Nuit de noces autrefois : sans toilettes
On a aujourd’hui du mal Ă imaginer les petites angoisses des jeunes mariĂ©s d’autrefois. Et les incommoditĂ©s de l’Ă©poque, dont on n’osait parler, mais qu’ils devaient surmonter pour rĂ©aliser certains fantasmes inavouables.
Proposée le 30/07/2017 par spiroutic Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Fantasme
Nuit de noces autrefois Dans les années 30 à Limoges Tom a terminé son pensionnat, puis après son service militaire (pistonné), il peut se marier avec Adèle, que sa famille lui a fait rencontrer.
On ne lui connait pas d’autre frĂ©quentations et il la connait encore assez peu.
Or il sait qu’Ă cette Ă©poque certaines trop jeunes filles n’envisagent le mariage que sous le seul angle de la cĂ©rĂ©monie et que leurs mères rĂ©pugnent Ă leur parler de la nuit qui en dĂ©coule.
D’ailleurs Tom lui-mĂŞme n’est pas des mieux renseignĂ©s.
Il a donc l’intention de se montrer doux cette nuit-lĂ , mais se demande comment au moment critique il prĂ©sentera la chose, au propre comme au figurĂ©.
Et il fantasme sur les petits ventres.Pendant cette grande journĂ©e, avec les prĂ©sentations, la mairie, l’Ă©glise et le repas, la mariĂ©e n’a pu s’Ă©clipser une seconde, ayant toujours quelqu’un Ă saluer ou devant coller Ă son mari.
Mais vient enfin le moment du coucher, dans une chambre louĂ©e par Tom, modeste mais correcte pour l’Ă©poque.
Un baiser timide dans le hall, puis le mari demande à Adèle : « Maintenant ? ».
Ils montent, avec Ă©motion.
-« Je voudrais d’abord trouver un lavabo pour me rafraichir » dit Adèle n’osant prononcer le mot toilettes, et croyant que Tom comprendrait…
-« Il y en aura », et il lui ouvre solennellement leur chambre nuptiale.
Exactement comme il a dit, elle voit un petit lavabo dans un coin mais pas de wc. Sur le couloir non plus.Une surprise attend Adèle :
Ne voulant pas commencer à grossir elle a peu touché aux plats bourratifs du grand repas et a donc encore un peu faim. Mais Tom y a pensé :
Voici un panier d’une douzaine de poires et quelques figues. Ainsi qu’une petite bouteille de champagne.
Elle lui accorde un autre chaud baiser mais apprĂ©hende de se coucher, elle boit donc lentement un verre, puis croque deux figues. Tom lui verse encore du champagne mais elle l’interrompt car inquiète pour sa vessie.
-« Ce lavabo est praique mais où sont des toilettes ? »
-« Dans la cour. DĂ©solĂ©, mais nous ne sommes qu’au second etage, on y descendra vite.
contrariée, elle préfère prendre deux poires plutôt que de lui répondre.
-« Merci de vouloir garder la ligne, chérie. »
Elle en mange une autre.
Il l’enlace et la passion vient tres fort, mais il sait qu’il doit lui aussi aller lentement.-« Belle dans une belle robe » dĂ©clare Tom en la regardant fixement.
Il passe le doigt sous le col de la robe.
Adèle Ă©mue comprend qu’il est temps de se dĂ©shabiller mais temporise :
-« Attend, je voudrais la ranger soigneusement dans ce meuble. »
Ceci fait, Tom repousse la porte de l’armoire d’un bon coup et saisit Nana pour ne plus la lâcher,
Son dessous est un combiné corsage-jupon.
Il la flaire et l’enlace de plus en plus bas, caresse doucement le ventre un peu comme s’il le mesurait, puis saisit brusquement le jupon et une bretelle, qui casse !
-« Oh la couturière l’a ajustĂ©e mais mal recousue. Il ne faillait pas me brutaliser mais me dire de l’enlever. Je vais le faire, tourne toi ».
Puis elle s’allonge vite, bras croisĂ©s. . Le souffle de Tom sur son sexe la surprend. Petit cri.
-« Moins vite, s’il te plait ! Puis comme excuse :
-« J’ai encore faim, ferme les yeux. »
-« Pour la derniere fois alors! »
Elle mâche conscienceusement deux autres poires, le temps de se ressaisir, et tant qu’elle y est demande :
-« ChĂ©ri, il vaudrait mieux que je descende aux… ».
Elle veut remettre sa robe mais Tom constate que la porte est coincĂ©e dans le meuble, qui contient aussi ses autres affaires.Cette contrariĂ©tĂ© lui fait prendre davantage conscience de la pression de sa vessie, que le romantisme du moment avaitrelĂ©guĂ©e au second plan jusqu’Ă maintenant.
-« Tu pourras y aller quand la cour sera deserte, dans ma chemise. »
-« Quelle idĂ©e ridicule, dĂ©jĂ m’enlaidir ainsi ! »
-« Je peux aller demander un peignoir »
-« Ne me laisse pas ! »
Elle essaie de réfléhir sous son sous-vêtement déchiré, et machinalement croque une autre poire.
En fait elle se souvient avoir pu se retenir pendant quinze heures en voyage Ă Lourdes, alors pas de panique, on appellera le personnel pour dĂ©coincer l’armoire demain matin pendant qu’elle se cachera sous le drap.
-« Aide moi à finir ce petit champagne » dit gentiment Tom.Puis arrive le moment intime et solennel de concrétiser leur union.
-« On t’a parlĂ© du devoir conjugal ? »
-« Hmm… », yeux baissĂ©s.
Tom veut passer la main sous le jupon.
Adèle la lui saisit avec ses genoux puis, en fait, retire vivement son sous-vĂŞtement avant que Tom ne l’endommage encore plus. Il s’immobilise, fascinĂ©.
-« On dit qu’Ă Paris elles mettent toutes une culotte, mais ici je ne sais pas », se hasarde t-il Ă dire. « Ou bien tu l’as enlevĂ©e ? »
-« Heu, en fait j’ai pensĂ© que ce serait plus commode sans, au cas oĂą je ne porrais plus… »Caressant de haut en bas avec mains et bouche, Tom propose :
-« Mon bébé sur mes genoux ? »
Il se dĂ©nude rapidement et s’assoit.
Ayant aperçu le pĂ©nis redressĂ©, elle reste plus ou moins en suspension au dessus de Tom. Avant qu’elle fatigue ses cuisses, il utilise son gland comme un pinceau parcourant la raie.
Il s’amuse un moment en insistant vers l’anus mais un cri offusquĂ© le fait renoncer.
-« C’Ă©tait pour plaisanter », explique t-il Ă Adèle peu convaincue. »Adèle, sans s’en rendre compte, a avancĂ© sa main vers son clitoris, en mĂŞme temps qu’il frotte le vagin de plus belle.
Ainsi entreprise aux deux endroits, Adèle se laisse aller et le vagin cède. Cri étouffé.
Tom ressent comme une éclosion de son gland qui a traversé, il accélère.
Adèle apprécie ce rythme et réagit.Cette position sur les genoux de Tom lui fait penser au jour où elle avait fait pipi sur sa tante, à 5 ans.
Souvenir malencontreux car la sensation de l’Ă©poque lui revient aussi, elle serre brusquement pour ne pas pisser, ce qui provoque un heureux gemissement de Tom.
La vessie alourdie d’Adèle, secouĂ©e par le mâle, martèle son bas-ventre excitĂ©.
Par ailleurs le goĂ»t des poires dans sa bouche lui rappelle aussi sa nuit d’enfant chez grand-mère oĂą, en ayant croquĂ© trois poires assez vertes, elle s’Ă©tait levĂ©e quatre fois la nuit…
Pourquoi n’y a t elle pas repensĂ© tout Ă l’heure ? Elle comprend tardivement que ces fruits sont diurĂ©tiques !
Sa vessie va donc encore gonfler et la torturer, gâcher cette belle nuit.-« Ces poires m’ont activĂ© les reins.. ».
-« Relaxe-toi, bĂ©bĂ©. Je t’aime, aime moi »
-Elle comprend qu’il faut participer plus activement, et secoue un peu les fesses. Le plaisir monte lentement mais sĂ»rement et l’urètre massĂ© par le penis devient tes sensible.
-« HĂ©Ă©Ă© je risque… »
Tom caresse encore son pauvre ventre.
-« Joli ventre plein de pipi, mmm… C’est le debut du plaisir, chĂ©rie. Moi aussi je sens que quelque chose va venir », et il accĂ©lère rageusement.
-« Oui mais… maman pipiii… »
-« Simple impression. Fais comme si… ce que tu voudras, chĂ©rie »
Puisque c’est ainsi, elle se laisse aller, dans un bonheur chahutĂ©.
-« Hiii », elle vient d’envoyer une brève giclĂ©e bien rĂ©elle.
-« Aarrr, on pisse, on fout… oh ouiii.. », fait Tom dont l’Ă©jaculation dĂ©marre.
Une sensation onirique pour Tom, la perception d’une odeur Ă©trange pour Adèle, le bonheur pour les deux. ***Ils reprennent leur souffle.
Ce grand moment romantique passé depuis cinq minutes, elle revient aux basses réalités, à son sphincter torturé et se crispe désespérément.
-« Putain, je VEUX pisser ! »
Le lavabo suffirait Ă Tom, mais pour elle…
-« Je t’y porte ! », crie Tom qui inspire et la soulève puis la tient suspendue au dessus du petit lavabo.
Il calcule : coment ça va sortir, comment viser ?
-« Je ne pisse pas du cul, idiot ! viiite ! »Il se dĂ©cale un peu, et a l’impression d’avoir ouvert Ă fond le robinet, mais c’est le robinet intime de sa femme, dont le jet fuse, gargouille dans le trop petit lavabo, y rebondit en Ă©claboussant quelque peu Tom. Ce sepectacle fascinant l’encourage Ă maintenir encore le poids de sa chĂ©rie, sa poupĂ©e-magique-qui-fait-pipi, malgrĂ© le risque de crampes.
Le dĂ©bit se tarit, alors Tom estime pouvoir dĂ©poser sa pisseuse d’Ă©pouse au sol.
Elle bloque de justesse son jet rĂ©siduel. Ils s’allongent.
-« Je n’ai pas Ă©tĂ© vulgaire ? s’inquiète Adèle.
-« Mais non, c’Ă©tait merveilleux », la rassure t-il, pensant en mĂŞme temps Ă son orgasme et au spectacle aquatique.
il s’approche du sexe trempĂ© et rĂ©flĂ©chit:
-« Donc ça venait de lĂ , comme ça… laisse moi mieux voir. »
Il lui lève les jambes, remontant donc le postérieur.
-« …Et la pression de pipi te gĂŞnait ici… ». Il lui tapote le ventre.
-« Nooon ! » . Elle n’avait pas eu le temps de se vider Ă fond, et, horreur, lâche du pipi pendant trois secondes.
Tom assiste Ă un petit geyser assez vertical, qui retombe mĂŞme un instant dans l’anus !
Pas grave pour le lit, cela n’a rien de l’inondation qu’ils lui ont Ă©vitĂ©e.
Mais ce spectacle des plus obscènes lui provoque une nouvelle erction.Il lui avoue :
-« Enfant, j’avais vaguement aperçu quelques fillettes qui pissaient dehors, sans oser mieux observer. Bien sĂ»r elles se penchaient en avant pour envoyer le jet bien derrière leur culotte baissĂ©e, j’avais vaguement suppose que leur jet partirait en arriere mĂŞme si elles se tenaient bien debout. »
Adèle pouffe d’un joli petit rire.
-« En parlant d’arrière, j’aimerais t’avoir un instant Ă quatre pattes comme une bĂŞte… »
Adèle choquĂ©e un moment, pense finalement qu’elle n’a plus rien Ă perdre ni Ă cacher.
-« Mais d’abord je voudrais prendre des forces. Et il engloutit les desnières poires.Au fait, pense Adèle, pourquoi s’est-il arrangĂ© pour qu’elle mange ces fruits ?
Parce qu’elle s’est moins mĂ©fiĂ©e d’eux que de la boisson ! Mais le rĂ©sultat final a Ă©tĂ© le mĂŞme pour sa vessie. Un beau coup montĂ© de la part de son petit mari !
Elle remarque aussi qu’il en a mangĂ© sans avoir pris la prĂ©caution de descendre aux… Que veut-il faire ? Mais elle se dit que son imagination travaille trop.
Et ce matelas semble bizarre. En touchant mieux elle comprend qu’il est couvert d’une protection plus ou moins Ă©tanche, sous le drap. ChoquĂ©e elle dĂ©cide pourtant de ne pas en parler.
Quand Tom se recouche, elle fait semblant de somnoler. Il la couvre de tres légers bisous comme des posers de papillons.
CharmĂ©e, elle se calme. Une nouvelle idĂ©e lui vient en pleine nuit, elle se rendort presque aussitĂ´t.***L’aube les rĂ©veille. Adèle reprend vite conscience d’ĂŞtre engagĂ©e dans la voie du devoir conjugal.
Que disait-il dĂ©jĂ ? Ă quatre pattes. Elle se positionne doucement ainsi et prend la main du mari pour se l’appliquer au posterieur.
-« Ooh mon epouse dĂ©vouĂ©e ! Mais attend-moi, besoin pipi … »
– » Non! Enfile moi tout de suite ! A ton tour de subir ta vessie. »L’excitation sexuelle fait vite oublier sa vessie Ă Tom. Comme il s’Ă©chauffe, il va entrouvrir la fenĂŞtre. Puis il se sent comme un Ă©talon derrière sa jument.
Mais ils basculent et finissent le travail dans la position « des cuillères ». Soulagement simple et efficace.
Dans cette sensation de paix immense ils se rendorment en restant collés dans cette position, main caressant un sein et fesses contre ventre, pénis restant encore presque introduit.
L’air froid du dehors rĂ©veille Tom après un quart d’heure. Heureux de se retrouver dans cette position, il est pourtant vite contrariĂ© par de terribles Ă©lancements de sa vessie. Maintenant qu’il a froid et frissonne c’est insupportable, aussi il ne peut rĂ©sister, et malgrĂ© lui, envoie une giclĂ©e de pisse. Il ne pourra pas bloquer, le temps d’aller au dessus du lavabo, croit-il. Alors, dans un Ă©tat second, il s’abandonne et pisse copieusement entre les fesses de sa femme. Il entend mĂŞme son jet qui gargouille dans le vagin.
Le liquide noie leurs jambes et envahit le lit.Le froid et l’odeur d’urine mâle finissent par rĂ©veiller Adèle qui rĂŞvait de toilettes. Elle comprend vite ce qui s’est passĂ©, ce n’est pas elle qui s’est oubliĂ©e. Alors elle se lève brusquement et ordonne :
-« Allonge toi ! »
Elle lui masse le zizi, qui se raffermit, et entreprend de s’y empaler.
Le chevauchant ainsi, yeux ds les yeux, elle lui avoue avec un sourire ironique :
-« Cher mari, tu n’as pas remarquĂ© cette nuit que je me suis levĂ©e pour boire au robinet près d’un litre d’eau. Et ça va partir… »
Petit rire, car ses sensations montent. Puis un jet se brise sur le torse de Tom surpris. C’est ensuite un torrent qui l’inonde impitoyablement, rebondit et atteint parfois sa figure au rythme des mouvements de la femme.
Et Tom remarque encore ce petit sifflement diabolique de la source… C’est irrĂ©sistible, il Ă©jacule.En une nuit Tom a presque tout appris sur les femmes.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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