Notre première fois
Je vais vous raconter une histoire vraie. Une histoire simple, que j’ai vécue avec mon épouse, je vais vous expliquer comment nous avons pratiqué le libertinage petit à petit. Ce récit est sans invention, tout est réel ….
Proposée le 29/06/2018 par François Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Tout a commencé il y a 20 ans, j’avais 34 ans et Valérie, ma femme, avait 33 ans. Nous étions marié depuis 8 ans et avions deux enfants, comme beaucoup de couple la lassitude était présente dans notre vie sexuelle.Le boulot, les enfants et les petits soucis quotidiens tout cela jouaient sur notre libido. Malgré le fait que nous faisions l’amour trois à quatre fois par semaine et que Valérie ne me refusait rien au niveau pratique, je ressentais le besoin d’avoir un peu de nouveauté. On utilisait régulièrement un gode qu’un ancien compagnon lui avait offert. J’aimais lui mettre le gode dans sa chatte pendant que je la sodomisais, ou le contraire. Je lui disais des mots crus et apparemment elle adorait cela.
J’avais remarqué son réel plaisir à se faire pénétrer par ses deux orifices, il ne me fallut pas beaucoup de temps pour imaginer et penser qu’il serait plus attrayant et bien plus ludique d’avoir un partenaire en chair et en os, plutôt qu’un bout de silicone. Mais voilà, la difficulté est toujours la même et la question fatidique arriva, qui?Nous habitions depuis peu une petite ville dans la région des Landes. Nous ne connaissions pas grand monde et à l’époque il n’y avait pas Internet. Nous allions régulièrement sur une plage naturiste l’été à Veille St Girons, mais il n’est pas évident de brancher les gens sur la plage, surtout que naturiste ne rime pas forcément avec libertinage, il fallait que je trouve autre chose.
Après plusieurs semaines de réflexion, me vint une idée. J’avais un collègue de travail qui était technicien, il s’appelait Philippe, il habitait sur Bordeaux et il venait régulièrement dans le coin pour des interventions chez des clients. Physiquement, il était grand, dans les 1,80 m, brun, beau, peau mate et de plus très sportif, ce qui lui donnait une silhouette parfaite et musclée. Il avait 30 ans, un sourire charmeur avec des dents très blanches qui donnaient un contraste parfait avec la couleur de sa peau. Allait-il plaire à ma femme? Pour moi cela ne faisait aucun doute, mais était-il branché par les plans libertins ? Je le connaissais très peu. Peu importe, je n’avais personne d’autre, je décidais de le contacter comme n’importe quel collègue pour prendre de ses nouvelles. Il était très sympathique et avait beaucoup d’humour, ce qui me facilitait la tâche. Je lui proposais de venir dîner à la maison lors de son prochain déplacement dans notre région et même de rester dormir. Rendez-vous fut pris.
Sa première visite avait pour but de faire connaissance et de voir le comportement de chacun, Valérie est une femme très ouverte d’esprit et conviviale. Elle aimait recevoir et elle préparait toujours de bons petits plats quand on recevait du monde. Je lui avais juste dit que j’avais invité un collègue à dîner et à dormir, cela n’avait posé aucun problème.
Philippe arriva en fin d’après-midi, il avait amené une bouteille de vin. On prit l’apéritif après avoir couché les enfants, et tranquillement nous passâmes une soirée bien agréable. Nous avions abordé plusieurs sujets de conversation et je me fis un plaisir de parler du naturisme, c’était une façon indirect de voir la réaction de Philippe par rapport au fait de se mettre nu devant plusieurs personnes. Au fur et à mesure de la soirée, j’étais certain qu’il serait le compagnon de jeu idéal pour nous. Il était charmant, rieur et très courtois vis à vis de Valérie, je voyais bien que c’était le style d’homme qu’elle aimait.
Vers minuit, on alla ce coucher chacun dans notre chambre et je ne pus m’empêcher de faire l’amour à ma femme, je savais qu’elle allait faire du bruit dans sa jouissance et que Philippe allait l’entendre. Cela m’excitait.
Comme je l’avais prévu et voulu, la première rencontre était uniquement faite pour faire connaissance. Je m’arrangeais pour revoir Philippe seul la semaine pour savoir s’il avait aimé notre soirée, il était ravi. Il m’avouait qu’il nous avait entendu faire l’amour mais que cela ne l’avait pas dérangeait.
Il revint deux fois sans que rien ne se passe, mais j’avais pris l’habitude quand je faisais l’amour à ma femme, de lui mettre des doigts dans la bouche pour qu’elle les suce. Je lui demandais si elle aimait sucer pendant que je la baisais. Elle répondait par l’affirmative à chaque fois. Je lui disais d’imaginer que mes doigts étaient une bite et je la voyais prendre plus de plaisir à sucer et lécher. Elle jouait le jeu et dans ce moment-là elle se transformait en vrai chienne.
Philippe devait venir ce soir même, fini les soirées tranquilles il fallait que je me décide. A son arrivé, je m’arrangeais pour être seul avec lui dehors, je lui demandais si le fait de nous avoir entendu faire l’amour à chacun de ses passages ne le gênait pas. Au contraire me dit-il j’aime bien c’est super excitant. Je ne pus m’empêcher de lui proposer de venir nous rejoindre ce soir s’il nous entendait encore faire l’amour. Il était étonné et content en même temps mais me posa de suite la question par rapport à Valérie, était-elle d’accord ? Je le mis dans la confidence sur nos pratiques, qu’elle aimait sucer mes doigts en imaginant que c’était une queue, qu’elle aimait que je lui mette un bandeau pendant que je la baisais, qu’elle aimait être traitée de pute pendant nos rapports amoureux et que je la sentais prête à remplacer mes doigts par une vrai bite.
La soirée commença comme d’habitude, apéritif et repas. Philippe avait ramené cette fois ci une bouteille de champagne et on décida de l’ouvrir, Valérie adorait le champagne et en général au bout de deux coupes elle commencait à se lâcher un peu plus. On passa une bonne soirée dans la bonne humeur et les fous rires. L’heure d’aller se coucher était arrivée, Valérie était toute gaie et riait facilement. Quelques caresses, quelques baisers et nous voilà sur le lit nu faisant l’amour. Il ne fallait pas que j’aille trop vite, d’abord il fallait qu’elle soit excitée, pour cela je lui léchais la chatte et en quelques secondes les premiers gémissements arrivèrent, je commençais à lui dire des mots crus, que j’allais la baiser, elle continuait à gémir tout en me demandant de la prendre comme une pute, de la défoncer, le champagne faisait son effet. Je vais te bander les yeux et te baiser comme une chienne et sans attendre son accord je pris un bandeau pour lui mettre sur les yeux, je commençais à la limer doucement, puis de plus en plus fort. Je lui demandais de se mettre à 4 pattes pour que je puisse la prendre en levrette, elle adorait cette position, elle en profitait pour se cambrer au maximum et elle laissait glisser ses mains jusqu’à son clitoris pour le caresser. Je savais qu’il fallait agir de suite car la jouissance de Valérie allait arriver vite et après il serait trop tard. Je lui ordonnais de lécher ses doigts en imaginant que c’était une bite, elle le fit de suite. Puis je lui dis, tu n’aimerais pas avoir une vraie bite, salope. Tu sais que Philippe nous entend baiser à chaque fois, tu n’aimerais pas sucer sa bite. Elle gémissait et je ne lui laissais pas le temps de répondre. Je pense qu’il doit se branler derrière la porte en nous écoutant, je vais entrebâiller la porte et on verra s’il vient t’offrir sa queue. Elle me dit non, mais je m’en foutais et il me fallut que quelques secondes pour entrouvrir la porte et revenir mettre ma queue dans sa chatte, elle protestait, je lui mis une bonne claque sur les fesses, un bon coup de reins pour bien défoncer sa chatte et lui dit de se caresser le clito et de se taire, ce qu’elle fit et la jouissance revint aussitôt.
Comme prévu, Philippe était derrière la porte, il attendait mon signal, il la poussa doucement pour nous regarder baiser, il était déjà nu ce qui n’était pas plus mal, au moins on ne perdait pas de temps. Je limais Valérie de plus en plus fort en lui claquant le cul, en la traitant de pute et de salope, elle continuait à se caresser le clito et à gémir de plus en plus fort. Le moment était venu, je lui dis que maintenant elle allait sucer une vraie bite et qu’elle n’avait pas le choix. Philippe était à quelques centimètres de nous, il avait une queue énorme, quelques part j’étais content sur les mensurations de notre partenaire, une petite bite aurait été moins attrayant. Valérie avait la tête dans l’oreiller, elle gueulait de jouissance et je sentais sa chatte qui coulait sur mes couilles, il fallait intervenir de suite, je lui dis de lever la tête et qu’elle allait sucer une vrai bite, elle devait certainement penser que c’était dans le trip et qu’il n’y avait rien. Elle leva la tête et je fis signe à Philippe de rapprocher sa queue de sa bouche, elle sentit son gland sur ses lèvres et machinalement elle fit un geste de refus en disant non. De nouveau je lui claquais les fesses, et en lui mettant des coups de reins pour qu’elle sente bien qui était le maitre, tu vas faire la pute pour moi et tu vas sucer cette bite. Philippe l’attrapa d’une main par les cheveux et il tira sa tête par l’arrière, machinalement elle ouvrit la bouche en poussant un petit cri de surprise, il en profita pour mettre sa grosse bite dans sa bouche tout en maintenant de sa main sa tête sur sa queue. Philippe me regarda, me fit une sourire et un clin d’œil, je compris qu’elle était en train de le sucer et qu’elle ne résisterait plus. Elle enleva sa main de son clito et la dirigeât vers les couilles de Philippe, elle était soumise, plus la peine de la tenir par les cheveux, Philippe était à genou devant elle et il se cambra vers l’arrière, Valérie caressait ses couilles d’une main, tenait sa queue de l’autre et elle faisait glisser ses lèvres goulument et bruyamment sur ces 21 cm de bite. Pour ma part je regardais le spectacle dans le miroir qui était à côté du lit, c’était magnifique, mais il fallait que je me calme car ma jouissance montait de plus en plus. Je me retirais de sa chatte et je commençais à lui caresser doucement les fesses, au bout de quelques minutes je lui demandais si cette bite lui convenait, sans sortir celle-ci de sa bouche elle me fit un oui en précisant qu’elle était trop bonne, Philippe était ravis. Je glissais ma tête entre ses jambes pour commencer un cunnilingus, il fallait que je fasse baisser mon excitation. Valérie était aux anges, je me relevais et je tendis un préservatif à Philippe, il comprit de suite et vint se placer derrière elle, je pris sa place. Après avoir enfiler le préservatif, il introduisit son sexe bien dur dans sa chatte, Valérie poussa un cri de surprise, Philippe était beaucoup mieux équipé que moi, aussi bien en longueur qu’en largeur, il commença doucement un va et vient sans enfoncer son sexe entièrement, puis en sentant cette chatte qui s’ouvrait de plus en plus, en entendant les gémissements de plus en plus fort, il accéléra le mouvement tout en allant plus loin, j’avais l’impression que ma femme pleurait mais c’était du plaisir à 100%. Je lui demandais si elle sentait bien sa queue, elle me répondit que oui sans problème, tu veux te faire défoncer ajout ai-je, de nouveau elle me répondit par l’affirmatif, je dis à Philippe vas-y, elle est à toi cette pute baise la comme elle le mérite. Il ne se fit pas prier et d’un seul coup il enfonça sa queue jusqu’aux couilles, elle poussa un cri de jouissance, elle resta la bouche ouverte quelques secondes mais Philippe continua à lui labourer la chatte pendant plusieurs minutes, en plus d’être bien monté il était endurant, certainement que le sport y était pour quelque chose, me vint à l’esprit qu’il fallait peut être que j’en fasse un peu. Je restais là à admirer la scène, je pense que c’est de là que vint mon côté candauliste. Au bout de quelques minutes Philippe poussa un cri de jouissance tout en donnant des coups de reins, Valérie était en sueur et n’en pouvait plus, quand il se retira de sa chatte elle s’affala sur le lit, le trip était passé, je m’approchai d’elle et lui dit, ça t’a plu ? Elle me regarda d’un air sournois et me répondit à refaire. Mais cela sera une autre histoire.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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