Paty et PhilChapitre 2 : Le tatouageFĂ©vrier, un des mois les plus froids, en gĂ©nĂ©ral. Pourtant, en ce dĂ©but d’annĂ©e, comme l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente d’ailleurs, la tempĂ©rature est plus que clĂ©mente pour la saison et les quelques journĂ©es ensoleillĂ©es dont nous bĂ©nĂ©ficions me font dĂ©jĂ penser aux futures vacances. Après des mois d’hĂ©sitation, je me suis enfin dĂ©cidĂ©e Ă me faire tatouer. Philippe vient de partir pour quinze jours en mission et je dispose donc de tout le temps nĂ©cessaire pour concrĂ©tiser mon envie et lui faire une surprise Ă son retour. Après quelques recherches, j’ai trouvĂ© un tatoueur qui a bonne rĂ©putation, et me voilĂ pĂ©nĂ©trant dans sa boutiqueL’homme a la trentaine, cheveux brun nouĂ©s en queue de cheval, l’air sympa, il me fait bonne impression. Il me demande ce que je dĂ©sire et me montre des livres contenant diffĂ©rents motifs et je peux ainsi lui dĂ©signer celui que j’ai choisi. Je lui explique que je souhaite le faire tatouer sur le bas-ventre, juste au-dessus du mont de vĂ©nus. De cette façon, il restera intime, puisqu’il ne sera visible que si j’enlève mon slip. L’endroit Ă©tant assez dĂ©licat puisque très intime, il me demande si je ne prĂ©fèrerais pas que ce soit sa femme qui s’en occupe. Effectivement, cela m’enlève un peu de mon apprĂ©hension et c’est avec un certain soulagement que j’accepte sa proposition.Il appelle son Ă©pouse et me fait entrer dans le petit salon particulier baignĂ© d’une lumière douce et tamisĂ©e. Au centre, un fauteuil en cuir, inclinable et moelleux Ă souhait, au pied duquel une petite table en osier expose tout le matĂ©riel nĂ©cessaire. La porte s’ouvre sur une jeune femme souriante, d’environ 25 – 30 ans, cheveux châtain mi-longs, vĂŞtue d’une tunique chinoise. Très sympathique, la jeune femme prend le temps de parler avec moi, et me prodigue ses conseils. Elle s’appelle Alysson et est d’origine thaĂŻlandaise, bien que nĂ©e en Belgique. Pendant que nous discutons du motif choisi et de son emplacement exact, elle allume une baguette d’encens qui, rapidement, rĂ©pand une odeur agrĂ©able et rend l’atmosphère plus intime.Elle me demande d’ôter ma jupe afin de ne pas la froisser, me fait allonger sur le fauteuil et baisse lĂ©gèrement mon slip pour dĂ©gager l’emplacement choisi. Elle m’avertit qu’il faudra environ deux heures de travail et que cela pourra ĂŞtre lĂ©gèrement douloureux Ă certains moments. Ses mains sont douces mais au bout d’une heure, le tatouage est en effet un peu douloureux et pour ne plus y penser je m’enfonce dans mes pensĂ©es. C’est ainsi que sans le vouloir, je me remĂ©more l’histoire que m’avait racontĂ©e Sylvie mon amie, et amante masseuse, que je dois par ailleurs recontacter prochainement. Son histoire m’avait, lorsqu’elle s’était confiĂ©e Ă moi, alors que nous Ă©tions encore enlacĂ©es après avoir fait l’amour, choquĂ©e dans un premier temps mais aussi excitĂ©e comme peut souvent le faire ce qui est interdit.* * * * *« J’avais 19 ans Ă l’époque et depuis quelques temps j’avais le sentiment d’être Ă©piĂ©e, principalement lorsque je me rendais dans la salle de bain pour ma toilette. J’avais eu l’impression plus d’une fois d’entendre du bruit derrière la porte et, comme par hasard, chaque fois que j’ouvrais la porte, je trouvais mon frère dans sa chambre dont la porte donnait sur le mĂŞme palier. Je me suis doutĂ©e qu’il m’observait par le trou de la serrure. Au lieu de me fâcher, cela m’a quelque peu excitĂ©e. Je n’étais pas une sainte et le sexe, comme toute bonne chose, occupait dĂ©jĂ une place importante dans ma vie. Un matin, entrant dans la salle de bain pour faire ma toilette, je me dĂ©shabillais lorsque des craquements ont attirĂ© mon attention.Il Ă©tait lĂ et il m’observait, j’en Ă©tais sĂ»re. Dans la glace, j’ai commencĂ© Ă caresser mes seins, pinçant les bouts entre mes doigts, puis descendant lentement, j’ai enfoui une main dans ma toison. Je l’imaginais derrière la porte, l’œil collĂ© au trou, sentant sa queue gonfler dans son pantalon. Cela m’excitait, je sentais mes doigts se napper de mon jus et cela m’a donnĂ© une idĂ©e. Je me suis dirigĂ©e vers le WC et, relevant la planche, m’y suis accroupie sans m’y asseoir vraiment. J’étais si excitĂ©e que je n’arrivais pas Ă faire pipi. Finalement, me concentrant, quelques gouttes se sont Ă©chappĂ©es de ma chatte suivies peu après par un long jet. Pendant que l’urine s’échappait de mon trou, je l’imaginais, les yeux exorbitĂ©s derrière la porte. Je crois qu’il s’est rendu compte que je savais qu’il Ă©tait lĂ car mes yeux fixaient le trou de la serrure. De mon doigt, je l’ai appelĂ© tout en lui disant d’entrer. La porte s’est ouverte alors que le flot entre mes cuisses se tarissait.— Alors, on observe sa sĹ“ur qui fait pipi, petit vicieux. Approche, viens près de moi. C’est quoi cette grosse bosse dans ton pantalon ? N’aie pas peur, je ne te ferai pas de mal, au contraire. Ça te plaĂ®t de voir mon petit minou tout mouillĂ©. Oui, je vois que ça te plaĂ®t, et mes seins, t’as envie de toucher les lolos de ta frangine ? Vas-y, tu peux.Ses mains, hĂ©sitantes, se sont posĂ©es sur mes seins et mes tĂ©tons se sont durcis d’un coup. C’était excitant de sentir ses mains sur mes nichons.— Ça te plaĂ®t, n’est-ce pas ? Viens plus près, je ne vais pas te manger.Ma main s’est posĂ©e sur sa braguette, j’ai tirĂ© la fermeture vers le bas et, introduisant mes doits par l’ouverture, j’ai dĂ©gagĂ© sa bite. Pour un jeune garçon, il Ă©tait bien montĂ© et l’organe qui palpitait dans ma main me promettait de bons moments. J’ai commencĂ© Ă le branler doucement tout en lui tout en lui conseillant de mettre une main entre mes cuisses.— Tu sens, c’est chaud et c’est mouillĂ©. Cela me fait du bien, comme Ă toi. Vas-y, entre un doigt dans mon trou. Tu me fais du bien, oh c’est bon ! continue, enfonce bien ton doigt dans mon trou Ă pipi.Son doigt s’enfonçait dans ma chatte et je sentais mon jus qui coulait sur ses doigts. Ma main coulissait sur sa queue de plus en plus vite. La situation m’excitait au plus haut point. Tout Ă coup, alors qu’une onde de plaisir envahissait mon ventre, j’ai senti son sperme gicler sur ma main. Il ne savait pas trop quoi faire, alors j’ai portĂ© ma main Ă mes lèvres et en le regardant dans les yeux, j’ai lĂ©chĂ© sa semence encore chaude… »* * * * *Sans m’en rendre compte, ces souvenirs m’ont excitĂ©e et mon miel suinte de ma chatte, formant une aurĂ©ole humide sur mon slip. La jeune femme, dont j’avais complètement oubliĂ© la prĂ©sence, l’a probablement remarquĂ© car ses yeux brillent et un sourire se dessine sur ses lèvres. Soudain, sans que ses yeux quittent les miens, je sens l’ongle d’un doigt qui caresse mon sexe au travers du tissu, juste Ă l’endroit oĂą il est mouillĂ©. Prenant conscience de ce qui se passe, je reste cependant sans rĂ©action et je m’abandonne Ă la caresse de cette main fĂ©minine. EncouragĂ©e, son doigt se faufile sous l’élastique de ma culotte et se fraye un passage au travers de mes poils trempĂ©s, pour atteindre mon clitoris. Le plaisir me tourne la tĂŞte, Ă moins que l’encens n’y soit pour quelque chose, et une plainte s’échappe de mes lèvres. Une main Ă©carte mon slip, dĂ©gage mon sexe, et sa bouche vient se coller Ă mes lèvres intimes. La langue de la jeune femme agace mon clitoris quelques instants puis glisse jusqu’au bas de mes lèvres pour remonter aussitĂ´t, lĂ©chant tout le miel qu’elle rencontre.Ses lèvres saisissent mes lèvres intimes et les aspirent dans sa bouche, les suçant comme s’il s’agissait d’une langue. Des frissons me parcourent alors que sa langue repart Ă l’assaut de mon clitoris et que deux doigts s’enfoncent dans ma chatte, entreprenant un va-et-vient effrĂ©nĂ©. Le plaisir monte dans mes reins et mon jus coule inondant sa main et sa bouche. Elle s’interrompt quelques instants, le temps de m’ôter mon slip, puis replonge entre mes cuisses pour y laper le miel qui s’écoule de ma chatte. Une onde de chaleur envahit mon ventre lorsque je sens un fin doigt qui atteint mon Ĺ“illet brun, l’agaçant quelques instants de son ongle avant de s’enfoncer dans mon cul. C’est le signal de la jouissance et le plaisir explose dans mon ventre alors que mon corps se tend comme un arc avant de retomber secouĂ© de soubresauts sur le fauteuil. La jeune femme relève la tĂŞte et s’approche. Ses lèvres sont barbouillĂ©es de ma liqueur et, lui souriant, reconnaissante, je l’attire vers moi pour joindre mes lèvres aux siennes. Le goĂ»t de mon suc sur ses lèvres m’enivre et ma langue part Ă la recherche de la sienne. Sa salive, toute imprĂ©gnĂ©e de mon jus, se mĂŞle Ă la mienne et s’écoule dans ma gorge. Doucement, je la repousse en lui murmurant :— Viens, donne moi ta chatte, je veux te lĂ©cher et boire ton jus.— Attends que j’ôte ma robe, je serai plus Ă l’aise.Prestement, elle dĂ©grafe son corsage et fais glisser sa tunique. Elle est nue devant moi, Ă part un slip jaune clair, largement plus foncĂ© Ă l’entrejambe oĂą une aurĂ©ole s’est formĂ©e. Suivant mon regard, elle baisse la tĂŞte et me dit :— Comme tu peux le constater, tu m’as fais de l’effet. Je ne sais pas Ă quoi tu pensais pendant que je te tatouais mais ton slip a commencĂ© Ă s’humidifier si bien que j’ai compris que tu pensais Ă des choses excitantes. Et Ă voir cette aurĂ©ole qui s’agrandissait de plus en plus sous mes yeux et le parfum qui s’en dĂ©gageait, ça a commencĂ© Ă m’exciter moi aussi. Il y a trois ans que nous avons ouvert cette boutique mais c’est la première fois que cela arrive. Ce n’est pas pour me dĂ©plaire car, bien que mariĂ©e avec Nicolas, j’aime aussi l’amour au fĂ©minin.— Moi, je l’ai dĂ©couvert il n’y a pas très longtemps et je dois dire que j’y ai pris goĂ»t. Tu es superbe et tes seins sont ravissants. Enlève vite ton slip, je prĂ©fère que ton jus coule dans ma bouche plutĂ´t que dans une culotte qui ne peut l’apprĂ©cier.Elle enjambe le fauteuil et expose son buisson Ă mes yeux. De part sa position jambes Ă©cartĂ©es, sa chatte est entrouverte et mes yeux brillent en apercevant ses lèvres imprĂ©gnĂ©es de liqueur. Lentement, elle abaisse sa croupe. Son parfum envahit mes narines tandis que ma langue glisse dans les moindres recoins pour y rĂ©colter son suc. Elle n’en est d’ailleurs pas avare et sa liqueur coule en abondance au fond de ma gorge, apaisant ma soif. Son goĂ»t est plus suret que le mien et plus odorant. Ses mains, ouvrant mon chemisier, font jaillir mes globes et les malaxent, pinçant mes tĂ©tons, les faisant rouler entre ses doigts, les tordant comme si elle voulait me les arracher. La douleur irradie mes seins et, paradoxalement, augmente mon plaisir.— Tu aimes que je te pince les tĂ©tons, ou veux-tu que j’arrĂŞte ?DĂ©laissant sa chatte quelques instants, je lui rĂ©ponds presque en suppliant :— Non, surtout n’arrĂŞte pas, j’aime que l’on pince mes tĂ©tons, j’aime la douleur que cela provoque pendant que je baise, ça m’excite, mĂŞme si c’est parfois plus douloureux après.— Moi aussi, j’aime la douleur quand je fais l’amour, je trouve que c’est complĂ©mentaire. J’aime aussi l’infliger, pour autant que cela reste dans des limites acceptables.Il n’en faut pas plus pour que ses doigts reprennent leur travail. Mes tĂ©tons sont Ă©tirĂ©s, tordus et la douleur qui irradie mes seins ne fait qu’accroĂ®tre mon excitation. Je sens ma mouille qui coule sur mes cuisses alors qu’Alysson se rĂ©pand, elle aussi, dans ma bouche, sans discontinuer. Cela l’excite de torturer mes seins et le jus qui s’écoule d’elle en tĂ©moigne. Tout Ă coup, deux mains relèvent mes jambes et les Ă©cartent. InterloquĂ©e, je m’arrĂŞte un instant de lĂ©cher la vulve d’Alysson mais le brusque pincement de mes tĂ©tons me rappelle Ă l’ordre. Le plaisir l’emporte sur toute autre rĂ©action et mon seul but est de jouir encore et encore. Une claque s’abat sur mes fesses, lĂ©gèrement dans un premier temps puis un peu plus fort. Les mains de la jeune femme continuent Ă torturer mes tĂ©tons qui sont maintenant durs et rouges comme des tisons ardents. Elle aussi jouit intensĂ©ment et son jus inonde ma bouche. Les claques s’abattent sur mes fesses rougissantes, mais cette fessĂ©e imprĂ©vue, m’excite davantage et je sens mon jus s’écouler Ă flot de mon minou, inonder mon buisson, et mouiller plus encore l’intĂ©rieur de mes cuisses. Je sens une haleine chaude tout près de mon sexe et une langue se met Ă lĂ©cher consciencieusement toute la mouille qui nappe mes cuisses. La langue remonte lentement vers mon sexe bĂ©ant et s’y enfonce, collectant tout le miel qui s’en Ă©coule.La douleur provenant de mes tĂ©tons se mĂŞle aux ondes de plaisir qui montent de mon sexe. Je suis presque en transes et mon ventre est secouĂ© de mouvements dĂ©sordonnĂ©s. La langue, qui me fouillait, m’abandonne et la bouche s’éloigne. Je voudrais lui crier de rester mais le sexe qui m’embrasse m’empĂŞche d’émettre le moindre son.Soudain une queue puissante force l’entrĂ©e de ma chatte et s’enfonce dans mon ventre inondĂ©.— Vas-y mon chĂ©ri, bourre-lui la chatte. J’aime te voir baiser une autre femme devant moi, surtout pendant qu’elle me lèche la chatte et celle-ci sait y faire. Fais-la jouir, elle le mĂ©rite, elle a une langue en or et je coule comme une fontaine depuis qu’elle me lèche le minou. Approche-toi, embrasse moi pendant que tu la baises.Au mouvement d’Alysson, je sens que son corps se porte vers l’avant. J’imagine leurs lèvres qui se joignent et s’embrassent fougueusement par dessus moi. DĂ©sirant participer, j’embrasse sa chatte comme si c’était sa bouche que j’embrassais. Ma langue la fouille, tourne en elle, comme cherchant dĂ©sespĂ©rĂ©ment une langue qu’elle ne peut trouver. Je sens ses cuisses se resserrer autour de ma tĂŞte tandis qu’elle explose dans ma bouche. C’est presque une Ă©jaculation qui s’écoule de sa grotte tant son plaisir est intense. Avidement, je bois tout ce jus parfumĂ© pendant que les contractions qui agitent son ventre s’apaisent. Souplement, elle descend du fauteuil et s’agenouille Ă cĂ´tĂ© de son mari qui me pilonne sans discontinuer. Nos regards sont rivĂ©s l’un Ă l’autre. Elle me tend la main et nos doigts se soudent.— Vas-y mon chĂ©ri, bourre-la, gicle en elle, envoie-lui ton jus. Fais-lui du bien, cela m’excite presque autant que si tu me baisais et, moi, c’est comme si je la baisais Ă travers toi.Ma tĂŞte bourdonne de plaisir, et les mots crus augmentent mon dĂ©sir.— C’est bon, continue, baise-moi Ă fond… Oh oui, je jouis, je n’en peux plus.Les yeux toujours rivĂ©s Ă ceux de la thaĂŻlandaise, je lui serre la main Ă lui rompre les doigts alors que la jouissance explose dans mon ventre. Au moment oĂą mon corps se tend, il Ă©jacule son foutre au fond de ma grotte brĂ»lante. Sa compagne, Ă genoux, lui presse les couilles de son autre main.— Donne tout mon chĂ©ri, mets-lui tout ce que tu as.Alors que les ondes de plaisir se calment et que ma respiration retrouve son rythme, Alysson le repousse doucement, elle colle sa bouche Ă ma chatte pour y sucer le mĂ©lange de nos liqueurs. Entre mes jambes Ă©cartĂ©es, je peux la voir boire, Ă ma source, une eau unique. Ses yeux sont fixĂ©s aux miens et brillent d’un plaisir qu’elle ne peut cacher. RassasiĂ©e, elle s’approche de moi, joignant ses lèvres aux miennes. Sa langue agile, encore chargĂ©e de nos sucs, darde entre mes lèvres et s’enroule autour de la mienne dans un ballet langoureux.* * * * *Une petite heure plus tard, le tatouage Ă©tant finalement achevĂ© et après avoir fais mes adieux Ă ce couple charmant, je quitte la boutique tatouĂ©e d’un superbe papillon, qui de plus, m’a Ă©tĂ© offert gracieusement.