Ma première fois en FHH
Incitée par mon chéri qui fantasmait sur cette situation, j’ai cédé à son désir de faire l’amour avec un second partenaire. Alors, me laissant draguer par mon prof de yoga que ma silhouette de jolie blonde sexy et mature semblait inspirer, je l’ai invité chez moi et ce qui devait arriver arriva…
Proposée le 29/12/2018 par Lapin Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Je m’appelle Danielle. Blonde, assez grande et svelte, j’ai passée la cinquantaine mais j’avoue un petit coté « coquine » que la «maturité» et l’expérience ne font que conforter et qui attire le regard des hommes très facilement… Il est vrai que je suis plutôt sexy, autant par nature que par habitude, et comme mon chéri m’encourage à m’habiller d’une manière «suggestive» et parfois même un peu provocante, arguant du fait qu’il vaut mieux « faire envie que pitié », j’avoue que je ne me retiens pas, surtout lorsque nous sortons !
Pour autant, même si parfois je peux en voir un peu l’air, je ne suis pas une pute même si j’adore me montrer tout à fait « salope » dans mes relations amoureuses et sexuelles, auxquelles je m’adonne sans pudeur ni complexe. De fait, si j’apprécie de me faire draguer et que je cède assez facilement aux avances d’un homme un peu entreprenant et qui me plait, ou que je peux profiter de certaines situations parfois « indécentes », cela fait partie de la règle de vie que nous avons instauré avec mon compagnon actuel, qui est juste un peu plus jeune que moi … de quelques mois !
Malgré tout, au moment de cette histoire, il est une expérience que je n’avais jamais encore osé :
faire l’amour avec deux hommes en même temps.
Plusieurs fois, Patrick me l’a proposé mais toujours j’ai eu une sorte de réticence ; craignant de franchir un seuil, de vraiment passer cette fois pour une « cochonne » aux yeux du « troisième » partenaire, et pire, d’aimer cela au point d’en redemander…
Et pourquoi pas, ensuite, trois mecs et plus… Non.
Jouer avec un sextoy réaliste et bien « membré » tout en suçant mon homme jusqu’à le faire jouir, écarteler ma petite chatte en faisant aller et venir le vibro bourdonnant tandis que Patrick enfouissait sa grosse queue dans mon cul jusqu’au fond de mes reins pour m’inonder en gémissant de bonheur, j’avoue en avoir abusé… Mais deux mecs… Non !
Tout est parti d’une situation toute bête. Je fais, entre autres activités, du yoga avec l’une de mes amies dans un club et, comme j’ai modifié mes horaires de travail depuis la rentrée et que je dispose maintenant de deux matinées par semaine, nous faisons nos séances le matin, Aline étant une « housewife » plus «dévergondée» que désespérée, qui dispose de temps libre et qui en profite !
Alors que le soir il y avait une dizaine de femmes, en général plutôt jeunes et « actives », le matin, nous nous retrouvons souvent en tout petit comité, plutôt des MILF, mais aussi parfois, juste Aline et moi. Aussi brune que je suis blonde, la nature l’a dotée d’une poitrine superbement développée alors que j’ai des seins plutôt menus mais elle m’envie les rondeurs de ma croupe naturellement cambrée, que l’habitude de porter de très hauts talons peut rendre parfois impudique !
Le prof est un garçon très brun, d’une trentaine d’année, plutôt « beau gosse » et proportionné comme peut l’être un vrai prof de gym. Difficile, en général, de prêter attention à toutes ces nanas qui se bougent devant lui mais, en comité plus restreint, il s’applique toute particulièrement à corriger chacun de nos mouvements et nous conseille tout en nous guidant par des gestes qui ne sont jamais autre chose que professionnel…
C’est à l’issue de l’une de ces séances, alors que nous sortions de la douche et que l’on se rhabillait avant d’aller déjeuner ensemble, que Aline, qui n’a pas les yeux dans ses poches, m’a fait remarqué combien Kevin (c’est le petit nom de notre maitre de yoga) semblait attentionné à mon égard et, ajouta-t-elle narquoisement en baissant la voix, « je crois bien que tu le fais bander » ! Comme je pouffais de rire en lui faisant part de mon incrédulité, elle insista en me disant d’y prêter plus attention la prochaine fois, ce qui ne fut pas possible du fait du nombre de participantes !
Mais, peu de temps plus tard, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans cette grande salle et, durant la séance, profitant de certaines poses plus ou moins équivoques, j’en accentuais innocemment le coté sensuel tout en matant discrètement dans les grands miroirs… Au grand amusement d’Aline qui me jetait des coups d’œil entendus, je devinais qu’il était flagrant, effectivement, que sous la tenue très ajusté du garçon, une « réaction » difficile à masquer déformait son justaucorps au niveau de son sexe, lequel se dessinait dans une courbure révélatrice d’une engin de très belle taille qui semblait s’épanouir dans un début d’érection… Puis, lorsqu’il se revint devant moi, je laissais malicieusement mon regard glisser sur le haut de son pantalon très ajusté, tout en fixant, avec une candeur faussement innocente, l’excroissance qui le déformait ce qui ne manqua pas de le gêner alors qu’il se tortillait pour essayer de camoufler cette virile marque d’intérêt…
Autant amusée que « flattée » de ce « réflexe » bien masculin, je n’en modifiais pas pour autant mon attitude envers Kevin avec lequel nous avions des échanges très cordiaux, mais sans autres intentions du moins en ce qui me concerne même si je réalisais à cette occasion que depuis un petit moment, il y avait, de sa part un désir charnel évident dont j’avais pu, sans conteste, en mesurer la virile existence !Quelques jours plus tard, nous nous étions retrouvés, Patrick et moi, pour diner ensemble et, comme il me faisait remarquer en riant à la sortie du restaurant que ma tenue semblait avoir eu, au grand dam de leurs compagnes, beaucoup d’effet sur plusieurs « mâles » dans la salle, qui mataient sans vergogne mes cuisses gainées de bas résille découvertes très haut par une robe sans doute trop « près du corps » et scandaleusement courte en me suivant du regard alors que je me dirigeais d’une démarche rendue lascive par mes escarpins vers la sortie au bras de mon chéri, je lui racontait comment j’avais provoqué une réaction « épidermique » sur mon prof de yoga tout en lui assurant, d’une voix ingénue et faussement désolée, que je n’en avais même pas « profité »…
Je ne sais si c’est le fait de lui avoir révélé cela qui l’a excité si intensément, toujours est-il que cette nuit là, il m’a baisée avec une endurance extraordinaire et une ardeur si divine et, parfois, dans des postures si acrobatiques, que j’en ai ressenti de délicieuses courbatures durant deux jours !
Plusieurs fois par la suite, incidemment, il m’a reparlé de mon prof de yoga jusqu’à ce que, deux ou trois semaines plus tard, il m’incite à l’inviter pour prendre un apéro avec nous un soir et, me susurra-t-il au creux de l’oreille, « pourquoi pas, expérimenter une partie à trois… ».
Etonnée de prime abord, je le taquinais gentiment en devinant un peu ses inavouables intentions, d’autant que, profitant d’une telle situation dans un film porno que nous avions regardé ensemble, il m’avait à nouveau fait part de son fantasme de réaliser un « trio » avec moi…
Alors, je me pliais à son inspiration, tout en lui précisant bien que, le moment venu, les choses se feraient… ou ne se feraient pas, selon les circonstances et la situation, même si je peux bien avouer que le garçon me plaisait beaucoup et que, passer à l’acte, maintenant, me paraissait un peu plus envisageable…
Aussi, au sortir d’une séance qui avait réunis cette fois un tout petit groupe, je trainais un peu puis me laissais abordé par Kevin et, tout en prenant un café avec lui dans le salon de l’institut, je lui proposai donc de passer à l’appartement ce vendredi soir pour faire mieux connaissance tout en lui précisant bien que mon ami serait présent.
Il accepta sans vraiment se faire prier et j’en ai compris la raison par la suite puisque Patrick avait auparavant pris, en cachette, discrètement contact avec lui pour lui « exposer » les raisons de cette idée et connaitre son sentiment ! Prétendant que l’idée venait de moi, mais que je n’osais pas franchir le pas alors que j’en mourrais d’envie (lui avait-il fait croire !) il avait « appâté » le pauvre Kevin qui ne s’était pas vraiment fait prier, mais cela, Patrick ne me l’a avoué qu’après coup, si j’ose dire !
Etant en période de vacances, j’avais pris mon vendredi en congé et, le matin, j’avais passé deux heures chez mon coiffeur et fait quelques courses en prévision du soir et pour le weekend à venir.
Cédant aux « dispositions » que Patrick avait pris soin de me faire connaitre lors de nos conversations téléphoniques et par échanges de mms durant la semaine (en fait, nous vivons chacun de notre coté, lui en province et moi en région parisienne, et nous nous voyons deux à trois fois par mois, en semaine le plus souvent mais aussi parfois, pour un weekend, ce qui ne fait que maintenir le coté torride de nos retrouvailles…) je portais une lingerie minuscule et extrêmement osée (découverte sur un site Internet spécialisé en articles « porno » !) dont le soutien gorge ne servait qu’à maintenir mes seins en laissant les pointes darder librement sous un petit haut bien ajusté. Par contre, je me glissais dans une jupe en cuir fine et souple qui pouvait passer pour (relativement) sage même si elle dévoilait suggestivement mes courbes mais qui m’arrivait un peu au dessus du genou, masquant la dentelle de mes bas noirs à couture qui montaient très haut sur mes cuisses.
Pour compléter cette aguichante tenue, j’enfilais des escarpins doté de talons aussi fins que vertigineux juste un peu avant que Patrick n’arrive et je pus constater, dans le pétillement de ses yeux (et pas que… !) l’effet aphrodisiaque de ma tenue qui semblait l’électriser au moins autant que l’abstinence sexuelle qu’il m’assurait avoir respecter durant cette semaine !
L’abandonnant à la préparation des petits fours et diverses petites choses, je me rendis dans la salle de bain pour finir de me maquiller, mettre sur mes ongles un vernis rouge carmin du plus bel effet et poser sur ma bouche un rouge à lèvre écarlate. J’en finissais tout juste lorsque j’entendis Kevin arriver et commencer à discuter avec mon chéri.Je les rejoignis alors qu’ils s’installaient dans le salon et je me sentais toute fébrile et particulièrement excitée bien que, pour ce qui me concernait, je ne savais pas comment la soirée allait tourner (même si je m’en doutais bien !) alors que les deux mecs, eux, qui s’étaient concertés auparavant sans que je le sache, n’ignorait rien de ce qu’il allait advenir !
Le champagne a toujours pour effet, sur moi, de me rendre plutôt volubile, de me désinhiber aussi parfois un peu trop, et mon chéri le sait parfaitement, au point que, à la seconde flute, je devinais très distinctement le regard allumé et très explicite que les deux hommes portait sur mes cuisses que ma position assise découvrait impudemment et, hormis le fait de me mater l’un et l’autre, j’ai pu constater en l’effleurant discrètement, que mon chéri bandait sans retenue…
La conversation, qui au début se cantonnait à des considérations sur les postures du yoga et le bienfait à en retirer, devint petit à petit beaucoup moins sérieuse, glissant sur un terrain plus érotique et plusieurs fois, il me firent éclater de rire par leurs propos parfois osés et certaines histoire plutôt salaces…
La tension qui était palpable devint très vite électrique, et ce fut presque malgré moi que, posant les yeux innocemment sur le jean de Kevin, je constatais qu’une érection tout à fait évidente s’y dessinait indéniablement et que, troublée, je posai la main sur le sexe de mon chéri qui semblait lui aussi comprimer son pantalon d’une bien inconfortable manière.
Il n’en fallu pas plus à ce moment là pour que ce dernier, glissant sa main délicatement sous ma nuque en soulevant mes cheveux blonds tout en dégageant son sexe de l’autre main, m’incite d’une voix rendu rauque par le désir, à venir le sucer.
Je ne résistai même pas à cette perverse invitation, car je n’attendais que ça, et, inclinant d’un mouvement gracieux la tête en rejetant mes cheveux sur le coté, je me penchais pour aller engloutir le sexe tendu que Patrick exhibait en le maintenant bien dressé. Habilement, je le saisis par la base tandis qu’il se déshabillait fébrilement et j’entrepris de prendre lentement dans ma bouche le gland déjà bien enflé avant d’avaler progressivement la hampe que je masturbais délicatement. Les yeux mi clos pour m’appliquer à cette fellation que je voulais divine, je remarquais que Kevin s’était mis debout et avait commencé à retirer ses vêtements. Habitué à la hardiesse de ma caresse, mon chéri se laissait aller en arrière tout en me laissant diriger à mon aise la câlinerie que j’effectuais avec une ferveur que décuplait un désir complètement débridée, laissant ma bouche monter et descendre le long du pieu que je sentais grossir et m’envahir jusqu’au fond de la gorge puis, je profitais de la liberté de mes mains pour caresser ses couilles que je devinais pleines et gonflées d’une sève qu’il me tardait de sentir gicler…
Kevin, maintenant nu, branlait un engin de belle taille qui, petit à petit, se redressait et prenait entre ses main une dimension appréciable. Alors, constatant cet état de fait, Patrick se redressa en me dégageant avec douceur tout en incitant Kevin à se rapprocher de moi. Il ne me fut pas difficile de comprendre le désir du garçon que je pris dans ma bouche sans qu’il s’en défende, bien au contraire !
Durant ainsi quelques minutes, je suçais alternativement les deux hommes comblés de cette attention, masturbant l’un tandis que ma bouche engloutissait l’autre, laissant grossir les deux sexes masculins jusqu’à une raideur qui me sembla bien proche d’une explosion imminente, m’essayant même à les prendre tous les deux dans ma bouche écarquillée sans parvenir à avaler plus que leurs deux gros glands tendres et enflés.
A ce moment, Patrick me repoussa sur le divan, m’allongeant sur le dos pour s’agenouiller entre mes cuisses et, tandis que je reprenais Kevin qui se tenait au dessus de moi dans ma bouche dans une pose sensuelle et acrobatique digne d’un porno où, la tête renversée en arrière, je le laissais enfoncer son pieu rigide que je maintenais bien à l’horizontale. Visiblement très allumé, mon chéri entreprit de déziper la fermeture éclair qui courait tout le long de ma jupe pour l’ouvrir en deux et la retirer, me laissant juste avec mes bas et mes escarpins. Puis, ouvrant mes jambes très largement, il écarta d’un doigt la dentelle de ma culotte pour dévoiler ma chatte toute lisse (car intégralement rasée !) et déjà bien moite pour commencer à me caresser du bout de la langue, frôlant d’abord la peau nue au dessus de mes bas puis ouvrant mes petites lèvres pour s’immiscer dans la touffeur de mon sexe qui s’entrouvrait sous le titillement de sa bouche gourmande. Prise d’un incoercible appétit sexuel, je ne pus retenir un long gémissement, plus ou moins étouffé par le membre devenu énorme de Kevin qui me pistonnait avec une vigueur qui laisser présager une issue imminente. Il avait remonté au dessus de mes seins mon petit haut et, ravi de les trouver libres malgré le soutien gorge très coquin qui les dévoilaient vicieusement, il les pétrissait avec une tendre et vigoureuse ardeur, vrillant et pinçant alternativement les pointes sensibles tout en les tirant vers le haut en m’arrachant de longs soupirs que j’amplifiais volontairement pour exciter leur libido de mâles en rut !
Cambrée exagérément et soumise à la caresse de Patrick qui dévorait ma chatte maintenant en y enfouissant ses doigts tout en titillant de la langue mon clito qui frissonnait en m’envoyant des ondes de plaisir jusqu’au creux des reins, ma posture ne faisait qu’offrir à Kevin un chemin jusqu’au plus profond de ma gorge ou il enfonçait sans vergogne son sexe dont je sentais le gros gland qui venait buter au fond de ma trachée en m’étouffant presque malgré mon expérience de sucer de cette manière, ce qui rend les mecs absolument fous de désir ! Aussi, alors que je jouissais de la sensation exquise de me faire baiser par ces deux mâles bien montés, je ne sentis pas monter l’orgasme de Kevin qui, brutalement, se cabra tout en s’arc boutant, extrayant son sexe de ma bouche qui l’enserrait presque sur toute sa longueur mais il le maintint au dessus de mon visage d’une main qui s’activait en rythme. A peine le temps de réaliser, que je me trouvais soudain inondée de longues giclées de sperme qui explosèrent brutalement jusqu’à retomber sur mes seins puis, les premières fusées parties, le reste de son éjaculation se perdit en saccades moins brutales mais tout aussi fournies qui se finirent en crépitant sur mon visage et ma bouche tandis qu’il râlait spasmodiquement avec ravissement… Rarement j’avais été couverte d’une telle quantité de semence par une éjaculation dont les trainées dégoulinaient dans le sillon de ma poitrine et jusque dans mon cou alors que sur mon visage maculé, j’en devinait les gouttelettes qui sourdaient jusqu’à mes cheveux ! Je devinais que Patrick s’était redressé pour assister, admiratif, à l’intense orgasme de son « allié » et, alors que je me tournai un peu sur le coté pour reprendre dans ma bouche le gros gland tout luisant de semence qui oscillait juste à ma hauteur, il me saisit par les chevilles en m’écartelant vigoureusement et, d’une longue poussée brutale, il enfonça dans ma chatte brulante son gros pieu compact puis il entrepris de me baiser à grand coup de reins, m’obligeant à me crisper sur les bord du divan pour ne pas me trouver repousser jusqu’au sol, lâchant du même coup mon autre mâle qui, encore essoufflé, s’était adossé contre mur pour retrouver un peu de sa superbe. Sous les coups de boutoir de Patrick qui me labourait puissamment et profondément, son gros membre effectuant des va et vient avec une cadence de plus en plus frénétique, je ne pus retenir mon plaisir et un premier orgasme me fit jouir en me faisant pousser de petits jappements aigus, orgasme qui me laissa toute pantelante tandis qu’il continuait à me baiser telle une poupée disloquée…
Profitant de mon inertie, il me fit pivoter sur le coté pour lever à la verticale l’une de mes jambes en la plaquant contre son torse, m’écartelant dans une position athlétique tandis qu’il me pénétrait toujours avec une ardeur un peu moins farouche mais qui faisait balloter follement mes seins pourtant menus et encore tout poisseux dans une sarabande effrénée et que je tentais d’endiguer en les massant voluptueusement…
Un talon planté au sol pour assurer mon équilibre, j’avais repris dans ma main le sexe de Kevin qui, après avoir joui, matait le spectacle torride qu’on lui offrait et je pus constater que sa queue devenue un peu moins raide n’en conservait pas moins une vigueur indolente mais qui ne demandait qu’à s’épanouir… Remise de mon orgasme, le ventre en feu remplit par mon amant qui me pistonnait de son sexe énorme avec la régularité d’un métronome et dont je sentais, à chaque pulsion de ses reins, les couilles qui venaient battre contre mes fesses, je me mis a langoureusement masturber Kevin qui, très vite, se retrouva à nouveau tendu comme un gourdin sous ma caresse à la fois agile et experte.
Patrick, poursuivant son implacable mouvement syncopé, m’avait finalement mis à quatre pattes et, accroché à mes reins sur lesquels la fine dentelle de ma petite culotte lui servait de poignée dérisoire, il me besognait maintenant avec une lenteur tout à fait délicieuse, retirant le manche épais jusqu’à ce que son gland effleure mes lèvres délicates pour ensuite l’enfoncer progressivement jusqu’au fond de mon ventre en s’écrasant sur les globes de mes fesses qu’instinctivement, je cambrais vers lui pour accentuer encore la profondeur de sa pénétration tout en gémissant voluptueusement.
Alors qu’il me prenait en levrette, je me redressais pour coller mon dos contre lui et il en profita pour saisir à pleine main mes seins, qu’il pétrit amoureusement tout en excitant les pointes dures, m’arrachant une plainte langoureuse que je modulais un peu, sachant bien que cela allait l’exciter encore plus… Puis, je me débarrassais de mon petit haut bouchonné au dessus de ma poitrine d’un geste large, je dégrafais ensuite mon soutien gorge bien inutile puis j’invitai Kevin, d’une voix devenue sensuelle sans m’y forcer le moins du monde, à venir s’allonger sur le dos auprès de moi…
A ce moment, décidant de prendre une certaine initiative, je me dégageais lestement de l’emprise de mon amant dont le sexe virilement dressé se glissa hors du fourreau soyeux qui l’accueillait avec un chuintement humide pour enjamber Kevin puis, avec une idée bien arrêtée sur la suite des événements, saisissant le manche dur et ferme en érection, je le redressai à la verticale pour en frotter l’extrémité enflée et rosée sur les petites lèvres toutes moite de ma petite chatte veloutée et déjà bien écartelée.
Puis, d’une poussée brusque du bassin, je m’empalais farouchement sur lui d’une traite, emplissant mon vagin brulant et trempé sans pouvoir retenir un feulement de plaisir en sentant le pieu s’ouvrir un passage dans mes chairs les plus intimes jusqu’à ce que je m’écrase sur son ventre. Instinctivement, Kevin se mit à bouger les hanches pour venir à ma rencontre et je me penchai un peu en avant pour effleurer sa bouche de la pointe de mes seins qu’il saisit entre ses dents pour les taquiner, accentuant encore le plaisir que je sentais monter en moi et qui se traduisait par de petits cris que je laissais échapper au rythme de ma respiration de plus en plus saccadée… Toute à la montée de ma jouissance, je m’entendis d’une voix sourde les encourager, sachant d’expérience que cela ne ferait qu’exacerber leur libido de mâles au point de les déchainer sans retenue :
– « Oui, prenez moi tous les deux… comme une pute… baisez moi … ouiii… ! »
Patrick, qui était toujours positionné derrière moi, se mit en équilibre, une jambe au sol et l’autre fiché dans le divan au dessus de mes reins et je le devinais qui guidait son membre gonflé au bord de l’explosion dans le creux de ma croupe, effleurant mes fesse, son gros gland glissant lentement sur mon petit orifice dont il pris soin d’en lubrifier le contour avec un gel qu’il avait disposé là tout exprès un moment avant la soirée. Puis, sans se presser, une main posée à plat sur le bas de mon dos, tenant son sexe dont le développement ne pouvait plus s’accroitre sous peine d’atteindre les dimensions énorme d’un Black en rut, il en posa l’extrémité sur la chair fragile de mon anus qu’il entrepris de forcer avec une adorable délicatesse tandis que je me cambrais exagérément pour lui faciliter la tache !
Profitant du mouvement de balancier imprimé par son compère à mon bassin qui allait et venait au rythme chaloupé de ses coups de boutoir que j’accompagnais en enfonçant dans mon ventre le mandrin qui me labourait, il enfouit d’abord le bout de son sexe en écartelant la petite fleur délicate de mon petit orifice fragile qui se dilatais sans difficulté pour l’avaler au fur et a mesure qu’il poussait sur mes reins… Petit à petit, je le sentis m’emplir et s’enfouir avec l’impression de me faire ouvrir en deux par des à coups qui semblaient ne jamais vouloir en finir, la hampe entière étant avalé par mon cul jusqu’au fond de mes reins, alors que le sexe de Kevin défonçait ma vulve et que je percevais parfaitement les deux membres érigés qui me labourait maintenant avec une cadence qui ne ralentissait pas, bien au contraire. Prise en sandwich entre ces deux beaux mâles virils qui me baisaient maintenant sans vergogne, je me laissais balancer au tempo de leurs coups de reins, l’un s’enfouissant profondément quand l’autre se retirait et, l’instant d’après, je sentais les deux engins qui me pénétraient en même temps, les deux sexes semblant ne faire partie que d’un seul monstre qui m’aurait déflorée par mes deux orifices avec une audace et une vigueur qui eut très vite raison de ma résistance. En quelques minutes, je discernais la montée irrépressible d’un plaisir dévastateur qui déferla soudain avec une exquise énergie et il me semble que je perdis presque conscience quand l’orgasme me fit crier une longue plainte entrecoupées de gémissements qui se poursuivirent alors que les deux garçons, maintenant emportés par leur vivacité sexuelle, me labouraient sans plus de retenue… J’avais l’impression de jouir sans pouvoir me contenir et c’est une série d’orgasmes successifs qui déferlèrent sur moi et qui me tétanisèrent en de brusques soubresauts tandis que de mon ventre irradiaient de violentes séries d’ondes exquises qui semblaient m’envahir complètement et m’électriser en me faisant vivement frissonner, ce que mes deux délicieux violeurs prirent pour le désir instinctif de changer de position !
Alors, sans trop savoir comment les deux mecs me portèrent jusqu’à cette posture que je n’avais vue que dans certains pornos, je me retrouvais au milieu du salon, écartelée mais accrochée aux épaules de Kevin que j’entourais de mes bras, mes jambes nouées autour de sa taille et mes talons aiguilles qui lui labouraient le bas de dos tandis qu’il me pénétrait hardiment à grands coups de hanches qu’il accompagnait de « han » de bucheron tandis que je montais et descendais sur le pal vigoureusement dressé et d’une raideur impressionnante sur lequel je m’embrochais et qui me pistonnait sans relâche. Cambrée au maximum, ma tête renversée sur l’épaule de Patrick qui embrassait la chair de mon cou alors que mes longs cheveux blonds voletaient en tous sens, ce dernier défonçait ma croupe et me sodomisait puissamment en me maintenant fermement par les hanches tout en me susurrant à l’oreille que « j’étais une véritable pute ! ». En effet, je me faisais l’effet d’une insatiable salope en train de se faire baiser par deux étalons sauvages jusqu’au moment ou je perçus comme un changement dans le rythme infernal de Patrick qui ahanait en gémissant de plus en plus ouvertement tandis que je sentais parfaitement la crispation de plus en plus prononcée de Kevin dont le sexe palpitait follement au plus profond de ma chatte dans laquelle il semblait soudainement ancré… et verrouillé !
Puis, dans un mouvement soudain, Patrick se libéra, déséquilibrant alors notre acrobatique trio et je m’effondrais mollement en arrière sur le sofa, « éjectant » du même coup de mon ventre le membre de Kevin et lui balafrant au passage la hanche d’un coup bien involontaire de talons aiguille !
Allongée sur le dos, les bras en arrière, j’ouvris les yeux au moment ou Patrick posa impérieusement l’extrémité boursouflé de sa queue sur ma bouche et, à peine avais-je pris entre mes lèvres le gros gland dont il masturbait furieusement le manche, que je me sentis littéralement submergée par une série de giclées saccadées de semence qui explosa sur mon visage et jusque sur mes cheveux blonds puis déferla sur ma langue pour dégouliner vers le fond de ma gorge… Délicieusement j’en avalais une grande partie et je ressentis un trouble plaisir à sentir ce fluide un peu sucré et tout chaud glisser en moi alors que de son sexe palpitant jaillissait encore des trainées de foutre qui maculaient mes joues et mes seins sur lesquels il se « finit » en gémissant tout en cherchant à retrouver son souffle. Kevin, dans le même état d’excitation, s’était perché au dessus de mon ventre lisse et soyeux et, alors que Patrick éjaculait encore des gouttelettes de liqueur translucide, je me sentis inondée de longues trainées spasmodiques de sperme dont les premières éclaboussèrent jusqu’à ma poitrine où les semences des deux hommes se trouvèrent intimement mélangées, puis, il finit de jouir en râlant lui aussi, lâchant encore d’une manière saccadée sur mon ventre une incroyable quantité de son nectar dont les longues traces se mirent à ruisseler entre mes cuisses et le long de ma chatte…
Ronronnant du plaisir exquis d’une femelle sexuellement assouvie, je les regardais tous les deux avec un amusement non feint, me moquant de les voir complètement anéantis par leur jouissance, étalés sur le divan en train de chercher à récupérer et, un peu pour les provoquer, je laissais mes mains jouer sur mon corps, massant mes seins maculés de leur sperme avec un délice non simulés et, de l’autre main, immisçant deux doigts coquins plein de foutre entre mes petites lèvres pour titiller mon clito hypersensible encore tout gonflé des orgasmes de la soirée…
Puis, toute poisseuse et ruisselante de leur sève, quand même un harassée d’avoir été soumise à une si ardente séance d’aérobic, je me relevais pour aller, d’une démarche volontairement sensuelle pour leur faire admirer ma chute de reins, vers la salle de bain prendre une douche que je savourais longuement en me savonnant avec délice, me susurrant à moi-même alors que l’eau tiède ruisselait agréablement sur moi :
– « Décidément, Danielle, tu es vraiment une incorrigible petite vicieuse… »
alors que j’imaginais faire venir avec moi sous la douche les deux mâles qui m’avaient si délicieusement baisée…A mon retour, toute pimpante et uniquement vêtue d’une nuisette sexy et transparente mais toujours perchée sur mes escarpins, Patrick m’annonça que Kevin était parti, et, en souriant, il m’attira auprès de lui dans le canapé pour profiter d’une coupe de champagne et terminer notre « en cas » sucré-salé que nous n’avions que bien peu entamé…
Il faut dire que j’y fis honneur car cette petite expérience m’avait donné une faim de louve et, tandis que Patrick me confiait avoir adoré cette petite « représentation » en regrettant de n’avoir pas fait « ça » plus tôt, je fus bien obligé d’admettre, en mon for intérieur, que cela m’avait divinement plu et que, d’une manière ou d’une autre, c’est une expérience que je revivrais…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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