Petite Emily
Mon amie d’enfance vient chez moi pour se remettre d’une rupture. Et existe-t-il une meilleure thĂ©rapie que de prendre un peu de bon temps avec quelqu’un d’autre ? D’autant plus que je fantasme sur elle depuis très longtemps …
Proposée le 21/01/2018 par Shaaa Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Vers minuit, je songeais à aller me coucher lorsque j’ai reçu un sms d’Emily : « je peux passer chez toi ? ». Et quand Emily envoie un message comme ça, c’est que ça ne va pas bien.Emily est mon amie depuis plusieurs années maintenant. A la base ma mère lui donnait des cours de soutien en maths, quand nous étions au collège, et c’est assez naturellement que nous avons commencé à nous côtoyer, partageant un même intérêt pour les romans de science-fiction et les films farfelus. Je l’ai toujours trouvée super mignonne, avec ses airs de petite fille innocente et ses grands yeux noisette qui vous dévisagent sans pudeur. Ceci dit, c’est seulement à la fin du lycée qu’elle a commencé à me faire de l’effet. Jusque-là , en amour, j’avais navigué de bombe sexuelle superficielle en bombe sexuelle superficielle, et je commençais à avoir envie d’autre chose. Et Emily, avec sa fraîcheur, ses adorables petits seins et son visage angélique, c’était tout à fait autre chose. Malheureusement, c’est aussi à cette époque que j’ai appris qu’elle préférait les filles.
Elle était donc restée mon amie, un fantasme inaccessible avec qui je parlais uniquement livres de science-fiction et films farfelus. Une simple image qui hantait mes rêves les plus érotiques. Mais elle était aussi devenue ma confidente et le témoin silencieux de mes années de célibat. Je suis désormais dans ma deuxième année d’université, et cela fait trois ans que je n’ai eu ni copine ni conquête.C’est donc à cette heure tardive que j’ai reçu le sms d’Emily, qui ne pouvait rien présager de bon. J’étais en résidence universitaire et les filles n’étaient pas admises dans les chambres des garçons, mais je me dis que pour une fois je peux bien faire une entorse à cette règle. Je n’avais jamais posé de problème dans la résidence, et puis merde, j’aurais pu faire n’importe quoi pour mon amie. Une demi-heure plus tard elle frappait à ma porte, et je découvris ses yeux de biche remplis de larmes, des larmes si innocentes qu’elles fendraient le cœur de n’importe qui. Elle se jeta dans mes bras dès que la porte fut ouverte, me prenant au dépourvu. Je ne pus que bredouiller « Oui ? … C’est à quel sujet ? »
– Je suis dĂ©solĂ©e Thomas, marmotta-t-elle avec des sanglots dans la voix. Je me sentais trop mal, il fallait que je te parle Ă tout prix.
– HĂ© bien je suis lĂ , tu peux parler autant que tu veux. Mais d’abord tu rentres et tu m’essuies ces jolis yeux. Je te fais un thĂ© ?Elle hocha la tĂŞte. Son menton tremblait comme celui d’une petite fille. Je la fis s’asseoir sur mon lit, puis partis Ă la recherche d’un sachet de thĂ© au fond de mes placards.
– Je suis complètement dĂ©boussolĂ©e, fit-elle d’une petite voix.
– C’est pas grave ma belle, ça arrive Ă tout le monde. Alors maintenant … (je lui fourrai une tasse d’eau chaude entre les mains et y laissai tomber le sachet) je suis lĂ , raconte tout Ă ton vieux Thomas.
Elle eut un petit sourire triste.
– Ca a commencĂ© il y a deux mois environ. J’étais Ă une fĂŞte avec une amie du lycĂ©e, je ne connaissais personne, et tout le monde s’est foutu de moi parce que je ne buvais rien. Ça a dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© comme dans une cour d’école, je pensais pas qu’à la fac on puisse encore trouver des abrutis pareils … et puis un – une, une fille, s’est interposĂ©e. Camille. Elle a essayĂ© de calmer le jeu, mais comme ça n’a pas marchĂ© elle m’a emmenĂ©e dans sa voiture pour me ramener.
Elle rougit très légèrement sous ses larmes, avant d’ajouter.
– C’était ma première fois.
Elle avala une gorgée de thé, sursauta quand elle se brûla la langue, et poursuivit.
– Je lui ai passĂ© mon numĂ©ro, on a commencĂ© Ă sortir ensemble et ça se passait vraiment bien. On Ă©tait tout le temps ensemble, elle … elle me touchait tout le temps. Elle voulait que je vienne Ă la fac sans sous-vĂŞtements, que je touche ses seins en amphi, qu’on aille dans les toilettes entre les cours pour se lĂ©cher la chatte.C’est le moment que choisit mon pĂ©nis pour se rappeler Ă mon bon souvenir, soulevant ma braguette de quelques millimètres. Trop peu pour qu’Emily s’en rende compte, mais assez pour que je me mĂ©fie. Je remontai mes genoux sous mon menton, au cas oĂą.
– Elle me lĂ©chait la chatte comme personne, ça me faisait presque crier Ă chaque fois, donc j’ai commencĂ© Ă refuser. Elle m’écrivait des sextos, elle se masturbait devant sa webcam ou alors elle me montrait sa … ses godes pleins de mouille. Je voulais lui faire plaisir, alors je me touchais devant la webcam en mĂŞme temps qu’elle. Mais elle voulait toujours plus. Elle m’a demandĂ© de venir Ă la fac avec des porte-jarretelles, ou avec un vibro dans la chatte. Tu sais, le genre de jouet qu’elle pouvait commander Ă distance …
L’idée de ma délicieuse Emily en porte-jarretelles m’arracha un sursaut de désir, me faisant bander encore davantage. Mon Emily, avec un porte-jarretelles et gémissant sous l’effet du vibromasseur … je remerciai le ciel de m’être recroquevillé sur mon siège.
– Je n’en pouvais plus de ce qu’elle me faisait, alors j’ai arrĂŞtĂ© de lui obĂ©ir. On s’est disputĂ©es mardi dernier, puis mercredi, puis jeudi … jusqu’à ce soir oĂą elle m’a dit que tant pis, elle irait faire des ciseaux avec quelqu’un d’autre, mais qu’elle ne voulait plus me voir.
Oh mon dieu, imaginer Emily en ciseaux ! Mes deux plus grands fantasmes se rencontraient. J’en gémis presque.
– Elle a rompu ? dis-je avec la bouche sèche.
– Oui. Visiblement j’étais pas assez sexy pour elle.
Ses larmes étaient magnifiques, accentuant son côté petite fille, mais désormais c’était ailleurs que mon regard se portait. Sur ses fines lèvres, que j’imaginais ouvertes sur un gémissement, sur ses seins que j’aurais voulu téter, la douce courbe de ses hanches, la naissance de ses fesses qui venaient se cacher dans les coussins. La pression dans mon entre-jambe devenait insupportable, et je devais faire tous les efforts du monde pour ne pas me jeter sur elle.
– Je suis vraiment nulle, hein ?
– Ne dis pas ça, protestai-je d’une voix rauque. Tu es la fille la plus gĂ©niale que je connaisse.
– Mais je suis pas assez sexy pour Camille.
– Faut pas dire ça. Y a des tas d’autres poissons dans l’univers. Si cette connasse est pas assez intelligente pour voir que tu es trop mignonne, tant pis, y a plein d’autres personnes qui craqueraient pour toi.
« Qui craquent déjà pour toi », je rajoutai mentalement. Mais Emily baissa les yeux.
– Elle disait que mes seins Ă©taient trop petits.
– Quoi ?!
Bon sang, j’étais censé répondre quoi à ça ? Qu’elle avait les seins les plus parfaits que j’aie jamais vus et qu’ils me faisaient fantasmer depuis longtemps ?
– Ben elle avait raison non ? Regarde, on dirait des seins de gamine.Et elle Ă´ta son t-shirt, dĂ©voilant un buste de rĂŞve Ă peine cachĂ© par un soutien-gorge en dentelle rouge. La minceur du tissu laissait deviner la pointe de ses tĂ©tons, plus sombres, comme deux petites taches que je fantasmais de caresser, de lĂ©cher, de mordiller …
– Ils sont très bien tes seins, balbutiai-je, conscient qu’elle verrait bientĂ´t mon Ă©rection tant je bandais dur. Tu dois remplir du bonnet C, facilement, tu … c’est un string que tu portes ?
Les deux petites lanières sur ses hanches me le confirmaient, d’un rouge assorti au soutien-gorge. Emily jeta un coup d’œil discret entre mes jambes et eut un petit sourire. J’espérais encore qu’elle n’avait pas vu la bosse qui s’était formée sous mon jean.
– Je l’avais mis pour Camille, parce qu’il aimait me doigter quand je suis en string.
Je tiquai sur le « il », mais je n’eus pas le temps de le lui faire remarquer : elle déboutonnait déjà sa braguette.
– Mais c’est pas super confortable. Ça te dĂ©range si je l’enlève ?
Et sans me laisser le temps de répondre, elle avait retiré son jean et glissé les mains sous les lanières du string. En dentelle rouge lui aussi, il était tout aussi transparent et mettait en valeur son épilation intégrale, très soignée. Je ne pus retenir un hoquet d’excitation lorsqu’elle le retira, et, me tournant le dos, me dévoila le magnifique globe de ses fesses, rondes et fermes à souhait. Le bronzage qui lui restait de l’été dernier ne portait aucune marque, et tout de suite je l’imaginais nue sur une plage, faisant dorer sa peau si douce au vu et au su de tous les regards. Ma main se porta inconsciemment vers mes testicules, devenues douloureuses, et le regard de mon Emily ne rata pas mon geste. Un sourire mutin fleurit sur ses lèvres.
– Ca me fait plaisir de me confier Ă toi, Thomas. J’ai le sentiment que tu me comprends, et ça me met très Ă l’aise.
Elle se pencha pour ramasser son string, exhibant sous mes yeux sa cambrure parfaite et ses exaltantes petites fesses. Même sa vulve était visible, et je fus surpris de voir qu’elle luisait de cyprine. Elle adorait se donner en spectacle comme ça. Savoir mon Emily aussi cochonne me rendit encore plus fou de désir, et je décidai de jouer le jeu.
– Très Ă l’aise ? fis-je en effleurant son dos. Il te reste quand mĂŞme un petit vĂŞtement qui t’empĂŞche de te sentir vraiment Ă l’aise.
Son sourire s’élargit encore.
– Si tu t’inquiètes pour moi, tu peux venir me l’enlever.J’avais l’impression d’être dans un rĂŞve. Ma bite Ă©tait maintenant beaucoup trop Ă l’étroit dans mon caleçon, mais j’avais envie de m’amuser avec elle. De voir Ă quel point ce Camille l’avait rendue perverse. Mes doigts montèrent jusqu’à son soutien-gorge, mais au lieu de le retirer ils se mirent Ă presser ses seins Ă travers la dentelle, les effleurant du bout des doigts, caressant l’arĂ©ole des tĂ©tons sans en toucher la pointe si sensible. Elle ferma les yeux et se laissa aller. Je continuai un petit moment avec tendresse, massant les deux globes Ă pleines mains, puis lui pinçai brutalement les pointes, lui arrachant un petit gĂ©missement.
– Je savais que t’étais un petit cochon, dit-elle en se laissant aller contre moi.
Consciemment ou non, ses fesses roulèrent sur mon entrejambe. C’était si bon et si douloureux à la fois que j’en eus le souffle coupé. Le cœur battant, je passai mes doigts sous la dentelle du soutien-gorge, pétrissant à pleines mains ces seins si parfaits, doux et moelleux à souhait. Elle ondulait encore du bassin en soupirant de plaisir, les bras le long du corps, ses mains plaquées contre mes hanches. Puis ces mains remontèrent pour s’interposer entre ses fesses et ma queue, fébriles, cherchant à déboutonner mon jean. Je suivis la danse. Sentant ma braguette s’ouvrir, je glissais à mon tour mes mains entre ses cuisses. Elles s’écartèrent sans problème, m’ouvrant la voie vers un antre humide et parfaitement lisse. Je caressai un long moment l’intérieur de ses cuisses, ses grandes lèvres, son pubis, faisant monter l’excitation avant de poser un doigt sur son clitoris. Elle se cambra immédiatement en gémissant.
– Oh oui, continue … geignit-elle en fermant les yeux.
Ses mains s’activèrent davantage sur ma braguette, pénétrant mon caleçon, caressant mon membre bandé. Je devenais fou et la doigtais tout mon saoul, alternant les lents va-et-vient sensuels et les petits coups rapides sur son clitoris. Elle mouillait de plus en plus et gémissait en conséquence, frottant son bassin contre mes doigts. Mais je ne cédais pas. Chaque fois qu’elle y mettait un peu trop d’enthousiasme, je délaissais son petit bouton pour faire retomber un peu la tension. Puis je revenais à l’assaut un peu plus fort.
– Encore … gĂ©mit-elle alors que je retirais ma main pour la troisième fois. C’est trop bon, donne-m’en encore.
– Non, c’est fini les caresses ma belle, murmurai-je Ă son oreille. Mais on va voir si tu peux rĂ©sister à ça …D’un seul geste, je l’assis face Ă moi sur mon canapĂ© et dĂ©grafai son soutien-gorge, suçant et mordillant ses seins tour Ă tour. Puis, quand j’estimai avoir fait le tour de ces magnifiques sphères, je me mis Ă descendre sensuellement le long de son corps, dĂ©couvrant du bout des lèvres chaque parcelle de cette peau dont j’avais tant rĂŞvĂ©. Emily retint son souffle.
Mon premier baiser sur sa petite chatte la fit soupirer. Mon premier coup de langue la fit gémir. Ma bouche se déchaîna bientôt sur ce fruit trop longtemps défendu, et mon amie ne retint plus ses cris, roulant des hanches pour mieux venir à la rencontre de mes caresses. De ma main libre, je caressai l’entrée de son vagin, enduisant mon index de sa mouille avant de l’introduire dans son trou détrempé. Il y rentra sans la moindre difficulté. J’y joignis mon majeur et commençai à la doigter au rythme de ma langue.
– Oh oui Thomas ouiii ! Ooh ! Ooooohh c’est tellement bon !!
Elle se donnait complètement, conquise, et ses petits cris aigus eurent vite raison de mes résistances. Ma main gauche plongea dans mon caleçon et commença à effleurer mon mandrin raide comme de l’acier. Emily s’en rendit compte et recula, le souffle court.
– Non, pas comme ça … Laisse-moi le faire …
En quelques gestes, elle m’avait retiré ce qu’il me restait de vêtements, et ma queue se dressait désormais fièrement vers son visage. Puis, fougueusement, presque goulûment, Emily la prit dans sa bouche et commença à la pomper. Je me laissai partir en arrière, aux anges. Sa bouche était si douce, si chaude, sa fellation était si experte que mon plaisir décolla dans l’instant, intense. Ses mains libres venaient tour à tour caresser mes bourses et branler ce qu’elle ne pouvait pas sucer. Puis, sans prévenir, elle retira ses lèvres pour ne plus lécher que mon gland si sensible, décuplant encore les sensations incroyables qu’elle me procurait. Je me mis à gémir – moi qui suis d’habitude si silencieux, je gémissais comme un possédé ! L’orgasme n’était plus très loin.
– Ne t’arrĂŞte pas !! râlai-je, au bord de l’extase. Ooh Emily ne t’arrĂŞte pas, aah oui !! AaaahhHHH !!!
J’étais sur le point d’éjaculer dans sa bouche quand elle me lâcha, le sourire aux lèvres. Elle déposa un ultime baiser sur mon gland, et je geignis de frustration.
– Pourquoi tu t’arrĂŞtes ? Tu Ă©tais si bien partie !
– Qui te dit que j’en ai fini avec toi ? rĂ©pliqua-t-elle, toujours espiègle.Ce petit sourire joueur me faisait tellement craquer que j’en oubliai mon orgasme manquĂ©. Je la suivis du regard, curieux, tandis qu’elle se penchait pour chercher quelque chose dans la poche de son pantalon. Elle en retira un petit objet oblong, comme une petite bouteille, et s’approcha Ă nouveau de moi. C’était un tube de lubrifiant. Elle le dĂ©boucha et en versa sur ses doigts pour en enduire mon pĂ©nis. La caresse de ses doigts pleins de cette substance poisseuse me mettait au supplice.
– Je sais que tu n’y es pas allĂ© de main morte avec ta langue, fit-elle en insistant sur le gland. Mais je suis très Ă©troite, et je voudrais en profiter au maximum.
J’eus un petit sourire et lui pris la bouteille de lubrifiant.
– Il n’y a aucun problème. On y va Ă ton rythme, dès que ça te fait mal tu me le dis et on fait une pause.
Sur ce, j’ouvris le lubrifiant et en versai une généreuse portion sur sa vulve. Elle sursauta et recommença à geindre. Je la caressai avec toute la rigueur nécessaire, huilant chaque parcelle de cette fente dont j’avais tant rêvé, et je ne pus m’empêcher de jouer encore avec son clitoris. Elle gémit fort et attrapa ma main avec fermeté.
– ArrĂŞte de jouer. C’est l’heure des choses sĂ©rieuses.
Elle me poussa sur le dos, me plaquant au sol avec fougue, et se mit à frotter sa chatte sur ma queue bandée. Cet ultime préliminaire nous rendit tous les deux complètement fous.
Je sentis soudain ma bite pénétrer cette adorable petite chatte, et Emily se raidit. Je luttai contre l’envie de la pilonner et tendit le bras pour lui caresser la joue.
– Tout va bien, lui dis-je de mon ton le plus rassurant. On y va comme tu le sens. Ça va ?
Emily respira à fond et enfonça lentement mon membre en elle. Quand elle parvint au bout, son soupir était devenu un soupir de plaisir. Elle sourit.
– Oh oui, ça va. Ça va mĂŞme très bien.
Doucement, elle se mit à bouger autour de ma queue. Mon propre plaisir commençait à affluer, mais je le maîtrisai et décidai de plutôt me concentrer sur ses seins, que je caressai avec tendresse. Elle eut un gémissement.
– Ca va vraiment bien … ça commence mĂŞme Ă devenir extra …
Elle accélérait de plus en plus ses coups de bassin, et bientôt ses gestes retrouvèrent sa fougue habituelle. Je ne tins plus et la pris dans mes bras, la serrant contre mon torse.
– C’est que le dĂ©but, ma belle. Attend de voir ce que ça veut vraiment dire, « extra » …
Je repliai mes jambes et commençai à la baiser vraiment, vite et fort, avec de grands coups de bassin presque sauvages. Emily se mit à pousser des petits cris directement dans mon oreille, décuplant ma fougue et mon désir. J’avais envie qu’elle se laisse aller, qu’elle prenne son pied et qu’elle jouisse. Mais la petite perverse ne l’entendait pas de cette oreille et me chevaucha avec passion. Jamais une fille ne m’avait baisé de la sorte, et c’était si … aaah, si délicieux que je poussais moi aussi des râles de plaisir.J’allais jouir. Elle me rendait complètement fou avec ses cris, son corps, sa chatte si ardente, et j’allais jouir. Sans qu’elle ait eu d’orgasme. C’était hors de question.
Je poussai sur mes jambes et la basculai sur le côté, lui arrachant un hoquet de surprise. Je roulai sur elle et lui saisis les poignets, plaquant ses mains au sol sans qu’elle puisse bouger. Elle était à ma merci. Je repris lentement mon travail de sape entre ses cuisses, à coups de longs mouvements sensuels. Sans succès. Son regard provocant plongea dans le mien et elle eut un sourire narquois.
– Quoi, c’était ça ton idĂ©e ? Me finir en missionnaire ? Quelle grossière erreur …Et elle ramena ses pieds près de ses fesses pour hisser ses hanches vers moi et maĂ®triser le va-et-vient. Elle menait Ă nouveau la danse, et je sentais le plaisir remonter en flèche dans ma bite. Mes gĂ©missements devenaient de plus en plus forts, je n’en pouvais plus, tout mon corps me trahissait.
– Emily … haletai-je d’une voix suppliante.
Non, c’était impossible, j’avais trop de fierté pour ça. Alors je fis la dernière chose qui me vint à l’esprit.
D’un seul geste, je me remis debout et plaquai Emily contre le mur, l’embrassant de toute mon âme. Sa bouche s’était ouverte en grand sous l’effet de l’excitation, ses jambes s’étaient nouées autour de ma taille et ses bras s’étaient crispés autour de mon cou, les ongles s’enfonçant presque dans ma peau. Tout dans son expression m’indiquait qu’elle adorait être baisée comme ça. Alors je m’en donnai à cœur joie. Je la pris comme une bête, comme la petite dévergondée qu’elle était, et cette perverse prenait son pied comme une folle. Elle criait de bonheur, les yeux fermés, prise au piège entre mon corps et le mur, ses doigts griffant mon dos et ses dents mordillant mon cou à intervalles réguliers. Et j’aimais tellement ça, bordel ! Chaque griffure m’électrisait, chaque morsure me donnait davantage de fougue, et ma fougue décuplait ses cris de plaisir. Nous étions deux animaux pris dans le feu de la passion, c’était sauvage, c’était intense, c’était …
Les râles d’Emily devinrent soudain plus aigus. Son corps se tendit comme un arc et se cambra comme un serpent.
-Ooh Thomas, ooh Thomas !! OOOOOHHH !!Elle poussa un ultime hurlement, toute cambrée en arrière, et je sus qu’elle était à ma merci. Son con se contractait par spasmes autour de ma queue, c’était si délicieux, c’en était trop pour moi. Je jouis quelques secondes après elle dans un gémissement surpuissant. Le temps était suspendu. Le plaisir s’étendait à l’infini, et mon pénis remplissait de sperme cette petite chatte en ébullition, giclée après giclée, spasme après spasme. Je me laissai glisser le long du mur, entraînant Emily dans ma chute, et nous restâmes ainsi un long moment dans les bras de la petite mort, un sourire euphorique aux lèvres et mon membre toujours entre ses jambes.
Depuis le temps que j’attendais ça, cette baise folle avait dépassé de très loin toutes mes attentes. Emily avait été plus que parfaite. Ma sensualité épousait parfaitement sa créativité, nos plaisirs se complétaient, nos corps avaient été conçus l’un pour l’autre. Je n’avais jamais pris autant de plaisir avec qui que ce soit, et je compris que je ne pourrai plus me satisfaire de quelqu’un d’autre.
Plus tard dans la nuit, Emily m’avoua qu’elle n’avait jamais été lesbienne. Elle me l’avait juste fait croire parce qu’elle avait peur de ce qu’elle ressentait pour moi. J’eus un petit sourire attendri et murmurai quelques mots à son oreille :
– Et maintenant ? Que ressens-tu ?
Elle releva les yeux vers moi et eut un de ces sourires qui me faisaient fondre.
– Est-ce que tu voudrais sortir avec moi ?© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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