Mauvaise influence
La femme a des phantasmes de soumission, mais cela reste secret, son mari voudrait l’obliger Ă assouvir les dĂ©sirs d’autres hommes, mais il n’ose pas lui en parler. Heureusement ils ont de mauvaises frĂ©quentations.
Proposée le 13/02/2017 par Erty99 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Philippe Ă©tait un grand gaillard de trente huit ans, cadre commercial dans une sociĂ©tĂ© informatique, ce qui l’amenait Ă effectuer des dĂ©placements frĂ©quents. Il conservait d’un passĂ© sportif une silhouette athlĂ©tique mais avait tendance Ă s’enrober.Corinne, trente quatre ans, occupait un emploi de fonctionnaire. PlutĂ´t grande, blonde, la peau laiteuse, elle Ă©tait toute en rondeur, de son visage jusqu’Ă sa croupe, en passant par des seins lourds et lĂ©gèrement tombants, mais avec une taille marquĂ©e et de fort jolies jambes. Ses formes Ă©panouies attiraient souvent le regard des hommes, mais elle restait complexĂ©e « avec ses grosses doudounes et son gros derrière » comme elle le disait parfois. Ce sont ces formes qui avaient d’abord attirĂ© Philippe, il Ă©tait rapidement tombĂ© amoureux de la jeune femme, gaie et intelligente mais rĂ©servĂ©e et timide.MariĂ©s de maintenant plus de dix ans, ils n’avaient pas d’enfant. Les analyses montraient que tout Ă©tait correct du cotĂ© de monsieur et que c’Ă©tait madame qui avait probablement du mal Ă concevoir. Ils s’Ă©taient fait une raison et ce manque d’enfant ne semblait plus les prĂ©occuper.En ce dĂ©but du mois de juillet, la veille de leur dĂ©part en vacances, Corinne sortait du salon de beautĂ© ou elle venait de subir une Ă©pilation intĂ©grale. Ainsi, elle pourrait porter son nouveau maillot de bain sans qu’aucun poil ne dĂ©borde. AchetĂ© le week-end prĂ©cĂ©dent, elle trouvait ce maillot trop Ă©chancrĂ©, mais son mari, Philippe, avait insistĂ© pour qu’elle le prenne, en argumentant «se sera l’occasion de te faire Ă©piler la chatte ». Corinne avait alors pris un air offusquĂ©. Mais c’est vrai que ce maillot lui allait bien, elle avait cĂ©dĂ©. Et pourquoi pas une Ă©pilation intĂ©grale, cela ferait plaisir Ă Philippe et c’Ă©tait Ă la mode.Elle en avait parlĂ© Ă son amie Florence, qu’elle continuait Ă voir en cachette de son mari. Florence avait pour compagnon Karl, un type bizarre, d’une cinquantaine d’annĂ©es. Il avait plutĂ´t l’air d’un gĂ©ant viking et possĂ©dait une musculature impressionnante. Philippe le qualifiait de souteneur et ne voulais plus frĂ©quenter ni Karl ni Florence. C’est vrai que le couple avait des mĹ“urs plutĂ´t libre. La preuve, Ă la question sur l’Ă©pilation intĂ©grale Florence l’avait encouragĂ©e en joignant le geste Ă la parole : elle avait relevĂ© sa jupe pour dĂ©voiler une absence de culotte et un sexe lisse.-« Pour le plus grand plaisir de mon mec, ainsi que de quelques autres » avait t elle dit.Corinne se dirigeait donc vers le domicile de Florence car celle-ci lui avait demandĂ©e de lui montrer le rĂ©sultat et aussi, secrètement, dans l’espoir de croiser Karl, dont la personnalitĂ© et la rĂ©putation sulfureuse la fascinait. ArrivĂ©e Ă l’appartement de Florence, seul appartement sur le dernier palier d’un immeuble ancien, Corinne trouva la porte mal fermĂ©e tandis qu’elle entendait la voix de Florence avec une intonation inhabituelle. Corinne, inquiète, entra et parcouru silencieusement le couloir qui menait au salon.Elle s’immobilisa, sans entrer dans le salon, en constatant la situation : cinq hommes, dont deux noirs et probablement trois maghrĂ©bins, le sexe Ă la main regardaient Karl faisant jouir Florence, Ă quatre pattes sur le sol, avec un gros godemichet qui lui Ă©cartait la chatte. Elle rĂ©pondait « qu’elle aimait ça, qu’elle Ă©tait une salope et qu’elle avait besoin de bites ». Les cinq hommes, dont certains avaient un très gros sexe, se rapprochèrent sur un signe de Karl qui ordonna Ă Florence de les sucer. Elle les avala l’un après l’autre, les faisant gicler sur ses seins tandis que son amant l’enculait. Corinne ne pouvait dĂ©tacher son regard de la scène et elle mouillait tellement que sa cyprine glissait le long de ses jambes tremblantes.Soudain Karl l’aperçu, mais quasiment en transes, Corinne ne rĂ©agit pas.Sans quitter des yeux Corinne, hypnotisĂ©e par ce regard pervers et dominateur, Karl Ă©jacula dans les intestins de sa pute, puis il demanda aux hommes de s’en aller. Sans un regard pour Florence, il se dirigea vers Corinne, dont il Ă©tait seul Ă savoir la prĂ©sence et qui restait immobile, l’entraĂ®nant dans la pièce d’Ă cĂ´tĂ© il lui dit :- «Pour l’instant tu reste tranquille, sinon je te livre aux clients de Florence».Il quitta la pièce, revint une minute plus tard. Corinne n’avait pas bougĂ©e, subjuguĂ©e par Karl.
– « Ils sont partis et Florence est sous la douche »Karl saisit sa victime par les cheveux d’une main et glissa l’autre main sous sa jupe, elle n’opposa aucune rĂ©sistance. D’un geste vif il lui arracha sa culotte tandis qu’il la rĂ©duisait au silence par un baiser forcĂ©. Constatant que Corinne avait la chatte lisse et gluante de mouille, il lui susurra au creux de l’oreille :- « Je vois que tu as apprĂ©ciĂ© ce que tu as vu et que tu aurais aimĂ© ĂŞtre Ă la place de Florence, mais rassure toi bientĂ´t toi aussi tu aura ma bite au fond du cul mais tu devras tapiner pour moi pour la mĂ©riter ».« Une putain » pensa Corinne qui ressentit aussitĂ´t de la honte et un plaisir trouble. Ce vieux phantasme prenait corps.Karl, constatant son emprise totale sur Corinne, l’embrassa longuement en lui doigtant d’abord la chatte pour amener de la cyprine sur l’anus. Quand la lubrification fut suffisante il enfonça un doigt dans son petit trou, puis un deuxième, de plus en plus profondĂ©ment et de plus en plus vite, amenant sa prisonnière au bord de l’orgasme. Il s’arrĂŞta avant qu’elle jouisse, la laissant frustrĂ©e.- « Quand je t’aurais dressĂ©e, tu ne jouira plus que par le cul. Tu resteras Ă©pilĂ©e et sans culotte. Cela fait longtemps que je t’attend, maintenant que tu est lĂ , tu m’appartient. »Il la regarda droit dans les yeux et lui rĂ©pĂ©ta, lentement sur un ton grave :- « Tu resteras Ă©pilĂ©e, sans culotte et tu ne jouira plus que par le cul. »Reprenant un ton normal :- « File vite avant que Florence s’aperçoive de quelque chose, et pas un mot Ă personne, sinon… » dit il menaçant.Corinne s’enfuit, se jurant de ne plus revoir cet individu, cependant…Corinne rentra Ă son domicile d’un pas pressĂ©, très troublĂ©e parce qu’elle venait de vivre, trouble augmentĂ© par le vent qui s’infiltrait par moment sous sa jupe et venait caresser son sexe nu et humide.Philippe Ă©tait dĂ©jĂ rentrĂ© du bureau. Il embrassa son Ă©pouse, lui caressant machinalement les fesses, comme il le faisait chaque soir, et constata l’absence de culotte.- « Tu te promène cul nu maintenant ? »- « C’est ce que m’a conseillĂ©e l’esthĂ©ticienne, ne rien porter pendant quelques jours pour l’hygiène, d’ailleurs elle n’a pas voulu me la rendre », avait elle rĂ©pondue trouvant ainsi une excuse Ă la perte de son sous-vĂŞtement dĂ©chirĂ© restĂ© chez Florence. Puis elle releva sa jupe pour dĂ©voiler son sexe lisse.- « Car j’ai suivi tes instructions, je me suis faite Ă©pilĂ©e ! »Elle rabaissa sa jupe et se retourna pour aller se changer dans la chambre, mais son mari ne lui laissa pas le temps. L’agrippant aux hanches il la pencha sur une commode et plaqua son bas-ventre, le sexe en Ă©rection, contre la croupe tendue par la position de son Ă©pouse.Sentant contre ses fesses, cette duretĂ© qu’elle connaissait bien, Corinne fit quelque chose auquel il ne s’attendait pas : elle se dĂ©gagea afin de relever sa jupe sur ses reins, se pencha plus avant en s’appuyant des deux mains sur le dessus de la commode, puis, Ă©cartant les jambes et cambrant son cul, lui dit simplement, sans mĂŞme le regarder :- « Vas-y, mets la moi au fond. »Philippe sortit sa queue et promena son gland le long de sa fente. Elle Ă©tait gluante. Corinne gĂ©mit de voluptĂ©. Il sentait son clitoris tout dur. Il lui souffla alors Ă l’oreille :- « tu la veux dans quel trou ? », surpris par sa propre audace.« Dans le cul, si tu me l’enduit de lubrifiant pour me prĂ©parer. J’ai trop envie d’une bonne queue. »Incroyable. Elle n’avait jamais prononcĂ© des mots comme ça, avec cette voix rauque et son cul qui s’agitait contre la bite de Philippe dans l’attente de la saillie.Philippe se prĂ©cipita dans la salle de bain, chercha le tube de gel lubrifiant et chauffant qu’il utilisait pour augmenter la sensation de chaleur ressentie par sa femme lors de leurs unions charnelles. Il revint dans le salon, sa femme n’avait pas bougĂ©, tortillant son cul massif et cambrĂ©.Il lubrifia son anus avec une bonne dose de gel, d’abord en introduisant un doigt, puis, ayant repris une autre dose, avec deux doigts qu’il agita vigoureusement dans son conduit afin d’assouplir et d’Ă©largir le diamètre de son anus. Il s’arrĂŞta avant qu’elle jouisse.Il l’attrapa ensuite par les hanches et rentra son sexe bandĂ© dans son cul. Bien chauffĂ©e par la prĂ©paration subie, elle eut un premier orgasme quand elle sentit que la bite de son mari l’avait complètement pĂ©nĂ©trĂ©e. Jamais elle n’avait jouis aussi rapidement.Il continua Ă la bourrer, ses mains passèrent sous le buste et se saisirent des seins qu’elles pĂ©trirent, Ă©tirant les mamelons et les doigts pinçant les tĂ©tons Ă lui en faire mal. Il lui dit- « J’aime tes grosses doudounes et ton gros derrière, que tu es bonne !. Bonne Ă enculer ! »Ahanant sous l’effort, il pilonna le cul maintenant largement Ă©largi et abondamment lubrifiĂ©, poignardant son Ă©pouse de son sexe. Elle râlait en s’appuyant contre le meuble d’une main et travaillant son clitoris de l’autre main. Son jus lui coulait sur les couilles. Elle criait que c’Ă©tait trop bon d’avoir une « bonne queue dans la cul », « que c’Ă©tait encore meilleur par-là  », « qu’elle y avait droit ». Ces mots crus dans sa bouche augmentaient leur plaisir Ă tous les deux. Ne pouvant se contrĂ´ler plus longtemps, il se laissa alors emporter par l’orgasme dĂ©vastateur. Dans un grognement animal, il Ă©jacula Ă longs jets, inondant les entrailles de son Ă©pouse de son sperme abondant. Ce furent surtout les soubresauts saccadĂ©s de la longue verge plantĂ©e dans son cul qui amenèrent Corinne Ă une seconde jouissance. Enfin repus, Philippe se retira lentement d’entre les fesses sa femme, puis l’entraĂ®nant, alla dans la chambre pour s’Ă©crouler sur le lit dans les bras l’un de l’autre. Les deux Ă©poux demeurèrent un long moment immobile.Philippe avait Ă©tĂ© surpris d’entendre les expressions de son Ă©pouse, elle, plutĂ´t rĂ©servĂ©e se lâchait vraiment. Ce n’Ă©tait pas leur première sodomie, mais c’Ă©tait la première demandĂ©e expressĂ©ment par Corinne. Elle devenait une belle salope. Mais il Ă©tait trop heureux de ces changements pour y rĂ©flĂ©chir.Ce matin Philippe prĂ©parait sa valise pendant que Corinne Ă©tait sous la douche. Ils devaient faire la route vers l’hĂ´tel quatre Ă©toiles avec piscine au bord de la cĂ´te atlantique. Ils avaient rĂ©servĂ© une chambre pour deux semaines de vacances. Il Ă©tait pensif, la sĂ©ance de la veille restait dans son esprit. Il se souvint des allusions, lors d’un repas arrosĂ©, de son ancienne collègue Florence (et copine restĂ©e très proche, trop proche) sur certains dĂ©bordements qui auraient eu lieu lors de leur stage de formation initiale, lors de leur recrutement dans l’administration. Corinne avait Ă©tĂ© très mal Ă l’aise. Philippe ne put en savoir plus mais fantasma que Corinne avait couchĂ© avec des formateurs afin d’amĂ©liorer ses notes de stage.Jusqu’Ă maintenant, Philippe, jugeait que ce qui c’Ă©tait passĂ© avant leur rencontre ne le regardait pas, et l’amour et le respect qu’il lui portait l’avait empĂŞchĂ© de l’interroger plus avant. Est ce qu’elle voyait toujours Florence ? Si oui elle Ă©tait sous mauvaise influence, mais n’en avait il pas profitĂ© hier soir ?. Pourquoi avez t elle dit « qu’elle y avait droit » ?Il constata qu’il Ă©tait en Ă©rection, que sa femme soit une salope l’excitait donc.Corinne sortit de la douche et entra dans la chambre. Nue, elle rangea ses affaires dans la valise Ă son tour. Le regard de Philippe fut attirĂ© par le pubis et la raie culière de Corinne intĂ©gralement Ă©pilĂ©s.- « C’est beau, tu ne devrais pas mettre de culotte », lui proposa Philippe.- « D’accord, si cela te fais plaisir » rĂ©pondit elle avec un sourire coquin tandis que rĂ©sonnait dans sa tĂŞte la phrase de Karl « Tu resteras Ă©pilĂ©e et sans culotte ». Puisque « ses » hommes la voulait ainsi…- « ça te plais d’ĂŞtre nue ? »- « J’aime, je me sens plus libre », plus pute aussi, pensa t elle, constatant l’influence grandissante de Karl sur son comportement. »Puis, elle mis un soutien-gorge blanc.- « A si je pouvais aussi me passer de soutien-gorge ! Mais mes doudounes sont trop grosses, elles ballottent trop et elles me feraient mal ».Corinne s’habilla ensuite d’une robe lĂ©gère, sage, mais dont le tissu tendu trahissait le volume de sa poitrine et de sa croupe…mais point de culotte et Philippe n’en trouva aucune lors d’une inspection discrète de la valise qu’il fit un peu plus tard.Tout en conduisant Philippe continuait Ă penser Ă l’Ă©volution rĂ©cente de son Ă©pouse.Elle continuait Ă voir Florence pensa t il, se remĂ©morant la dernière rencontre entre les deux couples, lors d’une invitation Ă dĂ®ner lancĂ©e par Corinne. Karl lui avait confiĂ© qu’il aimait offrir Florence Ă d’autres hommes, et qu’elle Ă©tait d’accord au point d’en redemander. Il lui avait aussi proposĂ© de s’occuper de Corinne, « qu’elle ne dirait pas non car, comme beaucoup de femmes, elle devait avoir le phantasme de faire la pute ».- « Je suis sur qu’elle est chaude mais qu’elle ose pas parce que tu es son mari »Philippe se souvenait particulièrement d’une phrase profĂ©rĂ©e par Karl :- « Est-elle Ă©pilĂ©e ? Une femme lisse et sans sous-vĂŞtement c’est plus efficace pour le dressage, il faut lui donner de bonnes habitudes dès le dĂ©but. PossĂ©der une femme c’est la soumettre ».Cette phrase dĂ©stabilisa Philippe car son phantasme secret c’était justement d’offrir Corinne Ă d’autres hommes pour qu’ils lui apprennent la soumission sexuelle. Mais un phantasme aussi inavouable devait rester un phantasme, c’est pourquoi il rompu les ponts avec Florence et Karl, espĂ©rant ainsi protĂ©ger Corinne.Après plusieurs heures de route, la berline quitta la quatre voies et empruntait maintenant une dĂ©partementale.Ils aperçurent une voiture garĂ©e au bord de la route et un homme qui leur faisait signe. Philippe se rangea derrière le vĂ©hicule dont le conducteur, un tout jeune homme, s’approcha cotĂ© passager et se pencha Ă la fenĂŞtre que Corinne venait de baisser. Après un rapide Ă©change de formules de politesse, il demanda de l’aide : sa voiture Ă©tait en panne et il cherchait Ă joindre l’assistance de son assurance mais son smartphone Ă©tait dĂ©chargĂ©. Philippe lui proposa alors de l’aider en appelant Ă sa place Ă partir de l’Ă©quipement tĂ©lĂ©phonique dont son vĂ©hicule Ă©tait dotĂ©.Fixant le jeune inconnu qui lui paraissait Ă©trangement troublĂ©, Corinne ne tarda pas Ă remarquer la direction du regard de ce dernier. Jetant un rapide coup d’Ĺ“il vers ce qui semblait tant l’attirer, elle dĂ©couvrit que sa robe retroussĂ©e, dĂ©voilait une partie importante de ses cuisses. Et vu la position Ă©cartĂ©e de ses jambes, elle comprit alors le spectacle qu’elle offrait bien involontairement au jeune homme. Un plaisir pervers la saisit. Alors que sa pudeur lui commandait de tirer sa robe sur ses genoux afin de cacher ses cuisses dĂ©nudĂ©es, un pernicieux dĂ©sir lui commandait d’Ă©carter plus largement ses jambes afin de dĂ©voiler ses cuisses aux regards de l’inconnu.Et la prĂ©sence de son mari Ă ses cotĂ©s ne faisait qu’accentuer ce dĂ©sir. Inconscient du trouble qui habitait son Ă©pouse, Philippe n’en avait pas moins remarquĂ© l’attention que le jeune inconnu portait aux jambes dĂ©couvertes de cette dernière. Alors qu’il aurait du en ĂŞtre contrariĂ©, il pensa Ă Karl et posant nĂ©gligemment sa main droite sur la cuisse gauche de sa femme, il s’arrangea, tout en renseignant l’assistance sur leur localisation, Ă retrousser la robe lĂ©gère. Insensiblement, d’un geste presque naturel, il dĂ©couvrit un peu plus gĂ©nĂ©reusement les cuisses de son Ă©pouse.Lorsque la main chaude et caressante de Philippe se posa sur le haut de sa jambe nue, et que dans un mouvement anodin elle repoussa sa robe, dĂ©jĂ largement retroussĂ©e, Corinne Ă©prouva un sentiment Ă©trange. Sentiment oĂą se mĂŞlaient simultanĂ©ment gĂŞne et plaisir : gĂŞne de se trouver ainsi troussĂ©e devant un inconnu, et dans le mĂŞme temps un certain plaisir Ă ĂŞtre ainsi offerte par son propre mari Ă la convoitise de ce jeune inconnu. Un frisson la parcouru accentuant l’Ă©tat de trouble dans lequel elle se trouvait depuis que Karl l’avait subjuguĂ©e. Elle Ă©carta ses cuisses et offrit au jeune homme la vision de sa fĂ©minitĂ© tandis qu’elle percevait une chaleur bien connue lui irradier le bas-ventre. Le fait que ce jeune homme, puisse lorgner en direction de ses cuisses largement dĂ©couvertes, et apercevoir entre celles-ci son pubis lisse, l’excitait au plus haut point.Elle se rendit compte qu’en cet instant elle s’identifiait Ă Florence et que quelque chose venait de changer en elle : dans ses phantasmes secrets n’Ă©tait elle pas maltraitĂ©e et soumise ? Cependant, lorsque au bout d’un certain temps, l’assistance dĂ»ment prĂ©venue dĂ©clara dĂ©pĂŞcher une dĂ©panneuse, Philippe retira sa main de sa cuisse, pour reprendre la route, un sentiment de frustration saisit Corinne. Esclave de ses sens en effervescence, elle aurait dĂ©sirĂ© que Philippe retrousse plus largement sa robe et dĂ©voile ainsi son intimitĂ© Ă ce jeune homme au regard extasiĂ©.Le voyage se terminait, Corinne tenta de comprendre ce qui lui arrivait. Elle avait pris un plaisir Ă©vident Ă s’exhiber, jamais elle ne se serait imaginĂ©e ressentir une telle jubilation Ă sentir le regard d’un inconnu se poser sur les endroits de son corps, qu’habituellement elle cachait.« Offerte par son mac Ă un client, comme une putain » pensa Corinne. Car c’Ă©tait lĂ son phantasme le plus secret : ĂŞtre soumise et dressĂ©e par un homme, dominateur, viril et bien montĂ©, puis contrainte Ă la prostitution. Cette Ă©vocation l’amenait rĂ©gulièrement Ă l’orgasme quand elle se masturbait lorsque les absences de son mari devenaient trop longues. C’est probablement ce phantasme qui l’avait attirĂ© vers Karl.Perdue dans ses pensĂ©es, elle songea comment reproduire cette expĂ©rience, avec la complicitĂ© Ă la foi sĂ©curisante et humiliante de son mari…ou sans son mari.- « Pauvre garçon », lui lança soudain Philippe, la tirant de sa rĂŞverie Ă©rotique… « il doit penser encore au spectacle que tu lui Ă offert et qu’il n’est pas prĂŞt d’oublier. »- « C’est toi qui lui as offert ce spectacle », rĂ©pliqua Corinne. « Tu ne m’as rien demandĂ© pour lui montrer mes cuisses !… Et tout le reste ! »- « En effet, mais j’ai le sentiment que ça ne t’avait pas beaucoup gĂŞnĂ©e. Je me trompe ? »DĂ©cidant d’ĂŞtre franche, elle avoua :- « C’est vrai, j’ai Ă©prouvĂ© une certaine excitation Ă ĂŞtre ainsi exhibĂ©e… Mais je pense que tu as toi-mĂŞme pris du plaisir Ă m’offrir ainsi, au premier venu… Je me trompe ? »Et comme pour vĂ©rifier ses dires, Corinne posa sa main gauche sur la braguette de son Ă©poux. Elle ne put que constater que Philippe Ă©tait victime d’une Ă©rection due Ă la sĂ©ance de voyeurisme dont il avait Ă©tĂ© le metteur en scène.- « Eh bien, tu ne vas pas me dire que ça t’as laissĂ© indiffĂ©rent de me montrer Ă ce garçon », s’exclama Corinne en serrant fortement ses doigts autour de la bosse qui dĂ©formait le devant du pantalon.- « C’est vrai », rĂ©pondit Philippe Ă qui l’aveu de sa femme confirmait ses prĂ©cĂ©dentes rĂ©flexions.- « Je crois bien qu’il a vu que je n’avais pas de culotte », continua Corinne… « et que j’Ă©tais Ă©pilĂ©e ! »Philippe, d’un geste, retroussa la robe de Corinne, qui Ă©carta les cuisses sans que son mari ai besoin de lui demander, puis il passa la main droite dans l’entrejambe de sa femme.- « Tu est trempĂ©e, ça t’a plu ? »- « Beaucoup », avoua la jeune femme, après un temps d’hĂ©sitation et d’une voix basse et très Ă©mue.
– « Tu voudrais recommencer ? »- « Pourquoi pas », rĂ©pondit elle, puis elle ajouta, toujours avec la mĂŞme petite voix :  « mais avec un vrai mâle, pas un jeunot ».- « Je constate avec joie que ma femme se dĂ©vergonde », plaisanta Philippe, pour masquer son Ă©motion, mĂ©lange d’excitation et de jalousie, qui l’Ă©treignait Ă l’idĂ©e qu’elle accepte d’ĂŞtre livrĂ©e à « un vrai mâle », car le mot « avec » suggĂ©rait plus qu’une exhibition.En rĂ©action elle resserra plus fermement ses doigts autour de la queue gonflĂ©e de son Ă©poux, confirmant ainsi son accord pour des jeux sexuels plus pervers.Ils arrivèrent Ă l’hĂ´tel en fin d’après midi et prirent possession de leur chambre tandis que le service voiturier garait leur berline et montait leur valise.Une fois seuls dans leur chambre, Corinne s’empressa de dĂ©faire la valise, afin de ranger leurs linges dans les diffĂ©rents rayons de la commode. Philippe porta les trousses de toilettes dans la salle de bains et alla s’asseoir dans le fauteuil. Son regard se porta sur le fessier de sa femme qui se dessinait avec nettetĂ© chaque fois que Corinne se penchait sur les tiroirs ouverts. Sa robe Ă©troite se plaquait sur ses hanches Ă©vasĂ©es, mettant en relief son cul large, gros et ferme. Par moment, le tissu s’insinuait entre les deux rondeurs, marquant prĂ©cisĂ©ment la longue raie qui coupait la croupe en deux.Cette vision rappela Ă Philippe que son Ă©pouse ne portait toujours pas de culotte sous sa robe, peut-ĂŞtre le dĂ©but de son dressage par Karl pensa-t-il. Il se souvint aussi de leur conversation après leur rencontre avec le jeune automobiliste en panne, excitĂ©, Philippe se redressa et s’approcha de son Ă©pouse, il l’embrassa avec passion durant une dizaine de secondes, la dĂ©shabilla, puis lui pinça le tĂ©ton du sein gauche. Elle ressenti une douleur mais Ă©carta les jambes incitant son mari Ă constater le gonflement de son clitoris qu’il pinça Ă son tour et sa chatte inonda la main qui la torturait, en mĂŞme temps qu’elle ondulait de la croupe en gĂ©missant.- « Maintenait suce-moi ! » ordonna Philippe.Elle le regarda avec une lueur de perversion au fond des yeux et, sans rien dire, elle s’agenouilla et engloutit sa verge d’un seul mouvement. Il lui assĂ©na alors une claque sur les fesses.- « Pas trop fort » Protesta-t-elle.- « Suce ou je vais te dĂ©rouiller ma salope. »Elle s’arrĂŞta. Philippe ne l’avais jamais traitĂ© de la sorte. Elle hĂ©sita, s’arrĂŞtant de sucer.
Comprenant le danger d’une rĂ©bellion, d’autoritĂ© il lui mit deux doigts dans le vagin qu’il trouva trempĂ©, large et souple.- « Ouiii, souffla-t-elle. »Et elle reprit sa fellation, vaincue.Avec perversitĂ©, Philippe alterna une grande claque sur les fesses suivie d’une pĂ©nĂ©tration de deux doigts puis Ă nouveau une grande claque, puis Ă nouveau les doigts…Elle mouillait de plus en plus, bougeant ses fesses pour appeler une nouvelle claque. Elle suçait de plus en plus fort allant mĂŞme jusqu’Ă engloutir entièrement la bite de Philippe au fond de sa gorge. Au bout d’un long moment, il se dĂ©gagea de la bouche accueillante, sans avoir joui, la positionna bien Ă genoux au bord du lit. Elle tendit sa croupe en creusant les reins et il l’embrocha, lui debout, elle Ă genoux, d’une seule traite dans sa chatte dilatĂ©e. Une seule poussĂ©e lui suffit pour l’emmancher jusqu’aux couilles. Elle poussa un long gĂ©missement tandis que dĂ©jĂ , il la pistonnait de toutes ses forces. D’un doigt bien lubrifiĂ© par la cyprine qui coulait de la chatte de Corinne, il lui caressa l’anus, puis il l’enfonça, les plis s’ouvrirent facilement pour libĂ©rer le passage. Une phalange, deux puis le majeur tout entier coulissèrent dans le rectum de sa femme, lui procurant d’agrĂ©ables sensations en augmentant celles dĂ©jĂ bien prĂ©sentes de la queue qui lui pourfendait le vagin. Les gĂ©missements prenant de l’amplitude, un deuxième doigt dans son fondement rejoignit le premier. L’entrĂ©e de son anus maintenant bien ouverte, Corinne se laissa emporter par la spirale du plaisir.Tout ce qui s’Ă©chappait de sa gorge n’Ă©taient que cris de plaisir, feulements, râles mĂŞme. Au bord d’une nouvelle jouissance, Elle explosa quand un troisième doigt rejoignit les deux autres.- « Oui dans mon cul ! Je jouis. Je jouis encore !!! »Il la besogna encore, puis se retirant de son ventre, il posa son gland sur son anus complètement ouvert. D’elle mĂŞme, elle Ă©carta ses fesses Ă deux mains lorsqu’il s’enfonça doucement entre ses fesses. Deux ou trois coups de reins lui suffirent pour l’embrocher jusqu’Ă la garde.Corinne ferma les yeux, elle acceptait la possession, elle Ă©tait Ă lui, corps et âme.Les mouvements lents et profonds au dĂ©but, augmentaient peu Ă peu en intensitĂ© jusqu’Ă en devenir bestial. C’Ă©tait une saillie animale. Corinne se laissait sodomiser avec une Ă©tonnante complicitĂ©. Elle n’en pouvait vraiment plus. – « Oui, oui je vais jouir »
– « Par oĂą tu vas jouir » lui demanda t il
– « Par derrière, oh oui c’est fort, je vais jouir par derrière »
– « Dis-moi que tu va jouir par le cul »
– « Aaaah, je vais jouir par le cul »
– « Une salope bien enculĂ©e ? »
– « Oui… oui je suis une… une … salope… bien enculĂ©e par… par la grosse queue de son… son mac… »- « Son mac ? Oui tu a raison, tu est une grosse pute et pour qui tu va tapiner maintenant ?», improvisa Philippe.A ces mots Corinne, dans un Ă©tat second, parti dans un dĂ©lire verbal cru et incontrĂ´lĂ©.
– « Je suis… une… putain… une… une des putains de Karl…une pute bien… enculĂ©e ! »Karl ? Philippe accusa le choc en mĂŞme temps qu’il compris d’oĂą venait son attitude plus sensuelle depuis hier. Mais ce n’est pas de moi qu’elle rĂŞve regretta t il, mais loin de le faire dĂ©bander, cet aveu poussa son excitation Ă son paroxysme.Elle jouissait sans discontinuer tandis que Philippe, sentant monter la sève, râla et se vida en longs jets puissant dans les entrailles de la « pute de Karl », sa femme.Alors qu’il avais toujours cru que le respect et la douceur Ă©taient les seuls moyens d’amener une femme au plaisir, Philippe dĂ©couvrait sa femme soumise, aimant une certaine forme de brutalitĂ©. Et ce phantasme d’ĂŞtre prostituĂ©e…Et quelle Ă©tait l’emprise rĂ©elle de Karl ? Comment la dĂ©livrer de cette emprise ?Mais si sa femme Ă©tait demandeuse, comme les Ă©vĂ©nements de la journĂ©e semblaient le prouver, pourquoi ne pas en profiter en laissant Karl agir ? Oui mais. .. si ils allaient trop loin, s’il la perdait ? Il fallait absolument garder le contrĂ´le : la livrer Ă Karl mais contrĂ´ler ce dernier.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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