Modèle photo
Un homme se rend à un rendez-vous qui ne l’enchante pas. Son date lui pose un lapin, mais au lieu de s’effondrer, il va rebondir et faire la connaissance d’une charmante rousse. Il n’est pas photographe. Elle n’est pas modèle, et pourtant…
Proposée le 11/11/2019 par alain40 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Fantasme
Qu’allais-je encore faire dans ce date qui sentait le pourri ? Et pour faire le malin, je propose une expo photo ! Je ne vais jamais aux expos, et pour faire le mec intelligent, je trouve cette idée de génie.
Je fais quoi si elle me demande qui j’aime comme photographe ? Doisneau au mieux, c’est le seul nom qui me vienne ! Ou alors mes selfies en érection que je balance sur insta ? Pas sûr qu’elle apprécie…Bref je dois partir dans une heure et je ne suis pas prêt. Il faut me doucher, me raser la barbe mais aussi le pubis… c’est viril les poils, mais quand ça fait gorille…
C’est toujours fastidieux ce rasage, mais j’aime bien me regarder après… ça m’excite j’avoue. Mais là non, j’ai pas le temps… mais dès que je commence à être imberbe, je n’arrive pas à me contrôler et j’ai envie de me toucher… humm… c’est doux…
Non faut penser à autre chose, je vais être en retard… mais je bande déjà fort devant ma glace… Ma verge dirigée vers le haut, ma main sur le torse, je commence à m’envoler… Même pas envie d’insister sur le gland qui est biens sûr très sensible, mais quel plaisir de glisser ma main sur mes bourses pleines. Coquin, mon majeur glisse sous mes couilles pur atteindre ma raie vierge de tout poil, incitant mon anus à être caressé…
C’est bon mais je vais être en retard ! Alors je vais jouir vite, très vite, ma main longeant ma verge dure. Ma peau douce tranche avec la rugosité de ma queue, irritée par ma paume… Ca vient, ça vient… Mon jus est pulvérisé sur le miroir, la vue du sperme dégoulinant et collant sur ce miroir me donnerait presque l’envie de le lécher.
Je suis vidé… aurais-je assez de forces pour ce soir?Je poireaute depuis 45 minutes… un beau lapin posé se fait sentir…
Alors j’admire ces photos magnifiquement moches. Des photographies d’herbes, de pelouse, en noir et blanc. Je ne comprend pas le concept . Ce qui est beau dans l’herbe c’est la couleur, alors pourquoi faire du noir et blanc.
La petite rousse à mes côtes semble beaucoup apprécier.
La preuve : « J’aime beaucoup. » me lance t-elle d’un ton direct. Ce qui me caractérise c’est mon franc-parler : « Moi aussi j’adore cette photo ! »
Évidemment quand elle me demande si je vois souvent des expos, je lui dis que oui et puis je ne sais ce qui me prend : « Je m’essaie moi même à la photo aussi. »
Et quand elle me demande quel genre, je lui dis que je fais surtout des nus, ce qui ne la choque pas le moins du monde.
J’invente un historique, des books que je fais à la commande, que j’aime beaucoup la couleur, les clairs-obscurs etc… Et çà chaque fois que j’ouvre la bouche, elle dit super. Et plus elle me flatte, et plus j’en fais, et plus elle me flatte et plus je me sens en confiance pour broder !
Elle semble me croire, et avoue timidement : « J’aurais adoré faire des photos de nus, mais plus jeune ». Du haut de de ses 36 ans, c’est une bombe atomique et je ne crois pas ce que je vais dire… et je ne crois pas ce qu’elle me répond : elle accepte de poser pour moi !
Tout s’emballe dans cette soirée et on se donne rendez-vous dans mon studio pour la semaine suivante.Ah… petit détail, je n’ai pas de studio photo… je n’ai même pas un d’appareil photo… Mais ce qui est top c’est qu’à partir de là je n’ai plus la moindre conscience, toute raison s’est envolée de mon être.
En une semaine, je prend trois cours par un photographe professionnel, je loue un appareil photo et un studio pour une après-midi, et m’invente photographe d’art.
En une semaine j’ai appris comment faire des nus en couleur flashy sur fond noir.
Pourquoi ? Car j’ai terriblement envie de la baiser. 1800€ la baise quand même… mais quel dingue !Je suis arrivé bien à elle. Et elle tarde, elle tarde… encore un lapin ? C’est un vrai terrier ma vie !
En courant, elle arrive, et s’excuse. Elle semble sincère.
On est comme deux cons : comment on fait, comment on commence ?
Je lui propose de se déshabiller. Elle obéit en se dirigeant derrière le paravent. Je lui demande pourquoi elle va se cacher pour se déshabiller, puisque dans deux minutes je le verrai nue . Ça la déstabilise, et c’est un peu ce que je voulais. Elle se met à poils devant moi. Je fais semblant de ne pas la regarder, genre le grand habitué, pendant que je prépare mon appareil.
Ses cheveux roux tombent sous ses omoplates fines et fragiles. Elle a gardé une touffe de poils si lumineuse de rousseur, peu épaisse. Elle s’excuse de sa petite poitrine.
Je lui propose de bander ses yeux. Pendant que moi aussi, je bande…
Je lui propose de se mettre à genoux sur un petit podium, et de prendre les poses qu’elle désire.
Au début elle se cache le sexe. Je la félicite à chaque pose, fait un peu d’humour, puis je la sens se détendre. Elle fait des poses plus sexy, montre ses seins, ouvre ses jambes ; elle tremble par moments. Elle commence à prendre du plaisir, je le sens.
Je la mitraille de photos. Tout son corps est gardé en mémoire dans l’objectif : ses seins dressés, ses lèvres qui se pincent, ses épaules minces, son cul bombé…« Vous êtes de plus en plus belle lui dis-je, presque de plus en plus érotique ».
« J’en fait trop ? » me répondit-elle.
Je la met à l’aise, et elle se lâche de plus en plus, faisant glisser ses doigts le long de son corps.
Je suis très excité et j’avoue effleurer mon sexe qui hors de contrôle, sens couler ma semence en gros jets dans mon boxer ? Je n’ai même pas honte de me laisser aller en sa présence.
L’odeur de sexe flotte dans la pièce.
La séance se finit. En levant son bandeau, elle me sourit. Se rhabille délicatement. Puis s’en va. Sans que je tente quoi que ce soit. Un simple merci entre nous a suffi. Je lui enverrai un book… mais que je ferai faire par un pro…
Mais j’ai trop kiffé et vu que je ne suis qu’un abominable menteur, pourquoi m’arrêter là ?
Je la rappelle quelques jours plus tard tout penaud : « Émilie, j’ai eu un très gros souci cette semaine. La carte SD s’est bloquée dans l’ordinateur, je n’ai rien réussi à rattraper. Je peux juste te proposer une nouvelle séance ». Elle n’était même pas déçue et accepta volontiers.La deuxième séance se passa sans aucune gène, sans plus aucune hésitation… Ses poses étaient de plus en plus provocantes et je l’encourageai à n’avoir plus aucune honte, plus aucune retenue.. Elle était aguicheuse, et les yeux libres de tout tissu, devait observer la bosse à hauteur de mon pubis.Je m’approchais de plus en plus d’elle, pour des gros plans toujours plus coquins.
Et d’un coup le temps sembla s’arrêter sur un regard. J’étais évidemment troublé, mais les poses, sa nudité, mon œil sur elle l’avaient également chauffée.
« C’est parce que tu n’as rien tenté sur moi la dernière fois, que j’ai eu envie de refaire une séance . Mais juste une règle… tu poses ton appareil photo sur pied et tu me donnes le déclencheur ».
Je m’exécuta, et en profita pour laisser l’appareil photo sur le mode vidéo…
« Déshabille-toi », m’ordonna t-elle, « et sans aller derrière le paravent ! » rajouta t-elle…
Elle s’occupa elle même d’ôter mon caleçon ; « Il est moins humide que la dernier fois… » me taquina t-elle.. Ma verge se dressa en sortant du boxer et claqua sa joue -clic de l’appareil photo-. Elle la caressa, la trouva douce et la mit en bouche. Sa salive était chaude. Je sentais ma cyprine lubrifier sa langue qui me léchait. Ses yeux bleux-coquins me lançait des regards allumeurs. Elle adorait cracher sur mon gland pour le branler -clic de l’appareil-.
On échangea les rôles et je pus enfin approcher ma bouche de son duvet orangé, aux poils si fins. Elle sentait la mouille qui arrivait. Ma tête était coincée le long de ses cuisses généreuses de douceur. Les mains agrippées à son cul colorés de tâches de rousseur, ma langue faisait gonfler son clitoris épais. Et plus elle gémissait, plus je la léchais fort. Elle n’empêchait même pas ma main de courir entre ses fesses, au contraire…
Elle sentait bon la fraîcheur de l’être qu’elle était. Elle me tira les cheveux vers elle, m’embrassa à pleine bouche, lécha mon visage et sauta dans mes bras. Elle voulait que je la prenne debout. Ce ne fut pas difficile tant son corps était léger. Elle s’empalait à chaque fois que son cul retombait sur moi.Ses baisers m’encourageaient à la faire jouir.
Elle était sauvage, ses ongles s’engouffraient le long de mon dos. Je lui répondais par de fortes fessées bien sonores-clic de l’appareil-. Et à chaque fois elle me mordait fort les lèvres.
Fatigué de la porter à bout de bras, je la posais directement au sol, la retournait et la laissait à 4 pattes.
Je lui tira les cheveux -clic de l’appareil-, et me fourra en elle. Je la chevauchais pendant qu’elle faisait exulter son clitoris. Mes fessées reprenaient et elle ne pouvait plus rien me faire, soumise à ma cavalerie.
J’avais tellement envie de l’enculer, mais la sentant monter, j’avais peur de la déconcentrer de son plaisir orgasmique à venir. Bien m’en a pris, puisque quelques secondes après, une contraction de son bas ventre me tordit la bite, et un cri venu de je ne sais où, sortit de sa bouche qui m’avait si bien sucé. Ceci m’excita fort et pendant qu’elle se mit à défaillir, je sorti mon sexe et laissa éclater mon sperme sur elle . Je finis alors mes jets dans sa bouche qui me pompa et me branla frénétiquement.Quel pied !Remis de nos étreintes, je me dirigea vers l’appareil photo.Vous me croirez peut-être pas… J’avais oublié d’insérer la carte mémoire !Une troisième séance au moins pourrait alors voir le jour !© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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