Mélodie
Je déteste Mélodie. Depuis que j’ai posé les yeux sur elle. Depuis que je ne peux plus dormir sans me donner un orgasme en pensant à elle. Depuis que je rêve de son corps. De ses mains. De nous.
Je la déteste et je la veux. Mais je ne l’admettrai jamais.
Proposée le 16/09/2022 par Lolita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FFLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je déteste Mélodie. Depuis la première fois ou mes yeux se sont posés sur elle.
Elle est intelligente, drôle, belle, aimée de tous. Mais elle m’insupporte. Elle croit tout savoir, et me prend de haut. Je la vois me jauger de haut en vas en permanence et sourire mesquinement à mes réflexions. Je déteste tout chez elle, ses longs cheveux bruns, ses grand yeux noirs, sa peau bronzée, ses longs doigts fins, sa poitrine logement plus volumineuse que la mienne, ses hanches fines, ses fesses rondes. Tout. Et c’est réciproque. Mélodie n’a pas manqué d’occasion de me montrer son mépris, encore et encore. Quand on parle eu loup…
— Qu’est-ce tu veux ? Demandais-je à la grande brune.
— Reccuperer un truc à moi, chez toi.
Mélodie était amie avec ma grande sœur l’an dernier, ce qui m’a toujours posé problème. Car elles passaient du temps ensemble, notamment à la maison. Mais ma sœur a quitté le domicile familiale pour aller à l’université, et depuis elle et Mélodie ne se parlent plus.
— Tu n’as qu’à passer après les cours, dis-je simplement, ma mère ouvrira.
— Non, ta sœur a du le planquer quelque part. Je ne me vois pas fouiller pendant que ta mère attend en bas.
— Qu’est-ce ce que tu veux que j’en ai à foutre ? Rétorquais-je.
Mélodie me demande de l’inviter à dormir chez moi. J’éclate de rire. C’est bien la première fois.
— Et puis quoi encore ?
Elle m’explique que c’est un objet de valeur qu’elle doit reccuperer et qu’elle va sûrement mettre du temps à le retrouver.
Je lève les yeux et accepte tout en maudissant ma grande sœur. Le soir venu, Mélodie débarque à la maison. Mes parents et mon frère ont trouvés ça curieux, ils savent à quel point je ne porte pas Mélodie dans mon cœur. Mais j’ai balayer toutes leurs questions en disant simplement qu’il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis. Mélodie à attendue que toute la maison s’endorme pour partir à la recherche de l’objet mystérieux dans la chambre de ma sœur. Il semblerait que ça ait duré assez longtemps pour que je m’endorme.
Quand elle revient, elle est toute sauf discrète. Je la vois se déshabiller, et me surprend à la regarder discrètement. Elle est complètement nue et la lumière extérieur éclaire ses courbes. De ses chevilles à la pointe de ses seins. Je la sens se glisser dans le lit et ferme les yeux. Mais elle n’arrête pas de gigoter et ça m’empêche de dormir.
— Tu peux arrêter de bouger ? M’agacais-je
— Tu peux la fermer ? Répond-t-elle
Là s’en est trop, je lui fait face et lui donne un coup. Mélodie se plaint et m’en redonne un. J’attrape son poignet et la tire vers moi en la menaçant mais ça ne semble pas lui faire peur car elle prend une poignée de mes cheveux et tire dessus. Je gémis de douleur. Les yeux dans les yeux, au bord des nerfs je lui crache au visage, ma salive atterrit sur sa bouche et dégouline. Pendant un court instant je me délecte de cette image avant de le regretter.
Mélodie me tient fermement et bascule pour se mettre au dessus de moi. Mes bras plaques contre le matelas, j’essaie de me défaire mais elle est plus forte. Je réalise qu’elle est nue et moi en sois vêtements et que nous sommes collée l’une à l’autre.
J’essaie de le débattre mais tout ce que ça engeandre c’est faire bouger les seins de Mélodie dans tous les sens.
— Pousse toi ! Grognais-je.
Mais elle se penche un peu plus pour me parler à l’oreille, ce qui a pour conséquence de coller ses seins contre moi.
— Fais moi bouger.
Je ne lâche pas l’affaire et me met à remuer mon bassin pour l’écarter.
Mais rien y fait, ses seins bougent à chaque mouvement, et sa chatte frotte contre ma culotte. Rien de plus.
— Tu vas finir par m’exciter à te frotter à moi comme ça, rage Mélodie agacée.
— Je préférerais crever qu’avoir cet effet là sur toi.
Mélodie regarde vers mon entre jambe et leve un sourcil.
— Pourtant les traces d’humidité sur ta culotte prouvent l’inverse.
Je m’empourpre.
— N’importe quoi.
Mélodie resserre son étreinte sur mes poignet et bouge lentement contre mon intimité.
— On sait toutes les deux que tu mens. Je t’ai déjà vu me mater dans les vestiaires. Et là seule raison pour laquelle tu me déteste c’est parce que j’étais amie avec ta sœur.
Je secoue la tête et tente de repousser le sentiments d’excitation qui émerge en moi.
— On était juste amies elle et moi, ne t’inquiète pas, m’assure-t-elle.
Je me rappelle avoir regardé dans les trou de serrure de la salle de bain une fois. Elles y étaient toutes les deux. Je voulais juste voir si elles ne faisaient rien de bizarres. Mais en effet, elles se douchaient simplement . C’est ce jour là que j’ai vu Mélodie nue pour la première fois. Et j’ai ne l’ai jamais oublié. Une bête image dans un trou alors que ma sœur avait le loisir de prendre sa douche avec elle.
— Menteuse, t’as forcément du faire quelque chose de bizarre pour qu’elle ne te parle plus.
Le visage de Mélodie change, il passe de l’amusement à la colère. Puis, elle se met à frotter sa chatte plus forte contre la mienne, ce qui me tire un gémissement. Ma culotte est trempée et ne sert plus à grand chose. Mais je lutte comme je peux.
— Quelque chose comme matter sa petite sœur sous la douche, avoue-t-elle en se mordant les lèvres.
Alors elle aussi l’a fait. Glisser son œil devant le trou de la salle de bain pour me regarder.
Je suis mélanger entre le fait que mon ego soit flatée et la gêne. J’aurais aimé savoir qu’elle me regardait.
— Tu me voulais, crachais-je satisfaite.
Je creve d’envie qu’elle m’arrache cette culotte pour sentir sa mouille contre la mienne.
— Autant que tu me voulais.
Je n’attends pas plus longtemps pour approcher ma bouche de la sienne, nos lèvres se collent l’une à l’autre et nos langues se rencontrent enfin. J’ai attendu ce moment depuis si longtemps que j’aurais presque envie d’en jouir. Mélodie à ralentit la cadence, et ne bouge presque plus ses hanches.
Je détache ma bouche de la sienne et arrache une de mes mains de son poignet pour attraper son sein droit et l’amener à ma bouche. Je suce son téton, avide d’elle et de toute les fois où je la voyais pointer sans soutient gorge. Je l’aspire et le mordille tandis que Mélodie gémis doucement à mon oreille.
— Je te veux, gémit-elle.
Sans un mot de plus, elle me lâche enfin et s’agenouille à côté de moi pour retirer ma culotte baignée de cyprine.
Elle se positionne pour me prendre en ciseau. J’ai vu ça un tas de fois dans les pornos.
— Combien de fois tu t’es touché en pensant à moi ? Demande-elle
— Chaque soirs depuis que je te connais, crachais-je.
Parfois même deux fois par jours après l’avoir vu nue.
Sa chatte humide se pose sur la mienne, c’est comme un deuxième premier baiser. Et la voilà a bouger contre moi. Mes yeux se révulsent, je ne sais pas à quoi ressemble le paradis mais ça ne doit pas être très loin de ça.
Nous mouillons tellement que nos chattes glissent parfaitement l’une contre l’autre. Mélodie tient fermement ma jambe en bougeant ses hanches.
— Ne me crache plus jamais au visage comme tu l’a fait, prévient-elle.
— Y’a un tas d’autres choses que je compte faire à ton visage.
Elle n’aime pas que je la menace et me punit en me baisant plus fort.
— Il ne faut pas que mes parents m’entende, dis-je en réalisant que j’ai envie de crier de plaisir.
— Pourquoi ? Tu ne veux pas qu’ils sachent que leurs parfaite petite fille se fait baiser par sa grande ennemie et qu’elle aime ça.
Elle bouge plus vite et mes jambes tremblent.
— Je … je vais jouir….
Mes muscles se tendent, tout est flou, je ne vois plus rien, une chaleur monte en moi, jaggripe les seins de Mélodie et me pince les lèvres pour atténuer le bruit de mon cri. Mais c’est en vain, je prends mon pied, l’orgasme de ma vie. Mélodie n’a pas jouit.
— Moi qui pensait que t’avais aimé autant que moi, dis-je déçue.
— Je me suis masturbé trois fois aujourd’hui parce que j’étais trop excitée de te voir. Et j’étais trop occuper à te baiser pour jouir.
Mais elle n’est pas resignée et monte ses jambes jusqu’à mettre sa chatte au dessus de son visage.
— Mais j’ai pas dit mon dernier mot.
Je n’ai pas le temps de riposter que sa chatte s’écrase sur ma bouche et qu’elle se frotte à moi sans vergogne bien décider à terminer ce qu’elle a commencer. Je sors ma langue, l’aspire, la mordille. Mais en réalité c’est elle qui baise ma bouche plus qu’autre chose.
— Ça t’apprendra à me cracher dessus, dit elle se se frottant plus fort.
Ce n’est pas désagréable, au contraire, je crois que j’aime vraiment ça. Son clitoris passe de mon menton à mon nez mouillant tout visage au passage.
Je sors ma langue sur laquelle elle se frotte.
— Allez jouis sur mon visage, insistais-je.
Elle s’exécute et se frotte plus fort, plus rapidement au point de mempecher de respirer. Mais j’aime ça. L’entendre gémir grâce à moi. Elle bloque ma tête et appuie encore en gemissant sans chercher à se retenir, et putain ce que ça me fait mouiller. Son liquide chaud coule sur moi tandis que ses jambes tremblent. J’aspire tout ce que je peux avant de la laisser se retirer.
— Je te déteste, dis-je un sourire au coin de lèvres.
— Moi d’autant plus, repond-t-elle d’un air satisfait.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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