Mon ami Ted
Mon ami Ted est complètement perdu depuis que sa femme ne veut plus faire l’amour avec lui du fait qu’il est trop poilu. Heureusement, je vais trouver une solution pour lui redonner confiance…
Proposée le 11/11/2019 par sorggulp Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: HHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Ted est un vieil ami. Amateurs de tennis, nous partageons notre passion soit en allant le dimanche matin nous « taper la balle » comme on dit dans le jargon soit regarder un match tout en faisant des commentaires pendant celui-ci.
Ted est marié, père de deux enfants tout comme moi. C’est un solide gaillard de près d’un mètre 90 qui en impressionne plus d’un.
La semaine dernière, Ted m’avait invité car il avait pris sa journée.
Je sonnais sur le coup de 14 .30 et il venait Ă ma rencontre tout sourire.
« Salut Philippe, comment vas-tu ? »
« Très bien et toi ? » lançais-je comme à l’accoutumée tout en me dirigeant vers le salon où nous attendaient deux bières. Je m’installais face à la télévision tandis que Ted relançait l’émission mise sur pause. Evidemment, c’était le dernier match que l’on regardait en replay.
« On n’est pas bien là ? »me dit Ted en me tendant une bière.
« Plus difficile serait indécent » dis-je en avalant une gorgée de bière directement au goulot.
Nous discutions un petit moment du match se déroulant sous nos yeux puis venions à parler de nos vies respectives. Ted était devenu au fil des années un confident. Aucun sujet n’était passé sous silence.
« Tiens, tu ne devinerais jamais la remarque que m’a fait Sylvie (sa femme) hier ? » me dit-il en sirotant sa bière. Je sentais qu’il avait quelque chose à me confier mais qu’il cherchait l’ouverture.
« Je t’écoute »
« Eh bien que je ressemblais à un ours ! Elle me trouve trop poilu ! Non mais j’hallucine » me dit Ted en levant la voix.
« Je suis d’accord avec elle » lâchais-je en rigolant de bon cœur.
« Quoi ? Toi aussi tu penses ça ! C’est sa dernière trouvaille pour esquiver mes demandes. Avant, c’était soit la fatigue, soit les règles, soit un mal de dos bref il y’a toujours une excuse pour ne pas tirer un coup » soupira Ted d’un air abattu. « Je ne te parle même pas d’une pipe, je ne sais plus l’effet que cela fait mais juste de tirer un coup, tu comprends ? »
« Oui je te comprends tout à fait. Peut-être devrais-tu te raser la bite » lançais-je en pointant du doigt son entrejambe.
« Ça fait 15 ans que nous sommes mariés et elle se plaint maintenant de ma pilosité ! Mais au fond, tu as sans doute raison, si ça pouvait lui donner envie… » rumina Ted.
« Et puis ça repousse au cas où. » soufflais-je
« Tu te rases ? » me demanda Ted
« Bien sûr ! Je t’en bouche un coin, hein ? »
« Je ne te crois pas » répondit mon copain en regardant sa bière.
« Tu ne me crois pas ? »
« Non mais tu me charrie. Tu ne vas pas me faire croire que tu te rases la bite ! »
« OK, eh bien regarde ! » dis-je en me levant et en déboutonnant mon jean. Je me plaçais face à Ted.
J’étais à la fois gêné et excité par la perspective de dévoiler une partie de mon intimité devant mon meilleur pote.
« Non, tu déconnes ! Tu ne vas pas te mettre à poil devant moi quand même » protesta Ted en esquissant un geste pour m’arrêter.
« Mais non ! Je vais juste te faire voir le bas du ventre c’est tout ! » répondis-je en ouvrant la braguette et en baissant l’élastique du slip.
Ted se pencha légèrement. Il pouvait apercevoir mon bas-ventre entièrement épilé. Je ne gardais qu’un ticket de métro qui se trouvait juste au-dessus du sexe. Sylvie adorait sentir la peau lisse sous ses doigts lorsqu’elle me caressait. Au fil du temps, j’en étais arrivé à m’épiler entièrement même la raie des fesses. Je trouvais cela plus hygiénique et plus esthétique. De plus, cela pimentait notre relation intime ce qui n’enlevait rien à notre plaisir.
« Ah oui ! Effectivement, il ne reste pas grand-chose ! Mais c’est partout comme ça ? » Demanda Ted qui semblait, à ma grande surprise, très intéressé par mon anatomie.
« Mais tu es bien curieux, tu veux voir le reste c’est ça ? » dis-je en baissant mon pantalon ainsi que mon slip jusqu’à mi-cuisses.
Ted avait une vue imprenable sur ma queue épilée. Celui-ci demeura quelques instants sans voix, les yeux fixés sur mon bas-ventre.
« ça fait bizarre de voir une bite sans poils » murmura Ted l’air pensif. « Mais je dois avouer que le résultat est plutôt sympa » dit-il d’un air pensif.
Se redressant Ă son tour, il ouvrit la braguette de son jeans pour extirper une queue enfouie dans une touffe de poils hirsutes. Notre discussion prenait un tour vraiment Ă©trange.
A la vue de son entrejambe, je restais ahuri par la masse insensée de poils ! Malgré cela, je pouvais sans peine deviner qu’il était gâté par la nature !
« Ouh là , impensable pour moi ! Sylvie ne me regarderait même plus si j’étais poilu comme toi ! » lançais-je en observant discrètement la queue de mon pote. Je tentais tant bien que mal de dissimuler mon trouble.
« Ça doit faire quand même faire bizarre de se retrouver imberbe ? » demanda Ted en se rhabillant.
« Non au contraire, c’est très agréable. ».
Nous finissions notre bière en papotant de tout et de rien.
De retour à la maison, je repensais à la scène. Chaque fois que je revoyais mentalement la bite de Ted, je ne pouvais refréner un trouble très agréable.
Une semaine plus tard, un SMS arrivait sur mon téléphone : « Ça te dirait une bonne bière ? »
Habitant à 5 minutes de chez lui, j’y allais à pied. Durant le trajet, je repensais à notre dernière rencontre.
Ted m’accueillait comme à son habitude avec un grand sourire. Nous nous installions dans le salon et bavardions de banalités lorsque Ted marqua un silence. Les bières étaient quasiment vides lorsque je remarquais que Ted semblait vouloir me dire quelque chose.
« Ça va Ted ? » demandais-je d’un ton interrogateur
« Il faut que je te dise quelque chose » dit-il en inspirant un grand coup.
« C’est grave ? » répondis-je d’un air inquiet
« Non pas du tout, ne t’inquiète pas mais c’est juste que je ne sais pas comment te le dire. Même si on se connaît bien, c’est délicat. Tu te souviens de notre discussion de la semaine dernière ? Tu m’as conseillé de me raser et j’ai franchi le pas ! » souffla-t-il d’une traite.
« Non je ne te crois pas ! Tu as osé ? »
« Eh oui et cela n’a rien changé. MADAME trouve ça moche ! » répondit Ted d’un air dépité
« Merde alors ! Je suis sûr que cela te va très bien au contraire »
« Ben je te laisse juger. Au point où j’en suis de toutes façons » répondit Ted en mettant debout juste en face de moi. Il baissa la braguette de son jeans laissant apparaître un slip blanc. A ma grande surprise, il fit glisser celui-ci à ses genoux, me laissant découvrir l’intégrité de son intimité. Ted avait coupé court les poils du ventre et avait entièrement rasé le reste découvrant entièrement les testicules ainsi que sa queue
J’étais plus soufflé par la taille de celle-ci que par la disparition de la touffe entrevue la dernière fois. Elle était encore plus grosse que je ne l’avais imaginé.
« Alors ? Tu en penses quoi ? » me demanda Ted en me regardant timidement
« Purée, je dois dire que ça change tout ! »
Non seulement, cela changeait complètement son physique mais j’étais comme hypnotisé par la bite qui se trouvait à portée de main.
« Je peux vérifier si c’est bien lisse ? demandais-je tandis que je saisissais ses boules de ma main droite pour les cajoler.
« Eh ! tu y va fort ! le seul mec qui a touché à ça était un médecin ! » dit Ted en esquissant un geste de recul
« Ohhhhh arrête, je vérifie juste que c’est bien lisse » répondis-je d’un air malicieux.
Ma main remontait le long de sa queue pour la caresser . Je sentais celle-ci se dresser tandis que j’imprimais un lent mouvement de va-et-vient sur toute la longueur de la queue qui prenait de plus en plus de volume. Je la sentais vibrer sous mes doigts. Ne voyant pas de réaction négative de la part de Ted, je prenais de plus en plus d’initiatives, caressant Ted des deux mains à présent, l’une enserrant sa queue raide comme un bambou, l’autre massant ses boules bien lisses.
« Dis donc, on dirait que tu aimes mes caresses
« Purée ! ce que ça fait du bien ! » souffla Ted, les yeux fermés, qui ne tentait plus du tout de m’arrêter. Il respirait de plus en plus fort sous l’intensité de mes caresses.
Regardant sa queue dressée, je tirais sur le prépuce, découvrant le gros gland violacé de plaisir. Je crevais d’envie de prendre en bouche sa grosse queue. N’y tenant plus, je plaquais une main sur ses fesses pour lui faire comprendre d’avancer vers moi. Son dard dressé était à ma portée. Mes lèvres enveloppèrent le gros gland violacé, ma langue joua autour quelques instants tandis que je le branlais des deux mains. Ted respirait de plus en plus fort en donnant des coups de rein ne laissant aucuns doutes sur ses envies.
Je laissais sa queue entrer le plus loin possible. Il était rudement bien monté le bougre !
« Ahhhh c’est bon ! vas-y, continue comme ça, hummmmm !!! »
Ted prit d’une main ma nuque pour donner le rythme. Il me pilonnait littéralement la bouche en soufflant comme un animal. Ses couilles se balançaient au rythme de plus en plus soutenu de ses coups de reins alors que je suffoquais à de nombreuses reprises lorsque son gland forçait trop le fond de ma bouche. Ted n’en avait cure, semblant oublier que c’était ma bouche qui faisait office d’orifice.
« Ohhhhhhhhhhhh !! je vais jouir ! »
Guidant sa queue en direction de la table du salon, je le branlais de plus en plus rapidement. Mon autre main massait ses couilles. Je sentais monter sous mes doigts les signes de la jouissance. Ted se cambra en arrière en poussant un râle animal. De longs jets de foutre maculèrent la table allant même jusqu’à s’écraser sur l’écran de télévision situé derrière celle-ci. J’étais impressionné par la quantité de foutre déversée.
Je continuais de le branler plus lentement pour finalement libérer la queue ramollissante de mon étreinte manuelle.
Ouvrant les yeux, Ted me regarda avec un sourire béat.
« Purée ! Ca faisait tellement longtemps que j’avais oublié combien c’était bon ! »
« Je vois ça ! Il va falloir nettoyer tout ça maintenant ! » dis-je en lui faisant voir la quantité impressionnant de foutre qui maculait la table et la télévision.
« En tous cas, ayant vu tout cela de très près, je dois dire ton épilation est parfaite ! »
« J’avoue que tu as une technique bien à toi pour vérifier ça ! » dit-il en se rhabillant. « Elle me plait beaucoup ! »
Nous rigolâmes un bon coup en remettant de l’ordre dans le salon. Une nouvelle complicité venait de naître et j’espérais secrètement que Ted n’allait pas en rester là …..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :