Marsupilami
Journal amoureux en plusieurs chapitres d’un jeune homme dotĂ© d’un sexe… chevalin.
Proposée le 17/04/2017 par vvjqc Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: SoloLieu: InclassableType: Roman
Aujourd’hui, Ă l’aube de mes 30 ans, je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi malheureux de ma vie. Après une vie amoureuse plus que tumultueuse, j’ai, je ne sais comment, vĂ©cu la vĂ©ritable expĂ©rience du couple, de l’amour fusionnel et inconditionnel. Il semble malheureusement que de nos jours, le prix Ă payer pour ce genre d’histoires soit une fin tragique, des dĂ©chirements, des pleurs, pertes et fracas. Paradoxalement, je pense que cette relation a Ă©tĂ© dĂ©truite par ce que j’essaie de fuir Ă tout prix : mon passĂ© amoureux composĂ© de relations d’un soir et d’amourettes de week end sans profondeur remplacĂ©es dĂ©s le moindre essoufflement. J’Ă©tais lassĂ© de ne crĂ©er des liens que charnels, mais je n’Ă©tais pas prĂŞt Ă assumer une relation plus forte.J’ai grandi dans une famille naturiste. Mes parents se sont rencontrĂ©s sur une plage, se sont ouverts aux joies de la nuditĂ© ensemble, et depuis ce jour, n’ont que rarement quittĂ© le bord de mer. C’est tout naturellement qu’ils nous y ont Ă©levĂ©s, ma sĹ“ur et moi, avec le moins de tissus possibles. Dans mes meilleurs souvenirs d’enfance, je ne porte pas de vĂŞtements ; les photos de famille les plus spontanĂ©es se sont faites dans le plus simple appareil. Tout cela, c’est Ă mon père qu’on le devait, cet Ă©ternel esprit dĂ©contractĂ© et proche de la nature. C’est au contact des autres que j’ai compris que mon rapport Ă la nuditĂ© Ă©tait plutĂ´t rare. Il n’a jamais s’agit de quelque chose de vaguement sexuel pour moi. J’ai, depuis mon adolescence, vĂ©cu une sexualitĂ© qui s’est avĂ©rĂ©e totalement dĂ©complexĂ©e et immensĂ©ment riche, et il en va de mĂŞme, d’après ce que j’en sais, pour ma sĹ“ur. Moi comme elle accumulons un nombre de conquĂŞtes vertigineux, surtout grâce Ă une confiance et une assurance physique Ă toute Ă©preuve : il ne faut pas se mĂ©prendre, il ne s’agit pas de prĂ©tention, mais plus d’acceptation totale de son aspect physique.Il faut avouer que la gĂ©nĂ©tique a beaucoup aidĂ© : nos parents Ă©taient beaux, en forme et particulièrement sĂ©duisants. L’un comme l’autre dĂ©gageaient une assurance et un charisme qui encore aujourd’hui leur donnent les plus grandes facilitĂ©s pour ce qui est de nouer des liens affectifs. Ma mère est encore capable, malgrĂ© ses 58 ans, de sĂ©duire un jeune homme sans efforts, et mon père peut lui aussi sans aucun soucis intriguer la gent fĂ©minine par son charme d’ours virile.
Je n’ai peut ĂŞtre pas hĂ©ritĂ© d’une mâchoire aussi masculine que celle de mon père, mais je suis grand, carrĂ© sans ĂŞtre musclĂ©, et mes traits sont plutĂ´t fins (bien que je sois loin d’ĂŞtre mannequin). J’ai en revanche hĂ©ritĂ© de sa pilositĂ©, qui sans ĂŞtre invasive, me donne un torse virile lorsque je prends la peine de faire du sport. Dans l’ensemble, la pubertĂ© avait Ă©tĂ© gĂ©nĂ©reuse avec moi. Aussi subitement que violemment, elle m’a frappĂ© de plein fouet, et en plus d’une pilositĂ© virile, d’une musculature plutĂ´t Ă©paisse et d’un visage adulte, j’ai Ă©tĂ© affublĂ© d’un sexe que l’on a qualifiĂ© de « gargantuesque ». La diffĂ©rence a vite Ă©tĂ© remarquĂ©e, et c’est de la croissance de mon outillage qui semblait Ă l’Ă©poque sans fin, qu’est nĂ© le surnom dont m’a affublĂ© ma sĹ“ur : Marsupilami.Evidemment, bien que je ne cache aujourd’hui pas une certaine fiertĂ© Ă l’idĂ©e d’exposer mon sexe hors normes Ă mes conquĂŞtes, il en Ă©tait tout autrement Ă l’Ă©poque de l’adolescence. Toute la philosophie de mon père et de ma mère Ă©tait inutile lorsqu’il s’agissait pour moi de manier un tel engin dans l’intimitĂ©. J’ai connu une grosse pĂ©riode de perte de confiance, aux alentours de mes 17 ans, après de nombreux refus et de rĂ©actions outragĂ©es. J’ai bien vite compris que mes mensurations Ă©taient tout Ă fait exceptionnelles et me poseraient beaucoup de problèmes, mais il n’empĂŞche que pendant quasiment un an, je n’ai connu aucune fille tant ma relation Ă la nuditĂ© avait Ă©tĂ© mise Ă mal par la pubertĂ©. C’est en partie ma mère qui a dĂ©samorcĂ© le problème après une longue discussion. Nous Ă©tions très proches, et il existait peu de secrets entre nous. Elle me laissait autant d’intimitĂ© que je le souhaitais mais Ă©tait tout Ă fait en mesure de m’entendre et de me conseiller, sexuellement parlant. Elle savait Ă quel point j’avais Ă©tĂ© gâtĂ©, et lorsque j’ai Ă©voquĂ© mes mĂ©saventures sexuelles, j’ai tout de suite vu dans ses yeux qu’elle savait oĂą Ă©tait le problème. Elle n’a pas mâchĂ© ses mots, mais est restĂ©e malgrĂ© tout très comprĂ©hensive et encourageante, et a enclenchĂ© un processus d’acceptation – certes long- en profĂ©rant la phrase qui m’a permis d’Ă©merger d’un ocĂ©an de frustration : « avec un sexe de la taille du tien, il faut faire l’amour intelligemment ».
MalgrĂ© notre relation dĂ©contractĂ©e, j’ai refusĂ© d’en entendre plus après qu’elle m’aie suggĂ©rĂ© de pratiquer oralement afin de « prĂ©parer le terrain ». Je suis doucement retournĂ© au contact des filles, et après quelques tentatives, j’ai finalement rencontrĂ© Iris, seconde fille avec qui j’ai fait l’amour, environ un an et demi après ma première fois. Nous sommes restĂ©s quelques mois ensemble avant une rupture sèche. Iris Ă©tait une petite brune aux origines algĂ©riennes lointaines et au nez lĂ©gèrement aquilin. PlutĂ´t fine et peu formĂ©e, mais pleine d’assurance et d’optimisme, elle possĂ©dait dans mon souvenir un corps agile et ferme. Elle a su surmonter sa peur initiale et, Ă force de pratiquer de longs prĂ©liminaires (au dĂ©but hĂ©sitants), s’est ouverte Ă moi en m’offrant une relation dĂ©cisive dans ma vie sexuelle et amoureuse. J’ai reçu de sa part des fellations dĂ©sastreuses mais pleines de bonnes intentions, et les gĂ©missements de plaisir empreints de douleur que j’ai fini par lui arracher me hantent aujourd’hui encore.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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