Moiteur
Mes premières expĂ©riences avec une tante et son amie d’enfance. Je pensais m’ennuyer mais j’ai dĂ©couvert la beautĂ© de ma tata et de sa meilleure amie au corps de garçon. Si mon histoire vous plait, je publierai la suite très bientĂ´t.
Proposée le 9/09/2018 par wandering star Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Je me dĂ©cide enfin Ă vous raconter mes expĂ©riences sexuelles, j ‘espère ne choquer personne et que certains seront excitĂ©s comme des chiennes Ă cette lecture. L’Ă©tĂ© de mes dix-sept ans, je me suis retrouvĂ© en vacances chez ma tante Christelle, une jolie brune de 40 ans, pas très grande, assez menue, qui vivait seule. Je n’Ă©tais pas très motivĂ© Ă l’idĂ©e de passer deux mois dans la campagne meusienne, Ă une Ă©poque sans connexion internet, loin de mes amis. J’avais peur de m’ennuyer et je ne connaissais pas vraiment Christelle. Elle n’avait jamais Ă©tĂ© mariĂ©e, prĂ©fĂ©rant faire la fĂŞte et les aventures d’un soir. Je n’avais jamais vraiment observĂ© ma tante ni jamais fantasmĂ© sur elle jusqu’au jour ou allant prendre ma douche après une nuit particulièrement chaude et moite, je trouvai sur le sol de la salle de bains une de ses culottes. Je la pris pour la mettre dans le panier de linge sale quand je remarquai qu’elle Ă©tait toute souillĂ©e d’un mĂ©lange sans doute de mouille et de sperme. J’imaginai alors Christelle rentrer d’une soirĂ©e arrosĂ©e, le foutre lui coulant entre les cuisses, balancer sa culotte dans la salle de bain avant d’aller se jeter dans lit. Je ne pus m’empĂŞcher de la renifler et je fus pris d’une violente Ă©rection. Je commençai alors Ă me branler en regardant la tâche de cyprine mĂŞlĂ©e de sperme et en fabriquant des images de ma tante en train de se faire limer comme une salope. J’allais bientĂ´t vider mes couilles sur la culotte quand on frappa Ă la porte. « C’est bientĂ´t libre ? J’ai trop envie de faire pipi ! » J’hĂ©sitai alors entre finir ma masturbation mais je n’aurais pas su qui faire de la culotte souillĂ©e. Je rĂ©pondis alors : « J’allais me doucher, mais attends, je vais ouvrir » Je me mis une serviette autour de la taille pour cacher mon sexe et ouvris la porte. Christelle entra, le visage enfarinĂ©, les yeux cernĂ©s. Elle portait une nuisette absolument pas Ă©rotique, vieillie avec des trous. Cela lui donnait une allure de souillon, un peu vieille salope. Elle se jeta sur la cuvette pour se soulager. Je tournai la tĂŞte pour ne pas regarder mais le bruit du jet violent contre la porcelaine des toilettes ne fit qu’accentuer mon Ă©rection. Sur le moment, je trouvai cela très Ă©trange d’ĂŞtre excitĂ© par un bruit d’urine. J’entendis les derniers jets tomber dans l’eau et le bruit du papier qui se dĂ©roulait. Pendant qu’elle pissait, Christelle me demandait des choses banales, si j’avais bien dormi, si ma chambre Ă©tait confortable… Puis son ton changea et elle s’excusa d’avoir laisser traĂ®ner sa culotte par terre. Je ne sais pas si Ă cet instant, elle avait compris que j’avais remarquĂ© les tâches sur celle-ci. Je me retournai quand j’ai compris qu’elle s’Ă©tait relevĂ©e des toilettes. Elle lança un regard insistant sur mon bas-ventre, elle ne pouvait pas ne pas voir ma bite bandĂ©e sous la serviette. Elle me fit alors des yeux emplis de perversion et un sourire mutin puis elle sortit de la salle de bain. Elle en avait oubliĂ© de tirer la chasse d’eau. Dans un Ă©lan incomprĂ©hensible, je me suis approchĂ© de la cuvette pour sentir son urine. Je pris le papier Ă moitiĂ© immergĂ© et je l’ai lapĂ© en me masturbant violemment. Les jets de sperme rejoignirent la pisse de ma tante et je tirai la chasse en me demandant ce qu’il m’arrivait. A partir de ce moment, je n’ai plus regardĂ© ma tante comme avant. Durant la journĂ©e qui suivit, je profitai de toutes les occasions pour la reluquer. Quand elle Ă©tait assise, je passais au-dessus d’elle pour mater son dĂ©colletĂ©. Comme elle ne mettait jamais de soutien-gorge, j’aperçus deux fois un sein et un tĂ©ton durci. J’attendais fĂ©brilement qu’elle croise ou dĂ©croise les jambes pour espĂ©rer voir son entrejambe. L’après-midi, elle Ă©tait allongĂ©e sur une couverture en lisant, sa jupe remontĂ©e et je me suis rĂ©galĂ©e de longues minutes de sa culotte. Il me semblait qu’il y avait une petite tâche au niveau de la vulve. J’ai du alors retourner aux toilettes pour me branler Ă nouveau. En fin d’après-midi, elle m’annonça qu’un couple d’amis venait manger chez elle. Elle alla se prĂ©parer, prendre une douche et s’habiller. Quand je la vit prĂŞte, je n’en crut pas mes yeux. Elle Ă©tait habillĂ©e littĂ©ralement comme une pute. Elle avait un maquillage outrancier, une mini-jupe en cuir, des bas rĂ©silles, un haut très court qui ne cachait qu’avec peine ses seins. Il suffisait qu’elle se penche pour qu’on voit sa culotte rouge en dentelle. Ses amis arrivèrent. Myriam Ă©tait une petite blonde avec des cheveux courts, un corps frĂŞle, habillĂ©e avec un short moulant en coton qui faisait voir les marques de ses grandes lèvres et de la raie de son cul. Elle n’avait vraiment pas beaucoup de seins, et mĂŞme si elle avait l’âge de ma tante, on aurait cru un jeune garçon si il n’y avait pas l’exhibition si ostentatoire de ses parties gĂ©nitales Ă travers le coton. Elle me fit la bise en me disant que j’Ă©tais mignon. Son mari me serra une main ferme en me disant que j’avais de la chance d’ĂŞtre en vacances sous le toit de Christelle. Quand il dĂ®t bonjour Ă ma tante, j’ai crĂ» le voir lui passer une main au cul en lui disant quelque-chose Ă l’oreille. Le repas se passa de manière quelconque mais au fur et Ă mesure que les bouteilles de vin se vidaient, les deux femmes prenaient des poses de plus en plus impudiques. Myriam se tenait lascivement sur un fauteuil long, les jambes Ă©cartĂ©es et son short laissait apparaĂ®tre sa culotte sur un des cĂ´tĂ©s. Christelle avalait verre sur verre et avait sans s’en apercevoir remontĂ© sa jupe dans une posture pornographique. Mais c’Ă©tait surtout le tee-shirt de Myriam qui moulait ses tout petits seins et ses tĂ©tons qui retenait le plus mon attention. Je m’imaginais en train de les triturer, de les pincer, de les mordre en l’insultant de petite salope. Pourtant, mes ardeurs furent calmĂ©es quand ma tante m’ordonna d’aller me coucher pour les laisser seuls entre adultes. Je les quittai Ă contre coeur quand j’entendis Myriam se lever pour aller se vider la vessie. Elle me raccompagna jusque ma chambre. Je la vis Ă©carter son short et s’enfoncer deux doigts dans le sexe : « Tu crois que j’ai pas vu que tu m’a matĂ©, petit pervers. » Elle sortit ses doigts tout gluants, me les donna Ă sucer en disant « Tu te branleras bien en pensant Ă moi, je viendrai vĂ©rifier tes draps demain matin. Pendant que tu te caresseras la queue, moi je serai en train de me faire enculer comme un petit pĂ©dĂ© pendant que ta tata m’aspirera la moule » Elle me toucha la queue comme pour vĂ©rifier qu’elle me faisait bander et tourna les talons. Je me couchai, enivrĂ© par l’odeur du jus de Myriam, cette odeur de femme en rut mĂ©langĂ© Ă la sueur de cette journĂ©e caniculaire. Je n’ai eu besoin que de me frotter quelques secondes contre les draps pour Ă©jaculer. J’eus du mal Ă trouver le sommeil en imaginant les trois adultes baiser toute la nuit. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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