Marsupilami – Chapitre 2
Marsupilami, jeune homme au sexe monstrueusement imposant, apprend Ă composer avec son atout gargantuesque.
Proposée le 26/06/2017 par vvjqc Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: InclassableType: Fantasme
J’ai connu des filles de toutes les tailles, toutes les couleurs, toutes les morphologies, de la petite timide Ă l’extraordinaire salope en passant par la pĂ©dagogue. Iris, toutefois, malgrĂ© sa grande simplicitĂ©, restera aisĂ©ment dans mon top 10, tant j’ai un sentiment d’accomplissement en pensant Ă notre brève relation. J’ai notamment grâce Ă elle grandement perfectionnĂ© ma pratique du cunnilingus, lĂ©chant sans relâche sa fente humide, des Ă©rections monstrueuses entre les jambes. Elle m’a masturbĂ© de ses deux mains un nombre incalculable de fois quand, nos deux corps, encore trop incompatibles, se languissait l’un contre l’autre, frustrĂ©s.Et puis un soir, dans un Ă©lan d’excitation incontrĂ´lable, elle s’est ouverte Ă moi. Elle Ă©tait bouillante, geignait alors que je la lĂ©chais sans relâche tandis que son sexe dĂ©goulinait littĂ©ralement sur ma langue. Elle m’avait interrompu, avait remontĂ© ma tĂŞte au niveau de la sienne en me tirant par les cheveux, et d’une voix presque plaintive m’avait dĂ©clarĂ© : “Je veux ton Ă©norme queue en moi”. Mon Ă©rection a alors Ă©tĂ© dĂ©cuplĂ©e, et alors que j’enfonçais très lentement les premiers centimètres, elle se mit Ă gĂ©mir. Elle me murmura de ne surtout pas m’arrĂŞter, qu’elle pleure ou supplie. Je sentais son vagin Ă©troit se resserrer sur moi, la pĂ©nĂ©tration se faisait de plus en plus difficile, et tandis qu’Iris se crispait et se contractait, j’entamais au terme de l’interminable pĂ©nĂ©tration – sans toutefois pouvoir enfoncer plus de la moitiĂ© de mon sexe en elle – un lent mouvement d’aller retour. Chaque fois que mon mandrin se retirait lentement d’elle, je lisais dans ses yeux et dans ses cris sauvages et langoureux un mĂ©lange de soulagement et de frustration, et lorsqu’il revenait douloureusement en elle, un mĂ©lange de souffrance et de plaisir. Petit Ă petit, elle s’est dĂ©tendue, et j’ai pu accĂ©lĂ©rer raisonnablement mon mouvement. Je la sentais battre autour de moi, envelopper mon sexe titanesque tant bien que mal, tandis que celui ci commençait Ă la pilonner doucement.
Il va de soit qu’un sexe titanesque ne constitue pas l’assurance d’un rapport de qualitĂ© : il fut pour moi très Ă©prouvant de retenir mon Ă©jaculation au bout de quelques minutes, d’autant plus que ce soir lĂ , cela faisait un an environ que je n’avais pas accomplit de pĂ©nĂ©tration digne de ce nom. Mais Ă force d’efforts importants et de ralentissements stratĂ©giques, j’ai connu ce soir lĂ , Ă presque 19 ans et pour la première fois, l’extase de l’orgasme simultanĂ©. Les hurlements sauvage d’Iris accompagnèrent l’anĂ©antissement de toute ma frustration, et alors que je dĂ©versais une quantitĂ© affolante de sperme en elle, mon esprit se libĂ©ra d’un poids considĂ©rable. Il m’était possible, humainement, de faire l’amour. Cette phrase peut paraĂ®tre stupide et anodine, mais pour moi c’était une victoire immense.Evidemment, la belle Iris n’avait pas toujours Ă©tĂ© aussi volontaire que ce soir lĂ , et certaines de nos tentatives se soldèrent par des Ă©checs cuisants. Mais, malgrĂ© tout cela, et mĂŞme Ă la fin de notre relation lorsque les parties de jambes en l’air s’essoufflaient, j’ai bien vu l’étincelle qu’allumait la vue de mon Ă©norme sexe nu dans ses yeux. Elle me l’avait dit elle mĂŞme, une grande excitation dans la voix : elle n’en revenait pas d’avoir accueilli une telle monstruositĂ© en elle – et elle s’en souviendrait toute sa vie. Elle avait d’ailleurs beaucoup contribuĂ© Ă ma rĂ©putation, principalement auprès de la gent fĂ©minine, qui bientĂ´t se passionna d’intĂ©rĂŞt pour la trompe trainant entre mes jambes. Les qualificatifs Ă l’époque gĂŞnants pour moi fusaient : “bite de cheval”, “l’avant bras”, “la poutre”… Et bien sĂ»r, Marsupilami.C’est donc ma soeur qui m’a donnĂ© ce surnom, l’étĂ© de mes 15 ans, alors que ma verge atteignait des proportions alarmantes et que j’attirais mĂŞme parfois l’oeil des naturistes. Nous parlons bien ici de taille au repos -ou au maximum demi-molle-, qui malgrĂ© mon jeune âge, ridiculisait tous les hommes de mon entourage, et me valait un nombre incalculable de bourrades ringardes du type “Ah il tient pas de son père” – mon père possĂ©dant de plus un sexe qui se place dans une bonne moyenne supĂ©rieure selon moi. Je ne tirais, Ă cette Ă©poque, aucune espèce de sentiment de supĂ©rioritĂ© sur qui que ce soit, et cette attitude, sans doute emprunte d’une pointe de jalousie, me semblait indigne de cette pensĂ©e dans laquelle j’ai grandit. Je mentirais toutefois si je disais ne pas avoir appris Ă apprĂ©cier cette jalousie chez mes semblables : j’ai appris Ă tirer un certain plaisir sexuel de l’exhibition, premièrement devant les regards hallucinĂ©s des femmes nĂ©cessairement intriguĂ©es, ensuite devant leurs compagnons au sexe d’une taille considĂ©rablement rĂ©duite, si on le compare au mien. J’ai notamment tirĂ© un plaisir Ă©gocentrique dingue dans mon adolescence lors de mes nombreuses heures face Ă du contenu pornographique, lorsque je m’apercevais que mon sexe au repos Ă©quivalait quasiment au sexe moyen en Ă©rection, une sorte de sentiment absurde d’être un mâle alpha. MalgrĂ© cela, et en dehors de l’excitation sexuelle, j’étais plutĂ´t humble voire timide quant Ă la taille terrifiante de mon sexe, qui est d’ailleurs rapidement devenue un fait de notoriĂ©tĂ© publique, du moins dans mon cercle de connaissances proches. Il m’est de toute manière très difficile de cacher quoique ce soit, mĂŞme avec un pantalon ample.
Il ne faut pas se méprendre, je ne me plains pas vraiment : cela m’a sans aucun doute permis de baiser tout ce qui bougeait à une époque de ma vie, y compris certaines amies, qui pour la plupart avaient les yeux plus gros que le ventre. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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