Résumé de l’épisode précédent : Après le repas, les filles se sont isolées dans le dortoir où elles partagent des caresses saphiques. Les hommes les imitent à leur tour, découvrant les plaisirs gay.MATIN 6CécileC’est l’envie de faire pipi qui me réveille. Le jour vient de se lever, une lumière blafarde filtre à travers les carreaux. Je me blottis contre Julien – je sursaute, et cela finit de me réveiller : ce n’est pas Julien, mais Mathilde qui dort contre moi, ses gros seins serrés l’un contre l’autre, se soulevant au gré de sa respiration.Je m’extirpe de la banquette. J’aperçois les trois hommes qui dorment dans l’autre coin du dortoir, curieusement proches l’un de l’autre, Antoine encadré par Thomas et Julien.Quel bonheur de me vider ! Cela me pesait sur le ventre. À mesure que la pression se relâche, je sens que les sensations de la soirée remontent à la surface. La mémoire de la main de Manon, tout entière en moi, et de ses doigts fouillant mes fesses m’emplit à nouveau. Mon corps fourmille de partout, et je réalise à quel point je me suis livrée hier soir. Ma peau est moite et collante.Je file sous la douche. L’eau tiède me fait un bien fou. Je dirige le jet entre mes cuisses et entre mes fesses. L’eau me masse, entre en moi par mes deux orifices. Puis je la laisse s’écouler, et je recommence. C’est divin. Je sens le plaisir monter. J’insiste sur mon petit bourgeon qui tremble sous la pression de l’eau, de plus en plus fort, puis explose comme un feu d’artifice.Je me sèche et reviens au dortoir. Au moment de regagner ma couche aux côtés de Mathilde qui dort toujours à poings fermés, j’entends un mouvement derrière moi. Sur la banquette qui me fait face, Antoine s’est redressé et me fait signe de venir. Je m’arrête, pétrifiée, hésitante. Je n’ose plus faire un pas. Et en même temps, ce sera peut-être la seule occasion de ma vie.Julien s’est réveillé, lui aussi, et me regarde. Je sens dans son regard qu’il me fait confiance, qu’il me laisse choisir. Et lorsque je fais un pas vers eux, son visage s’illumine.Je me glisse à quatre pattes entre eux, mon cœur battant à tout rompre. Je viens embrasser Julien qui accueille mes lèvres entre les siennes.— Tu veux leur montrer ton joli cul, ma chérie ? me demande-t-il.Je me retourne et vois que Thomas est réveillé, lui aussi. Je les dévisage, puis, avec une grosse boule dans la gorge, je réponds :Il me fait m’agenouiller à côté de lui, les seins posés entre ses jambes, les fesses tournées vers Antoine et Thomas.— Vous pouvez venir, leur dit-il. Regardez comme elle a de jolies fesses. Vous avez le droit de toucher aussi, vous allez voir, elles sont très douces. Oui, là . Tu peux explorer Antoine, tu verras qu’ici ça peut être très humide.C’est de moi que parle ainsi mon mari.— Ah oui, elle mouille.— Fais voir. Ah oui, carrément. Je peux goûter ?— Bien sûr, elle est faite pour ça.Des doigts me fouillent. Des lèvres s’approchent, courent le long de mon intimité offerte, happent mon bourgeon. Une langue titille ma corolle. Et Julien les encourage.— Tu aimes ça, ma chérie ? Tu voudrais un doigt de plus ?— … (Je hoche la tête pour acquiescer)— Dans quel trou ?— Dans mon cul, s’il te plaît.— Tu as entendu Antoine, elle veut deux doigts dans son cul, ma petite femme.— Elle a bien raison, il a l’air d’être prêt pour ça.— Et après tu voudras quoi, ma chérie ?— Après, je voudrai ta bite, mon chéri.— Tu la voudras où ?— Dans mon petit trou, il t’attend.Je me prends au jeu. Et je suis prête. Des doigts experts étalent ma mouille sur mon anus qui accueille sans difficulté deux doigts glissants. Ils me soulèvent, je me laisse faire, je tends les fesses en arrière. Une main se glisse entre mes cuisses, entre mes lèvres, une autre écarte mes fesses. Je le sens contre mon anus, chaud, humide, palpitant. Ils me guident en arrière, m’appuient. Il entre doucement, glisse, m’écarte. Oh ! Je me sens soudain tellement pleine. Rien à voir avec ces doigts qui m’ont fouillée, élargie, détendue. Là , je ne suis plus que le fourreau d’un pieu d’airain qui entre en moi, se plante dans mon ventre. La sensation est indescriptible, divine, je sens des bouffées de chaleur éclore dans chaque recoin de mon corps. Je me détends, m’habitue à cette présence nouvelle, ose quelques mouvements : ça glisse sans difficulté, j’adore.JulienCécile s’est littéralement empalée sur moi. Ça y est, je suis en elle. Je la sodomise. Au bout de 15 ans de mariage, il m’est enfin donné de la découvrir par son troisième orifice. Et c’est délicieux. Elle se met à bouger, elle gémit – elle semble apprécier, ça me rassure, je n’aurais pas aimé lui faire mal.Antoine et Thomas nous entourent. Ils bandent maintenant. Je les regarde avec envie, repensant à hier soir – cette queue, celle de Thomas, je l’ai eue moi aussi dans mon cul.— Tu aimes ma chérie ?— Oh oui, beaucoup. Tu me remplis, tu peux pas savoir comme c’est bon !— Si, je sais.— Ah ! fait-elle en interrompant soudain son mouvement. Puis, après quelques instants : Lequel ?— Thomas.— Mmmm, il nous aura eus tous les deux comme ça. J’espère que tu as aimé autant que moi.— Oh oui ! Je te raconterai une autre fois.Ils se rapprochent d’elle, agenouillés, se caressent doucement – comme elle se tient à mes cuisses, elle ne peut pas les toucher, mais son corps est entièrement offert à leur vue et à leurs caresses. Thomas s’empare de son sein gauche – Antoine l’imite avec le droit. Je les sens la caresser par ses vibrations autour de mon sexe sur lequel elle continue ses lents mouvements de va-et-vient. Antoine se lève, lui présente son sexe devant le visage – elle le lèche sans hésiter. Puis il me le présente à moi aussi, luisant de la salive de Cécile. Je le lèche, puis m’aventure à gober son gland entre mes lèvres, à écarter le prépuce du goût de la langue.La bouche de Cécile me rejoint : nous nous embrassons sur cette queue tendue, nos lèvres la parcourent de concert, nos langues s’enroulent autour, nous gobons chacun une bourse.— Elle est bonne, hein ? me fait Cécile, d’un air mutin.J’acquiesce :— J’adore ça. Tu la veux ?— Oui.— Tu n’as pas peur ?— Non, maintenant, j’ai envie.— Tu as entendu Antoine ? Cécile veut t’avoir en elle. Tu as envie toi aussi ?— Oui. Elle est belle ta femme.ThomasAntoine vient prendre place entre les cuisses largement ouvertes de Cécile – je la lui laisse. Elle se penche en arrière, soutenue par Julien. Je vois son sexe disparaître lentement dans sa grotte béante. Elle soupire :— Oh, vous me remplissez si bien tous les deux. Je vous aime en moi.Ils basculent tous les trois sur le dos de Julien – Antoine les prenant avec force mais tout en douceur. Je caresse leurs fesses, l’intérieur de leurs cuisses, leurs bourses, serrées les unes contre les autres.Une main m’attrape le sexe, m’attire – je me laisse faire, abandonne cette vision enchanteresse. Cécile me fait venir à sa bouche. Serrée entre ses deux amants, elle n’a pas beaucoup de marge de manœuvre, mais sa bouche est grande ouverte, comme me suppliant de la remplir. Elle se tourne sur le côté pour m’accueillir. Elle est chaude, humide, l’angle est parfait : je fais l’amour à sa bouche.LauraLes bruits m’ont réveillée. Je vois Antoine pénétrer Cécile. Je devine que Julien est déjà dans ses fesses – je sais ce que ça fait, je suis heureuse pour elle, heureuse de lui prêter mon homme pour lui faire découvrir cela. Elle trouve encore la place pour avaler la bite de Thomas – je la trouve courageuse. Moi qui la trouvais un peu coincée au début de la randonnée, elle est complètement libérée : je l’admire, j’ai envie de la serrer contre moi pour lui transmettre cette sensation mêlée de gratitude, d’envie et d’amour. Mais je ne peux qu’accéder à ses jambes qui se tortillent en cadence des mouvements d’Antoine. De son intimité, seul son périnée est visible, distendue entre les deux queues qui vont et viennent dans ses deux trous.Je m’agenouille, y pose mes lèvres. Deux paires de bourses chaudes et trempées m’écrasent le visage – je les écarte. Ma langue s’en va à la naissance de son plaisir, là où les deux pieux disparaissent entre ses chairs – ces chairs luisantes de sa cyprine qui coule abondamment. Elle ne peut que grogner, sa bouche prise par le sexe de Thomas, mais je la sens sur le point de jouir. Son anus se contracte sous ma langue, écrase le sexe de Julien. La vibration se propage à leurs trois corps si intimement mêlés. Elle me donne des coups de pied que j’évite comme je peux, ses mouvements sont désordonnés. Je serre davantage les bourses des hommes entre mes mains, comme pour leur intimer l’ordre de la libérer. Je sens sous ma langue la montée de la sève dans les deux colonnes – ce renflement à la base qui indique l’arrivée imminente du plaisir.Ils hurlent tous les deux – tous les trois, en fait, car Thomas les rejoint – leur plaisir. Leurs mouvements se font plus amples pour en extraire la moindre goutte – je vois alternativement chacun des deux glands ressortir entièrement, puis aussitôt replonger dans l’antre qui l’accueille pour y libérer sa semence. Les cris de Cécile indiquent qu’elle a lâché Thomas qui gémit encore de plaisir. J’ai l’impression que ça dure une éternité, même si ça n’a pas dû durer qu’une minute.Rapidement, ils la libèrent, roulent sur le côté, leurs belles verges encore dures et humides, se rétractant peu à peu. Elle halète encore, gémit :— Oh, comme c’était bon ! Vous m’avez tellement fait jouir. Je ne savais pas que c’était possible.Le sperme de mon homme coule de sa jolie chatte béante. Je la lape par petites goulées. Il est chaud et épicé comme j’aime, et mêlé à sa cyprine à elle.MathildeAvec Manon, on les a regardés, tous les quatre, puis tous les cinq lorsque Laura les a rejoints. Maintenant, elle s’amuse à nettoyer le sperme qui coule sur Cécile – d’abord de son sexe, puis de ses fesses. Elle s’attaque maintenant à son visage, puis à celui d’Antoine qui a reçu une bonne part du plaisir de Thomas. Ils finissent enlacés tendrement en s’embrassant.Je me serre contre Manon. Elle tremble légèrement. J’essaie d’imaginer ce qui lui traverse la tête. Pas de la jalousie, j’espère – elle a prouvé qu’elle savait partager Thomas. Non, je pense qu’elle s’imagine plutôt à la place de Cécile, et qu’elle appréhende un peu. Ou alors qu’elle en meurt d’envie. En tout cas, je me dis que je l’accompagnerai comme Laura l’a fait pour Cécile. Je sais maintenant comment la seconder – je me découvre en petite salope qui aime le sexe, chose inimaginable pour moi il y a une semaine.AntoineIl pleut encore des cordes ce matin. Nos affaires se sont bien égouttées, mais elles sont encore bien mouillées. Nous avons rallumé le poêle, car la température avait bien baissé dans la pièce, et nous sommes toujours tous les sept tous nus. La température remonte et devient rapidement confortable pour notre état. Tout en prenant le petit déjeuner (nous sommes morts de faim), Thomas dresse un bilan de la situation :— Ce devait être notre dernier jour de randonnée aujourd’hui. La dernière étape n’est pas très longue, mais avec des vêtements trempés et sous la pluie, elle risque de ne pas être confortable. Il me semble que vous avez vos trains respectifs dans l’après-midi, c’est bien ça ?— Non, à 11 h 45, rectifie Laura.— Moi aussi, ajoute Mathilde— Bon, avec 2 h 30 de marche, et un peu de marge, ça ne fait qu’un départ vers 8 h 30, c’est jouable. Pour ma part, je commence une autre rando avec un autre groupe vers 14 h. C’est donc jouable, même s’il faut que je prévienne l’agence pour qu’ils assurent les préparatifs. Je vous propose donc de passer la journée ici. Personnellement, j’ai plutôt envie de prolonger cette pause qui a commencé de la meilleure des façons. Il faudra juste un peu se rationner – on mangera des pâtes toutes seules ce soir. Vous êtes d’accord ?— Oui, répondons-nous tous en chœur et avec enthousiasme.Une journée entière à passer ici tous les sept. Je dois avoir les yeux qui brillent. En bas de mon ventre, ma queue s’est réveillée – mais comment fait-elle après tout ce que je lui ai demandé ces dernières heures ?ManonUn jour de sursis ! J’angoissais à l’approche de la séparation de notre groupe. Il nous reste donc encore presque 24 h. J’ai des décisions à prendre. Et encore tant de choses à vivre.J’ai vu Cécile se faire prendre par les trois hommes tout à l’heure. Elle a osé franchir le pas, j’en suis super contente pour elle. Et en même temps, je crève de jalousie de ne pas oser à mon tour. Et pourtant, rien que d’y penser, mes sens sont en ébullition. Je n’aurais qu’à me lever, là , et à proclamer devant tout le monde que j’ai envie d’être prise par tous les trous. Ce serait si simple. Allez, vas-y, ma fille, ce n’est pas dans tes habitudes de te défiler.Je suis sur le point de me décider, mais Antoine me coupe l’herbe sous les pieds en proposant un jeu. Les règles sont simples : on tire au sort son ou sa partenaire. On a cinq minutes pour faire jouir son partenaire. Une fois le délai passé, on change de partenaire. Le premier à faire jouir son partenaire gagne 6 points, le second 5, etc. Celui qui a joui est éliminé de la manche.— Est-ce que ça pose problème à quelqu’un ? demande Antoine. Mathilde ?— Non, pas de problème. Même si j’ai découvert que je préférerais les femmes, j’ai bien envie de vous tester tous les trois,— On admet la sodomie ? demande Thomas (a-t-il une idée derrière la tête ? Je bous intérieurement).— Je ne vois pas pourquoi on refuserait. On va juste chercher de quoi se laver.— Donc tout est permis ?— Tout. Sauf la violence. On est là pour se faire plaisir. Si quelqu’un trouve que ça va trop loin, il le dit et on le respecte. Et bien sûr, interdit de simuler ou de dissimuler un orgasme. Ce n’est pas la victoire qui compte !Tout le monde approuve avec enthousiasme, sauf moi – mon fantasme est remis à plus tard.LauraOn tire au sort. Je me retrouve avec Antoine. Cool, je le connais par cœur, il va voir ce qu’il va voir. L’inconvénient, c’est que lui aussi. Je me concentre. Un coup d’œil aux autres couples : Manon et Cécile, et Mathilde et Julien. C’est Thomas, le maître du chronomètre pour la première partie.Antoine m’enlace, me couvre de baisers. Il tient à faire les choses dans les règles, mais il perd du temps… En même temps, j’apprécie sa tendresse, ses baisers humides dans ma nuque, descendant sur mes épaules, puis mes seins. J’y réponds avec envie, tout en m’emparant de son sexe. Ouf, il bande déjà , il est même bien dur. Je la branle avec vigueur.Son doigt se faufile entre mes fesses, atteint ma grotte. Mince, je mouille. Ah, c’est bon. Le salaud, il passe derrière moi, je dois le lâcher. Ce n’est pas juste. Manon et Cécile se sont lancées dans un magistral 69, tout comme Mathilde et Julien. Allez, viens. Oui, il me prend. Son vit bien dur glisse en moi, me remplit. Je frémis de bonheur, me dandine sur lui. Mais l’heure sonne.JulienLe sexe de Mathilde avait un goût délicieux. J’ai dû le quitter à regret. Heureusement, que j’ai déjà joui ce matin (et hier soir aussi, et hier après-midi… j’ai perdu le compte), je me retiens sans peine malgré l’enthousiasme avec lequel elle m’avale.Au tour de Thomas. Il bande bien après nous avoir regardés pendant 5 minutes. Mais il a tout de même un avantage sur moi. Il se serre contre moi – nos glands se touchent (c’est chaud et humide), on s’embrasse sur la bouche. Ses fesses musclées se tendent entre mes mains.À côté de nous, Cécile et Mathilde sont enlacées. Je n’ai pas l’impression qu’elles cherchent à se faire mutuellement jouir, juste qu’elles cherchent à profiter l’une de l’autre – cela me trouble. Et en même temps, je ressens presque la même chose avec Thomas. Son sexe glisse contre le mien. J’adore sentir son gland remonter contre ma hampe, déposer sa mouille à la base de mon méat, et la mêler à la mienne en arrivant au sommet. Je fais de même à mon tour, sans me presser, imprimant chaque centimètre de sa verge de dans ma mémoire corporelle.Manon commence à gémir sous les assauts d’Antoine.AntoineJ’y étais presque ! En toute honnêteté, ça aurait été dur de ne pas la rejoindre rapidement. Quelle frustration de devoir me retirer de son étui de chair visqueuse ! C’est Mathilde qui s’approche de moi, un grand sourire sur les lèvres, tandis que Manon s’en va dans les bras de Laura. Julien tient le chronomètre.J’ai peur de brusquer Mathilde – je sais qu’elle préfère les femmes. Mais elle n’hésite pas, et vient goûter la cyprine de sa copine qui enduit mon sexe. J’adore cet enthousiasme, mais je ne peux pas la laisser faire. Je la repousse gentiment, la fais mettre à quatre pattes, et glisse ma queue entre ses fesses, la faisant aller et venir de son bouton bien dur jusqu’à son petit trou que je teste sans qu’elle s’en offusque.Mais lorsque je tente d’y entrer, elle a un mouvement de recul – je n’insiste pas, et m’introduis dans son vagin d’un coup vigoureux qui lui arrache un cri de plaisir. Laura, juste à côté de moi, est en train de perdre les pédales sous la langue de Manon – elle pousse des petits glapissements à chaque fois qu’elle gobe son bourgeon entre ses lèvres. Je me cale sur son rythme – Mathilde l’accompagne de ses cris de plaisir – elle approche du point de non-retour, et moi aussi.Mais le chronomètre sonne. Laura se met à crier de rage :— Non, pas maintenant, c’est pas possible, je veux jouir, j’y suis, tu ne peux pas me laisser comme ça !Elle sanglote tandis que Manon se détache d’elle, dépitée d’être passée aussi près de la victoire… et du plaisir de faire jouir Laura.MathildeJ’ai de la chance ! Dès que je touche Laura, elle s’abandonne complètement au plaisir. Elle se contorsionne, comme pour que j’avale encore davantage son clito. Surtout, elle inonde mon visage d’une incroyable quantité de mouille translucide que j’avale de mon mieux.6 points gagnés facilement – Merci, ma Manon, qui me fait un clin d’œil, le nez sur le chronomètre. Laura halète à mes côtés, l’œil dans le vague. Juste à côté d’elle, son mec, Antoine, a commencé à sodomiser Thomas dont l’érection est tout simplement hallucinante – son gland est tout rouge et brillant, des gouttes en tombent à chaque mouvement d’Antoine. C’est la première fois que je vois deux hommes faire l’amour ensemble. J’imaginais ça plus sauvage – je les trouve plutôt doux.Julien et Cécile se font un tranquille 69 – ils trichent, je les soupçonne de faire retomber la pression.CécileJe devais tenir le chronomètre à ce tour-ci, mais Laura me laisse sa place avec Thomas, de nouveau. Il m’a amenée très proche de l’extase tout à l’heure, je sens que ça va être dur. Je choisis de le prendre par surprise, tandis qu’il vient vers moi à quatre pattes, tout juste dégagé de l’étreinte d’Antoine qui est aussitôt accueilli par le cul de mon mari. Cette vision de Julien se faisant sodomiser manque me faire rater ma stratégie. Je n’aurais jamais cru que ce puisse être aussi excitant de voir deux hommes faire l’amour. Surtout si l’un des deux est mon mari. Une sorte de bouffée de tendresse pour lui m’enveloppe.Je devine que Thomas est à la limite, il manque d’initiative. Je le contourne, m’empare de ses fesses. J’admire le spectacle de ce cul béant. Mon majeur y trouve sa place naturellement – il en rugit de plaisir. Son sexe vibre dans mon autre main. Il ne lutte pas, n’essaie pas de me faire jouir. Je l’amène à l’orgasme (par où exactement, je ne sais, peut-être les deux à la fois) en quelques mouvements. Son foutre chaud coule sur mes mains, son anus est pris de convulsions autour de mon doigt. À côté de nous, Manon le rejoint dans l’extase.ManonAh, Mathilde, comme tu me fais du bien ! Tes doigts dans ma chatte me fouillent juste où c’est bon, là , contre mon clito, oui. Tu sais exactement ce qu’il faut pour me faire jouir. Oh, comme j’aime ça ! J’aurais tellement aimé te faire la même chose. Mais tu as un don pour faire jouir les filles.J’en ai la tête qui tourne. C’était mon tour de faire l’amour avec Thomas, je me préparais à jouir de lui. Mais nous nous retrouvons blottis l’un contre l’autre, nageant dans une félicité cotonneuse, alors que les couples se reforment.Mathilde se retrouve de nouveau avec Julien (Laura étant hors-jeu), et Cécile avec Antoine. Je les regarde. Ils sont beaux, ces corps qui se mêlent, glissent l’un contre l’autre, se caressent de toutes leurs mains. Les deux couples se rapprochent, leurs bras se mélangent, leurs bouches se mêlent. Je vois des mains se faufiler dans des fesses offertes, sans bien savoir à qui elles sont. Et puis le sperme qui jaillit dans cet entrelacs de corps inonde ventres et bras. Je crois que c’est celui de Julien. À moins que ce ne soit celui d’Antoine, dont le sexe frétille entre les mains de Cécile qui dirige les jets épais sur le ventre de Mathilde.JulienMon sexe flotte dans un flot de cyprine – le vagin de Mathilde se contracte autour de moi. Une main m’attrape par les fesses. J’embrasse Cécile, juste à côté de moi. Mon sexe glisse du sexe de Mathilde, glisse sur son ventre, dans ses poils, puis sa main. Ou deux mains ? Je ne sais plus où je suis, tout est tellement délicieux, tellement glissant. Une main me serre les bourses. Je jouis !C’est très fort, je sens la puissance du jet me secouer depuis le tréfonds de mon corps jusqu’à un point situé loin, très loin de lui. Je n’ai même plus la force de crier de plaisir – je ne suis plus qu’une fontaine de sperme qui arrose le ventre de Mathilde, celui de Cécile… et Antoine me rejoint, nos jets se croisent, forment un entrelacs de coulées blanches qui dégoulinent partout sur nos corps fourbus de plaisir.MathildeJ’avoue que je ne pensais pas gagner. Je me découvre des talents cachés. Pour Laura, je n’ai rien eu à faire, c’est grâce à Manon. Manon, je crois que je commence à bien la comprendre. Julien, j’ai trouvé ça facile, et très excitant. Finalement, les hommes, c’est pas mal aussi quand ils sont attentionnés et vigoureux…Je me retrouve seule face à Cécile, et je me sens fondre de désir. Ça ne sert à rien de le nier, elle me fait craquer. Elle est l’exact contraire de moi, brune et bouclée, mariée, petits seins, mère de famille. Et c’est comme si on s’emboîtait parfaitement. J’ai un peu peur d’être en train de tomber amoureuse, et franchement, ça risque de compliquer les choses, même si son mari est très compréhensif…En tout cas, je compte bien en profiter à fond. On se frotte l’une contre l’autre. Comme on est pleines de sperme toutes les deux, ça glisse super bien. J’aime sentir ses petits tétons durs s’accrocher aux miens. Son haleine est chaude, accueillante – je mets la langue sans hésiter, elle aussi. C’est fougueux et tendre à la fois – je me sens fondre de la voir devancer mes plus intimes attentes. Sa cuisse frotte mon clito qui est sur le point d’exploser, mais c’est le sien que je veux. Je me penche en arrière, ouvre mes cuisses, m’emboîte avec elle.Sa moiteur se mêle à la mienne. Je sens quelque chose de dur et doux à la fois se tendre contre mon bourgeon qui se cabre, virevolte. C’est comme un voile qui me tombe sur les yeux, le plaisir m’emporte, je me serre tellement contre elle que nos sexes ne font plus qu’un, comme une soupe primordiale d’où seul émerge le plaisir.Je m’affale, vaincue. Mais Cécile aussi a joui. Je crois que nous sommes ex æquo. On reçoit chacune un point. Nous sommes les expertes de la jouissance : j’ai 14 points et Cécile 8. Déjà , certains veulent recommencer, mais j’émerge à peine de mon coma jouissif.ThomasCe jeu est super addictif. Après avoir autant joui, je me serais cru exténué, incapable de bander encore. Et pourtant, dès le tirage au sort effectué, j’ai senti mon cœur s’emballer de nouveau. J’ai vu Manon et Laura s’installer en 69, tout comme Mathilde et Antoine. J’ai senti le sexe de Julien durcir peu à peu entre mes doigts, et le mien faire de même entre les siens, et la tension dans mon bas-ventre réapparaître, qu’il faut maîtriser, dompter.À présent, Manon est dans mes bras, douce, chaude. Nous faisons l’amour tendrement, en missionnaire. Son sexe est accueillant, juteux. Sa bouche sent bon les effluves de Laura. Elle soupire au creux de mon oreille, me supplie d’accélérer, de la prendre plus fort. Son sexe se serre autour du mien, l’aspire. Elle gémit de plus en plus fort. Ses cris se mêlent à ceux de Cécile qui se livre totalement à la bouche et aux doigts de Laura, tout contre nous. Les deux filles jouissent de concert, malgré le chronomètre qui sonne – on ne peut pas s’arrêter là .J’embrasse tendrement Manon qui semble flotter sur un petit nuage. J’observe Julien quitter à regret les fesses de Mathilde qui semble elle aussi faire des efforts surhumains pour abandonner son partenaire aussi près de l’orgasme. Puisque Manon est hors-jeu, je la remplace donc entre ses bras, Cécile m’ayant aussi fait faux bond. Elle m’accueille, les cuisses grandes ouvertes, le sexe béant. Je ne peux me résoudre à la prendre comme cela. Je veux la goûter d’abord. J’embrasse sa vulve humide de plaisir, lèche ses grandes lèvres, jusqu’à leur naissance, puis plus loin, jusqu’à ce petit trou bien fermé que je titille du bout de la langue. Elle semble apprécier – j’insiste donc.Elle se contorsionne – je sens sa main agripper mon sexe – elle ne perd pas le nord, elle sait ce qu’elle doit faire pour marquer des points. Ses doigts me caressent délicatement – elle agit avec beaucoup de finesse, une main me branlant à un rythme lent, ample et régulier, tandis que l’autre m’abreuve de fines caresses du bout des doigts sans oublier la moindre parcelle de peau.LauraJe n’aurais pas dû me caresser en les regardant. Mais c’était plus fort que moi ! Mon Antoine pressant sa queue contre celle de Julien, leurs deux mains serrant cette double colonne de chair. Les deux glands gonflés, coulant d’un plaisir translucide que chacun étalait sur le sexe de l’autre. Qu’est-ce qu’ils étaient excitants ! J’attendais, impatiente, le bouquet final, mais le chronomètre a sonné trop tôt – les deux verges se sont écartées, luisantes et pantelantes, leurs propriétaires, les yeux dans le vague.Mais maintenant, je me sens décoller. Thomas va en moi si profond qu’on dirait qu’il me transperce. Ses couilles s’écrasent à chaque mouvement contre mon clito qui va exploser. Ça y est, il explose. Comme c’est bon. Encore un coup, et je m’enflamme complètement. Que sa queue me fait du bien ! Il me remplit entièrement – je sens qu’il vient lui aussi, je sens son foutre couler le long de mes cuisses, je crois l’entendre rugir de plaisir (mais pour dire vrai, je suis ailleurs, je ne saisis ce qui se passe autour de moi que comme amorti par une épaisse couche de coton).Je n’ai pas encore fini de jouir quand le chronomètre sonne. Thomas reste en mois pour m’accompagner dans mes derniers recoins de jouissance – je l’adore.AntoineBon sang, cette fille est extra. Elle a un corps sublime, des mouvements naturellement sensuels. Elle me chevauche en tortillant le bassin, me massant les testicules entre ses fesses. Ses gros seins se balancent au-dessus de mon visage. Je caresse son bouton du gras du pouce – je sens que ça lui fait du bien, car ses mouvements se font plus irréguliers.J’entends Laura jouir. Je ne la vois pas, mais je devine son regard qui se voile, sa bouche qui s’ouvre. Je m’efforce de ne pas y prêter attention, son plaisir m’excite trop – je pourrais jouir rien qu’en l’écoutant.Le chronomètre vient à mon secours. Mathilde semble hésiter, puis se lève. Julien s’approche, la prend par la main. Elle l’enjambe à son tour, puis vient s’empaler doucement sur son pieu en poussant un profond soupir. Elle reprend les mouvements entamés avec moi.Je suis aux premières loges. Je ne peux réprimer l’envie de caresser ses jolies fesses. Elle tressaille, puis me regarde, l’air songeur. Mes doigts descendent dans sa raie, y trouvent le pieu de Julien qui y coulisse doucement. Son regard se fait suppliant. Ses lèvres forment un « viens » que sa voix n’ose pas. Je jette un œil à Julien qui m’encourage du regard. Autour de nous, personne dans l’assistance ne proteste quand je chevauche à mon tour les jambes de Julien.J’approche mon sexe, mais il bouge trop – il se cogne contre les fesses de Mathilde qui semble le réaliser. Elle se penche en avant, enserrant le visage de Julien entre ses seins. Cette fois, le passage est libre, mais j’hésite : elle a pourtant dit qu’elle ne voulait pas… Mon gland parcourt toute la raie, jusqu’au bas du dos – il y glisse sans peine car elle est trempée de plaisir – et retour jusqu’à toucher la hampe de chair engloutie dans son vagin. Il s’attarde sur sa rosette, pousse. Mais elle m’arrête, me guide vers le bas. Ainsi, c’est comme ça qu’elle veut…Le sexe de Julien est épais, chaud et palpitant. Je me presse contre lui. Les chairs élastiques de Mathilde s’ouvrent doucement sous ma poussée, je pénètre doucement l’antre torride, tellement serré entre cette chair dure et virile et ces peaux féminines tendres et détrempées. Je sens enfin mes testicules se serrer contre celles de Julien.Mathilde a retenu son souffle pendant toute la pénétration. Maintenant que je suis bien fiché en elle (que nous sommes fichés en elle), elle grogne de plaisir, murmure des mots indistincts. Nous bougeons tous les trois, mais nous sommes tellement serrés que le moindre mouvement se transmet amplifié aux autres. J’ai l’impression de sentir chaque battement de sang dans les veines du sexe de Julien. Le plaisir est totalement indescriptible.Je m’accroche aux hanches de Mathilde qui renverse sa tête en arrière sur mon épaule, son torse soutenu par Julien qui la tient par les seins. Elle émet désormais un râle continu, qui s’amplifie à chaque fois que je bouge en elle. Mais chacun de ces mouvements m’emmène plus loin dans le plaisir. Si je n’étais pas si serré, j’aurais déjà joui dix fois, mais la pression décuple le plaisir.Je sens presque mes couilles exploser contre celles de Julien, puis une onde formidable, tellurique, remonter doucement, très doucement. Je la sens également contre moi dans la verge de Julien, rattrapant la mienne, l’attendant à chaque nœud de notre vibration commune. Puis c’est la vraie explosion, au niveau de mon gland, le jet brûlant du sperme de Julien contre mon méat qui déverse à son tour son foutre en jets puissants, la pression nouvelle de ces liquides chauds contre les parois distendues du vagin de Mathilde, qui l’emmène avec nous au pays de l’orgasme.