemps. » »Je sais bien à quel point ma femme aime être dominée. Autant dans la vie de tous les jours elle aime décider autant quand elle se fait baiser elle aime être un objet de désir qu’on utilise. « Et ensuite, raconte ! » A ce moment-là de son récit, il ne fallait surtout pas que ma femme ou moi ne touchions à mon sexe. Je n’aurais pas résisté à la moindre sollicitation.« « Il m’a dit, ou plutôt ordonné de m’agenouiller et de recommencer à la sucer en me conseillant de m’introduire deux doigts histoire de me préparer à ce qui m’attendait. J’ai donc glissé mes doigts. Après ça il m’a redressée et fait allonger sur le dos et il m’a prise, enfin ! D’abord doucement, j’ai eu du mal à le faire entrer malgré que je sois déjà trempée. A chaque poussée il allait un peu plus loin jusqu’à ce qu’il ait tout rentré. Et quand je me suis accoutumé à la taille, il m’a fait changer de position et m’a prise par derrière, d’abord en levrette, puis couchée sur le côté. Dans cette position il est allé vraiment très profond au point de me faire mal et on a dû faire une pause. Il m’a demandé comment tu allais réagir et quand je lui ai avoué que pour moi c’était seulement la première partie de la soirée et que le deal était que tu me sodomise dès que je serais rentrée il s’est remis à bander de plus belle s’est couché sur le dos m’a à nouveau attrapé la tête et m’a carrément baisé la bouche puis m’a fait rouler sur le ventre, m’a forcer à écarter les jambes avec ses genoux, m’a attrapé les poignets en m’empêchant de bouger et m’a pilonner la chatte en me traitant de salope. J’étais pas loin de jouir mais tu sais bien que sans stimulation de mon clitoris c’est moins facile et là il me tenait les poignets. J’ai crié : j’ai envie de jouir mais pas comme ça, s’il te plait pas comme ça. Il s’est retiré d’un bond, s’est à nouveau mis sur le dos, en tenant sa grosse bite vers le haut et en m’ordonnant de venir m’empaler et de m’accroupir sur sa queue. Je me suis exécutée et j’ai gérer la descente et le rythme. De ma main gauche je me tenais en équilibre sur son torse et de la droite je me caressais le clitoris. Et c’est là que j’ai jouis, très fort et très longtemps. C’en était trop et je ne supportais plus la pénétration. Je me suis retirée et alors que j’étais toujours à genoux, il s’est relevé, m’a présenté son énorme sexe et m’a demandé de le branler. Et quelques secondes il m’en a mis plein les seins. Viens sentir je n’ai pas tout frotté, ça a séché sur moi. » »Son récit, les photos, l’odeur de sexe qui flotte sur elle, tout ça m’enivre. « Montre-moi, je veux encore voire ton cul, je veux voir au plus près ce qu’il t’a fait. » Elle écarte ses jambes, et me laisse faire mon inspection le nez à 5 cm de son orifice béant. Je ne peux m’empêcher de la lécher, d’essayer de deviner la différence de saveur par rapport aux autres fois. Cette différence très subtile générée par son liquide séminal. Je sais que c’est dégeu mais je n’y peux rien, je dois me rendre compte. Apparemment mes agissements font leurs effets, elle est repartie pour un tour. « Prend-moi et baise moi fort » Je l’embrasse alors que je la pénètre, elle est complétement ouverte, complétement détendue et ça m’excite encore plus, je lui dis à quel point elle est large. « Tu veux que je contracte mon vagin ? » « Surtout pas ! » Au bout d’une dizaine de minutes de coups de reins, je lui dis qu’il est temps de payer l’addition. « Alors comme ça tu n’as pas été sage ? Et dis-moi, on leur fait quoi aux filles qui n’ont pas été sages ? » « On les encules… » me répond-elle d’une toute petite voie.Par le passé on avait déjà tenté quelques fois la sodomie mais on n’était jamais vraiment arrivé à quelque chose de satisfaisant, ni pour elle ni pour moi. A peine avais-je entré mon gland qu’elle se contractait, ce qui lui faisait mal.« J’ai peur, vas-y doucement » « Ne t’inquiète pas, je vais te lubrifier ton petit trou et te préparer avec mes doigts, couche toi sur le côté et replie tes jambes. » J’ai alors enduit son cul de lubrifiant. J’en ai mis une bonne dose, tant pis pour les draps, je lui ai introduit un puis deux doigts, phalange après phalange tout en lui caressant son petit bouton de l’autre main pour rendre ça plus agréable. Quand mes deux doigts se sont retrouvés tout au fond, j’ai commencé quelques va et viens légers en n’arrêtant pas la stimulation de son bouton. J’ai retiré mes doigts, lubrifié ma bite que je lui ai doucement entré dans le cul, de plus en plus loin, toujours en la caressant. On a pivoté sans ressortir et on s’est retrouvé en position de levrette. Elle sait ce que j’aime et s’est cambrée au maximum mettent en évidence son magnifique cul. Dans cette position je voyais ma bite entrer et sortir de son petit trou. Pris par l’excitation je commençais à la pilonner de plus en plus fort. « Touche-toi pendant que je t’encule ! », moi aussi je peux être directif ! A force de prendre des coups de reins elle s’est retrouvée à plat ventre ma bite dans son cul, une main coincée sous son ventre à se caresser et l’autre maintenue dans son dos. « Encules moi, encules moi encore » C’est à ce moment que j’ai éjaculé des longues rasades au plus profond de son cul. Je l’ai entendu d’une voix rauque dire « c’est dégeulaaaassse » en jouissant à son tour. Je me suis retiré et j’ai regardé mon sperme s’écoulant de son anus devenu aussi rouge que sa chatte. « C’est malin, j’ai mal à la chatte et au cul maintenant » C’est là qu’on a éclaté de rire.Aussi passionnante qu’ai été cette aventure, nous ne l’avons jamais recommencée et c’est mieux comme ça. Bien que certains soirs, quand il nous en prend l’envie, on se remémore ces quelques jours de folie totale.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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