Malgré son âge, Louise n’a rien perdu de sa force de persuasion !
Louise est une femme âgée mais qui possède encore de nombreux atouts notamment un franc-parler qui me déstabilise régulièrement. Pourtant, j’allais constater qu’elle savait aussi passer des paroles aux actes de façon fort surprenante et surtout à un moment plutôt inattendu !
Proposée le 12/08/2019 par sorggulp Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
« Bonjour mon grand ! Comment vas-tu ? » me demande Louise en m’embrassant. Je connaissais la suite. Je dois avouer que lorsque je sentais sa main me prendre par la taille et se balader dans mon dos, j’avais des frissons qui traversaient tout mon corps.
Pourtant, on ne peut pas dire que Louis soit une bombe sexuelle. Au contraire, c’est une dame d’un âge fort respectable que je connaissais depuis de nombreuses années. Elle était mariée à Jacques depuis plus de 50 ans. A eux deux, ils formaient un des plus vieux couples de client que je connaisse. Je travaillais dans un restaurant du quartier où ils habitaient. Louise et Jacques faisaient partie de ces clients à part. Nous avions tissé des liens particuliers. Denise avait toujours un compliment à faire, n’hésitant pas à joindre à la parole des gestes qui pouvaient passer pour anodins mais qui nous avaient petit à petit emmenés sur un terrain de jeu que l’on pourrait appeler « érotique ».
La dernière fois que Louise et Jacques m’ont rendu visite, j’ai senti sa main caresser furtivement mes fesses tandis qu’elle me parlait. Le plus étonnant est qu’elle le fait naturellement mais toujours discrètement. Denise aime de toute évidence ces contacts physiques.
Et puis c’était devenu un jeu entre nous. Je n’oubliais jamais de lui faire remarquer sur le ton de la plaisanterie que ses caresses me plaisaient beaucoup.
Une autre fois, j’osais jusqu’à lui murmurer qu’elle était toujours désirable. Tout en me fixant d’un regard de braises, elle me disait de me méfier car elle savait encore comment fonctionnait un homme !
« Si tu m’avais connu plus jeune, tu ne m’aurais pas parlé comme ça, mon chéri » me répondait-elle avec un sourire lourd de sous-entendus.
Louise avait 78 ans mais elle en paraissait beaucoup moins ! Je pense que c’était surtout lié à sa vivacité d’esprit ainsi qu’à sa tenue vestimentaire toujours irréprochable.Malheureusement, on ne peut pas dire que c’était la même histoire pour Jacques. Celui-ci avait été victime d’un AVC en début d’année et j’avais remarqué qu’il perdait souvent le fil de la discussion à table. Louis me confirmait que ce n’était pas drôle à la maison et qu’elle ne vivait plus que pour lui alors que Jacques semblait complètement ignorer la situation.
Alors qu’ils quittaient l’établissement, Louise me glissa :
« Dis-donc, tu pourrais venir à la maison boire un café ? Cela nous ferait plaisir et puis (elle baissa légèrement le ton) cela me ferait un peu de compagnie car les journées sont longues, tu sais ? Tiens, note mon numéro de téléphone portable »
« Je te remercie pour l’invitation, je te réponds dans les jours à venir. »
Quelques jours plus tard, j’envoyais le texto suivant :
-Bonjour Louise, je serais heureux de prendre le café jeudi prochain avec vous entre 16 et 17 heures si vous êtes disponibles. Bonne journée.
La réponse ne se fit pas attendre :
-Bonjour Patrick, c’est gentil de nous rendre visite. Nous t’attendons avec impatience. Voici notre adresse et le code d’accès **************. Bises du duo.
Deux petits cœurs fermaient la phrase.
Le fameux jeudi arriva. J’appuyais sur la touche de l’interphone extérieur. Denise me dit de monter au 1er étage.
Elle m’attendait sur le pas de porte tandis que Jacques était en retrait, un triste sourire aux lèvres mais semblant absent.
Denise m’embrassa chaleureusement tout en laissant comme d’habitude sa main trainer dans mon dos
« C’est gentil mon lapin d’être venu nous voir. Tu ne peux pas savoir comme cela nous fait plaisir ! Entre ! »
Je saluais Jacques puis me dirigeait vers le salon.
Des gâteaux, diverses boissons étaient disposées sur une grande table de bois. Une nappe recouvrait celle-ci. C’était typiquement un appartement haussmannien avec ses hauts plafonds, ses boiseries et son parquet.
Assieds-toi ici. Jacques est toujours en bout de table. Je vais m’installer à côté de toi comme ça nous pourrons discuter tranquillement » me dit-elle en me guidant vers la chaise indiquée.
Elle était assise à ma droite tandis que Jacques était à ma gauche. La télévision était allumée en sourdine.
« Jacques adore le vélo ! Il suit tous les jours le tour de France ! » me dit Louise en me caressant la main.
Je voyais surtout que Jacques était complètement absorbé par les images et qu’il s’en fichait royalement de notre présence.
A chaque fois que Louise me parlait, elle ne pouvait s’empêcher de frotter sa main à la mienne. Je n’y prêtais pas attention au début. Pourtant, un jeu de séduction se mit en place lorsque je retins innocemment sa main dans la mienne.
Denise ne la retirait pas continuant à me parler feignant de rien remarquer.
« Tu est toujours aussi beau, mon chéri. Si j’avais eu quelques années de moins, qui sait ce que l’on aurait pu faire tous les deux ? » me dit-elle soudain en pressant plus fort ma main.
« N’exagère pas ! Et puis il y’a Jacques » répondis-je en louchant à ma gauche. Le regard de Jacques était comme vide. Peut-être dormait-il ?
« Oh, on ne risque rien. Quand il y’a ce satané vélo, il n’entend plus rien et ne voit plus rien ! Il pourrait y’avoir le feu, il ne s’en rendrait même pas compte ! Tu sais, je pourrais te surprendre encore ! » murmura-t-elle en me fixant dans les yeux.
Ma respiration s’accélérait. Une vague de chaleur montait de mon ventre à mon visage.
Je n’en croyais pas mes oreilles ! Elle m’allumait grave en présence de son mari !
« Je ne demande qu’à voir cela ! » lui répondis-je d’une voix saccadée.
Sa main quitta alors la mienne pour se poser sur ma cuisse droite. Je jetais alors un regard paniqué à Louise puis à Jacques. Celui-ci n’avait rien remarqué de notre manège et scrutait la télévision comme un zombie.
« Comme tu peux le constater, les journées sont compliquées pour moi et ta visite est vraiment un cadeau du ciel » me dit Louise en me souriant tout en remontant la main sur mon entrejambe.
Elle massait mon sexe à travers mon pantalon tout en continuant de me parler naturellement.
Je sentais ma queue gonfler très rapidement.
« Attends, je vais me mettre plus à l’aise » lui murmurais-je tandis que je défaisais discrètement ma ceinture tout en ouvrant ma braguette.
« Merci mon chéri, j’ai tellement hâte de la prendre dans la main ! » me souffla Louise en plongeant celle-ci dans mon slip. Je bandais déjà comme un fou lorsque ses doigts s’enroulèrent autour de ma queue.
« Tu est dans une forme éblouissante ! » dit-elle en extirpant l’objet de convoitise de sa cachette.
J’écartais au maximum les cuisses mais le pantalon limitait sérieusement les possibilités. Je me lançais alors dans un truc de fou. Je faisais glisser mon pantalon et mon slip à mes chevilles. J’hallucinais en pensant à la situation !
Heureusement, la nappe cachait en partie ma nudité mais je craignais quand même que Jacques ne découvre le pot au rose. Mon cœur battait la chamade !
Louise me branlait divinement bien. Elle connaissait son affaire !
« Il y’a si longtemps que je n’ai pas eu le plaisir de jouer ainsi ! Merci mon chéri ! » dit-elle en me massant tendrement les testicules.
Je réalisais que je ne tiendrais pas longtemps à ce rythme. Je prévenais alors Louise du risque que l’on prenait si d’aventure je ne pouvais pas freiner ses ardeurs.
« Ne t’inquiète pas mon chéri, je m’occupe de tout. Préviens-moi juste avant. »
Sa main s’activait alors de plus belle sur mon membre frémissant de plaisir.
Je sentais les prémices de la jouissance arriver.
J’écarquillais les yeux en fixant Louise. Celle-ci fit alors tomber un gâteau.
« Zut, suis-je maladroite ! Attends, je vais le ramasser ! »
Elle recula légèrement sa chaise sans lâcher ma queue et se glissa sous la table. La nappe la dissimula en partie. Elle guida ma queue entre ses lèvres. Je sentis une douce chaleur envelopper mon gland. Louise jouait avec quelques instants avec sa langue. Puis, je sentis une douce chaleur coulisser sur ma queue tandis que les doigts de Louise s’activaient sur mes testicules. Je soupirais de plaisir.
Faisant semblant de regarder la télévision, je fondais littéralement sous les assauts de louise.
« Tu as vu ? Elle est raide cette montée, hein ? » me dit alors jacques en me regardant d’un air hilare.
« Ah oui alors, je ne la monterais pas celle-ci, c’est sûr » lui répondis-je en essayant de garder au maximum un air naturel.
Louise me pompait comme une folle sous la table.
Je jouissais alors comme rarement dans ma vie. Sa bouche était soudée à ma queue alors que je libérais silencieusement de longues décharges dans sa bouche.
Tout en feignant de m’intéresser à l’arrivée de la course, je sentais les derniers spasmes de jouissance se répandre entre les lèvres douces de Louise.
Elle libéra mon sexe de son emprise puis refit son apparition à la table. Brandissant le gâteau tel un trophée, elle me dit :
« Tu veux y goûter, ils sont rudement bons ! »
Elle prit alors le gâteau du bout des doigts et le glissa dans sa bouche ouverte. Elle avait gardé toute ma semence sur sa langue. Elle suça le gâteau quelques instants puis me le tendis.
Je croquais celui-ci. J’étais sidéré d’un tel aplomb !
« Il est délicieux » lui dis-je complètement sonné par ce que je venais de vivre.
« J’adore les sucreries. Il faudra que je te fasse goûter à ma recette de sucettes à la menthe. Je suis sûre que tu aimeras, c’est une de mes spécialités ! » me dit Louise en me faisant un clin d’œil complice.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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