Mon mari est cocu 3
J’avais deux vies. Une comme mère de famille avec un mari et enfant et une autre ma vie de sexe
Proposée le 12/10/2016 par fab22 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Histoire vraie
je ne l’aimais pas comme j’aime mon mari. je crois que j’ai très rapidement sĂ©parĂ© mes deux vies et lui aussi. Pour mon entourage, mon mariage et ma vie de couple Ă©tait non pas parfaite mais pas mal du tout. J’avais un boulot ou plutĂ´t deux demi boulots qui me permettaient de m’occuper de mes enfants et j’avais un mari qui certes avait un travail très prenant mais qui en contrepartie ramenait un bon salaire. Avec mon mari j’aimais faire l’amour, les câlins, qu’il me caresse mes seins en regardant la TV. MĂŞme si on ne faisait pas l’amour souvent, j’apprĂ©ciais. Avec mon amant c’Ă©tait le sexe. je n’avais pas peur de choquer. Nous avions pris une certaine routine. Trois fois par semaine quand je travaillais chez mon 1er patron on partait dĂ©jeuner en groupe comme de bon collègue. Mais on Ă©tait toujours Ă l’affĂ»t de la moindre occasion pour se voir de manière intime. En journĂ©e quand il m’arrivait d’ĂŞtre seul et lui aussi j’allais dans son bureau pour « quelques rapide coup de bite » comme il le disait. J’avais mĂŞme pris l’habitude d’emmener le tĂ©lĂ©phone sans fil car j’avais pris une soufflante de mon patron qui un jour avait essayĂ© en vain de me joindre. J’aimais lui envoyer un texto qui au dĂ©part disait « je peux venir ? » pour finir après quelque temps en « j’ai envie de sucer » ou « tu me sautes ? » ou « baises moi SVP ».
Lui quand l’envi le prenait il m’envoyait des messages du genre « tu mouilles pas par hasard ? » ou « t’as pas envie d’un apĂ©ro salé » ou « ton cul est il dispo » C’Ă©tait un jeu très excitant.
Je ne sais pas quelle situation Ă©tait la plus excitant il y en a eu tant durant ces deux annĂ©es …
Moi qui auparavant ne mettais que rarement des jupes, j’avais pris l’habitude d’en mettre tous les jours. C’est tellement plus simple 🙂
Ce que j’aimais c’Ă©tait de le sucer avant d’aller dĂ©jeuner. Très souvent dans sa voiture, ou rapidement derrière la porte de son bureau ou dans ses WC. Souvent les lundi car il n’avait pas eu de sexe tout le weekend. Je trouvais toujours une parade pour ne pas faire de covoiturage et j’allais rapidement prendre « mon apĂ©ro » comme il disait. Avoir ensuite le goĂ»t de son sperme en bouche et ĂŞtre Ă table avec d’autres personnes que je cĂ´toyais en journĂ©e me procurait un certain plaisir.
Il faut dire qu’après quelques temps nous avions banni les prĂ©servatifs et j’adorai son sperme aussi bien dans mon ventre que dans mon petit trou. Plus d’une fois j’ai du rĂ©pondre au tĂ©lĂ©phone alors que j’Ă©tais entrain de le sucer ou qu’il Ă©tait entrain de me labourer. Je devais me concentrer pour prendre note les demandes car il continuait s’est va et vient. J’adorais cette situation car j’avais une queue en moi et mon interlocuteur n’en savait rien ! c’Ă©tait trop bon.
Quand on n’arrivait pas Ă se voir en journĂ©e on asseyait de se donner RDV après le boulot. Les jours oĂą ça ne marchait pas j’Ă©tais d’une humeur terrible Ă la maison, mon Ă©quilibre Ă©tait brisĂ©.
Mais il faut dire que très très souvent ça marchait.
Je garais toujours ma voiture sur un parking de supermarchĂ© oĂą il y avait beaucoup de voiture et j’allais le rejoindre dans sa voiture. Direction un coin tranquille. Quand il pleuvait on n’avait pas besoin de trop se cacher car personne n’a le temps de traĂ®ner dehors. De loin je prĂ©fĂ©rais les orages car mĂŞme un coin pas très isolĂ© faisait l’affaire. Chaque fois c’Ă©tait la course, dès que j’Ă©tais dans sa voiture je ne pouvais plus attendre. « DĂ©pĂŞches toi, j’ai envie » Je l’excitais en roulant et dès la voiture garĂ©e j’Ă©tais nue avec les jambes Ă©cartĂ©es. Il savait qu’il devait me pĂ©nĂ©trer d’un coup. Quel plaisir de sentir sa queue venir en moi. A chaque coup je mouillais un peu plus et quand il pleuvait Ă corde, je criai « oui sautes moi » « oui vas y » « encore » … dans ces moments lĂ j’Ă©tais une vraie chienne, il me fallait du sexe et son sexe me procurait un plaisir sans limite.
Un autre jour, lĂ par contre c’Ă©tait un samedi après midi, alors que j’Ă©tais entrain de repasser je reçois un texto « apĂ©ro » J’ai eu un coup de chaud mais comme mon mari Ă©tait entrain de bricoler dans la cave j’ai rĂ©pondu « où » le texto suivant me donna le lieu de rdv. J’ai enfilĂ© une jupe, j’ai retirĂ© ma culotte et j’ai dit Ă mon mari « les enfants dorment » je vais rapidement chercher des cigarettes.
J’ai garĂ© ma voiture et on est allĂ© avec son 4×4 dans les champs, on avait une vue dĂ©gagĂ©e sur des centaines de mètre avec un ou l’autre tracteur au loin. Je l’ai sucĂ© Ă fond devant sa voiture puis il m’a baisĂ© par devant et par derrière. Une fois j’avais les seins collĂ©s contre la voiture puis les fesses. C’Ă©tait jouissif. Il a joui en moi puis m’a mis ses doigts dans ma chatte pour me faire jouir plusieurs fois.
Je suis arrivĂ©e chez moi et j’ai jouĂ© avec les enfants et j’ai repris mes activitĂ©s de mère.
Pour mon second job, en dehors des activités de secrétariat je devais aussi renseigner les clients qui venaient pour des devis ou autre.
Un après midi, mon patron Ă©tait sur un chantier, je renseignais un client et j’ai vu par la vitrine mon amant se garer sur le parking. Le client parti, il se pointe et me dit « je passais dans le secteur et je suis venu te dire un petit coucou. Je n’aimais pas ça car ce job Ă©tait près de chez moi et je connaissais beaucoup de monde. Il vint derrière le comptoir et me dit « tu aimes l’excitation » je le vois dans tes yeux et je suis sur que tu mouilles dĂ©jà  » il avait raison
Vas y je surveille
je me suis mise Ă genou, j’ai ouvert sa braguette et je me suis mise Ă le sucer. J’avais peur que quelqu’un vienne mais j’Ă©tais excitĂ©e Ă mort. Après un moment, je me suis levĂ© j’ai relevĂ© ma jupe et il ma prise par derrière. J’avais une vue sur le parking, ça me rassurait. Il m’a tellement secouĂ© qu’on a dĂ©placĂ© le comptoir. Mon chemisier Ă©tait ouvert, mes seins avec mes tĂ©tons qui Ă©taient dures Ă tout rompre, battaient dans tous les sens
J’ai joui en criant et mon vagin l’a tellement serrĂ© qu’il a joui dans des râles de bonheur.
Je ne sais pas combien de temps ça Ă mis mais j’ai de suite remis de l’ordre dans mes habits. J’ai retirĂ© ma culotte car elle Ă©tait trempĂ©e et je suis aller au toilette. Je n’ai mĂŞme pas eu le temps de m’asseoir que j’entends la sonnette de la porte. Un couple de retraitĂ© entre. Je devais avoir une tĂŞte rouge comme une tomate. Je suis aller au comptoir, mon amant n’Ă©tait plus lĂ . Tout en renseignant ce couple j’avais le sperme qui suintait de ma chatte et qui coulait le long de ma cuisse.
Il y avait une odeur de baise qui planait autour de moi.
Mais ils n’ont rien remarquĂ©, du moins je crois.
J’ai encore d’autres situations comme Ă la piscine, au foot et Ă l’HĂ´tel que je vous raconterai une autre fois et pour la fin l’histoire du pourquoi je ne le vois plus.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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